Définition Flashcards

1
Q

Neuromythe

A

Croyance erronée sur le fonctionnement du cerveau humain.

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2
Q

Aphasie vs dysphasie

A

La dysphasie est un trouble de la communication verbale qui affecte l’expression ou la compréhension des mots et dans certains cas, les deux à la fois (atteintes aux niveaux réceptifs et expressifs). Les causes de la dysphasie sont principalement génétiques.
L’aphasie est caractérisée par une perte totale ou partielle de l’usage de la parole ou de la compréhension du langage parlé ou écrit. L’aphasie survient à la suite d’un traumatisme et peut être acquise même si une personne n’a jamais eu de trouble du langage auparavant.

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3
Q

Synesthésie

A

C’est un phénomène neurologique qui donne des sensations supplémentaires lorsque l’on perçoit des choses. La perception d’un sens conduit à la perception d’une autre modalité sensorielle (un stimulus peut générer plusieurs sensations). Par exemple, la personne peut goûter une forme, entendre une photo, etc.

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4
Q

Hémiplégie

A

Paralysie d’une ou de plusieurs parties du corps d’un seul côté. Elle peut concerner une ou plusieurs parties du corps en même temps (principalement du même côté du corps). L’hémiplégie peut être spasmodique (les muscles atteints sont raidis) ou flasques (les muscles sont mous et affaiblis).

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5
Q

Paraplégie

A

La paralysie plus ou moins complète des deux membres inférieurs et de la partie basse du tronc.

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6
Q

Tétraplégie

A

Paralysie des quatre membres inférieurs et supérieurs causée par une lésion à la moelle épinière.

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7
Q

Maturité cérébrale

A
  • Elle commence à se développer à partir de la conception et se poursuit à la naissance.
  • À partir de 3 ans, l’hippocampe permet la formation de souvenirs puisqu’il est à maturité.
  • À 7 ans, les enfants commencent à avoir une plus grande capacité d’attention, car les axones sont recouverts de myélines.
  • Entre 6 et 13 ans, des modifications sont faites dans les régions qui interviennent dans le langage et la compréhension des relations spatiales (liés au développement intellectuel et social).
  • À l’adolescence, les lobes pariétal et temporal arrivent à maturité tandis que le lobe frontal se développe toujours (expliquerait l’impulsivité et les décisions hasardeuses).
  • À 30 ans, le cortex préfrontal est bien développé et permet d’améliorer les fonctions exécutives.
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8
Q

Spécialisation hémisphérique

A

Chaque partie de l’hémisphère a des compétences plus marquées tels que le langage qui est plus de l’ordre de l’hémisphère gauche.

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9
Q

Plasticité neuronale

A

C’est la capacité des tissus nerveux à défaire et à recréer des connexions neuronales en fonction de l’utilisation que l’individu fait de ces connexions (à tous les âges, il y a une plasticité cérébrale).

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10
Q

Héminégligence

A

Atteinte dans la partie pariétale de l’hémisphère droit, c’est un trouble de l’orientation de l’attention visuo-spatial.

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11
Q

Prosopagnosie

A

C’est un trouble de la reconnaissance des visages. C’est l’incapacité à reconnaitre les visages. La majorité des personnes qui sont atteintes, les sont depuis la naissance, mais il peut arriver de développer cette atteinte après un accident vasculaire cérébral ou un traumatisme crânien. La personne est donc en mesure de voir tous les détails du visage mais pas le visage dans l’ensemble. Il existe également deux types d’atteinte soit l’incapacité à reconnaitre les visages ou les parties du corps.

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12
Q

Fonctions cognitives

A

Ce sont les capacités de notre cerveau qui nous permettent de communiquer, de percevoir notre environnement, de nous concentrer, de nous souvenir d’un évènement ou encore d’emmagasiner des connaissances. Les fonctions cognitives comprennent les fonctions intellectuelles, perceptuelles, le langage, les praxies, l’attention, la mémoire et les fonctions exécutives.

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13
Q

Fonctions intellectuelles

A

Elles sont un ensemble d’habiletés qui comprennent les compétences verbales, non-verbales, les aspects de la mémoire de travail ainsi que la vitesse de traitement de l’information et d’exécution. On peut mesurer ces fonctions avec le QI.

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14
Q

Quadranopsie

A

Absence de vision sur un quart du champ visuel.

