Cours #8 - Sources, normes, éthique Flashcards

1
Q

Les sources d’information sur les tests. Quelles sont les deux principales questions que nous pouvons nous poser ?

A
  • Comment trouver des informations précises sur un test en particulier ?
  • Comment chercher et choisir un test approprié pour une situation donnée ?
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Q

Il existe 10 sources d’information sur les tests. Quelles sont-elles ?

A

1) Répertoires de tests
2) Séries périodiques de comptes rendus critiques des tests publiés
3) Répertoires électroniques
4) Recueils spécialisés
5) Ouvrages consacrés à un test en particulier
6) Manuels de psychométrie
7) Revues scientifiques
8) Catalogues d’éditeurs
9) Firmes de courtage de test
10) Utilisateur.trices de tests

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3
Q

Sources d’information sur les tests :

En quoi consistent les répertoires de tests ?

A

Manuels qui présentent toutes les informations principales sur les tests, sauf l’évaluation de leur qualité. (pas une critique de leurs propriétés psychométriques)

Trois principaux répertoires :
- Tests in Print
- Tests : A comprehensive Reference for Assesments in Psychology, Education and Business
- Directory of Unpublished Experimental Mental Measures

*Tous ne présentent que des tests en anglais

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4
Q

Sources d’information sur les tests : Quels sont les trois principaux répertoires de tests ?

A

Trois principaux répertoires :
- Tests in Print
- Tests : A comprehensive Reference for Assesments in Psychology, Education and Business
- Directory of Unpublished Experimental Mental Measures

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5
Q

Sources d’information sur les tests :
En quoi consistent les séries périodiques de comptes rendus critiques des tests publiés ?

A
  • publications périodiques contenant une description détaillée des tests et un compte rendu critique de leur propriétés psychométriques

Principale série : Mental Measurements Yearbook (aussi disponible en ligne)

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6
Q

Quelle est la principale série périodique de comptes rendus critiques des tests publiés ?

A

Mental Measurements Yearbook

(aussi disponible en ligne)

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7
Q

Sources d’information sur les tests :
Quels sont trois exemples de répertoires électroniques ?

A

1) Collection de tests de l’Educational Testing Service (ETS)
- description sommaire de chaque tests
- particulièrement utile pour une recherche par mots-clés
2) Health and Psychological Instruments (HaPI)
- 50 000 tests provenant d’articles de revues spécialisées (psycho et santé)
3) PsycTESTS
- 75 000 tests non commercialisés publiés dans des articles scientifiques

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8
Q

Sources d’information sur les tests :
Répertoires électroniques

Qu’est-ce qu’offre la Collection de tests de l’Educational Testing Service ? (ETS)
Pourquoi est-elle particulièrement utile ?

A
  • description sommaire de chaque test
  • particulièrement utile pour une recherche par mots-clés
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9
Q

Sources d’information sur les tests :
Répertoires électroniques

Qu’est-ce qu’offre le Health and Psychological Instruments (HaPI) ?

A

50 000 tests provenant d’articles de revues spécialisées (psycho et santé)

*donc très bien si on veut ratisser plus large

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10
Q

Sources d’information sur les tests :
Répertoires électroniques

Qu’est-ce qu’offre le PsycTESTS ?

A

75 000 tests non commercialisés publiés dans des articles scientifiques

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11
Q

Sources d’information sur les tests :
En quoi consistent les recueils spécialisés ?

A
  • des manuels ou “handbook” présentant une série de tests autour d’un thème commun
  • l’information présentée a un degré variable de précision allant jusqu’au matériel du test

Quelques exemples :
- Measures of Personality and Social Psychological Attitudes
- A Counselor’s Guide to Career Assessment Instruments
- Handbook of Psychological Assessment

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12
Q

Sources d’information sur les tests :
Quels sont trois exemples de recueils spécialisés ?

A
  • Measures of Personality and Social Psychological Attitudes
    · surtout thématiques de psycho sociale : locus de causalité, image de soi, etc. donc surtout utilisé en recherche
  • A Counselor’s Guide to Career Assessment Instruments
    · orientation professionnelle, orientation de carrière
  • Handbook of Psychological Assessment
    · aptitudes intellectuelles et personnalité
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13
Q

Sources d’information sur les tests :
En quoi consistent les ouvrages consacrés à un test en particulier ?

