Cours 5 Flashcards
Elle est difficile à détecter par les signes et symptômes cliniques conventionnels d’une pneumonie.
V
Une multiplication rapide du microbe est probable avec un risque accru de septicémie.
V
Les poumons subissent un oedème sévère causé par l’activité inflammatoire.
F
Elle oblige à administrer une antibiothérapie empirique à large spectre.
V
Il est difficile d’établir un lien entre le type d’infiltration observé sur radiographie versus le type de microbe en cause, c’est pourquoi le diagnostic est basé sur un ensemble de tests.
V
L’absence de rate (asplénie) affecte la disponibilité des lymphocytes B et prédispose aux infections causées par des bactéries encapsulées telles que S. pneumoniae, H. influenzae
V
Les infections précoces chez les transplantés de moelle ou d’organe recevant des agents immunosuppresseurs sont dues à une déficience en neutrophiles (PMN) tandis que les infections plus tardives sont dues à une déficience lymphocytaire.
V
La chimiothérapie anticancéreuse peut s’avérer immunosuppressive de telle sorte que des infections bactériennes et/ou des infections fongiques sont à anticiper.
V
L’infection à VIH dégénère en Sida lorsque le seuil de lymphocytes TCD4 passe sous le seuil des 200/l. Pourtant, on observe même une différence dans les pathogènes causant des infections chez les sidéens selon que le taux des lymphocytes se situe au-dessus ou en-dessous de 50/l.
V
La bronchoscopie à fibre optique a révolutionné le diagnostic chez les immunodéficients.
V
B) La théranostique est un nouveau concept signifiant que le développement de tests diagnostiques rapides permet de mieux choisir et accélérer l’approche thérapeutique.
V
Les corticostéroïdes sont des médicaments utiles pour les immunodéficients infectés.
F
Le G-CSF est approuvé chez l’humain pour contrer la neutropénie lorsque celle-ci se manifeste.
V
L’augmentation du nombre de personnes immunosupprimées et l’émergence de la multirésistance chez les microbes oblige l’industrie à tester des composés immunomodulateurs en combinaison avec des antibiotiques.
V
La société The Infectious Diseases Society of America formule des lignes directrices pour guider la prévention, le diagnostic, la gestion et le traitement des infections pulmonaires
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Il existe des algorithmes cliniques permettant de surveiller des critères déterminants chez les sous-populations à risque telles que les personnes âgées, les patients aux soins intensifs, etc.
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Les algorithmes incluent des recommandations pour la vaccination et la thérapie antimicrobienne des patients.
V
Les procédures préventives obligent les patients immunodéficients à se faire vacciner contre les infections pulmonaires.
F
Aspergillus est la cause la plus fréquente de mortalité par infection fongique chez les transplantés.
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Les enfants transplantés sont fragiles au virus respiratoire syncitial.
V
On observe une prévalence de tuberculose chez les sidéens à l’échelle mondiale, possiblement par réactivation d’une infection latente à Mycobacterium.
V
Pneumocystis est un germe pulmonaire fréquent chez les sidéens
V
Pneumonie: Facile à détecter cliniquement par des signes et symptômes communs.
F
Pneumonie: Généralement diagnostiquée suite aux soupçons d’un médecin expérimenté
V
pneumonie:Toujours visible en radiographie suite à l’infiltration de neutrophiles.
F
Diagnostiquée de routine par technologie ADN en laboratoire clinique depuis plusieurs années(pneumonie)
F
Un hote immunodéficient ne risque pas de voir son infection se compliquer d’une sévère inflammation pulmonaire.
V
Qu’est-ce que l’hôte immunodéficient souffrant d’une infection pulmonaire ne risque PAS ?
A) D’être victime d’une multiplication rapide du microbe.
B) De développer une septicémie avec infection d’autres organes.
C) De voir son infection se compliquer d’une sévère inflammation pulmonaire.
D) De recevoir une thérapie empirique avec antibiotiques à large spectre.
c
Il est facile d’établir des liens entre le type ou le degré d’immunosuppression versus les types de microbes qui induiront une infection.
F
Il est facile d’établir des liens entre le type d’infiltration observé en radiographie versus le type de microbe en cause.
F
Il est possible de voir des tendances entre le type ou le degré d’immunosuppression versus le caractère opportuniste ou non-opportuniste des microbes qui causeront l’infection.
V
On n’observe aucun lien entre l’immunosuppression de type humorale (lymphocytaire B) et l’infection causée par des souches possédant ou non une capsule.
F
Les sidéens sont vulnérables au Pneumocystis et à la tuberculose.
V
Les infections précoces chez les transplantés de moelle ou d’organe sont dues à une déficience des lymphocytes T.
F
L’ablation de la rate affecte la disponibilité des lymphocytes B.
V
Les corticostéroïdes (ex. cortisone) sont des agents immunosuppresseurs pouvant favoriser l’infection par des microbes pathogènes
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Ces algorithmes n’incluent pas de recommandations sur la vaccination et l’antibiothérapie.
F
Distinguent les infections nosocomiales versus acquises en communauté.
V