Développement sexuel Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’englobe la maturité sexuelle ou sexualité adolescente?

A

Des aspects sociaux, culturels, physiologiques, psychologiques, l’affectivité et l’orientation sexuelle

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2
Q

VRAI OU FAUX

La sexualité débute à l’adolescence avec les premières pulsions sexuelles

A

FAUX

La sexualité est déjà présente à l’enfance, mais on parle de maturité sexuelle à l’adolescence

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3
Q

Quels sont les critères de santé sexuelle à l’adolescence?

A

L’acceptation de son corps
L’acceptation de ses désirs sexuels
Comprendre que les activités sexuelles sont des actes volontaires tant pour soi-même que pour son partenaire
Adopter des comportements sexuels sécuritaires

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4
Q

Quelles sont les trois principales raisons pour lesquelles les jeunes n’utilisent pas le condom?

A
  1. Ils ne s’attendaient pas à avoir une relation sexuelle
  2. Ils ont utiliser un autre moyen de contraception
  3. Ils avaient consommé trop de drogues pu d’alcool
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5
Q

Quels sont les motifs des premiers rapports sexuels? (5)

A
Par amour
Par curiosité/pour l'expérience
Influence des drogues ou d'alcool
N'a pas pu résister
Pour perdre sa virginité
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6
Q

Quels sont les motifs d’abstinence? (6)

A
N'est pas prêt(e)
N'a pas eu l'occasion
N'a pas rencontrer la bonne personne
Veut rester vierge
A peur de la grossesse
Religion
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7
Q

Quel est le comportement sexuel le plus répandu et le plus fréquent à l’adolescence?

A

La masturbation

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8
Q

Quelles sont les limites de la recherche sur les comportements sexuels à l’adolescence?

A

Des conditions éthiques restreignent parfois les questions qui peuvent être posées
Les données obtenues sont basées sur ce que les jeunes veulent bien dévoiler

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9
Q

VRAI OU FAUX

Selon les résultats des recherches actuelles, autant de garçons que de filles ne voient pas de mal à se masturber.

A

FAUX
Environ deux fois moins de filles que de garçons pensent cela, et elles sont d’ailleurs beaucoup moins nombreuses à se masturber que les garçons

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10
Q

VRAI OU FAUX
La définition de ce qu’est une relation sexuelle varie d’un jeune à l’autre, et peut aussi varier pour un même jeune selon ses expériences

A

VRAI

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11
Q

VRAI OU FAUX

Il n’existe pratiquement pas de différence dans la prévalence de l’activité sexuelle entre les garçons et les filles.

A

VRAI

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12
Q

Quel est l’âge moyen des premiers rapports sexuels?

A

16-17 ans

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13
Q

À quoi est associé la précocité sexuelle? (3)

A

À un plus grand nombre de partenaires sexuels au cours de la vie, à la consommation de drogues et d’alcool et au fait de ne pas utiliser de condom

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14
Q

VRAI OU FAUX

Les jeunes précoces au niveau sexuel sont plus susceptible de ne pas être consentant.

A

VRAI

Ils sont aussi plus susceptible d’agir sous pression

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15
Q

Qu’est-ce que désigne le terme “monogame en série”?

A

C’est un terme utilisé pour expliquer que les adolescents puissent avoir plusieurs partenaires sexuels alors qu’ils n’en ont qu’un à la fois. C’est parce que leurs relations sont généralement courtes.

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16
Q

Pourquoi est-ce que les filles seraient plus sensibles aux facteurs sociaux et culturels dans leur conduite sexuelle que les garçons?

A

Parce que leurs hormones sexuelles augmentent seulement l’intérêt sexuel, alors que les hormones des garçons augmentent leur activité sexuelle également

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17
Q

Quels sont les principaux facteurs sociaux influant sur les comportements sexuels?