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15
Q

Fonction exécutive (Flexibilité)

A
  • Fonction cognitive étant étroitement liée à la métacognition. Ce dernier terme fait référence au fait d’agir en prenant conscience de sa propre démarche pour s’ouvrir et s’enrichir de celles des autres.
  • La flexibilité fait aussi référence à un ensemble d’habiletés qui permettent de changer sa façon de penser ou d’agir afin de percevoir adéquatement différentes situations et de répondre ensuite à ces situations de façon appropriée.
  • Elle se manifeste autant dans la façon de recevoir l’information que dans la manière d’exprimer ses idées et de s’adapter aux exigences et aux situations nouvelles. La fluidité se manifeste par la capacité de passer d’une modalité de traitement à une autre de façon fluide et rapide (par exemple, effectuer facilement une transition d’une activité à une autre, tolérer les changements qui peuvent survenir durant la résolution d’un problème ou lors de la réalisation d’une tâche, etc.).
  • Elle est déficitaire chez les élèves qui ont des difficultés à gérer leurs apprentissages. En effet, ils ont tendance à répéter continuellement les mêmes actions ou stratégies non productives, à mal gérer les déceptions qui surviennent lors d’une activité, etc.
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16
Q

Fonction exécutive (régulation des émotions)

A
  • C’est la capacité de développer des stratégies permettant de contrôler nos émotions. Les stratégies développées peuvent accroitre, maintenir ou réduire les réactions physiologiques.
  • 4 composantes sont nécessaires à la régulation des émotions. Tout d’abord, l’individu doit reconnaitre et nommer les signes corporels et comportementaux dus à ses émotions. Cela lui permettra d’anticiper ses réactions émotionnelles. Par la suite, l’individu pourra comprendre celles-ci dans certains contextes et faire des liens entre ses émotions, ses pensées et ses réactions. À cette étape, l’individu commence à développer certaines stratégies de gestion émotionnelle. Ensuite, il sera capable de mesurer l’intensité de la réaction de ses émotions dans le but de les nuancer selon la situation. Finalement, après l’acquisition des trois composantes précédentes l’individu pourra sélectionner et appliquer les bonnes stratégies afin de gérer adéquatement ses émotions selon le contexte.
  • De plus, il existe trois moments de l’autorégulation soit au moment de l’input sensoriel (réception du stimulus), au moment du traitement cognitif (traitement sur le plan cérébral) et au moment de l’expression des émotions et des comportements associés (réponse de l’organisme). -Il y a également 4 sphères de développement : sensorielle, socio-affective, motrice et cognitive.
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17
Q

Fonction exécutive (mémoire de travail)

A
  • C’est une mémoire dynamique qui fait le lien entre les informations sensorielles et ce que nous emmagasinons dans la mémoire à long terme.
  • De plus, cette fonction sert au traitement de l’information et à la rétention de données sur une courte période (elle est fragile, car elle peut être perturbée sir nous sommes déconcentrés et elle garde les informations pendant 20 secondes s’il n’y a pas de répétition).
  • Elle choisit aussi ce qui va être encodé et s’occupe d’aller chercher des informations dans la mémoire à long terme. La mémoire de travail joue un rôle central dans les apprentissages scolaires et elle est exploitée de concert avec l’inhibition et la planification.
  • Cette dernière comprend également trois composantes : l’administrateur central (contrôle l’ensemble du système de mémoire de travail et est responsable du traitement de l’information), la boucle phonologique (s’occupe du contenu verbal, par exemple retenir une consigne) et la tablette visuo-spatiale (s’occupe du matériel visuel, par exemple la forme d’une image ou les traits d’un visage).
  • Ce type de mémoire se développe également selon un processus complexe, car le développement est subordonné à la maturation du système cognitif et au développement du répertoire de stratégies.
  • Son efficacité dépend de la qualité de l’archivage des connaissances sémantiques ou procédurales. Elle influence donc les fonctions cognitives mais subit les contraintes de ces fonctions.
  • Par ailleurs, une faible mémoire de travail peut entrainer diverses conséquences dont l’oublie des consignes verbales ou les tâches à exécuter à l’intérieure d’un délai très court.
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18
Q

Fonction exécutive (planification et organisation)

