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Cartographie 1 > Cours 9 - Cartographie thématique > Flashcards

Cours 9 - Cartographie thématique Flashcards

1
Q

Quel est le but de la carte thématique?

A

Conception de cartes illustrant la distribution spatiale des propriétés
(caractères, valeurs) d’un phénomène de nature biophysique ou socio
économique (température, population, production, …).

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Q

Par quel moyen on produit une carte thématique?

A

Le bon usage de la symbolisation pour montrer les variations de ces phénomènes dans l’espace.

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3
Q

Quelles sont les 3 composantes de base d’une carte thématique?

A
  • Fond de carte
  • Couche thématique (figuration)
  • Implantation graphique
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4
Q

Quelles sont les 3 composantes de la couche thématique?

A
  • Les variables géographiques
  • Les données géographiques et leur échelle de mesure
  • Symbolisation (types de symboles, les éléments graphiques de base, les variations visuelles et leur emploi, etc.)
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5
Q

Quelles sont les variables courantes en environnement physique?

A
  • La topographie
  • La bathymétrie
  • Le climat
  • L’hydrographie
  • La géologie
  • La géomorphologie
  • Les sols
  • La flore et la faune
  • L’occupation humaine
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6
Q

Quelles sont les variables courantes en environnement humain?

A
  • La densité de la population
  • Les groupes d’âges
  • Les groupes ethniques
  • Les mouvements de la population
  • Les différents taux (alphabétisation, chômage, …)
  • Les différents indices socio économiques
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7
Q

Quels sont les intérêts à utiliser un SIG pour produire une carte thématique?

A

• Les données de base qui seront utilisées seront généralement de nature vectorielle.
• L’avantage d’utiliser le modèle vectoriel tient dans sa structure composée d’objets (points, polylignes ou polygones) auxquels sont
associés des enregistrements dans une table d’attributs.
• Les attributs étant liés aux objets, il est possible de classifier les valeurs de ceux-ci, d’attribuer une grosseur de symbole ou une teinte différente à chaque classe de valeurs d’attribut et
automatiquement chaque objet lié apparaitra sur la carte avec la grosseur ou la teinte de la classe à
laquelle il appartient
• La mise à jour des valeurs dans la table d’attributs
entraînera automatiquement une mise à jour de
la représentation graphique de la carte. C’est très pratique!!

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8
Q

À partir de quoi qu’on fait une carte thématique?

A

Des données géographiques, c-à-d des données mesurées ou évaluées qui sont géoréférencées donc positionnées sur la Terre

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9
Q

Combien de dimensions on les données géographiques?

A

3 (quoi = qu’est-ce que nous avons observé, où = localisation, quand = temps)

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10
Q

Les données géographiques sont des observations, effectuées pendant une période de temps donnée, décrivant les _____ et la ____ spatiale des différents éléments physiques, événements ou phénomènes qui ont lieu ou qui se manifestent sur ou près de la surface terrestre.

A

Caractéristique

Distribution

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11
Q

Données quantitatives absolues définition?

A

S’agit de séries statistiques constituées par des quantités saisies d’une mesure.

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12
Q

Exemple données quantitatives absolues?

A

Des températures, des concentrations de

polluants, etc.

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13
Q

Entre les quantités absolues, il existe 2 relations, lesquelles? Et laquelle est prioritaire?

A

1- Une relation de proportionnalité (ceci est n fois plus grand que l’autre
2- Une relation d’ordre
La proportionnalité est prioritaire

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14
Q

Données quantitatives relatives définition?

A

Elles sont le résultat de rapports (habitants par km^2 , indice de développement

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15
Q

Entre les données relatives, quelle relation existe-t-il?

A

Entre les données relatives il existe une relation d’ordre

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16
Q

Comment classe-t-on des données QUALITATIVES avec une échelle nominale?

A

Les observations (données) sont classées selon un
système de taxinomie dont les catégories décrivent par un nom les états ou les manifestations distincts du phénomène; en voici deux exemples:
a) type de forêt (résineuse/feuillue/mixte);
b) utilisation du sol (commerciale/ résidentielle/
industrielle).

17
Q

Qu’est-ce qu’une échelle binaire?

A

Une échelle binaire est un cas particulier d’une
échelle nominale: les observations nous informent
sur la présence/absence d’un phénomène.
– Exemple présence ou absence de végétation.

18
Q

Comment classe-t-on des données QUALITATIVES avec une échelle ordinale? Ex?

A

• Même chose que l’échelle nominale sauf que les classes entretiennent des
relations d’ordre (d’âge , de taille , d’intensité , etc.).
• Les catégories d’âge de la population (jeune, mature, …); l’intensité des dommages causés par une catastrophe naturelle (faibles, moyens, sévères, très sévères)

19
Q

Quelles sont les relations entre les données qualitatives?

A
  • D ’ordre (chronologies, sévérité d’un phénomène, etc
  • De différence ( différentes catégories d’une variable)
  • De ressemblance (familles, ensembles, etc
20
Q

Comment fonctionne l’échelle intervalle pour des données QUANTITATIVES?