A

Certains tests très utilisés ont des livres entiers qui leur sont consacrés, avec des informations très détaillées dont des études de cas.

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14
Q

Sources d’information sur les tests :
Quels sont des exemples de tests qui ont des ouvrages consacrés à ces tests en particulier ? (5)

A
  • WISC
  • WAIS
  • MMPI
  • Rorschach
  • TAT
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15
Q

Sources d’information sur les tests : En quoi consistent les manuels de psychométrie ?

A

Présentent un survol des tests les plus fréquemment utilisés

(comme celui utilisé dans ce cours)

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16
Q

Sources d’information sur les tests :
En quoi consistent les revues scientifiques ?

A
  • publient surtout des analyses poussées de caractéristiques techniques comme la fidélité et l’analyse des items
  • publient également certaines études détaillées de tests spécifiques.

Quelques exemples :
- Psychological Assessment
- Journal of Educational Measurement
- Journal of Applied Psychology
- Revue canadienne des sciences du comportement
- Revue québécoise de psychologie

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17
Q

Sources d’information sur les tests :
Quels sont des exemples de revues scientifiques ?

A
  • Psychological Assessment
  • Journal of Educational Measurement
  • Journal of Applied Psychology
  • Revue canadienne des sciences du comportement
  • Revue québécoise de psychologie
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18
Q

Sources d’information sur les tests :
En quoi consistent les catalogues d’éditeurs ?

A

Uniquement pour les tests publiés à des fins commerciales
(tests qu’on achète pour utiliser dans différents contextes)

Quelques exemples :
- Pearson Clinical Assessment
- SIGMA Assessment Systems

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19
Q

Sources d’information sur les tests :
Quels sont des exemples de catalogues d’éditeurs ? (2)

A
  • Pearson Clinical Assessment
  • SIGMA Assessment Systems
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20
Q

Sources d’information sur les tests :
En quoi consistent les firmes de courtage de test ?

A
  • Uniquement pour les tests publiés à des fins commerciales (se prennent une cote sur l’utilisation du test)
  • Aident à naviguer les différents tests et éditeurs pour réponse à un besoin particulier
    (les firmes aident dans le choix du test, mais aussi dans l’interprétation des résultats. peut aussi proposer des solutions spécifiques au besoin du client. donner des formations sur l’utilisation des tests)
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21
Q

Sources d’information sur les tests :

En quoi consistent les utilisateur·trices de tests ?

A
  • les professionnel·les et psychologues connaissent en général bien les tests de leur domaine d’expertise
  • ont des connaissances pratiques dues à l’utilisation des tests, qui n’apparaissent pas dans les manuels
    (peuvent nous donner des indices sur quel test utiliser, mais aussi comment bien expliquer certaines questions pour certains tests, gestion de temps, conseils pratiques, quelles normes utiliser, lesquelles utiliser avec un grain de sel, etc.)
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22
Q

Parmis les 10 sources d’information sur les tests, lesquelles devrions-nous utiliser pour lister les tests potentiels pour notre besoin ? (6)

A
  • répertoires de tests
  • répertoires électroniques
  • manuels de psychométrie
  • firmes de courtage de test
  • catalogues d’éditeurs
  • utilisateur.trices de tests
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23
Q

Parmis les 10 sources d’information sur les tests, lesquelles devrions-nous utiliser pour avoir des informations plus détaillées sur les tests ? (6)

A
  • séries périodiques de comptes rendus critiques des tests publiés
  • recueils spécialisés
  • ouvrages consacrés à un test en particulier
  • revues scientifiques
  • catalogues d’éditeurs
  • utilisateur.trices de tests
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24
Q

À quoi servent les normes ?

A

Servent à transformer un score brut en un score plus facilement interprétable, ou score normalisé

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25
Q

Les scores bruts peuvent être influencés par plusieurs facteurs que l’on cherche à ramener sur un même pied d’égalité en utilisant des normes. Quels sont ces facteurs ? (5)

A
  • nombre d’items
  • limite de temps
  • difficulté des items
  • circonstances d’administration
  • format et condition de réponse aux items
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26
Q

Qu’est-ce qu’un score brut ?

