DEFICIENCES MENTALES ET ESTIME DE SOI Flashcards
Prévalence déficiences mentales et handicap
- Déficiences mentales : 650 000 personnes
- Enfants qui naissent avec un handicap mental : 6 000
Loi de février 2005
demande à ce qu’il y’ai accès aux droits fondamentaux donc accès au travail, pas de refus possible au niveau du travail, ce qui est une avancée majeure pour l’époque
TOUT les clubs sportifs doivent permettre l’accessibilité à la pratique sportive. Tous les gymnases doivent être au norme (toilettes, douches et rampes d’escalier)
INSERM 2016
en France, on parlera de déficience légère moyenne et sévère.
Légère et moyenne : entre 2 et 4% et sévère : 2% en France.
DAVIDSON ET MCCABE 2006
L’estime soi corporelle chez les personnes déficiente à tendance à être bas car ils sont très insatisfait de leurs physiques
MAIANO 2004
Test d’estime de soi global, il va démontrer que les enfant comme les ado on tune faible estime de soi globale
L’EGS FAMOSE 2005
L’estime de soi c’est la variable qui permet de s’engager dans l’activité physique.
L’ECUYER 1978 :
la définition de l’estime de soi selon lui –> c’est une appréciation de notre valeur personnelle
Le prof d’APA à également un rôle de régularité émotionnel car l’enfant estime que certaines choses sont bien alors qu’elles ne le sont pas.
ANDRE 2008, 3 composantes de l’estime de soi :
1) Comportementale (agir, lié à l’action, la valeur prédictive de nos succès ou échecs)
2) Cognitive (la façon de juger, évaluer)
3) Emotionnelle (en lien très fort avec les émotions, les humeurs, très dépendante de ce qui se passe dans l’environnement)
Définition de l’image corporelle
C’est le résultat d’une activité psychique des individus face à des déterministes biologiques (le corps réel) et les déterminismes sociaux (le corps perçu par autrui). Elle a pour fonction d’être protectrice, stabilisatrice et adaptative.
Etude de 1995 BLUECHARDT, WIENER et SHEPHARD et FERNHALL, TYMESON et WEBSTER en 1998
jeunes en IME comparés à des ados ordinaires, elle va démontrer que les ados dm avaient des scores sur l’apparence physique plus élevés et des scores sur leurs compétences sportives plus élevés que des ados ordinaires. Par contre les ados déficients étaient capables de se dire qu’ils n’étaient pas en bonne capacité physique car sédentarité.
SEIDAH, BOUFFARD et VEZEAU 2004
Une fille ordinaire pendant toute sa phase de collège (de 11 à 16ans), elle a tendance à avoir une estime de soi instable (qui penche vers le bas) cependant elle augmente en 1ère et terminale. Acceptation du corps ; Les garçons ont une sur estime d’eux pendant tout le collège et ont un décalage au moment de la puberté. Ils vont plutôt douter au lycée et à l’université. Les filles et les garçons n’évaluent pas de la même façon au niveau de l’estime de soi.
CHOUINARD, VEZEAU, BOUFFARD et JENKINS 1999
Dans le milieu sportif, les garçons on tendance à sur estimer leurs performances
BOLOGNINI et AL 1996
Les filles sont plus critiques dans leur évaluation d’elles-mêmes que les garçons.
Les femmes sont dans les stéréotypes de la société donc plus poussés par leurs parents. Payés moins, avoir des enfants. Toujours dans le stéréotype qui dit qu’un homme n’a pas besoin de travailler pour être intelligent. Les mamans passent plus de temps à bien habiller les filles que les garçons.
Etude en 2011 BEGARIE.J, MAIANOC.C et NINOT.G
Chercheurs en Staps à Marseille –> 353 ado de 12 à 18 ans filles comme garçons, le poids, la taille à été étudié, test de l’estime de soi global. Ils constatent de façon général que le score de l’estime de soi et de l’apparence physique chez les enfants déficients est plus bas
La notion de déficience selon l’OMS
Aptitude diminuée à faire face à toute situation de manière indépendante (quel que soit l’environnement dans lequel je suis, je n’arrive pas à faire face). Pathologie qui commence avant l’âge adulte et peut avoir des conséquences durables sur le développement