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délinquence > cours 7 > Flashcards

cours 7 Flashcards

1
Q

quel facteur de risque peut on réviser lorsque de nouvelles informations significatives le justifie (par ex: récidive, ajout dune nouvelle sentence, ajout dune victime etc)

A

facteurs de risque statiques

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2
Q

Une réévaluation est
aussi effectuée si le risque est augmenté en communauté (ex: manquement à une condition)
qu’il y ait suspension ou non, suite à une récidive en communauté ou suite à un incident
significatif en établissement. quel facteur s’applique

A

facteurs de risque dynamiques

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3
Q

Plusieurs décisions reposent sur l’évaluation du risque, lesquels? :

A

La détermination de la peine
L’établissement de la cote de sécurité
Les décisions relatives à la libération conditionnelles
Les besoins en matière de traitement
Les conditions et l’intensité de la surveillance

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4
Q

est-ce des question de base? VRAI OU FAUX :
Comment évaluer le risque de récidive de mon client ?
Comment évaluer son « potentiel » de réinsertion sociale ?
Sur quoi doit-on se baser pour faire des recommandations quant à la peine la plus adaptée ?
Comment favoriser le désistement de la délinquance pour mon client ?

A

vrai

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5
Q

vrai ou faux, Le modèle RBR n’est pas un approche d’intervention?

A

vrai

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6
Q

le modèle RBR est un cadre, une structure qui guide les décision et augmente l’efficacité des intervention, VRAI OU FAUX

A

vrai

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7
Q

que nous indique le modèle RBR?
indice: 3 mini questions

A

qui traiter? quoi traiter? comment traiter?

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8
Q

VRAI OU FAUX RBR est pour diverses clientèles?

A

vrai

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9
Q

quel est l’abréviation de RBR?

A

risque-besoin-réceptivité

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10
Q

dans l’évaluation du niveau de risque, il est important d’utiliser des outils qui incluent à la fois des… de… et …des…de…

A

facteurs de risque statiques et facteurs de risque dynamiques

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11
Q

Comment établir l’intensité
des services ? 6 points important

A
  1. nombre d’heures totales d’intervention.
  2. fréquence des rencontres.
  3. durées de l’épisode de services.
  4. nature des services dispensés.
  5. types d’établissement où sont offerts les services.
  6. collaboration entre les services.
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12
Q

les facteurs de risque dynamiques constituent des besoins dit … car ils sont directement lié au comportement criminel

A

criminogènes

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13
Q

dans le plan d’intervention il est important de prioriser les besoins criminogènes les plus faible, VRAI OU FAUX et dire la bonne réponse

A

faux, les plus élevé

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14
Q

réceptivité générale ou spécifique:
1.Tenir compte des caractéristiques de la personne
contrevenante (âge, genre, culture, style
d’apprentissage, motivation, aptitudes, forces,
capacités cognitives, etc.) et adapter l’intervention en
conséquence
2.Optimiser la réponse aux interventions de réhabilitation

A

spécifique

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15
Q

réceptivité générale ou spécifique:
1.Utiliser des interventions basées sur des approches
cognitivo- comportementales et visant l’apprentissage
de nouveaux comportements
2.Utiliser des approches, modèles et techniques
d’interventions ayant fait leurs preuves

A

générale

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16
Q

en bref, le modèle RBR permet de:
1. diminuer la récidive et favoriser le désistement de la délinquance
2. s’assurer de maximiser l’utilisation des ressources en sachant qu’elles sont limitées
VRAI OU FAUX

A

vrai

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17
Q

de quoi dépend l’efficacité des interventions?

A

respect des principes du modèles RBR

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18
Q

quel est la première génération d’évaluation du risque? indice : évaluation non-structuré et jugement subjectif basé sur l’expérience humaines de l’évaluateur

A

prédiction clinique

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19
Q

le jugement clinique est souvent erroné, VRAI OU FAUX

A

vrai

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20
Q

quel est la deuxième génération d’évaluation du risques? indice: approche déshumanisante et déprofessionnalisante.

A

instruments de prédiction actuarielle statistique

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21
Q

quel est la troisième génération d’évaluation du risques?

A

Les échelles du risque et des besoins évaluation actuarielle dynamique

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22
Q
A
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23
Q

quel est la troisième génération d’évaluation du risques?

A

Instruments d’évaluation systématique et globale, Outils de gestion de cas

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24
Q

quel groupes de personnes peuvent faire l’objet d’évaluation plus spécialisé? 5

A

femmes
autochtones
conjoints violent
auteurs d’infractions sexuelles
personne ayant une double problématique violence santé mentale

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25
Q

Aucun instrument de mesure ne permet de prédire parfaitement le risque de récidive et
aucun d’entre eux n’inclut tous les facteurs de risque et de protection potentiellement
importants. VRAI OU FAUX

A

vrai

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26
Q

La majorité des outils d’évaluation du risque sont TRÈS sensibles à la diversité de genre et de culture. VRAI OU FAUX

A

faux

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27
Q

quel est le processus d’utilisation de l’outil de LSCMI, en 4 étape?