A
  • La planification c’est la volonté d’une personne à atteindre un but à l’aide d’actions et de stratégies qui ont été privilégiées. Elle comprend les habiletés suivantes : prévoir, placer en ordre les étapes d’exécutions, estimer le temps d’une réalisation et contrôler l’activité cognitive.
  • L’organisation est la capacité à classer de l’information selon des critères précis qui amène à une gestion efficace de la mémoire. L’organisation comprend les habiletés suivantes : catégoriser, hiérarchiser et organiser ses connaissances.
  • La planification et l’organisation sont étroitement liés, car lorsqu’on planifie, on construit nos stratégies ou étapes à suivre en fonction d’un but. Pour y arriver, les étapes ou les stratégies doivent être classées de façon logique selon les critères précis (exemple l’activité du voyage).
  • Diverses répercussions peuvent survenir dans les apprentissages de l’élève comme la difficulté à catégoriser et à classifier, la difficulté à établir des liens entre les informations, la difficulté à gérer son temps, etc.
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19
Q

Praxies

A

La coordination volontaire des mouvements orientés vers un but. Le mouvement est donc la résultante d’un apprentissage et non d’un réflexe ou d’une simple maturation motrice. Également, l’intention doit être consciente et dirigée. Bouger est une activité motrice alors qu’agir sur son environnement par le biais d’une activité motrice (les gestes), relève des praxies.

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20
Q

Vitesse de traitement de l’information

A

Capacité d’exécuter rapidement et efficacement des tâches cognitives ou des perceptions simples (rythme auquel les différentes opérations mentales sont déclenchées et exécutées).

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21
Q

Gnosies

A

Capacité qui permet de reconnaître, de percevoir, grâce à l’utilisation de l’un des sens (toucher, vue etc.), la forme d’un objet, de se le représenter et de connaitre sa signification.

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22
Q

Trouble dysexécutif

A

Le système exécutif sous-tend l’activité de planification, supervision et gestion de la pensée et des conduites. Le syndrome dysexécutif indique un mauvais fonctionnement de ce système. Par conséquent, les enfants peuvent présenter un excès (manque d’initiative) ou un défaut d’inhibition (persévération et impulsivité), des troubles de stratégie et des problèmes en mémoire de travail.

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23
Q

Alerte

A

État d’éveil qui correspond à une mobilisation énergétique minimale de l’organisme qui permet au système nerveux d’être réceptif à toute information.

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24
Q

Alerte phasique

A

Permet à l’organisme de se préparer à répondre dès qu’il en est informé par un stimulus avertisseur.

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25
Q

Alerte tonique

A

Qualifie l’état physiologique propre à un individu selon le moment de la journée. Cet état dépend de nos rythmes de veille et de sommeil, mais aussi des rythmes circadiens variant d’une personne à l’autre (une peut être plus productive le matin et l’autre le soir).

26
Q

Attention soutenue

A

Mobilisation durable des ressources attentionnelles. L’attention soutenue dépasse l’état d’alerte en amenant le sujet à orienter intentionnellement vers une ou plusieurs sources d’information et à maintenir cet intérêt pendant une longue période. L’attention soutenue permet également de réagir à des changements.

27
Q

Vigilance

A

État de préparation à détecter et réagir à certains changements discrets apparaissant à des intervalles de temps variables au sein de l’environnement. La vigilance est une forme d’attention soutenue, car c’est un état d’alerte continu sur de plus longues périodes de temps.

28
Q

Fonctions langagières

A

Ensemble de moyens langagiers utilisés qui permettent de communiquer dans une situation donnée.

29
Q

Fonction exécutive (activation)

A

L’activation amorce toute activité intentionnelle. C’est une mobilisation de l’énergie cognitive qui permet le démarrage et le maintien en action.

30
Q

Fonction exécutive (inhibition et impulsivité)

A

Elle est la première étape dans l’autocontrôle parce qu’elle donne à l’élève le pouvoir de répondre ou de ne pas répondre à la personne ou à la situation qu’il vit. Elle permet de contrôler son activité cognitive et physique, d’anticiper les conséquences potentielles de ses comportements ou du type de réponse attendue. Elle permet à l’élève de résister ou de filtrer une distraction, de résister aux pièges (contrôle de l’action cognitive vers l’objectif), de résister aux impulsions.

31
Q

Attention sélective

A

Trier les informations disponibles dans le but de ne retenir et de ne traiter que celles qui soient pertinentes pour l’activité en cours en inhibant la réponse aux autres stimulis présentés

32
Q

Attention divisée ou partagée

A

Habileté requise pour partager une attention sélective entre deux ou plusieurs sources distinctes, tout en détectant des stimuli qui peuvent appartenir à l’une ou aux deux sources simultanément

33
Q

Empan

A

Nombre de chiffres rappelés dans l’ordre (p.67). Quantité d’éléments d’informations pouvant être appréhendées d’un seul coup, donc sans répétition ni intervention d’une stratégie de mémorisation

34
Q

Mémoire déclarative vs mémoire non-déclarative

A

Ensemble des représentations des connaissances générales et spécifiques d’un individu (p.135). Inclus la mémoire à court terme, la mémoire sémantique et la mémoire épisodique.
VS mémoire non-déclarative : inclue la mémoire procédurale (acquisitions des habiletés motrices, perceptivo-motrices et cognitives), le conditionnement classique. Rassemble d’une manière implicite ou inconsciente les informations.

