Cours 1 à 6 Flashcards

1
Q

Savoirs non-scientifiques

Définition er exemples de savoir non-scientifique

A

Déf: Qui repose sur qqch qui n’est pas scientifique
- Expérience
- croyances
- médias

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2
Q

Définition de pseudo-science

3 exemples selon Lilienfeld et Landfield

A

disciplines qui en apparence semblent des sciences mais à qui il manque la substance scientifique

  1. Il n’y a pas d’auto-correction
    Importance aux témoignages anecdotiques
  2. Ad antequitem fallacy
  3. Utilisation de jargon hyper-technique

N’est pas une question de sujet d’étude mais de méthode

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3
Q

Sur quelle type de données est basé la recherche scientifique?

A

Des données empiriques

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4
Q

Recherche scientifique

Quels sont certains but de la recherche scientifique?
Étapes du processus d’acquisition des connaissances (5)

A

Découvrir
Décrire
Exploration des relations
Explication des relations
Prédire et contrôler

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5
Q

Champs d’intérêt de la recherche

Quel est le but de la recherche

A

acquisition des connaissances

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6
Q

Champs d’intérêt de la recherche

Qu’est-ce que la théorie

A

organisation des connaissances

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7
Q

Champs d’intérêt de la recherche

Qu’est-ce que la pratique

A

application des connaissances

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8
Q

Différence en qualitative et quantitative

A

QUALItative: description, explication, prédiction, contrôle. Utilise des généralisations. DONNÉES NUMÉRIQUES

QUANTItative: compréhension, interprétation des phénomènes avec des info fournies par des participants. ENTREVUES ET DISCUSSIONS

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9
Q

Fondamentale vs Appliquée

A

Fondamentale: avancer les connaissances, pas d’application clinique
Appliquée: découvrir des solutions, application en cas d’intervention

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10
Q

Expérimentale vs non expérimentale

A

Expérimentale: relation causes à effets en VD et Vi, test d’hypothèse
Non-expériementale: description d’évènement, vérification de relations associatives

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11
Q

Qu’est-ce qu’un paradigme?

A

ensemble de postulats, concepts et valeurs dominants partagés par les membres d’une communauté scientifique à une époque donnée (Chalmers, 1982)
Modèle de référence fondamental
Les chercheurs s’y appuient pour orienter leur recherche

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12
Q

De manière générale

Quel type de paradigme est utilisé en QUANTItatif

A

post-positiviste

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13
Q

De manière générale

Quel type de paradigme est utilisé en QUALItatif

A

constructiviste

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14
Q

Paradigmes

Qu’est-ce que le post-positiviste?

A
  • Il existe une réalité objective indépendante de l’observation humaine.
  • Cette réalité ne peut être connue que de façon imparfaite
  • On peut mesurer des concepts latents avec des outils, des questionnaires
  • Approche hypothético-déductive
    Vérifier des hypothèses formulées avant le début de la recherche
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15
Q

Qu’est-ce que le constructivisme?

A
  • La réalité est socialement construite à partir de perceptions individuelles susceptibles de changer avec le temps
  • Ceux qui vivent une situation sont les seuls à pouvoir témoigner de cette situation-là
  • Approche inductive
  • Hypothèses et théories émergent du processus
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16
Q

Décrire l’approche inductive

A

Déf: formulation d’idées qui s’appuie sur des éléments particuliers d’information factuelle en vue d’élaborer des principes plus larges et généraux
- Départ d’un petit échantillon qui rapporte des expériences de vie et on extrapole des théories
- On part de faits spécifiques
-** But : explorer**
- Raisonnement : inductif oû les connaissances viennent de l’expérience, de l’observation de la réalité.

faits spécifiques –> théories

QUALITATIVE

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17
Q

Décrire l’approche déductive

A

Déf: Obtenir une connaissance théorique en déduisant un cas particulier d’une règle générale
- La démarche déductive nécessite que la règle générale soit juste
- But : décrire ou expliquer
- Raisonnement : déductif oû des propositions générales théoriques sont vérifiées dans la réalité

