Cours 9 Flashcards
Que sont les connaissances conceptuelles?
Connaissances qui nous permettent de reconnaître des objets et des événements et de faire des inférences sur leurs propriétés.
Vrai ou faux?
Les concepts sont tous des exemples possibles d’une catégorie en particulier.
Faux. Les catégories sont tous des exemples possibles d’un concept en particulier.
Vrai ou faux?
L’encodage se fait de manière organisationnelle, ce qui nous permet d’utiliser l’information pour la manipulation et le travail.
Faux, elle se fait de manière conceptuelle.
Qu’est-ce que l’approche définitionnelle de la catégorisation?
Il s’agit de déterminer l’appartenance à la catégorie en fonction de la conformité de l’objet à la définition de la catégorie.
Pourquoi les définitions ne fonctionnent pas pour les catégories?
Parce que ce ne sont pas tous les objets qui ont les même caractéristiques. Par exemple, une chaise a comme définition d’avoir 4 pattes et un banc pour s’assoir, alors qu’en réalité, une chaise peut prendre plusieurs formes (tabouret, roche plate, pouf).
Qui propose l’approche de la ressemblance familiale?
Wittgenstein. Il propose l’idée qu’il peut y avoir des variations parmi les catégories (mais que l’objet rempli quand même sa fonction).
Quelle approche est liée au traitement en série?
L’approche des petits démons. (Extracteurs de caractéristiques, ensuite démons qui englobent et gros démon qui tranche. Pour être reconnu dans une catégorie X, il doit y avoir un fort % de correspondance (pas réaliste)).
Quel est la limite de l’approche des petits démons?
La Gestalt.
Vrai ou faux?
Les catégories sont homogènes.
Faux. Elles ne sont pas homogènes. Il y a implicitement des sous-groupes.
Quelles sont les forces et les limites de l’approche définitionnelle de la catégorisation?
Même si cette approche est renforcée par la ressemblance familiale, on est pas toujours capable de prendre une décision pour la bonne catégorisation si on atteint pas le seuil de ressemblance. On ne voit pas toute l’information, seulement qu’une partie.
Qu’est-ce que l’approche prototypique?
C’est une approche qui se base sur une moyenne des caractéristiques d’une catégorie. Le prototype est un processus décisionnel qui détermine les caractéristiques essentielles afin de faire partie du groupe.
Vrai ou faux?
Dans l’approche prototypique, les catégories sont fixes.
Faux, elles ne sont pas fixes. Dépendamment de ce que l’on cherche a faire, le prototype va changer. Ex: je cherche quelque chose sur quoi m’assoir, donc notre concept d’une chaise va être moins précis. Tandis que si quelqu’un nous demande de lui donner une chaise, on va chercher un objet avec des caractéristiques plus précises. Donc, les catégories ne sont pas fixes, c’est le moment actuel qui va définir nos catégories.
Qu’est-ce que la différence entre une haute prototypicité et une faible prototypicité?
Une haute prototypicité signifie que le membre de la catégorie ressemble beaucoup au prototype de catégorie (ex.: un corbeau dans la catégorie oiseaux), tandis que la faible prototypicité est le fait qu’un membre de la catégorie ne ressemble pas bcp au prototype (à la moyenne), comme un pingouin dans la catégorie oiseaux.
Vrai ou faux?
Il y a une forte relation positive entre prototypicalité et ressemblance familiale.
Vrai.
Qu’est-ce que l’effet de typicité?
Des objets hautement prototypiques jugés plus rapidement (ex.: si on demande de nommer un oiseau, le corbeau va être nommé plus rapidement que le pingouin).
Vérification de phrases; présentation d’un texte erroné, mais on reconnait quand même le message = grâce au prototype. Avec l’approche définitionnelle, on pourrait arriver à la conclusion qu’il n’y a rien d’écrit (alors que c’est faux).