A

La famille, les pairs et les médias

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18
Q

Pourquoi est-ce difficile d’établir la proportion exacte de jeunes actifs sexuellement? (2)

A

La conceptualisation de ce qu’est un rapport sexuel diffère d’un jeune à l’autre
Certaines études sont très précises alors que d’autres sont plus vagues, notamment en ce qui à trait au laps de temps durant lequel les rapports sexuels ont lieu

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19
Q

Comment les médias peuvent-ils avoir une influence sur les comportements sexuels? (2)

A

Par l’observation directe de comportements qui sont susceptible d’être imités
Par le renforcement de certaines normes

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20
Q

VRAI OU FAUX
On n’a pas observé de lien direct entre la qualité de la communication parents-adolescent et l’âge des premières relations sexuelles des jeunes.

A

VRAI
Avoir des parents trop permissifs ou désengagés peut favoriser les expériences sexuelles précoces, mais aucun lien direct n’a été observé.

21
Q

VRAI OU FAUX

L’information retrouvée dans les médias permet aux jeunes d’intégrer toutes les composantes de la sexualité

A

FAUX
La plupart du contenu aborde la sexualité en mettant l’emphase sur le bonheur qu’elle procure en omettant complètement de mentionner ses risques

22
Q

VRAI OU FAUX

L’orientation sexuelle est sur un continuum

A

VRAI

23
Q

Quelles sont les trois dimensions de la sexualité?

A

L’attirance, les comportements et l’identification

24
Q

VRAI OU FAUX

Les personnes classées comme homosexuelles le sont pour toutes les dimensions

A

FAUX

Seulement 20% des américains homosexuels le sont pour toutes les dimensions

25
Q

VRAI OU FAUX

Les filles homosexuelles sont plus stigmatisées que les garçons

A

FAUX

C’est le contraire

26
Q

Indiquez trois problèmes qui semblent très fréquents chez les adolescents homosexuels et que l’on associe à leur mal de vivre.

A

L’abus de drogue, le suicide et la contraction de maladies transmissibles sexuellement

27
Q

Qu’est-ce que les interventions de prévention quant à la contraception devraient cibler?

A

Les habiletés de communication à propos de la contraception entre les partenaires, puisque la discussion sur les méthodes de contraception est le meilleur prédicteur de leur utilisation

28
Q

Quels sont les facteurs qui influencent les pratiques contraceptives? (8)

A
L'âge
La précocité sexuelle
La stabilité de la relation amoureuse
La différence d'âge
La communication entre les partenaires
La communication avec les parents
Le sentiment de compétence et les aspirations
Le milieu socioéconomique
29
Q

Quels sont les deux types de grossesse à l’adolescence?

A

La grossesse problème et la grossesse projet

30
Q

Quel est le profil type des adolescentes qui avortent?

A

Les filles qui ont de bons rendements scolaires et des aspirations personnelles qui nécessitent des études

31
Q

Quel es le profil type des adolescentes qui gardent leur bébé?

A

Les filles qui sont issues de milieu socioéconomique plus faible, qui n’ont pas de projets précis sur le plan scolaire et professionnel et qui croient peu en leurs capacités dans ce domaine

32
Q

Quelles sont les causes fréquentes de la détresse psychologique suite à une grossesse pendant l’adolescence? (5)

A

Mauvaise connaissance de la situation et des enjeux de l’avortement
Pressions venant de l’entourage quant à la prise de la décision
Fort sentiment de culpabilité
Ne pas avoir eu assez de temps pour réfléchir avant de prendre la décision
Ambivalence persistante entre le désir de l’enfant et le constat de son incapacité à lui assurer des conditions de vies décentes

33
Q

VRAI OU FAUX
Bien que les mères adolescentes soient plus à risque que les mères adultes sur les plans sociaux, économiques, psychologiques et au niveau de la santé, leurs enfants ne sont pas différents de ceux des autres mères.

A

FAUX
Ils sont plus à risque d’être prématurés, d’avoir un faible poids à la naissance, d’avoir des anomalies physiologiques et d’avoir des troubles développementaux

34
Q

VRAI OU FAUX
Plus de la moitié des adultes bisexuels ou homosexuels, hommes ou femmes, auraient déjà vécu des relations hétérosexuelles durant leur adolescence.