Théories –> faits

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18
Q

Décrire l’approche hypothético-déductive

A

Déf: : formulation d’idées à partir d’autres idées ou de théories qui permet au chercheur de passer logiquement d’hypothèses ou de principes généraux à des idées plus spécifiques
De l’hypothèse à la vérification à l’aide d’observations empiriques
But : décrire ou expliquer
Raisonnement : déductif, propositions générales théoriques sont vérifiées dans la réalité

Théories –> hypothèses –> vérification

QUANTITATIVE

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19
Q

Scientisme naĩf

A

: croire que l’on peut établir des vérités définitives ou que nous avons la même rigueur que des disciplines comme la physique ou la biologie

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20
Q

Scepticisme

A

nier la possibilité que l’on peut créer des connaissances scientifiques en sciences sociales.

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21
Q

Modèle ou cadre conceptuel
3 éléments qu’il contient

A

Schéma explicatif des principaux concepts en jeu et de leurs relations présumées ou existantes dans une étude

Concept: Abstraction, image mentale ou théorique que l’on se fait de la réalité (sujet général ex: psychopathie)
Dimension: Différentes facettes d’un concept
Indicateurs: Caractéristique concrète qui peut prendre différentes valeurs (questions)

Concept et dimension ne sont pas vus dans la nature. les mesures sont prises avec les indicateurs

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22
Q

Variable de contrôle

A

va avoir un effet sur Vi et/ou VD

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23
Q

Critère de causalité

A

Deux concepts distinct, relation mesurable entre Vi et VD qui ont aussi une temporalité
AUCUNe tierce variable n’est responsable de la relation
Relation apparaît chez plusieurs échantillons représentatifs et de différentes analyses

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24
Q

Éléments à délimiter dans la question de recherche

A

Sujet d’étude
Population
Concepts clefs
Pronom interrogatif qui tient lieu de pivot : interrogation qui reflète le paradigme (post-positivisme ou constructivisme) et il se rapporte à un niveau de recherche (découvrir, décrire, explorer, prédire, etc.)

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25
Q

Correlation vs causalité

A

Corrélation: tendances qui se suivent sans lien apparent (Noyade vs Nicolas Cage)
Causalité: un apporte l’autre

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26
Q

Études pour angle explicatif

A

Études à visé temporelle (relation entre variables)
Étude de cohorte ( force et sens de relations)

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27
Q

Types d’études angle prédictif et de contrôle

A

Expérimentale et quasi-expérimentale (prédiction ou différence entre des variables/groupes)

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28
Q

Type d’étude angle descriptif

A

quantitative et qualitative

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29
Q

Vi et VD

positive et proprtionnelle

Sens de la relation

A

Vi et VD augmentent

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30
Q

Vi et VD

Négative ou inversement

Sens de la relation

A

Vi augmente et VD diminue (vice versa)

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31
Q

VD et vi

réciproque

A

s’influencent mutuellement

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32
Q

VD et Vi

symmétrique

A

l’un influence l’autre

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33
Q

Structure d’un article scientifique

Qu’est-ce qui doit être inclu dans l’introduction (3)

A

Recension des écrits
problématiques
Question de recherche / objectifs / hypothèses

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34
Q

Articel scientifique

Quelles sont les sous-sections de la méthodologie (4)

A

Échantillon
Sources de données / mesures
opérationnalisation des variables
analyses

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35
Q

Article scientifique

Qu’est-ce que l’opérationnalisation des variables

A

une dimension à la fois et une variable à la fois

Nommer, définir, expliquer, rapporter le sens

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36
Q

article scientifique

Quelles sont les 4 parties de la discussion &conclusion

A
  1. Intégration
  2. interprétation
  3. les limites
  4. l’ouverture
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37
Q

Article scientifique

Quelles sont les 2 significations possible de la recension des écrits?

COmment les 2 sont-ils utilisés?