A

entrevue
cueillettes informations
cotation et détermination du niveau de risque
rédaction du plan d’intervention correctionnel

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28
Q

De quel(s) principe(s) du modèle RBR est-il question dans chaque énoncé ?
Carmen est psychothérapeute et offre des services en individu à des adolescents qui sont référés par les
centres jeunesse, principalement pour des troubles de comportements divers. La majorité de ses clients
accusent des retards scolaires et présentent des difficultés d’apprentissage. Entre chaque séance, elle a pris
l’habitude de leur demander de faire certains devoirs écrits, comme par exemple des réflexions, des
exercices, afin d’augmenter leur capacité d’introspection. Lors des séances, elle leur laisse généralement un
peu de temps pour compléter le devoir qu’ils n’ont pas toujours fait ou qu’ils ont oublié de rapporter.

A

Réceptivité spécifique

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29
Q

De quel(s) principe(s) du modèle RBR est-il question dans chaque énoncé ?Dominique travaille comme éducateur dans une unité ouverte en centre de réadaptation depuis environ un
an et fait, en parallèle, un certificat en toxicomanie à temps partiel à la TÉLUQ. Récemment, il a soumis un
projet à son chef de service qui vise à implanter des ateliers hebdomadaires de réduction des méfaits en
matière de dépendances à tous les jeunes de son unité. Son chef de service l’a félicité pour son initiative et
a inscrit les ateliers dans la programmation de l’unité.

A

Principe des besoins

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30
Q

De quel(s) principe(s) du modèle RBR est-il question dans chaque énoncé ? Arnaud et Alex animent des rencontres d’aide à l’employabilité (en communauté) pour une clientèle
judiciarisée. Le groupe actuel est composé d’hommes et de femmes d’âge varié et qui présentent des
niveaux de risque et de besoins variés. Parmi les participants, on remarque Alain, un récidiviste notoire qui
n’a jamais vraiment travaillé légalement et reconnu pour son potentiel de violence important, ainsi que
Mario, un homme sans antécédent criminel qui vient d’être condamné à une probation avec suivi pour avoir
volé du matériel à son dernier employeur.

A

principe du risque

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31
Q

dans la priorisation des besoins criminogènes, quels sont les 4 termes importants? indice:
premiere lettre de chaques termes F-R-C-O

A

Facteurs internes
relations
choix de vie
occupationnel

32
Q
  • Indiquer le nom du jeune au début;
  • Être formulés à la positive;
  • Indiquer le comportement attendu ou la compétence à développer.
    «Émile acquiert des habiletés pour mieux réguler ses émotions.» objectif spécifique ou généraux?
A

objectifs généraux

33
Q

je fait appel a des verbes comportementaux et a un contenu spécifique, je suis un objectif …

A

spécifique

34
Q

Dans la forme C-SMART, que veut dire le C?

A

convenu

35
Q

Dans la forme C-SMART, que veut dire le S?

A

Spécifique

36
Q

Dans la forme C-SMART, que veut dire le M?

A

mesurable

37
Q

Dans la forme C-SMART, que veut dire le A?

A

ajusté

38
Q

Dans la forme C-SMART, que veut dire le R?

A

réaliste

39
Q

Dans la forme C-SMART, que veut dire le T?

A

temporel

40
Q

Une condition n’est pas un choix, VRAI OU FAUX

A

Vrai

41
Q

une condition ne devrait PAS se retrouver dans le plan d’intervention en terme d’objectifs? VRAI OU FAUX

A

vrai

42
Q

Les conditions de probation et les objectifs du plan d’intervention sont deux choses distinctes qui se travaillent en parallèle? VRAI OU FAUX

A

VRAI

43
Q

«Émile développe des stratégies de régulation émotionnelle dans le
prochain mois» Cest une formulation d’…

A

objectif spécifique

44
Q

Peuvent prendre diverses formes: programme, activité, utilisation de matériel, nature d’un suivi, etc.
«Participer au programme Aggression Replacement Training (ART) » cest quoi

A

les moyens

45
Q

quels sont les étapes du plan d’intervention de la LSJPA? yen a 3

A

1- l’élaboration: à faire dans le premier 30 jours du suivi
2- l’actualisation
3- la révision:

46
Q

nommer 3 erreurs ou pièges a éviter en élaborant un PI

A

Inclure plusieurs objectifs en un.
Indiquer des moyens à la place des objectifs.
PI non adaptés aux particularités ethniques ou culturelles.

