Cycle sexuel des espèces saisonnées Flashcards
Qu’est ce qui est le centre de la reproduction
hypothalamus
que cible la gnrh ?
hypophyse antérieure et le placenta : hormones gonadotropes hypophysaires : LH +++ et FSH +
qu’intègre l’hypothalamus ?
les signaux endogènes et la photopériode
autre nom de GnRH
gonadolibérine
puberté
le moment où une ovulation accompagnée de manifestation comportementale de chaleurs est suivie d’une phase lutéale de durée normale
par quoi est produit la GnRH ?
hypothalamus
structure GnRH
10 acides aminés très conservés entre les espèces par clivage successifs à partir d’une prohormone de 92 aa
La GnRH produit elle une réaction immunitaire si injectée ?
non
comment le veto optimise le GnRH ?
analogues structuraux modifiés : GnRH like
ex de GnRH like
desloréines, 9 aa :
affinité fois 7
Puisssance supérieure à 100 = effet flair up initial
peut on produire des anticorps anti GnRH expérimentalement ?
oui: modification du peptide = immunogénicité et absence de fixation sur le récepteur
immunocastration chez le porc male
permet une production d’anticorps anti-GnRH en 5 semaines
sécrétion de gnrh
pulsative tonique d’amplitude faible chez le male et la femelle :
- libération basique de FSH et LH
- modulée par :
un feed-back négatif par les hormones gonadiques
les hormones du métabolisme
la mélatonine pour les espèces saisonnières
chez la femelle, une sécrétion de GnRH
pulsatile tonique d’amplitude élevée
➔provoque le pic préovulatoire de LH
➔induite par :
pulsatile phasique, d’amplitude élevée
▪ le contexte hormonal préovulatoire (ovulation spontanée)
▪ un réflexe neurohumoral (ovulation provoquée)
sécrétions de LH selon deux modes
tonique en fin de phase folliculaire
phasique en pic préovulatoire
sécrétion tonique de GnRH
• sécrétion pulsatile :
toutes les 90 minutes faible amplitude
cible les cellules gonadotropes
• Libération de la LH (et FSH)
• Modulation de la sécrétion
annuelle, individuelle
par désensibilisation
maitrise, anticancéreux
• uniquement chez la femelle
GnRH : action sur les cellules gonadotropes antéhypophysaire
➢Les ¢ gonadotropes expriment le récepteur à la GnRH : GnRH-R
▪ Synthétisées par les mêmes ¢ appelées cellules gonadotropes
▪ Hormones gonadotropes = glycoprotéines hétérodimériques
▪ Sous-unité a commune avec la TSH et l’hCG : Gp1a
GnRH : action sur les cellules placentaire
❖ Production d’hormones gonadotropes extrahypophysaires
➢Chez la femme : hCG human chorionic gonadotropin
➢Chez la jument : eCG equine chorionic gonadotropin
h ecG a une action
LH ou FSH like
hormones gonadotropes hypophysaires sont produites par … et ciblent les
les cellules gonadotropes adénohypophysaire
cellules gonadiques
LH
hormone lutéinisante
➢hormone stéroïdogène (1 à 2 ng/mL)→synthèse de P4 et des androgènes
➢hormone de l’ovulation (pic 20-80 ng/mL)
➢hormone lutéinisante (mise en place CJ, phase de métœstrus)
➢facteur lutéotrope (maintien CJ, phase de diœstrus et début de gestation)
FSH
hormone de la folliculogenèse
➢hormone du développement lent des follicules à antrum
➢hormone du développement rapide des follicules (recrutement et sélection)
➢hormone stéroïdogène qui permet la synthèse des œstrogènes (via la CYP19)
variation de FSH et csq
1- hausse → recrutement folliculaire (diamètre ≥ 3mm)
2- chute → sélection folliculaire (diamètre ≥ 5mm)
Les hormones gonadotropes
❖ Sécrétion spécifique lors du cycle
➢Un seul pic de LH en fin de cycle (préovulatoire)
➢Au moins un pic supplémentaire de FSH
▪Un nouveau pic à chaque début de vague folliculaire
le GnRH agit sur combien de cellules combien de récepteurs pour produire combien d’hormones ?