A
  1. recherche de texte autour d’un sujet
  2. production écrite à partir de la recherche de textes

1 (recherche). Se faire une idée de ce qui a été écrit sur le sujet
Évaluer la pertinence et la contribution à l’avancée des connaissances
Bien définir le problème

2 (texte). synthèse des principales sources théoriques et empiriques des publications de recherche qui rendent compte de ce qui est connu sur un sujet particulier
Buts :
Établir l’état de la question
Délimiter le problème
Fournir des idées sur les méthodes et mesures
Apprécier les résultats et les recommandations

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38
Q

Quelles sont les 7 étapes de la recension des écrits

A
  1. Décortiquer son thème (mots-clefs)
  2. Faire des recherches
  3. Dresser une liste des écrits pertinents
  4. Sélectionner les écrits pertinents
  5. Lire les écrits et rédiger des fiches de lecture
  6. Analyser et synthétiser les écrits
  7. Rédiger la synthèse des écrits recensés
39
Q

Les 5 types de lecture pour la recension des écrits

A

Lecture traditionnelle : du début à la fin
Lecture sélective ou indicative : se concentre sur la lecture de certains éléments
Lecture rapide : parcourir rapidement
Lecture active : extraction d’information

40
Q

Article scientifique

COmment structurer la problématique trouvée? (4)

A
  1. Court résumé de la recension
  2. Présentation du «problème»
  3. Présentation et justification des contributions espérées de l’étude
    4 Présentation des concepts et des notions centraux
41
Q

article scientifique

Différence entre objectif général et l’objectif spécifique

A

Général: But de la recherche, énoncé général pour annoncer l’orientation de la recherche**, sert à orienter la lecture

Spécifique: Question(s) de recherche, enoncé explicite qui indique les informations que l’on souhatite obtenir**, précise le but

42
Q

Les 4 qualités d’une question de recherche

A

Clarté
Faisabilité
Pertinence
Ouverture à l’élaboration d’hypothèse

43
Q

3 caractéristiques de l’hypothèse

A

claire
plausible
vérifiable

44
Q

Carte gratuite

Que peut-être une hypothèse

A

Directionnelle ou non
Associative ou de causalité
Simple ou complexe
Nulle ou de recherche

45
Q

Définition et exemple d’une hypothèse directionnelle et non directionnelle

A

Directionnelle: exprime la direction d’une relation entre les variables
EX: pairs délinquants, donc consomme davantage d’alcool (augmentation)

Non directionnelle: neutre, n’énonce pas de direction de la renlation entre les variables
EX: présence de pairs délinquants et la fréquence de consomation d’alcool (neutre)

46
Q

Définition et exemple d’une relation associative et d’une relation de causalité

A

Associative: Les variables se produisent ou se modifient simultanément
EX: pairs délinquants, donc consomme davantage d’alcool

Causalité : Relation de cause à effet entre au moins deux variables
EX: pairs délinquants qui déménagent diminue la consommation d’alcool, comparativement à ceux qui n’ont pas déménagés

47
Q

Définition et exemple d’une hypothèse simple et d’une hypothèse complexe

A

Simple: Prédit une relation associative ou causale entre deux variables
EX: faible estime de lui-même, donc consomme davantage d’alcool

Complexe: Prédit une relation associative ou causale entre trois variables ou plus
EX: augmentation de pairs délinquants, augmentation de la faible estime de lui-même, consomme davantage d’alcool

48
Q

Différence entre H1 et H0

A

Hypothèse de recherche (H1): affirmation d’une relation anticipée entre deux variables qui doit être démontrée par des résultats

Hypothèse nulle (H0): affirmation qu’il n’y a pas de différence ni de relations statistiques entre des variables
Toujours implicite, l’hypothèse de recherche, mais sans les relations

49
Q

Vérification d’hypothèse

Est-ce que l’on peut prouver ou démontrer une relation

A

Non, on confirme ou l’infirme

50
Q

Qu’est-ce que le devis de recherche?

