Développement de l'enfant Flashcards

1
Q

Les 5 stades du développement selon freud

A
  1. Stade oral
    (0-12/18 mois)  Plaisir lié à la bouche (sucer, téter, mordre)
     L’exploration passe par cette zone érogène  Présence du ça dès la naissance
     Émergence du moi
     Sevrage
  2. Stade anal
    (12/18 mois à 3 ans)  Plaisir lié à la rétention et à l’expulsion  Consolidation du moi
     L’apprentissage de la propreté
  3. Stade phallique
    (3 à 5-6 ans)  Plaisir lié aux organes génitaux
     Complexe d’Oedipe ou d’Électre  Formation du surmoi
     Identification au parent du même sexe
  4. Période de latence
    (5-6 ans à la puberté)  Pause dans le développement psychosexuel  Sublimation des pulsions sexuelles dans des activités scolaires et sociales
  5. Stade génital (à partir de la puberté)  Changements hormonaux qui entraînent la sexualité adulte et le réveil des désirs sexuels  Choix d’un partenaire
     Reproduction
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2
Q

Mécanisme de défense de Freud: Le refoulement

A

Empêcher des pensées douloureuses ou menaçantes d’accéder au conscient.
 Ex : Oublier des agressions sexuelles subies dans la petite enfance

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3
Q

Mécanisme de défense de Freud: La projection

A

Attribuer à autrui ses propres motifs ou pulsions inacceptables.
 Ex : Ne pas s’avouer ses propres envies de relations extra-conjugales tout en faisant preuve d’une jalousie exagérée à l’endroit de son conjoint(e).

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4
Q

Mécanisme de défense de Freud: La formation réactionnelle

A

Refuser de prendre conscience de désirs, de pensées ou de sentiments jugés inacceptables en adoptant des comportements qui leurs sont contraires.
 Se montrer dominateur et vantard alors qu’on se sent inférieur et qu’on à peu d’estime de soi.

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5
Q

Mécanisme de défense de Freud:La régression

A

Réagir à une situation menaçante d’une manière qui correspond à un stade antérieur de développement.
 Se mettre en colère lorsqu’un ami refuse d’obtempérer à nos demandes

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6
Q

Mécanisme de défense de Freud: Le déni

A

Se protéger d’une réalité désagréable en refusant d’en admettre l’existence.
 Les alcooliques refusent d’admettre leur dépendance à l’égard de l’alcool.

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7
Q

Mécanisme de défense de Freud:L’intellectualisation

A

Transformer un problème concret qui nous dérange, en un problème théorique, abstrait, lointain et moins menaçant.

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8
Q

Mécanisme de défense de Freud

Le déplacement

A

Remplacer l’objet initial d’une pulsion par un objet moins menaçant.
 Se mettre en colère contre un collègue après avoir essuyé des reproches de la part de son patron.

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9
Q

Mécanisme de défense de Freud

La sublimation

A

Transformer des désirs non satisfaits ou des pulsions non acceptables en activités constructives.
 Canaliser les désirs sexuels vers l’art et la musique.

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10
Q

Mécanisme de défense de Freud

La rationnalisation

A

Trouver des raisons socialement acceptables pour justifier des pensées ou actions qui se fondent sur des motifs inacceptables.
 Justifier le fait de tricher à un examen en disant «tout le monde le fait».

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11
Q

Critique Freud

A

POINTS POSITIFS
 Importance de l’enfance
 Rôle de l’inconscient et des mécanismes de défense
 Méthode psychothérapeutique

POINTS NÉGATIFS
 Trop marquée par son époque et sa classe sociale
 Théorie du développement normal à partir d’adultes perturbés
 Trop limitatif
 Concepts trop généraux pour être utiles en recherche.

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12
Q

Erikson et la théorie du développement psychosocial

A

 Développement socioaffectif = résolution progressive de conflits engendrés par des demandes contradictoires.
 Réussite à chaque crise = équilibre optimal entre le pôle positif et le pôle négatif
 Réussite (au moins partielle) de chaque crise = prérequis pour la suivante.
 Réussite ou échec = conséquences sur la personnalité.

À chaque stade, il y a des conflits auquel l’enfant est confronté.
L’enfant doit essayer de trouver un équilibre. Ex: premier stade ça ne doit pas non plus être une confiance aveugle.