A
  • Les données sont mesurées ou estimées selon une échelle quantitative où la valeur zéro est arbitraire : les températures mesurées selon l’échelle Celsius ou Fahrenheit; la date, etc.
  • -> Si T1 et T2 désignent deux valeurs de températures, toutes les valeurs de l’intervalle [T1, T2] sont physiquement possibles et on peut comparer des intervalles différents.
21
Q

Avec une échelle intervalle, les différences entre intervalles ont un sens mais pas les ___.

A

Rapports –> Pas de proportionnalité en raison du zéro arbitraire.

22
Q

Comment fonctionne l’échelle de rapport pour des données QUANTITATIVES?

A

L’attribut est une taille mesurée ou estimée selon
une échelle quantitative où la valeur zéro a une
signification physique d’absence. La densité de
population; la hauteur des arbres, etc.
–> Si T1i, T2i et T3i représentent trois flux exprimés en tonnage à destination d’un lieu “i”, alors les rapports (T1i / T2i) et (T1i / T3i) ont du sens et ils mesurent la part que représente le flux en
provenance du lieu “1” relativement à ceux
originaires de “2” et “3”, et ces rapports peuvent
être comparés. Un tel raisonnement n’a pas de
sens pour l’exemple précédent concernant les
températures.

23
Q

2 types d’entités spatiales?

A

Discrètes ou continues

24
Q

Entités discrètes définition?

A

Points, lignes, surfaces. Leurs limites peuvent se matérialiser sur la surface terrestre; les attributs caractérisent l’ensemble de l’entité.

25
Q

Entités continues définition?

A

Les valeurs du phénomène varient d’un point à l’autre à l’intérieur d’une surface infinie

26
Q

Qu’on utilise des points, des lignes ou des surfaces est une question d’___

A

Échelle

27
Q

Que se passe-t-il avec la localisation dans des cas particuliers de valeurs discrètes (ex: dans un intervalle particulier)

A
  • Les données sont saisies à des points mais elles caractérisent des entités discrètes dont les limites ne sont pas connues.
  • Pour les déduire, on utilise les polygones de Tiessen Voronoi ou Dirichlet)
28
Q

Que se passe-t-il avec la localisation dans des cas particuliers de valeurs continues (ex: dans n’importe quelle valeur)

A

• Les données sont saisies à des points mais elles
caractérisent des entités continues
• Méthodes d’interpolation pour générer les valeurs de la variable en tout point de la surface

29
Q

Quels sont d’autres cas particuliers de la localisation?

A
  • Les données représentent des phénomènes continus mais leurs valeurs ne sont connues que par entité discrète surfacique (ex. recensements)
  • Les distances entre les
    villes ne sont pas exprimées dans un espace Euclidien
  • Espace ‘temps de
    parcours’, etc. –>
    cartographie spécifique
    (anamorphoses)
30
Q

Le type de variable définie quoi?

A

Le type d’une variable définie le genre de données qui pourront être contenues dans la variable. Les types les plus

31
Q

Quels sont les types les plus fréquents de variables?

A
  • Texte
  • Entier (integer)
  • Réel (float ou double)
  • Date
32
Q

Il est fréquemment utile de classifier (discrétiser) les données avant de..?

A

Leur attribuer une taille de symbole ou une variation de teinte (valeur)

33
Q

Un grand nombre de … est généralement offert dans les logiciels de cartographies

A

Méthodes de classification

34
Q

Quelles sont les méthodes de classification?

A
  • Méthode des intervalles égaux
  • Méthode de la moyenne et de l’écart-type
  • Méthode des ruptures naturelles (natural breaks)
35
Q

En quoi consiste la méthode des intervalles égaux?

A

La méthodes des intervales égaux procède comme suit : La largeur de classe lc ) est établie en prenant la valeur maximum ( vmax ) de la variable moins la valeur minimum ( vmin ) divisée par le nombre de classes désirées nb ). Les limites sont ensuite établies comme suit : première
classe : vmin à vmin+lc
deuxième classe : vmin+lc à vmin+2* lc et ainsi de suite jusqu’à ce qu’on atteigne vmax

36
Q

En quoi consiste la méthode de la moyenne et de l’écart-type?

A 
La méthode de la moyenne et de l’écart type procède comme suit :
La moyenne (mu) et l’écart type (alpha) de la variable sont d’abord calculés puis en
fonction du nombre de classes désirées nb ) on établi les limites de classe de
façon différente dépendamment si on a un nombre de classes pair ou impair.
37
Q

En quoi consiste la méthode des ruptures naturelles (natural breaks)?

A

C’est un processus itératif qui cherche a créer les classes les plus homogènes possibles (i.e. de plus petite variance intra classe ). Le
processus débute par une partition de la variable en nb classes puis en calculant la somme des écarts aux moyennes au carré par classe pour chaque possibilité de partition. La partition dont la somme sera la plus faible sera celle qui sera la meilleure.

38
Q

Quelles sont les règles de base en classification?

A

a) Les classes doivent couvrir l’ensemble des valeurs de la variable
b) Chaque valeur doit appartenir à une seule classe
c) Les classes ne doivent pas être vides
d) Il ne faut pas présenter les limites de classes avec un nombre de décimales significatives supérieur à celui de la donnée qui possède le moins de décimales pour une
même variable

Cartographie 1 (8 decks)

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