A
  • le nombre de réponses dans une certaine direction OU;
  • le nombre de bonnes réponses OU;
  • le résultat d’un calcul portant sur des nombres attribués à certaines réponses (peut être une somme ou une moyenne, ou le résultat d’un calcul plus élaboré
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27
Q

Quelles sont des opérations préalables à l’obtention d’un score brut ?

A
  • avoir renversé le score des items inversés
  • on retire parfois la pseudo-chance
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28
Q

Types de normes : Il y a trois principales catégories. Quelles sont-elles ?

A

1) Percentiles
2) Scores pondérés
- scores T
- QI de déviation
- stanines
3) Normes de développement

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29
Q

La définition suivante fait référence à quel type de normes ?

“un système qui divise la distribution des scores bruts en centièmes”

A

percentiles

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30
Q

Normes : Nous utilisons parfois les percentiles, qui est un système qui divise la distribution des scores bruts en centièmes.

De façon similaire, on utilise parfois les :
- ________ : divisent la distribution en 10
- ________ : divisent la distribution en 5
- ________ : divisent la distribution en 4

A
  • déciles
  • quintiles
  • quartiles
31
Q

Vrai ou faux : les scores pondérés sont une conversion des scores Z

32
Q

faire flashcards en lien avec la slide 24

33
Q

faire flashcards en lien avec la slide 25

34
Q

La définition suivante fait référence à quel type de normes ?

“score brut interprété en fonction du développement normal”

A

les normes de développement

35
Q

Quelles sont deux limites dans l’interprétation des percentiles ?

A
  • on peut confondre les percentiles avec une note en pourcentage
  • une même différence de score brut implique des changements de percentiles différent selon la position dans la distribution
36
Q

Quelle est une limite dans l’interprétation des scores pondérés ?

A

les scores pondérés se basent sur la courbe normale et le score Z, très peu connus dans la population en général
(donc peut être difficile à comprendre)

37
Q

Quelle est une limite dans l’interprétation des normes de développement ?

A

les normes de développement ne tiennent pas compte des écart-types.

38
Q

Qu’est-ce qu’un groupe de référence ?

A

Le groupe de référence est le groupe auquel est administré le test pour procéder à l’étalonnage et à la création de normes

39
Q

Le groupe de référence est le groupe auquel est administré le test pour procéder à _________ et à __________

A

Le groupe de référence est le groupe auquel est administré le test pour procéder à l’étalonnage et à la création de normes.

40
Q

Le groupe de référence, qui est le groupe auquel est administré le test pour procéder à l’étalonnage et à la création de normes, donne lieu à différentes normes.

Quelles sont les 7 possibilités ?

A
  • normes nationales
  • normes internationales
  • normes d’utilisateurs
  • normes de sous-groupes
  • normes locaales
  • normes institutionnelles
  • groupes de commodité
41
Q

Pourquoi le choix du groupe de référence est-il crucial ?

A

Pour garantir une interprétation adéquate

42
Q

Le choix du groupe de référence est crucial pour garantir une interprétation adéquate. On cherche un groupe qui permettra d’obtenir une norme qui est
a) _______
b) _______

A

a) stable
b) représentative

43
Q

Le choix du groupe de référence est crucial pour garantir une interprétation adéquate. On cherche un groupe qui permettra d’obtenir une norme qui est
a) stable
b) représentative

La stabilité de la norme est particulièrement influencées par…

A

la taille de l’échantillon de référence. (n)

*groupe d’utilisateurs où on peut avoir des dizaines de millier de participants serait un exemple de normes stables.

44
Q

Le choix du groupe de référence est crucial pour garantir une interprétation adéquate. On cherche un groupe qui permettra d’obtenir une norme qui est
a) stable
b) représentative

Que voulons-nous dire par représentative ?

A

les caractéristiques doivent être similaires à celles de la population cible pour l’administration du test

ex : caractéristiques sociodémographiques, âge, genre, niveau de compétence, statut socio-économique.

45
Q

Qu’est-ce que l’interprétation critériée ?

A

Contrairement à l’interprétation normative, l’interprétation critériée se fonde plutôt sur un ou plusieurs seuils (ou points de coupure)

46
Q

Les exemples suivants sont des exemples d’interprétations normatives ou critériées ?

a) la note de passage est de 60%
b) une entreprise ne permet qu’aux personnes ayant obtenu un QI de déviation supérieur à 90 de passer à la prochaine étape de processus de sélection.
c) la thèse d’une étudiante est jugée comme étant bonne, très bonne ou excellente.