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13
Q

Erikson et la théorie du développement psychosocial

4 premier stade du développement

A
  1. confiance VS méfiance = sécurité de base
  2. autonomie VS honte et doute = dev du controle de soi, volonté et souplesse
  3. initiative VS culpabilité = accomplis ses propres objectifs sans se laisser envahir par la culpabilité et la peur d’être puni
  4. compétense VS infériorité= kid se sent apte à maitrisé les habileté et à accomplir les tâches qu’on s’attend de lui
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14
Q

ERISKON critique

A

POINTS POSITIFS
 1ère théorie qui couvre toute la vie.
 Tient compte des influences sociales et culturelles.
POINTS NÉGATIFS
 Description marquée par son époque
 Concepts difficiles à traduire de façon opérationnelle pour la recherche.
 Peu de preuves empiriques concernant la succession des différents stades.

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15
Q

Approche mécaniste VS approche béhavioriste

A

Approche mécaniste= si on change l’environnement on change l’individu, l’homme est modelé par son environnement
Approche béhavioriste= étudie les comportement qui sont observables, mesurables et quantifiables

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16
Q

Dans approche mecaniste et béhavioriste:

  • pavlov et le conditionnement classique
  • Skinner et le conditionnement opérant
  • Bandura et l’apprentissage social
A

 Pavlov et le conditionnement classique - SN + SI = RC

  • Stimulus neutre associé à un stimulus inconditionnel donne une réaction conditionné
  • Ex : chien qui bave en entendant une cloche

 Skinner : le conditionnement opérant (sauf diapo 31 )
- Les conséquences des comportements font en sorte qu’ils seront maintenus lorsque renforcés ou pas lorsque punis.

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17
Q

Dans conditionnement opérent de Skinner:

fréquence du comportement augmente, diminu, stimulis positive, négatif

A

Renforcement positif
(Conséquence agréable)

Renforcement négatif
(Évitement d’une conséquence désagréable)

Punition positive
(Conséquence désagréable)

Punition négative
(Enlever une conséquence agréable)

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18
Q

CRITIQUE
Dans approche mecaniste et béhavioriste:
- pavlov et le conditionnement classique
-Skinner et le conditionnement opérant
-Bandura et l’apprentissage social

A

Points positifs
 S’applique en rééducation (apporte des changements plus rapides).
 Permet une étude plus rigoureuse du développement, car s’intéresse aux comportements observables, mesurables et quantifiables.
 A donné lieu à un grand nombre de recherches en éducation.
Points négatifs
 Ne tient pas compte:
1. de l’hérédité
2. des stades de développement
3. des problèmes inconscients.

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19
Q

L’approche humaniste

  • ROGERS
  • MAslow
A

tous tend vers l’actualisation de soi et on a tous les moyens pour s’y rendre

  • S’intéresse essentiellement à l’expérience subjective des individus, c’est-à-dire à la façon dont ils perçoivent leurs expériences et aux sentiments qui s’y rattachent.
  • Concept de soi s’élabore en fonction de la perception que la personne a d’elle-même.
  • Authenticité : être le plus possible soi-même.
  • Congruence : correspondance entre l’expérience, la prise de conscience et la communication. Les apprentissages sociaux peuvent être une entrave.

MASLOW:
1.d’Actualisation de soi

  1. cognitif et esthétique
  2. estime
  3. affection et appartenance
  4. sécurité
  5. physiologique
20
Q

critique de l’approche humaniste

A

Points positifs
 Vision positive de l’être humain
 Reconnaît les facteurs internes de la personne (ses émotions, ses valeurs et ses espoirs) et l’influence de l’environnement
 Considère le caractère unique de chaque enfant

Points négatifs
 Concepts peu vérifiables par la méthode scientifique
 Ne distingue pas de stade du développement

21
Q

l’approche écologique

A

dev= interaction entre organisme et environnement

milieu proximal et distal
Proximaux= milieu proche EX : école, prof, milieu dans lequel l’individu est
Distal : commmunauté, commission scolaire

chronosystème = dimension temporelle

Ontosystème= caractéristique individuelles EX : QI valeurs tempérament

4 structures emboîtées les unes dans les autres: microsystème, mésosystème, exosystème et macrosystème.

