cours 4 Flashcards
Les dysfonction sexuelle, consiste donc en un trouble de ?, soit sur le plan du désir, soit sur le plan de ?, soit sur le plan de ?, ou encore dans ?.
La personne présentant une dysfonction sexuelle est généralement attirée par un objet sexuel habituel (conforme à la société), mais réagit sexuellement de façon inadéquate en présence de cet objet.
la réponse sexuelle
Les dysfonction sexuelle, consiste donc en un trouble de ?, la réponse sexuelle
soit sur le plan du ? «désir» , soit sur le plan de? «la vasocongestion», soit sur le plan de ? «la réponse orgasmique», ou encore dans ? «plus d’une phase de cette réponse».
La personne présentant une dysfonction sexuelle est généralement attirée par un objet sexuel habituel (conforme à la société), mais réagit sexuellement de façon inadéquate en présence de cet objet.
Masters et Johnson (1970)
Ils distinguent trois types de dysfonctions sexuelles chez la femme :
1) le vaginisme
2) la dyspareunie
3) le dysfonctionnement orgasmique primaire ou secondaire.
Kaplan (1974)
Elle suggère une classification qui comporterait trois types de dysfonction sexuelle quelles sont elles ?
1) la dysfonction sexuelle généralisée ou frigidité,
c’est-à-dire les femmes qui ne ressentent aucune sensation ;
2) la dysfonction orgasmique,
regroupant les femmes qui, tout en parvenant à un certain niveau d’activation sexuelle, ne peuvent atteindre l’orgasme ; et
c’est elle qui a fait cette définition
3) le vaginisme,
qui est un problème relié à la musculature périphérique du vagin qui se contracte au point d’empêcher la pénétration. Cette classification tient compte de la conception bidimensionnelle de la réponse sexuelle (vasocongestion et orgasme)
Chez l’homme,
Le terme général qui était utilisé autrefois pour décrire la plupart des troubles sexuels masculins était celui « ? ».
Ce terme « » est d’ailleurs encore utilisé par Masters et Johnson (1970) mais son sens est limité à ?.
d’impuissance
la dysfonction érectile.
Masters et Johnson parlent de quatre types de dysfonctions sexuelles masculines quelles sont-elles ?
- L’impuissance primaire ou secondaire, (dysfonction érectile)
- L’absence d’éjaculation,
- L’éjaculation précoce
- La dyspareunie.
Comment Kaplan classifie les types de dysfonctions sexuelles masculines ?
- Dysfonction Érectile :
Elle remplace le terme d’impuissance par l’expression moins péjorative et plus descriptive de dysfonction érectile. - Éjaculation retardée :
Elle préfère parler d’éjaculation retardée, ce qui réfère à un phénomène plus général que l’absence d’éjaculation, c’est-à-dire la difficulté d’éjaculer sans que cela signifie nécessairement l’absence d’éjaculation. - Enfin, elle ne parle pas dans son ouvrage de dyspareunie masculine.
Il y a deux types de dysfonctions sexuelles classifiés par le DSM IV
1- ?
2- ?
1- Basé sur les 3 phases de la réponse sexuelle humaine (Helen Singer Kaplan1974) et comprend six troubles (diagnostic spécifiques)
1-Désire, : Trouble du désir
➢ Troubles du désir sexuel hypoactif
➢ Troubles de l’aversion sexuelle
2-Excitation : Trouble de l’excitation
➢ Troubles de l’excitation sexuelle chez la femme (n’empêche pas la relation sexuelle)
➢ Troubles de l’érection (empêche la relation phalo-vaginal)
3-Orgasme : Trouble de l’orgasme
➢ Troubles de l’orgasme chez h/f
➢ Éjaculation précoce (ou rapide) (prend racine dans une condition psychologique et prend naissance dans un cadre de couple)
2- troubles de la douleur sexuelle qui comprend la dyspareunie et le vaginisme.
➢ Dyspareunie
➢ Vaginisme
*L’homme est exclu de cette catégorie malgré que l’homme peut vivre de la douleur sexuelle par exemple en cas de phimosis, de maladie de Peyronie ou bien des douleurs concomitantes avec la dyspareunie sévère
Dans le DSM-IV (4) Pour chaque type de dysfonction sexuelle, il faut spécifier si le problème est :
- acquis ou a duré toute la vie, (primaire ou secondaire)
- généralisé (par tout type de stimulation sexuelle) ou situationnel (pour certains types de stimulations sexuelles, par exemple en présence du ou de la partenaire mais non par la masturbation)
- dû à des facteurs psychologiques ou à une combinaison de facteurs incluant des facteurs physiologiques.