A

a) b) et c) sont des exemples d’interprétation critériée

particularité de la b) : on utilise un score normatif (le QI de déviation) pour en faire une interprétation critériée. on utilise les deux méthodes de manière concomitante.

47
Q

__________ concerne les principes qui devraient guider la conduite d’une personne.

a) l’éthique
b) la loi
c) la déontologie

A

L’éthique

(plus en lien avec la morale. qu’est-ce qu’un bon comportement ?)

48
Q

L’éthique concerne les _______ qui devraient guider _________ d’une personne.

A

L’éthique concerne les principes qui devraient guider la conduite d’une personne.

49
Q

_________ dicte ce qu’une personne doit et ne doit pas faire

50
Q

La loi dicte…

A

Ce qu’une personne doit et ne doit pas faire

51
Q

________ représente l’éthique appliquée à certaines professions

A

La déontologie

(combinaison de l’éthique de la loi appliquée à une profession en particulier)

52
Q

Quels sont les 4 codes spécialisés qui traitent des questions spécifiques à la psychométrie ?

A
  • normes de la pratique du testing en psychologie et en éducation
  • code de déontologie de la société canadienne de psychologie
  • code de déontologie de l’APA
  • code de déontologie de l’OPQ
53
Q

Quels sont deux “documents”/”codes” historiques qui sont à la base de la déontologie en psychométrie ?

A
  • le serment d’Hippocrate (“ne pas nuire”)
  • le Code de Nuremberg (souligne l’importance du consentement libre et éclairé)
54
Q

La section 7 du code de déontologie de l’OPQ porte spécifiquement sur ….

A

l’utilisation du matériel psychologique

55
Q

Code de déontologie de l’OPQ : Section VII

Que dit l’Article 47 ?

A

Respect des principes scientifiques et professionnels

(les tests utilisés doivent avoir de bonnes propriétés, la validation doit être faite dans un contexte similaire à l’utilisation qu’on veut en faire, être bien formé pour les administrer)

56
Q

Code de déontologie de l’OPQ : Section VII

Que dit l’Article 48 ?

A

Considération des limites et interprétation nuancée

(comment on rapporte et on interprète les résultats. utiliser des normes qui sont appropriées. tenir compte du contexte d’administration)

57
Q

Code de déontologie de l’OPQ : Section VII

Que dit l’Article 49 ?

A

Les données brutes ne sont transmises qu’à d’autres psychologues

(on ne partage pas les scores bruts à la personne évaluée. on ne va pas dire tu as eu 23/30 à l’échelle d’extraversion. on va seulement lui partager notre interprétation, laquelle est plus facilement compréhensible.

58
Q

Code de déontologie de l’OPQ : Section VII

Que dit l’Article 50 ?

A

Préserver la valeur des tests

(on ne veut pas partager de l’information prévilégiée sur les tests à d’autres personne autres que des psychologues. serait problématique de le diffuser. on veut s’assurer que les tests puissent continuer à être valides, à être utilisés (les items, le protocole, le système de cotation))

59
Q

Code de déontologie de l’OPQ : Section VII

Que dit l’Article 51 ?

A

Les rapportes ne contiennent que les interprétations et conclusions du psychologues pertinentes au mandat.

(ex : si le mandat est la dépression, on ne va pas s’étendre en long et en large sur ses aptitudes intellectuelles. aussi, s’assurer que l’information soit compréhensible aux autres personnes qui la consulteront)

60
Q

Code de déontologie de l’OPQ : Que dit l’article 4 ?

A

Conduite irréprochable avec toute personne

(appliquer des principes de respect, d’ouverture, etc.)

61
Q

Code de déontologie de l’OPQ : Que dit l’Article 11 ?

A

Consentement libre et éclairé

(on doit savoir dans quoi on s’embarque en passant le test (ses modalités, ses limites). le consentement peut être retiré en tout temps)

62
Q

Code de déontologie de l’OPQ : Que dit l’Article 15 ?

A

Secret professionnel

(ne pas partager des informations sur la personne cliente ou évaluée sans son consentement écrit. même pour partager à un autre psychologue)

63
Q

Quels sont les 8 grands principes déontologiques en psychométrie ?