 Microsystème
Rôle, relation interpersonnels
On en a plusieurs

 Mésosystème
Sytème de microsystème
Liens entre plusieurs environnement dans laquelle la personne se développe (par exemple, les relations qui se tissent entre la famille de l’enfant et l’école)

 Exosystème
Réfère aux structures sociales dans lesquelles l’enfant n’est pas inclut, mais qui affectent ses expériences dans les microsystèmes.
Pas de participation active, mais est tout de même influencé par ce système.
EX: travail des parents. Parent perd sa job sa l’affecte l’enfant de façon indirecte

 Macrosystème
Englobe les micro-, méso-, et exosystèmes d’une société et fait référence à des éléments tels les systèmes de croyances et de valeurs, les normes, les représentations sociales, les styles de vie et les coutumes.
Pas un contexte physique, mais culturel

22
Q

CRITIQUE approche écologique

A

Points positifs
 Grande valeur dans le domaine appliqué.
 Vision dynamique, complexe et changeante du développement
 Vision globale des influences environnementales
Point négatif
 Complexité du modèle.
 Difficulté de vérifier le modèle de manière empirique

23
Q

La génétique et l’hérédité

A

Génétique : peut être définie comme étant la science qui étudie l’hérédité

Hérédité : ensemble des propriétés que les êtres vivants transmettent à leurs descendant avec la reproduction

24
Q
  • Conception préformationniste :
  • Pangenèse
  • Épigenèse ou conception moderne :
A
  • Conception préformationniste : on pensait des niaiseries bébé au complet mais miniature était dans l’ovule spermatozoïde provoquait l’Agrandissement ou allait le porter dans l’utérus
  • Pangenèse : des minis boutes de corps étaient transportés dans le sang jusqu’aux organes sexuels
  • Épigenèse ou conception moderne : découvre gène, on s’apperçoit que certains tissus spécialisés (os muscle neurore etc.) son tpas transmit direct par les cellules sexuelles, mais qu’ils apparaissent progressivement dans le dev du zygote et de l’embryon
25
Q

Les cellules du corps humain

A

2 grandes catégories de cellules dans le corps humain :

1.	Cellules de reproduction (gamètes) :
Contien juste la moitié des chromosomes nécessaires à la formation d’un nouvel organisme ( 23 chromosomes chacune)
L’ovule= gamète femelle
Spermatozoïde= gamète mâle
Se divise par méiose

2, Cellules somatiques ( formation des muscles, des os, les cellules nerveuses etc.)
Se divise par mitose

Zygote= oeuf fécondé
Zygote est formé de 23 chromosomes de la mère et 23 chromosomes du père, il est donc formé de 23 paires de chromosomes

26
Q

génome humain:

Les chromosomes et l’ADN

A

( l’ensemble des informations génétiques propres à un organisme)

ADN : molécule complexe contenant l’information génétique et qui est le principal constituant des chromosomes
ADN à une double hélice
Double hélice est recouverte de protéines et est repliée sur elle-même plusieurs fois pour former une structure compacte : appelé CHROMOSOME

27
Q

détermination du sexe

A

F : 23e paire de chromosome est XX

H : 23e paire de chromosome est XY

28
Q

les gênes

A

Le gène est la fonction qu’il va avoir dans le génome
Il correspond aux sections de la molécule d’ADN qui codent pour une caractéristique observable particulière
Les gènes jouent un rôle déterminant dans la synthèse des molécules nécessaires au développement et à l’entretient des structures de la cellule et de ses activités
La transmission des gènes : par les gènes chaque parent transmet à son kid une série de caractère anatomiques (p. Ex : couleur des yeux, forme du nez etc.)

29
Q

 Caractéristique génétique Homozygote et hétérozygote

A

Homozygote : les deux parents transmettent la même caractère à un enfant ex : yeux bruns. Les deux allèles transmettent donc le même caractère ( BB ou bb )

Hétéroxygote : les deux parents ne transmettent pas la même caractéristique à leur enfant ( m donne yeux bleus et père yeux bruns ex Bb)

30
Q

 Génotype et phénotype

A

Génotype : combinaison génétique qui n’est pas observable mais qui contribue au caractère observable chez kkun

Phénotype : caractère apparent ou observable chez une personne EX : couleur des yeux

31
Q

Principes mendéliens et les remises en question

A

Chez l’hétérozygote le caractère qui se manifeste dans le phénotype est l’allèle dominant
Pour une caractéristique qui se manifeste juste lorsque l’allèle dominant est absent définit l’allèle récessif

Pour qu’un gène récessif se manifeste dans le phénotype la personne doit être homozygote pour ce trait.

Remise en Q :
-Gène modulateurs : découverte de gènes qui peuvent modifier l’effet d’autres gènes sur le phénotype
-Traits polygéniques : plusieurs traits phénotypiques sont le résultats de l’interaction de plusieurs gènes et non pas d’un gène spécifique EX : intelligence couleur de peau
 Plusieurs anomalies génétiques sont dues à des gènes récessifs (réduction de leur transmission).