A

Plan d’ensemble de la recherche
Après la recension, la question de recherche et la problématique, pour répondre à la question de recherche et prouver sa pertinence
Schème méthodologique (méthodologie), de manière précise

51
Q

Exemples de quelques éléments à considérer pour le devis de recherche

A

Types de comparaison ( types, nombre, etc.)
Milieux de recherche (oû)
Biais (éléments qui pourrait fausser les résultats
Moment et fréquence de la collecte de données (durée de l’entrevue, combien de temps la collecte va être faite)
Contrôle de variable étrangère (tous types de variables qui pourraient influencer celle étudiée, comme le biais)

52
Q

Devis de recherches - éléments à considérer

Parmis les variables étrangères, nommez-les 3 types et définition pour chacune

A
  1. Réflexibilité : L’influence de nos connaissances sur le sujet
  2. Variable extrinsèque: éléments et conditions lors de la prise de données
  3. variable intrinsèque: caractéristiques personnelles des participants.
53
Q

Devis de recherche

Noms des 5 types d’études (recherche QUANTItative)

A
  1. Descriptive
  2. transversale
  3. longitudinale
  4. expérimentale
  5. quasi-expérimentale
54
Q

Étude transversale dans le temps

A

à un moment précis

55
Q

Étude longitudinale dans le temps

A

Suivi des participants sur une période de temps
Prospective : avance dans le temps
Rétrospective : recule dans le temps

56
Q

3 éléments pris en compte pour les études expérimentales et quasi-expérimentale

A
  1. Scientificité
  2. robustesse
  3. rigueur
57
Q

Mettre en ordre du meilleur au moins bon dans les études expérimentale et quasi-expérimentale.

Mentionner leurs caractéristiques

A
  1. Devis expérimental (répartition aléatoire) (pré-test,expérimentation, post-test)
  2. Devis quasi-expérimental avec groupe contrôle (répartition non-aléatoire) (pré-test,expérimentation, post-test)
  3. Devis quasi-expérimentale sans groupe contrôle (un seul groupe) (pré-test,expérimentation, post-test)
  4. Devis quasi-expérimental sans pré-test (répartition non-aléatoire) (expérimentation, post-test)
  5. Devis non-expérimental (un seul groupe) (expérimentation, post-test)
58
Q

Devis de recherche

Noms des 5 types d’études (recherche QUALitative)

A
  1. Phénoménologiques (tel que vécu)
  2. ethnographiques (mode de vie et façon de faire)
  3. de théorisation ancrée (élaborer des théories de sujets peu élaborés)
  4. de cas (examen détaillé et approfondie d’un phénomèene lié à une antité sociale)
  5. descriptives (descriptions)
59
Q

Les 3 « sphères » de l’échantillonnage (plus grand au plus petit) avec courte description

A

Population (étude accessible à tous)

Population possible (étude accessible à ceux qui ont une caractéristique recherchée)

Échantillon (Ont toutes les caractéristiques recherchées)

Unités dans l’échantillon (gens qui vont être utilisés)

60
Q

3 éléments qui peuvent influencer l’échantillonnage

A
  1. Échantillonage de bonne qualité avec une définition claire de la situation
  2. Représentativité: caractéristiques similaires à celle de la population cible
  3. Biais d’échantillonnage oû l’échantillon ne reflète pas la population
61
Q

3 manières d’éviter le biais d’échantillonnage

A

Sélection aléatoire
Nombre suffisant de participants (sauf pour les études de cas)
Reproduire fidèlement de la population

62
Q

2 types de méthodes d’échantillonnage

A
  1. Probabiliste
  2. non probabiliste
63
Q

Caractéristiques de l’échantillonnage probabiliste

A

Techniques aléatoires
**Chance égale de faire partie de l’échantillon **
Probabilité de faire partie de l’échantillon est connue

64
Q

Caractéristiques de l’échantillonnage non probabiliste

A

Techniques arbitraires
Probabilité de faire partie de l’échantillon n’est pas connue ou égale
Causes possibles de ce choix : manque d’argent ou de temps, informations incomplètes ou inaccessibles (ex: victimes d’agression sexuelle).

65
Q

Échantillonnage probabiliste

Description de l’échantillonnage aléatoire simple

A

Accorder à tout individu la même chance d’être sélectionné qu’un autre

Représentativité : l’échantillon sera presque conforme à la population

66
Q

Échantillonnage probabiliste

Description de l’échantillonnage stratifié

A

Diviser la population en sous-groupes (strates) homogènes (selon une caractéristique) et **choix aléatoire **dans chaque sous-groupe (strate).
Strates proportionnelles ou non.

