Définitions Flashcards

1
Q

Définition de la motivation selon Vallerand & Till (1993)

A

La motivation est le processus qui détermine l’initiation, l’intensité, la direction, et la persistance du comportement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Définition de la motivation selon Kleinginna & Kleinginna (1981)

A

Motivation refers to those energizing/arousing mechanisms with relatively direct access to the final common motor pathways, which have the potential to facilitate and direct some motor circuits while inhibiting others. These mechanisms sometimes may influence sensory input and analysis as well.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Définition de la motivation selon Schunk & Usher (2008)

A

Motivation refers to the process whereby goal-directed activites are energized, directed, and sustained.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Définition de la motivation selon Geen (1995)

A

The basic dimensions of motivation are ”the initiation, intensity, and persistence of behavior.” Motivation refers to a complex process that ”involves three steps :

1) Defining a goal to which the person aspires.
2) Choosing a course of action that leads to attainment of the goal.
3) Carrying out the chosen course of action.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Types de définitions selon Kleinginna & Kleinginna

A
  • large, équilibré
  • processus
  • temporel
  • vecteur
  • fonctionnel, directionnel
  • activateur
  • physiologique
  • phénoménologique
  • sceptique
  • tout compris
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Définition de l’émotion selon Kleinginna & Kleinginna (1981)

A

Emotion is a complex set of interactions among subjective and objective factors, mediated by neural/hormonal systems, which can
(a) give rise to affective experiences such as feelings of arousal, pleasure/displeasure ;
(b) generate cogntive rpocesses such as emotionally relevant perceptual effects, appraisals, labeling processes ;
(c) activate widespread physiological adjustments to the arousing conditions ;
and (d) lead to behavior that is often, but not always, expressive, goal-directed, and adaptive.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Définition de l’émotion selon Sherer (2005)

A

Emotion is an episode of interrelated, synchronized changes in the states of all or most of the five organismic subsystems in response to the evaluation of an external or internal stimulus event as relevant to major concerns of the organism.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Définition de l’émotion selon James (1890)

A

“My theory … is that bodily changes follow directly the perception of the exciting fact, and that our feeling of the same changes as they occur IS the emotion.”

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Définition de l’émotion selon LeDoux (1994)

A

Emotions are ”affectively charged, subjectively experienced states of awareness”

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Définition de l’émotion selon Frijda (1994)

A

Emotions are ”changes in action readiness” including changes in activation, attentional arousal, action tendencies, desires, and enjoyments.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Russel & Feldman Barrett (1999) affect de base

A

Affect de base (« core affect ») :

  • Le sentiment de base conscient qui n’a pas besoin d’être dirigé vers un objet.
  • L’individu est toujours dans un certain état d’affect de base.
  • Les dimension principales sont plaisir et activation.
  • Les exemples sont l’humeur et les sentiments d’agréabilité, de tension et de dysphorie.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Russel & Feldman Barrett (1999) épisode émotionnel prototypique

A

L’épisode émotionel prototypique /« prototypical
emotional episode »)
- Un set d’événements qui concernent un objet spécifique.
- L’objet peut être une personne, une condition, un événement, ou une chose.
- L’objet peut être imaginé, réel, passé, actuel, ou futur.
- L’épisode émotionel prototypique comporte un affect de base, un comportement ouvert lié à l’objet, l’attention dirigée vers l’objet, l’évaluation de l’objet, des attributions, l’expérience consciente d’avoir une émotion spécifique et des changements corporels.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Schwarz & Clore (1996) – L’affect, l’humeur et l’émotion

A
  • Le terme affect fait référence à la valence (vécue) des objets (c’est-à-dire, dans quelle mesure quelque chose est positif ou négatif.
  • Les humeurs sont des états affectifs dont ni l’objet ni la cause ne sont connus.
  • Les humeurs sont des sentiments isolés du contexte en eux-mêmes (p.ex. l’euphorie, la dépression).
  • Les émotions sont des états complexes qui comportent des vécus affectifs.
  • Contrairement aux humeurs, les émotions sont spécifiques et connectées à un objet (p.ex. la peur d’un chien).
  • Les expériences cognitives sont des sentiments qui se réfèrent à l’état de la connaissance et au processus de traitement des informations (p.ex. familiarité, confiance et reconnaissance, fluidité, non-familiarité, difficulté de rappel, surprise.)
  • Les expériences corporelles informent de l’état de l’organisme (p.ex. faim, soif,
    douleur, excitation, intuition).
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Rôle adaptatif de l’émotion. Hypothèse de la désorganisation

A

Les émotions perturbent l’adaptation efficace et entraînent des dérapages et des actes manqués.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Rôle adaptatif de l’émotion. Hypothèse de la fonctionnalité

A

Les émotions facilitent une adaptation rapide, relativement flexible et efficace aux demandes de l’environnement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Hebb (1955) – L’émotion, l’excitation corticale et la performance

A
  • Le niveau de l’excitation corticale entraîne des effets au niveau de la conscience, de l’affectivité et de la performance.
  • Une excitation modérée (dans la gamme de fréquence bêta) est le niveau optimal pour l’apprentissage et les comportements instrumentaux.
  • Les émotions négatives sont associées à une excitation corticale très élevée.
  • Les émotions négatives « désorganisent » le
    comportement.
17
Q

Spielberger et al. (1972) – L’anxiété diminue la performance

A
  • VI : Anxiété dispositionnelle élevée vs. basse (questionnaire STAI) ; manipulation de la difficulté d’une tâche de résolution de problèmes cognitifs.
  • VD : Nombre d’erreurs dans la tâche.
  • Résultats : Les individus avec un niveau élevé d’anxiété dispositionnelle ont fait plus d’erreurs si la tâche était difficile.
18
Q

Spielberger & Smith (1966) – L’anxiété améliore la performance

A

VI : Anxiété dispositionnelle élevée vs. basse (questionnaire « Manifest Anxiety Scale ») ; manipulation de la difficulté d’une tâche mnésique.

VD : nombre de réponses correctes.

Tâche : Mémorisation d’une liste de syllabes qui est soit facile, soit difficile à mémoriser.

Hypothèse : L’anxiété élevée entrave l’apprentissage des syllabes difficiles lors des premiers blocs (habitude faible), mais facilite l’apprentissage plus tard quand les syllabes sont bien apprises (habitude forte).