35
Q

Mémoire épisodique

A

Permet la rétention des événements récents ou plus anciens en les reliant aux événements passés ou aux expériences personnelles de l’individu. Elle est de nature subjective et contextuelle.

36
Q

Mémoire sémantique

A

Contient le répertoire des connaissances acquises de nature langagière, à un niveau tant phonologique que lexical ou conceptuel. Son contenu est donc abstrait et rationnel. Son rappel s’effectue à partir des codes lexical et grammatico-syntaxique de la langue du sujet. C’est à travers elle que celui-ci peut évoquer les caractéristiques associatives et fonctionnelles des mots.

37
Q

Mémoire procédurale

A

Requise chaque fois que le sujet doit exécuter un geste complexe lors d’une activité qui fait appel à certaines habiletés perceptivo-motrices et cognitives (comme faire de la bicyclette ou nager).

38
Q

Apprentissage intentionnel

A

Exercer un long travail volontaire et spécifique, dans le but de mettre en mémoire toutes les connaissances qui nous sont prodiguées. Ce travail nécessite généralement de fréquentes répétitions, la constitution de résumés ou de schémas et de nombreuses réactivations par des révisions pouvant s’étaler sur plusieurs mois ou années.

39
Q

Apprentissage incidentel

A

La plupart des traces mnésiques résultent d’un apprentissage incidentel à partir des expériences de la vie quotidienne.

40
Q

Mémoire explicite vs mémoire implicite

A

mise en jeu lors du rappel volontaire et conscient de l’information. (p.134-135).
VS mémoire implicite : Observée lorsque l’exécution de la tâche est facilitée par les expériences préalables du sujet, sans qu’il y ait récupération consciente ou intentionnelle des souvenirs. Il s’agirait donc d’une mémoire automatique et indépendante des processus d’élaboration de la trace mnésique (p.135).

41
Q

Comportements de persévération

A

3 types de persévération motrice : 1. L’inertie pathologique d’un mouvement préalablement initié, le patient ne pouvant s’empêcher de reproduire de façon répétitive la séquence motrice déjà exécutée. 2. Certains patients sont incapables d’alterner d’une série d’actions motrices et une autre ou de passer d’une action à une autre. 3. Des persévérations apparaissent également dans des situations complexes où le patient devrait inhiber des automatismes mais utilise plutôt un programme moteur plus élémentaire qui se répète de façon stéréotypée.

42
Q

Dyspraxie

A

Trouble de coordination motrice ou visuo-motrice (p.20). Trouble de la coordination développementale. Ce trouble entraîne une altération marquée dans le développement de la coordination motrice et peut être diagnostiqué seulement si cette altération nuit significativement à la réussite académique ou aux activités quotidiennes sans être tributaire d’une autre condition médicale.

43
Q

TDA

A

Présente souvent une lenteur excessive tant dans l’idéation que dans l’exécution. Ils ne manifestent aucune ni des conduites impulsives, ni d’agitation motrice. Nette sensibilité à l’interférence (stimulis), difficulté majeure à se mettre à la tâche, difficulté marquée à sélectionner l’information pertinente et à répartir leurs ressources attentionnelles entre 2 tâches, tendance à être désorganisés.

44
Q

TDAH

A

Prédominance d’impulsivité et d’hyperactivité, prédominance d’inattention ou prédominance d’impulsivité/hyperactivité avec inattention.

45
Q

Mémoire prospective

A

Est-ce que je vais me souvenir d’aller chercher du lait à l’épicerie tantôt? La mémoire prospective se définit comme la mémoire des évènements futurs

46
Q

Mémoire rétrospective

A

Qu’est ce que j’ai fait hier? La mémoire rétrospective se définit comme la mémoire des évènements passés

47
Q

Mémoire de la source

A

Quand je suis capable de dire où et quand? (Fait partie de la mémoire épisodique. La mémoire de source constitue l’ensemble des processus cognitifs impliqués dans la reconnaissance de l’origine de l’information et participe de ce fait au fonctionnement adapté dans la vie quotidienne

48
Q

Effet de récence

A

Est la tendance normale à se souvenir plus facilement des dernières informations auxquelles un individu a été confronté.