32
Q
  • Lors de la méiose, la séparation de certains chromosomes humains peut ne pas se faire convenablement et, ainsi créer une anomalie chromosomique à un endroit déterminé.
A
  • Lors de la méiose, la séparation de certains chromosomes humains peut ne pas se faire convenablement et, ainsi créer une anomalie chromosomique à un endroit déterminé.
33
Q

 Trisomie 21

A

Ajout d’un 3ème chromosome sur la 21e paire de chromosomes de l’enfant

34
Q

 Syndrome de Turner

A
  • Ce syndrome s’observe seulement chez les filles.
    Causes et particularités:
  • Absence d’un chromosome sexuel.
  • La fille atteinte ne possède que 45 chromosomes, le 2e X de la 23e paire est absent.
  • XX devient X0.
  • Caractéristiques:
    o Petite taille
    o Doigts courts
    o Malformation possible de la bouche et des oreilles
    o Absence de développement pubertaire (manque d’œstrogène)
    o Capacité intellectuelle normale mais quelques difficultés d’apprentissages peuvent être relevées.
35
Q

 Syndrome de Klinefelter (XXY)

A
  • Ce syndrome s’observe seulement chez les garçons.
    Causes et particularités:
  • Présence d’un chromosome sexuel X surnuméraire chez le garçon.
  • XXY au lieu de XY sur la 23e paire des chromosomes = trisomie sur les chromosomes sexuels.
  • Probabilité du syndrome augmente avec l’âge de la mère.
     Caractéristiques physiques:
    o Ils possèdent des testicules mais sont stériles.
    o Taille plus grande que la normale.
    o Présentent des caractéristiques féminines telles que des sein développés et des hanches arrondies.
     Caractéristiques psychologiques:
    o 25 % présentent un retard mental
    o Introvertis
    o Passifs
    o Timide
    o Manque de confiance en soi
    o Peu de besoins sexuels.
36
Q

syndrome de Jacob

A
  • Ce syndrome s’observe seulement chez les garçons.
    Causes et particularités:
  • Présence d’un chromosome supplémentaire Y sur la 23e paire de chromosomes (XYY au lieu de XY).
  • Ce chromosome supplémentaire vient s’insérer entre les deux chromosomes sexuels.
    Caractéristiques physiques et psychologiques:
  • Taille plus grande que la normale
  • Retard mental
  • Propension à l’agressivité
  • Propension aux comportements antisociaux
37
Q

 Les méthodes d’étude en génétique
Buts et objectifs:

et 3 méthodes d’études

A
  • Évaluer dans quelle mesure les différences phénotypiques qui existent entre les individus sont liées à leurs différences génétiques.
  • Déterminer dans quelle mesure l’environnement influence les caractéristiques phénotypiques.

 Les études familiales: Comparaisons entre divers individus d’une même famille (lien familial).
 Les études de jumeaux: Comparaisons entre jumeaux monozygotes et dizygotes.
 Les études d’adoption: comparaisons entre divers milieux de développement (familial ou adoptif).

Principe de base :
Si l’hérédité joue un rôle dans les caractéristiques phénotypiques et en particulier dans le comportement, on devrait observer eque les indivus avec des génétiques semblables se ressemble plus que ceux qui ont un lien génétique moins semblables

 Les caractéristiques mentales ou comportementales des enfants issus des mêmes parents seraient plus semblables que celles d’enfants de parents différents.
 Les enfants ressemblent davantage à leurs parents qu’à d’autres adultes.
 Les jumeaux identiques (monozygotes) devraient présenter plus de ressemblances que les jumeaux fraternels (dizygotes).

Limite de base des méthodes d’études 1 et 2
 Les études familiales et de jumeaux ne garantissent pas une équivalence entre les environnements dans lesquels grandissent les enfants ciblés par ces études.
• L’environnement où grandissent les enfants d’une même famille est plus semblable que celui des enfants vivants dans des familles différentes.
• L’environnement pourrait alors expliquer les ressemblances entre les enfants et leurs parents.
 Les études d’adoption combinées aux deux autres types d’études (familiales et de jumeaux) permettent de surmonter cette limite

38
Q

Le principe de canalisation

A

utilisa le terme « canalisation » pour référer aux situations où l’’attribut est peu sensible aux influences environnementales.

