Cours 11 Relation police et médias Flashcards
Quels sont les logiques institutionnelles contradictoires?
- Publicité (les journalistes, le plus vu possible)«——»Secret(Police, doit protéger l’information)
- Liberté(journaliste, liberté élément essentiel de notre société)«——» Pouvoir(police, maintien de l’ordre et des relations de pouvoir, comme objectif idéal à atteindre)
- Droit à l’information (journaliste croit que le droit à l’info est la chose la plus importante)«——-»Droit à la sécurité(police valorise plus la sécurité)
Quels sont les complicités entre les médias et la police?
a) Besoin d’information (des deux côtés): les journalistes ont besoin de sources dans la police/ souvent l’information journalistique va être utiliser par la police pour faire des nouvelles enquêtes ou avoir une nouvelle vision.
b) Relations publiques: la police a besoin de la presse pour communiquer avec la population
c) Usage à des fins opérationnelles: dans le cas d’enlèvement d’un enfant besoin des médias pour faire avancer les enquêtes.
Quel est la représentation du crime et de la police par les médias?
- Fréquence: La fréquence dont on parle d’affaire criminel reste stable ou augmente sans cesse, les médias ne représentent par le réel taux de criminalité, les gens croient qu’ils y plus de crimes puisque les médias en parlent tout le temps. Le public se base sur une représentation subjective et non sur des faits objectifs comme Stats Canada.
- Gravité: Crime grave. On parle simplement des crimes graves, par des crimes moins graves. L’effet spectaculaire est beaucoup plus important puisqu’il est plus attractif pour le public.
- Biais; représentation des criminels et des victimes erronés. Les victimes sont plus vieilles, plus blanches et de classe sociale plus élevé.
- Violence: Crime violent, le public aime lorsqu’il y a de la violence.
- Récits policiers: contrairement à ce que les policiers pensent l’information transmises sur les policiers est positives,
Quel est le processus de productions des médias (pourquoi ses biais)
- Cycle temporel: certains médias et journaliste travaille dans l’urgence, il faut produire de quoi pour le lendemain. Pas vraiment le temps de vérifier l’information que de ne rien remettre. Pression de la part des lecteurs et des cadres. La police peut avoir ce problème aussi, on s’attend à ce que la police fasse un point de presse rapidement, erreur au début du printemps érable.
- Plus petit dénominateur (d’éthique) commun: les journalistes ont un code d’éthique, cela peut amener à ne pas divulguer l’information. Les journalistes vont attendent parfois pour divulguer l’information, cependant s’il y a seulement un journaliste qui brise le code d’éthique, tous vont le faire.
- Domination: qui domine la relation? On croit en général que la police l’a. Cependant dépend du secteur médiatique, si on travaille avec les images, très important d’avoir bonne relation avec la police, comme ceux qui travaille dans le milieu criminel.
- Conflit: séries de conflits entre journaliste et police, beaucoup de commission d’enquête déclencher par journaliste. Conflictuel puisque les journalistes publicisent tandis que la police garde dans le secret.
- Les médias en tant que «police»: les médias participent au contrôle social dans une société normalise, met de l’emphase sur certain problème, rend visible et invisible d’autres comportements. Outil
Quel est le paradoxe central de la police par le Cinéma?
Les images construites par les médias créent toutes sortes d’attente pour les policiers. Et lorsqu’ils arrivent sur le terrain, ils se rendent compte qu’ils passent très peu de temps sur des activités criminels. Ils croient donc en quelque sorte que ce qu’ils font n’est pas véritablement du travail de police.
Qu’est-ce que le dilemme dramaturgique de la police?
1.Ce dilemme ou paradoxe est lié à l’affirmation faite par la police qu’elle contrôle le crime. C’est faut la police n’a pas d’impact significatif à long terme sur le crime. La courbe de la criminalité serait influencée par des facteurs démographiques, économiques… Ce n’est pas la police qui a un impact, elle n’agit pas non plus sur les facteurs démographiques et économiques. On est respectueux des lois parce qu’on a appris que ce n’était pas bien.
La légitimité de la police découle du fait qu’elle dit quelle lutte contre le crime et que sans elle, le crime prendrait de l’expansion, c’est pour ça qu’on accepte son pouvoir et sa force. Pour la police il ne faut pas trop mettre de l’attention sur la police. Elle se met en scène à ce moment-là.
Qu’est-ce que la série Cops fait ressortir?
- Société en déclin: quelque chose qui va mal et qu’il faut réagir vite.
- Manque de sévérité de la part des autorités: ce déclin se poursuit puisqu’ils manquent d’autorité, de ressources et les lois ne les aides pas.
- La police a les mains liées:
- Il faut plus de police avec plus de moyens légaux.
Le message envoyé est qu’il faudrait donner plus de moyens au policier
De plus, elle serait le seule rempart entre le chaos et l’ordre, la seule a pouvoir lutter contre le crime.
On montre seulement le point de vue du policier et non du suspect.