Représentativité : Plus grande représentativité de l’échantillon en occasionnant moins d’erreurs que l’échantillonnage aléatoire simple

67
Q

Échantillonnage probabiliste - Échantillonnage stratifié

Qu’est-ce qu’une strate proportionnelle?

A

Même probabilité d’être sélectionné dans la population, puis dans l’échantillon

68
Q

Échantillonnage probabiliste - Échantillonnage stratifié

Qu’est-ce qu’une strate non proportionnelle?

A

Dans l’échantillon, les deux types de variable (ex: violeurs et pédophiles) représenteront 50% chaque de leur catégorie dans la population.

Par exemple, s’il y avait davantage de violeur que de pédophiles dans la population, leus deux seront à 50% dans l’échantillon à la place de garder les mêmes pourcentage que dans la population

69
Q

Échantillonnage probabiliste

Description de l’échantillonnage par grappe

A

Choisir au hasard d’un ou des sous-groupes (grappes) et choisir aléatoirement un échantillon dans chacune des grappes.
Un ou plusieurs degrés

Représentativité : Similaire à la méthode d’échantillonnage simple en supposant que les unités de chaque grappe sont représentatives

70
Q

Échantillonnage probabiliste

Qu’est-ce que l’échantillonnage par grappe au 1er degré

A

Ex: sur la liste d’établissement que l’on peu étudier, on en choisi quelques un et on questionne tout le monde

71
Q

Échantillonnage probabiliste

Qu’est-ce que l’échantillonnage par grappe à plus de 1 degré

A

Ex: sur la liste d’établissement que l’on peu étudier, on en choisi quelques un et on questionne des personnes choisi, pas tout le monde

72
Q

Échantillonnage probabiliste

Différences entre strates et grappes

A

Les grappes existent dans la réalité
Pénitenciers
Quartiers
Programmes d’études

Les strates sont construites à partir d’une caractéristique
Type de victimes : violeurs et pédophiles
Genre
Âge

73
Q

Caractéristiques de l’échantillonnage non probabiliste

A

Une recherche ne nécessite pas toujours un échantillon représentatif de la population.

  • Données valables et pertinentes
  • Degré de représentativité inconnu

Avantages : moins coûteux, requiert moins de temps

74
Q

Échantillonnage non probabiliste

Description de l’échantillonnage accidentel (ou de convenance)

A

Choisir des personnes selon leur accessibilité (moment et caractéristiques spécifiques, moins de contrainte)

Exemple : on fait une recherche sur les femmes victimes d’agression sexuelle –> on recrute les premières femmes à se présenter dans un CLSC

75
Q

Échantillonnage non probabiliste

Description de l’échantillonnage par quotas

A

Subdiviser la population en sous-groupes relativement homogènes selon une caractéristique.
Différent de l’échantillonnage par strates dans la façon dont les unités sont sélectionnées. Les quotas sont déterminés avant de recruter, quota des sous-groupes.

Exemple : on fait une recherche sur les femmes victimes d’agression sexuelle –> on recrute les premières femmes à se présenter dans un CLSC mais on veut 50% de caucasiennes et 50% de minorités visibles

76
Q

Échantillonnage non probabiliste

Description de l’échantillonnage intentionnel (ou typique)

A

Sélectionner certaines personnes en fonction de caractéristiques typiques (critères de sélection) de la population. Ne peut pas prendre n’importe qui.

Exemple : on fait une recherche sur les femmes victimes d’agression sexuelle –> on installe des affiches dans un CLSC avec les critères de sélection et on** attend que des volontaires se manifestent**

77
Q

Échantillonnage non probabiliste

Description de l’échantillonnage par réseaux (ou boules de neige)

A

Personnes recrutées initialement suggèrent le nom d’autres personnes
Utiles pour les milieux qui sont fermés !
Commence comme l’échantillonnage typique. Les participants utilisent leur réseau de contact.