- Les dysfonctions sexuelles ne doivent pas être explicables par un autre trouble de l’Axe I, sauf par une autre dysfonction sexuelle.
Dans le DSM-5 des changements ont été apportés au chap des dysfonctions sexuelles afin de corriger, développer et clarifier les ? et ?.
différents diagnostics
leurs critères respectifs
Vrai ou faux
Le DSM-5 contient le trouble d’aversion sexuelle et le dysfonctionnement sexuel dû à une affection médicale générale.
FAUX
Le DSM-5 ne contient pas de trouble d’aversion sexuelle ni de dysfonctionnement sexuel dû à une affection médicale générale.
Dans le DSM-5 Chez l’homme,
- Vrai ou faux ? Le trouble du désir sexuel hypoactif masculin a désormais une entrée séparée.
- Le trouble orgasmique masculin a été changé en ?
- L’adjectif «?» a été abandonné du trouble érectile
- Vrai ou faux ? L’éjaculation précoce a été enlevé.
- Vrai ou faux ? La dyspareunie masculine ou la douleur sexuelle masculine est encore présente le chapitre sur les dysfonctionnements sexuels du DSM-5.
Chez l’homme,
- VRAI
Le trouble du désir sexuel hypoactif masculin a désormais une entrée séparée. - Le trouble orgasmique masculin a été changé en éjaculation retardée,
- L’adjectif «masculin» a été abandonné du trouble érectile et
- FAUX L’éjaculation précoce est toujours présent et n’a pas changé entre le DSM-4 et le DSM-5.
- FAUX La dyspareunie masculine ou la douleur sexuelle masculine ne figurent PAS dans le chapitre sur les dysfonctionnements sexuels du DSM-5.
Les catégories de diagnostic l’intérêt sexuel féminin, DSM IV ont été basé sur ?
le modèle de réponse sexuelle humaine proposé par Masters et Johnson, et développé par Kaplan.
Chez la femme, dans le DSM-5
Le dysfonctionnement du désir hypoactif féminin et le dysfonctionnement de l’excitation féminine ont été fusionnés en un seul syndrome appelé «_space;?»_space;.
De même, la dyspareunie et le vaginisme, auparavant séparés, sont désormais appelés «_space;?»_space;.
Le trouble orgasmique féminin reste en place ou il a été enlevé ?
Chez la femme,
Le dysfonctionnement du désir hypoactif féminin et le dysfonctionnement de l’excitation féminine ont été fusionnés en un seul syndrome appelé
«_space;trouble de l’intérêt / excitation sexuelle».
La dyspareunie et le vaginisme, auparavant séparés, sont désormais appelés
<>.
Le trouble orgasmique féminin reste en place.
Quels sont les Critères de diagnostic révisés applicables à tous les diagnostics de dysfonction sexuels ?
- 75% à 100% :
l’obligation de faire l’expérience du trouble 75% à 100% du temps nécessaire
*à l’exception notable des troubles induits par une substance ou un médicament. - Durée minimale : il existe maintenant une durée minimale requise d’environ 6 mois.
- Détresse significative : pour poser un diagnostic, le trouble doit être considéré comme ayant provoqué une détresse significative (l’exigence du DSM-IV de «difficulté interpersonnelle» a été supprimée).
- Un nouveau critère d’exclusion a été ajouté: le trouble ne devrait pas être mieux expliqué par «un trouble mental non sexuel, conséquence d’une détresse relationnelle grave (par exemple, la violence d’un partenaire) ou d’autres facteurs de stress importants».
• Dimensions systémique du diagnostic
Dans le DSM-5 Un nouveau groupe de critères appelés «caractéristiques associées» a également été introduit. Il est divisé en cinq catégories:
1) facteurs liés au partenaire (par exemple, problème sexuel lié au partenaire; état de santé du partenaire); (Quel est la fonction du symptôme)
2) les facteurs relationnels (par exemple, mauvaise communication, divergences dans le désir d’activité sexuelle);
3) facteurs de vulnérabilité individuels (par exemple, mauvaise image corporelle; antécédents d’abus sexuel ou émotionnel), comorbidité psychiatrique (par exemple, dépression; anxiété) ou facteurs de stress (par exemple, perte d’emploi, deuil);
a.
4) facteurs culturels ou religieux (par exemple, inhibitions liées aux interdictions d’activités sexuelles ou de plaisir; attitudes vis-à-vis de la sexualité);
a. important de s’informer pour comprendre
5) les facteurs médicaux pertinents pour le pronostic, l’évolution ou le traitement.
a. Connaitre les spécialistes à proximités (références)