meme cellule meme récepteur deux hormones différentes
profil de sécrétions des hormones gonadotropes
découplé :
tonique et phasique
mécanisme complexe pour sécrétion spécifique des hormones lors du cycle
contrôle transcriptionnel des genes FSHbeta et LHbeta
modification post traduction elle
GnRH début de la sécrétion
tonique :
voie gnrh, Galphaq —> signalisation de Ca2+
voies GnRHR, EGFR et TGFbetaR (activine) en synergie
(activation de la voie Activine / SMAD3 —> FSH+++) (phosphorylation de facteurs de transcription et libération basique de FSH et LH)
(phosphorylation EGF dépendante de facteurs de transcription —> FSH ++)
(sécrétion de FSH et LH par exocytose induite par le calcium)
Milieu de la sécrétion tonique
voies GnRHR et EGFR (déclin de la voie TGFβR)
—> inhibition de la voie SMAD3 par inhibine, compétitrice de l’activante —> FSH +
pendant la sécrétion phasique
voie GnRHR et GaS ➔ AMPC-PKA-CREB ConcentrationGnRH-R ➔ désensibilisation voie Ca2+ ➔ LHβ privilégiée
Bilan transcriptionnel lors de la sécrétion tonique : recrutement
GnRH :
» Excédentaire pour Gp1a
» Production soutenue pour FSHß
» Production basale pour LHß
Bilan transcriptionnel lors de la sécrétion tonique : + tardive = sélection
» Excédentaire pour Gp1a
» Production basale pour FSHß, réduite par l’inhibine
» Production basale pour LHß
Bilan transcriptionnel lors de la sécrétion phasique
» Excédentaire (non limitant) de Gp1a
» Production basale de FSHß (feedback négatif de l’inhibine)
» Production soutenue de LHß (4 éléments de réponse SRF ➔ EGR1+++)
qu’induit la phase tonique et phasique au final
tonique : LH basale et FSH +++ : vagues folliculaire
phasique : FSH+ et LH+++ : pic de LH préovulatoire
❖ Application : injection d’un analogue de la GnRH
➢Équivalent d’une sécrétion phasique ample
➢ Stimulation de la voie GaS ➔ pic de LH et déclenchement de l’ovulation
▪ exemple de la buséréline (Receptal® - Porceptal®)
schéma des hormones gonadotropes bleu
hCG
hormone gonadotrope placentaire humaine
❖ Dérivée du même gène que celui codant la LHß
❖ Fonction proche, LH-like
➢physiologiquement :
▪ facteur lutéotrope →synthèse placentaire de P4
➢pharmacologiquement :
▪mime un pic de LH
→induction de l’ovulation
eCG : hormone gonadotrope placentaire équine
❖ Sécrétée à partir du jour 35 de gestation : activité LH lutéotrope sur le CJ primaire
❖ Fonction duale LH-like mais surtout FSH-like : stimulation folliculaire et formation d’un CJ secondaire ou accessoire (sans ovulation)
❖ activité LH sur les deux corps jaunes à partir du jour 65
➢action physiologique chez la jument gestante
▪fonction lutéotrope sur le corps jaune postovulatoire
▪recrutement et formation de corps jaunes accessoires ou secondaires
▪fonction lutéotrope sur ces corps jaune→synthèse de P4
➢action pharmacologique toutes espèces
▪recrutement et rôle antiséléctif→superovulation
Contôle intégré de la sécrétion gonadotrope passe par
Feedback négatif court sur l’hypophyse
➢ L’inhibine folliculaire, compétitrice de l’activine ➔ atténuation de la voie TGFß —> réduction FSHbeta donc séléction
➢Les stéroïdes gonadiques : feedback mineur comparé à celui sur l’hypothalamus
» Réduction LHß par androgènes et progestérone
» Stimulation LHß par œstrogènes
Régulation par les hormones gonadiques
tous les stéroïdes sexuels = feedback négatif
▪ Elévation de FSH et LH après retrait physique ou génétique de la signalisation des stéroïdes (hypoG-hypoG)
l’inhibine a un rétrocontrôle négatif spécifique de ?
FSH
intégration des rythmes saisonniers
via l’action de la mélatonine, libérée pendant les phases nocturnes
Raccourcissement des jours —> + longue sécrétion nocturne de mélatonine —> sécrétion de GnRH, LH —> stimulation activité sexuelle
❖ Influence du métabolisme et de la photopériode
➢ Étage hypothalamique via le contrôle de la sécrétion de la GnRH
Réserves métaboliques : Adipokines et hormones (leptine, ghreline, insuline)
Photopériode : Mélatonine
schéma fonctionnement intégré avec reseves métabolique et photopériodes
le pic préovulatoire : stimulation (neuro)humorale par ?
-coit
-combinaison 17beta-oestradiol (bcp) et progestérone (peu)
le pic préovulatoire est inhibé par ?
la progestérone en quantité
le pic préovulatoire est permis par ?
• une situation hormonale très particulière, associant : - pic d’œstrogènes (E2), à concentration élevée pendant 2 jours
- progestéronémie faible
- récepteurs à la progestérone (P4-R) faiblement stimulés
• provoquée, induite par un réflexe neurohormonal (tactile, visuel…)
temps entre le pic de LH et l’ovulation
➢variable :
12 heures chez la souris
24 heures chez la vache 24-72 heures chez la chienne
L’hypothalamus, intégrateur via les neurones …
kisseptines
kisseptines
➢exprimés par les neurones hypothalamiques ▪noyaux arqués (ARC)
▪zone antéroventrale périventriculaire (AVPV)
➢zone de projection sur APO (neurones GnRH) ➢dimorphisme sexuel AVPV (chez la femelle)
▪apoptose androgéno-dépendante chez le mâle
❖ leur récepteur GPR54
➢exprimés par les neurones GnRH+
❖ mutations perte de fonction Kp ou GPR54
➢hypogonadisme hypogonadotrope
▪retard développement pubertaire, infertilité mâle et femelle, dysgamétogenèse
➢complémenté par injection de GnRH
finir le diapo