Exemple : on fait une recherche sur les membres de groupes d’extrêmes-droite –> on recrute un premier participant et on lui demande de nous aider à faire du recrutement dans son groupe

78
Q

Facteurs à considérer pour choisir la bonne technique d’échantillonage (4)

A
  1. Objectifs de la recherche
    2. population à échantillonner (particulièrement pour un groupe fermé)
    3. ressources disponibles (temps, argent, matériel) (ce qui arrive le plus souvent)
  2. Homogénéité de la population accessible

Plus d’une technique peuvent être utilisées

79
Q

Quelle est la responsabilité des chercheurs pour l’éthique

A

intégrité, de respecter les règles éthiques et morales

80
Q

3 principes à respecter selon l’éthique

A

Respect des personnes
préoccupation pour le bien-être
justice

81
Q

Éthique

Définition : Le respect des personnes

A

**Consentement **libre, éclairé et continu
Les participants connaissent l’objectif de la recherche, les avantages et les risques encourus
Les sujets peuvent se retirer en tout temps

82
Q

Éthique

Définition: préoccupation pour le bien-être

A

Les participants ne doivent pas vivre de préjudice de leur participation
Ressources en cas d’effets négatifs (ressources en santé mentale, coordonnées d’un répondant, etc.)
Le groupe du participant ne doit pas subir de préjudice (stigmatisation)

83
Q

Éthique

Définition: La justice

A

Les efforts de recherche ne doivent pas toujours s’appuyer sur les mêmes groupes
Tous les groupes bénéficient des efforts de recherche

84
Q

5 règles/droits d’éthique

A
  1. Droit à l’autodétermination
  2. Droit à un traitement juste et équitable
  3. Droit à l’intimité
  4. Droit à l’anonymat
  5. Droit à la protection contre l’inconfort et le préjudice
85
Q

Droit à l’autodétermination

A

Principe : Toute personne est capable de décider par elle-même et de prendre en main sa propre destinée
- Décision libre et éclairée
- Participation volontaire
- Droit de retrait en tout temps, qui pourrait aussi ammener à l’effacement des données du participant

Violation :
Autonomie des individus réduite
Utilisation de la tromperie

86
Q

Droit à un traitement juste et équitable

A

Principe : les participants **doivent être au courant de la nature de la recherche **
- Information sur la nature, le but, la durée, les méthodes
- Formulaire de consentement libre et éclairé
- Traitement des personnes avec dignité

87
Q

Droit à l’intimité

A

Principe : les individus sont libres de décider de l’étendue de l’information qu’ils sont prêts à partager
- Intrusion dans la vie privée la moins envahissante possible
- Intimité protégée
- Conséquences néfastes prises en compte

Violation :
Information recueillie à l’insu du participant
Informations recueillies par une tierce personne
Questions non nécessaires à la recherche

88
Q

Droit à l’anonymat

A

Principe : les résultats doivent être présentés de façon à ce que **chaque participant ne soit pas reconnu **
- Identité du participant ne peut pas être reliée à ses réponses individuelles
- Plus difficile en recherche qualitative
- Pas de données nominatives (qui identifie)

Violation :
Accès à des données nominatives ou dévoilement des réponses d’une personne
Cas particulier des cas de danger pour soi-même ou autrui.

89
Q

Droit à la protection contre l’inconfort et le préjudice

A

Principe : protection contre des inconvénients susceptibles de causes du tort ou de nuire aux participants
- Torts psychologiques, physiques, financiers, légaux
- Quelles sont les répercussions de la recherche

Violation :
Risque de causer des dommages permanents (ex: sa réputation)
Manque de soutien ( $ pour le transport, etc.)
Attention aux personnes vulnérables (moins de 14 ans, déficiences, etc.)

90
Q

Expérience de Zimbardo, 1971 (Expérience de Stanford)

A

Effet de l’incarcération en utilisant des étudiants

91
Q

Expérience de Milgram, 1963 (soumission à l’autorité)

A

Choc électrique pour l’apprentissage. Un choc électrique était donné par les participants à la personne qui répondait mal à la question, les chocs électriques étaient de plus en plus fort.

92
Q

Co-construction itératif

A

Intéraction avec les autres pour avoir des informations, processus de saturation oû l’on peut prédire les réponses
Itératif: répété, dynamique d’échange

93
Q

6 étapes de l’analyse thématique

A
  1. Familiarisation avec les données
  2. Commencer à générer des codes
  3. chercher pour des thèmes
  4. revoir ses thèmes
  5. définir et nommer ses thèmes
  6. en faire la présentation