A

VRAI

35
Q

VRAI OU FAUX

Le processus d’identification sexuelle n’est jamais linéaire

A

FAUX

Cela dépend des personnes

36
Q

VRAI OU FAUX
Les contacts homosexuels dans l’adolescence est un meilleur prédicteur de l’orientation sexuelle chez les femmes que chez les hommes

A

VRAI

37
Q

VRAI OU FAUX

Les proportions de jeunes actifs sexuellement sont moins élevées au Québec qu’en Ontario.

A

FAUX

C’est le contraire

38
Q

VRAI OU FAUX
Les adultes d’aujourd’hui perçoivent les adolescents comme étant nettement plus précoces sexuellement qu’ils ne le sont en réalité.

A

VRAI

39
Q

VRAI OU FAUX
Comparés aux adolescents des dernières décennies, les adolescents d’aujourd’hui utilisent de manière moins régulière des méthodes contraceptives.

A

FAUX

Les jeunes d’aujourd’hui utilisent la contraception plus régulièrement

40
Q

Quels facteurs peuvent faire dévier les trajectoires des mères adolescentes vers des directions positives? (3)

A

Le soutien des parents
L’engagement du père
La mobilisation de la mère adolescente dans un projet positif

41
Q

Qu’est-ce que la perspective normative du développement de la sexualité à l’adolescence?

A

C’est de reconnaître la nécessité de s’attarder aux risques associés à la sexualité tout en prenant compte des aspects positifs de la sexualité.
C’est de reconnaitre la santé sexuelle comme étant plus que l’absence de maladie, de violence et de peur, alors que c’est la capacité de vivre sereinement sa sexualité et de la maitriser.

42
Q

À quoi sont liés les comportements sexuels à risque chez les adolescents?

A

Les jeunes accordent plus d’importance au positif qu’au négatif, leurs comportements sexuels à risque sont donc liés au plaisir immédiat que procure les relations sexuelles.

Puisque les risques d’ITSS sont un aspect positifs, les jeunes les prennent moins en considération

43
Q

Qu’est-ce que les experts proposent tant qu’à la prévention des conduites sexuelles à risque chez les adolescents?

A

De mettre davantage l’accent sur les bénéfices associés au sexe sécuritaire plutôt qu’aux coûts que peuvent entrainer les pratiques sexuelles à risque.

44
Q

Pourquoi les sites comme Onsexprime.fr et Monprofilsexe.com sont plus adaptés aux adolescents que les sites comme Masexualite.ca et Jcapote.com?

A

Parce qu’ils sont plus attrayant visuellement et plus dynamiques, les informations sont claires et évitent d’être alarmistes, elles sont présentés avec humour.
La sexualité est présentée positivement.

45
Q

Pourquoi les sites comme Masexualite.ca et Jcapote.com sont-ils moins adaptés aux adolescents que Onsexprime.fr et Monprofilsexe.com?

A

Bien que ces sites soient hautement éducatifs, ils présentent une vision plutôt négative de la sexualité. L’interface plus sérieuse est également moins attrayante pour les jeunes

46
Q

Dans la vidéo sur la diversité sexuelle, quelle est la principale difficulté que les démystificateurs ont vécues face à leur orientation sexuelle?

A

De s’accepter comme personne homosexuelle puisqu’ils considéraient l’homosexualité comme quelque chose de négatif et se dévalorisaient sur cette base.

Leur vision négative de l’homosexualité était teintée par l’homophobie et les préjugés véhiculés par la société ou encore par leurs proches

47
Q

Quels sont les aspects positifs dont Guillaume et Sarah ont pu bénéficier en lien avec leur homosexualité?

A

Cela leur a donner une certaine force de caractère, ça a permis à Sarah de développer son esprit critique et à Guillaume de se concentrer dans ses études et d’avoir d’excellents résultats

48
Q

Quelles sont les formes d’homophobies dont ont été témoins Guillaume et Sarah? (5)

A

L’indifférence face à l’homophobie dans le milieu scolaire
L’homophobie verbale
Les préjugés de leur entourage
Le rejet
Les réactions négatives suite au désir d’un jeune d’inviter son chum au bal