Cours 6 - Encodage Flashcards
Qu’est-ce que l’encodage?
Acquisition d’informations et transformation de celles-ci en mémoire
Qu’est-ce que la répétition de maintenance?
Répétition de stimuli qui maintient l’information mais ne la transfère pas en MLT
Qu’est-ce que la répétition élaborée?
Utiliser des significations et des connexions pour aider à transférer des informations à la MLT
Que peut-on dire sur le traitement superficiel?
- Peu d’attention à la signification
- Concentration sur les caractéristiques physiques
- Mauvaise mémoire
Que peut-on dire sur le traitement profond?
- On porte attention à la signification
- Meilleure mémoire
Que peut-on dire sur l’étude de Craik et Tulving sur la théorie des niveaux de traitement?
Au groupe 1, on demande de dire si les mots sont en minuscule ou majuscule (caractéristiques physiques), ce qui était associé à un traitement superficiel et une mauvaise performance.
Au groupe 2, on demande si certains mots riment, ce qui est associé à une performance intermédiaire et un traitement plus profond.
Au groupe 3, on demande si le mot pourrait être inséré dans une phrase X. C’est associé à une meilleure performance et un traitement plus plus profond.
Quels sont les trois grands facteurs qui facilitent l’encodage?
- Créer des connections
- Création active
- Organisation
Que peut-on dire sur l’étude de Bower et Winzenz sur l’imagerie visuelle?
On demandait à un premier groupe de répéter des mots pairés (ex: arbre-bateau) et à un deuxième groupe de se créer une image mentale de l’association des deux mots. Le deuxième groupe (imagerie visuelle) avait une meilleure performance et une facilitation de l’encodage associée à une meilleure récupération.
Premier groupe -> répétition de maintenance
Que peut-on dire de l’étude de Leshikar sur le lien avec soi-même?
On donne des adjectifs aux participants (ex: joyeux, fonceur…). On demande à un groupe de dire si le mot les représente et à l’autre groupe, on demande si le mot est employé fréquemment (si c’est un mot commun). Les mots étaient mieux retenus si on les associait à soi-même
Que peut-on dire sur l’étude de Slameka et Graf sur la génération d’information?
On demande à un premier groupe de répéter des paires de mots et au deuxième groupe de générer des mots (roi-cou…). On présente ensuite le premier mot et on demande de dire le deuxième. Générer l’information soi-même au lieu de seulement la lire ou la répéter permettait une meilleure consolidation (effet de génération)
Que peut-on dire sur la récupération en catégorie?
Même si on ne fait pas l’encodage en catégorie, on a tendance à faire la récupération en catégories. Quand on récupère un mot d’une catégorie, cela va enclencher le rappel des mots de cette même catégorie (indice de récupération). Il vaut mieux regrouper l’information avant leur mémorisation pour potentialiser la récupération
Que permet le fait de relier des mots à notre propre survie?
Ça permet de potentialiser l’encodage
Que peut-on dire sur l’étude de Roediger et Karpicke sur la pratique de la récupération?
On demande aux participants de lire un passage, puis de résoudre un problème mathématique (distraction). Ensuite, on demande à la moitié de relire le passage et à l’autre moitié de faire un test de rappel. On prend ensuite une pause de X minutes et on teste leur rappel. Après 5 minutes, le groupe de relecture est meilleur mais par la suite, c’est le groupe du test de rappel qui performe mieux
Qu’est-ce que la récupération?
Un processus de transfert de l’information de la MLT à la mémoire de travail
La plupart de nos échecs de mémoire sont…
…des échecs de récupération