49
Q

Effet de primauté

A

Contraire de l’effet de récence. De multiples expériences ont montré que lors de la mémorisation d’une longue liste de mots, l’être humain a plus de facilité à se souvenir des mots du début ou de la fin que de ceux du milieu.

50
Q

Rappel libre

A

[les listes de mots à se souvenir] je suis capable seule. Dans un test de rappel libre, le sujet est invité à évoquer des souvenirs dans n’importe quel ordre.

51
Q

Rappel indicé

A

[la bonne réponse commence par A ou c’est un jouet, etc.] Au cas où le patient ne peut relire les mots de la liste, il faut donner un indice à la personne qui tente de retrouver les mots appris auparavant. Par exemple si on prend le mot chaise il faut par exemple lui dire qu’il s’agit d’un siège. Ce type d’aide porte le nom, en neuropsychologie, de rappel indicé.

52
Q

Reconnaissance

A

[chaque fois qu’il y avait un mot de la liste de tantôt dans le texte dit le moi] Dans cette situation, le sujet ne doit plus simplement rappeler le matériel qu’on lui a présenté, mais le reconnaitre comme ayant déjà été vu lors d’une séquence antérieure et prédéfinie par l’expérimentateur. L’activité de reconnaissance est donc la capacité pour un sujet de savoir si un évènement observé maintenant appartient ou non à une séquence d’évènements particuliers spécifiés, s’étant produits antérieurement.

53
Q

Encodage

A

L’encodage est la capacité d’acquérir de nouvelles informations en provenance de nos sens : la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat et le gout. Ces informations sensorielles sont alors traitées pour être mises en mémoire, c’est l’encodage.

54
Q

Consolidation

A

Cette deuxième étape qui fait appel à la consolidation reprendrait les ment mises en place par l’encodage afin de les consolider pour tenter de les garder en mémoire c’est-à-dire sur une très longue période de la vie d’un individu.

55
Q

Récupération

A

La récupération se réfère au processus qui permet à une information d’être extraite de la mémoire à long terme. Cette troisième étape permet en théorie de se souvenir d’évènements qui étaient en attente dans le cerveau.

56
Q

Neuropsychologie

A

Vise la compréhension et l’évaluation de la relation entre le fonctionnement du cerveau et le comportement

57
Q

Évaluation de la neuropsychologie

A

étapes : 1 — entrevue avec les parents (bien cerner le motif de la demande, Histoire de l’enfant (anamnèse)
2— Évaluation de l’enfant (Observation du comportement de l’enfant, Évaluation à l’aide de tests psychométriques)
3 — Production d’un rapport avec recommandations (Rencontre avec les parents pour expliquer les résultats et les recommandations, peut participer au plan d’intervention ou transmettre les résultats à d’autres professionnels avec l’autorisation écrite des parents ou du jeune (si le jeune a 14 ans et plus))

58
Q

Testing des limites

A

Sert à enrichir la compréhension de la problématique on peut faire un testing des limites. Il s’agit de continuer le test dans des épreuves plus difficiles pour vérifier si le sujet peut réussir des items plus difficile. Si le sujet réussit, cela peut suggérer des difficultés attentionnelles, de l’anxiété, une lenteur d’adaptation à la tâche ou de la rigidité cognitive. Ce testing des limites est particulièrement intéressant lorsque l’examinateur soupçonne une difficulté spécifique chez l’enfant ou que l’enfant donne un rendement inférieur à ce qui est attendu, compte tenu de son potentiel.

59
Q

Fonctions perceptuelles

A

C’est ce qui permet à une personne de percevoir son environnement. Fonctions mentales spécifiques de reconnaissance et d’interprétation des stimulus sensoriels. Inclusions : fonctions de perception auditive, visuelle, olfactive, gustative, tactile et visuospatiale; perceptions comme l’hallucination ou l’illusion.

60
Q

Fonctions sensorielles

A

Fait référence aux 5 sens.

61
Q

Fonctions motrices

A

Les fonctions motrices sont les fonctions qui assurent le mouvement. Les fonctions visuomotrices permettent de reproduire des mouvements perçus visuellement.

62
Q

Fonctions visuospatiale

A

Fait référence à la capacité à comprendre les relations entre les objets dans l’espace, à copier un modèle. Ex. : est-ce que l’enfant est capable de juger de l’orientation d’une ligne? Est-ce que l’enfant est capable de copier une figure géométrique en 2D ou 3D…