EX : babillage chez l’enfant environnement à pas rapport la dedans c’est les gène qui font que lesbébé développe le babillage
Contre ex de truc qui sont moins canalisé : intelligence, tempérament, personnalité

39
Q

Le principe de norme de réaction

A

Le principe de norme de réaction

 Le génotype établit un registre de réponses possibles pour l’organisme.
 L’environnement auquel l’individu est exposé viendra préciser où l’individu se situera à l’intérieur de ce registre.
donc:
 Puisque les gens diffèrent génétiquement, deux personnes ne peuvent répondre de la même façon à un environnement particulier.
Nos gènes peuvent inlfuencer le type d’environnement que nous expérimentons

  1. Génotype passif et environnement
    Présupposés:
    L’environnement auquel l’enfant est exposé serait corrélé avec le génotype des parents.
    Exemple: Les parents athlétiques ayant des gènes prédisposant à l’activité physique et favorisant un environnement pour ce type d’activité auront plus de chance d’avoir des enfants sportifs.
  2. Génotype réactif et environnement
     Présupposé:
     Caractéristiques liées au génotype de l’enfant qui suscitent un environnement particulier :
     Le fait de naître avec des gènes spécifiques amènerait l’enfant à avoir certains comportements ou attributs particuliers, qui par la suite entraîneraient diverses réactions de la part de leur entourage.
     Exemple: Les bébés actifs et enjoués seraient plus susceptibles de recevoir de l’attention et une stimulation sociale que les bébés passifs et plutôt grincheux.
  3. Génotype actif et environnement
     Présupposé:
     Les environnements préférés et recherchés par les enfants seraient ceux étant plus compatibles avec leur prédisposition génétique.
     Exemple: Un enfant extraverti aura tendance à inviter des amis à la maison et recherchera les activités sociales alors qu’un enfant plus timide et introverti tentera d’éviter de telles situations et préférera pratiquer certaines activités plus individuelles (ex. dessin).
40
Q

la période germinale

A

De la conception à l’implantation (nidation)

41
Q

4 facteurs qui influent sur la gavité des agents tératogènes :

A

4 facteurs qui influent sur la gavité des agents tératogènes :

  1. Le moment d’exposition (très important)
  2. La dose (l’intensité) à laquelle est exposé le foetus
  3. Son interaction avec d’autres facteurs
  4. La susceptibilité de l’organisme
42
Q

L’attachement Sécurisant

A

L’enfant interagit facilement avec son parent et l’étrangère, est grandement en détresse lorsque son parent quitte la pièce et est pleinement réconforté à son retour.
De 55 à 65% des attachements parent-enfant partout au monde auprès d’études «communautaires».
Il y a différentes sous catégories de sécurité d’attachement

43
Q

L’attachement insécurisant - évitant (A).

A

L’attachement insécurisant - évitant (A).
Pendant la SE, l’enfant porte son attention principalement sur les jouets et/ou l’étrangère. Il n’initie que rarement des interactions avec le parent, même à distance, et ne semblera que peu troublé par son départ. Il tentera de l’éviter de façon évidente lors de son retour.
Environ 25% des attachements dans les pays occidentaux plus au nord ou anglo-saxon.
Québec, Canada, France, USA, RU, Allemagne, Suisse.
Diminue en pourcentage lorsqu’on réalise des études dans le sud de l’Europe, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie.

44
Q

L’attachement insécurisant - ambivalent (C).

A

L’attachement insécurisant - ambivalent (C).
L’enfant manifeste une préoccupation constante à l’égard du parent. Les comportements d’exploration sont moins organisés et l’enfant démontre une méfiance importante à l’égard de l’étrangère. Ces enfants seront en grande détresse au départ du parent et difficilement consolables à son retour. Ils peuvent manifester de la colère intense ou de la passivité marquée lors du retour du parent.
Environ 10% des attachements mais plus importants dans le nord de l’Afrique, Moyen-Orient, sud de l’Europe et Asie.

45
Q

L’attachement insécurisant - désorganisé (D).

A

L’attachement insécurisant - désorganisé (D).
Description datant de 1986 (Main & Solomon).
Durant la situation étrangère, mais surtout lors des épisodes de réunion, l’enfant manifeste des comportements inusité: «crainte» envers sa mère (ex. approche avec tête baissée), colère extrème (ex. frapper mère de façon violente), ambivalence extrème, comportements désorganisé, ne reflétant pas de stratégie cohérente pour gérer la détresse (stilling, freezing, manque de motricité en présence du parent).