47
Q

nommer les 4 étapes d’une peine de longue durée:

A

adaptation
intégration au milieu carcéral
préparation à la mise en liberté
réinsertion sociale

48
Q

VRAI OU FAUX : La motivation au changement
C’est l’ensemble des forces qui détermine :
Ø La décision de modifier un comportement
Ø La mise en place de stratégies de changement
Ø Le maintien du nouveau comportement

A

VRAI

49
Q

nommer les trois composante de la motivation

A

importance
auto-efficacité
priorité

50
Q

qu’est ce que la motivation intrinsèque?

A

changement de comportement

50
Q

motivation extrinsèques,est la persévérance dans le processus. VRAI OU FAUX

A

vrai

51
Q

L’approche motivationnelle permet de créer un
contexte favorisant l’accroissement de l’intérêt au changement? VRAI OU FAUX

A

vrai

52
Q

quels sont les 5 étapes nécessitant une intervention différente

A

pré-contemplation
contemplation
préparation
action
maintien

53
Q

la pré contemplation, la personne reconnait qu’elle a un problème de comportement? VRAI OU FAUX

A

FAUX

54
Q

La contemplation, la personne reconnaît que ses comportements entraînent des difficultés,
par contre, elle présente toujours de l’intérêt, VRAI OU FAUX

A

vrai

55
Q

la préparation, Étape caractérisée par l’expression manifeste d’une volonté de
changement : « Le moment de vérité », VRAI OU FAUX

A

vrai

56
Q

La détermination au changement se traduit ici par l’application
de moyens concrets en vue de modifier non seulement les
comportements, mais aussi une partie du style de vie; ça s’appelle l’….

A

action

57
Q

La personne travaille à prévenir les rechutes et consolider
les gains obtenus au stade de l’action;
La personne stabilise le changement de son
comportement; le m…

A

maintien

58
Q

Le retour du comportement qui avait été changé
Souvent causée par la détresse émotionnelle (et peut en
provoquer aussi…)
L’individu peut retourner à l’une ou l’autre des étapes et ce, à
quelques reprises; la r…

A

rechute

59
Q

l’intégration a 4 critères, lesquels?

A

nouvelle image de soi
confiance en soi
style de vie plus sain
bonne forme mentale

60
Q

quel est l’approche la plus connues?

A

L’approche cognitivo-comportementale

61
Q

L’approche cognitivo-comportementale est efficace parce que:
* Permet une intervention structurée
* Est axée sur la résolution de problèmes et orientée vers un but
* Enseigne des stratégies et permet de développer des habiletés
qui ont fait leurs preuves
VRAI OU FAUX

A

vrai

62
Q

L’apprentissage de nouvelles compétences se fait par: 4 points

A

Des techniques de modelage
Des jeux de rôle
Renforcement positif
Des exercices dirigés

63
Q

quels outils individuel est intéressant d’utiliser? 3

A

la grille d’auto-observation
le contrat comportemental
restructuration cognitive

64
Q

le modelage
la régulation émotionnelle et la résolution de problème sont des outils d’intervention, ? VRAI OU FAUX

A

vrai

65
Q

Interventions sensibles aux traumas ou Intervention thérapeutiques en
réponse à un trauma :
Prennent en compte les
expériences potentiellement
traumatiques vécues et
Cible d’intervention n’est pas de
traiter le trauma
spécifiquement.

A

Interventions sensibles aux traumas

66
Q

Interventions sensibles aux traumas ou Intervention thérapeutiques en
réponse à un trauma :
Visent le traitement spécifique
du trauma et
Psychothérapie, médication, etc.

A

Intervention thérapeutiques en
réponse à un trauma

67
Q

le risque de récidive augmenterait notamment en fonction du nombre de formes de trauma vécus par un jeune, VRAI OU FAUX

A

vrai

68
Q

quels sont les 4 grand critères d’une organisation ou un système sensible au traumas?

A

prend consience
reconnait
répond
résiste

69
Q

quels sont les 3 Les traumatismes potentiels chez les intervenant.es?

A

Traumatisme vicariant
Fatigue de compassion
Trouble de stress post-traumatique

70
Q

que veut dire ARC après des jeunes auteurs de délits

A

attachement
régulation
compétence

71
Q

Polyvictimisation :
être victime plusieurs fois de crimes et
d’agresseurs différents. VRAI OU FAUX

A

vrai

72
Q

Victimisation chronique :
être victime d’un crime récurrent
généralement commis par un seul
agresseur. VRAI OU FAUX

A

vrai

73
Q

Un acte criminel engendre 5 genres de conséquences, lesquels?

A

physiques
psychologiques
sociales
financières
spirituelles

74
Q

Stratégies disciplinaires très adaptées sur les répercussions sur la parentalité en raison de :
la baisse de patience ou l’irritabilité;
l’inattention ou l’hypervigilance;
le développement de différents problèmes:
santé mentale, dépendance (etc.)
VRAI OU FAUX

A

faux

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