A

- compétence (mettre à jour ses compétences, reconnaître ses limites, bien connaître les tests qu’on administre)
- consentement éclairé (pas tjrs écrit; parfois c’est implicite, par exemple dans le cas d’une entrevue ou d’un examen)
- connaissance des résultats (il faut donner une interprétation à la personne qui est évaluée. ne pas cacher des choses importantes vis-à-vis le mandat qu’on vise)
- confidentialité(consentement écrit par rapport à la divulgation éventuelle des données si on a besoin de le faire)
- protection des tests (ne pas partager le matériel des tests de façon large)
- personnel non qualifié (les tâches des personnes qui assistent le psy doivent rester dans leur champ de compétences)
- élaboration et publication des tests(important de partager toutes les données psychométriques qu’on a, pas seulement ce qui fonctionne)
- systèmes de cotation et d’interprétation automatisés(la responsabilité revient à la personne qui administre le test)

64
Q

Quels sont les trois niveaux de qualification des utilisateur.trices de tests ?

A

Niveau A : formation minimale requise

(ex : tests de rendement, lire les consignes et laisser le temps prévu aux participants pour compléter)

Niveau B : Connaissance des caractéristiques techniques des tests requise

(ex : tests collectifs d’aptitudes intellectuelles, inventaire d’intérêt et d’attitude)

Niveau C : formation avancée requise en théorie des tests et dans les domaines pertinents.

(ex : tests individuels d’aptitudes intellectuelles, tests de personnalité, méthodes projectives, tests cliniques)

65
Q

Quel niveau de qualification faut-il pour administrer des tests de rendements ?

A

Niveau A : Formation minimale requise

66
Q

Quel niveau de qualification faut-il pour administrer des tests collectifs d’aptitudes intellectuelles, des inventaires d’intérêt et d’attitude ?

A

Niveau B : Connaissance des caractéristiques techniques des tests requise

67
Q

Quel niveau de qualification faut-il pour administrer des tests individuels d’aptitudes intellectuelles, tests de personnalité, méthodes projectives, tests cliniques ?

A

Niveau C : Formation avancée requise en théorie des tests et dans les domaines pertinents.

68
Q

L’exemple suivant fait référence à quel article du code de déontologie de l’OPQ ?

“Une psychologue souhaite discuter d’une évaluation avec un collègue. Peut-elle lui partager les résultats de l’évaluation ?”

A

Article 15 sur le secret professionnel

69
Q

L’exemple suivant fait référence à quel article du code de déontologie de l’OPQ ?

“Une candidate au poste intermédiaire dans une entreprise change d’idée et ne souhaite plus poser sa candidature. Peut-elle cesser de remplir les tests reçus ?”

A

Oui! Article 11 sur le consentement libre et éclairé. Le consentement peut être retiré en tout temps

70
Q

L’exemple suivant fait référence à quel article du code de déontologie de l’OPQ ?

“Une psychologue observe un collègue en entrevue dans les médias et il partage une question qui se retrouve textuellement dans le tests Wonderlic. Que faire ?”

A

Article 50 : préserver la valeur des tests (en diffusant des informations sur les tests, on perd en leur qualité.)

Que faire ? Appeler l’OPQ pour l’informer de la situation.

71
Q

Quels sont les trois contextes d’application juridique ?

A
  • emploi : principalement les questions de discrimination à l’embauche
  • éducation : principalement concernant les mesures compensatoires
  • psycholégal : psychologue comme témoin expert
72
Q

Quelles sont les trois applications possibles en contexte psycholégal ?

A
  • compétence de chaque parent dans des causes de garde d’enfant
  • admissibilité à une libération conditionnelle
  • étendue des conséquences d’un acte (ex : dans des cas de violence conjugale)
73
Q

Questions d’ordre juridique : Psycholégal

Qu’est-ce que l’aliénation mentale ?

A

Désordre mental ou incapacité au moment où un crime est commis

  • incapacité à distinguer le bien du mal
  • la personne a commis un crime parce qu’elle souffre d’un désordre mental (peut mener à un verdict de non responsabilité criminelle)
  • incapacité à contrôler son comportement (donc pas n’importe quel trouble)