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PSY 1095 - PSYCHO DE L'ENFANT > COURS 1 À 5 > Flashcards

COURS 1 À 5 Flashcards

1
Q

développement qui se fait de la tête aux pieds (se tenir le cou vs marcher)

A

développement céphalo-caudale

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2
Q

développement qui va de l’intérieur vers l’extérieur (tronc vs extrémités)

A

développement proximo-distale

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3
Q

habiletés intellectuelles, mémoire, logique, langage, raisonnement, créativité

A

capacités cognitives

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4
Q

émotions, connaissance de soi, relations interpersonnelles,

A

capacités émotives, affectives et sociales

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5
Q

période du développement de l’enfance de la conception à la naissance

A

prénatale

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6
Q

période du développement de l’enfance de la naissance à 3 ans

A

petite enfance

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7
Q

période du développement de l’enfance de la naissance à 1 mois

A

nouveau-né

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8
Q

période du développement de l’enfance de 1 à 12 mois

A

nourrisson

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9
Q

période du développement de l’enfance de 12 à 36 mois

A

trottineur

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10
Q

période du développement de l’enfance de 3 à 6 ans

A

âge préscolaire

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11
Q

période du développement de l’enfance de 7 à 11 ans

A

âge scolaire

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12
Q

constitue un moment particulier ou son absence aura plus d’incidence sur le développement de l’individu qu’à tout autre moment, moment où l’enfant peut acquérir un comportement adaptatif dans la mesure où il est exposé à la stimulation

A

La période de développement critique

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13
Q

Moments optimaux ou phases dans lesquels l’enfant est sensible à son environnement et porte une attention particulière à des objets/activités, ce qui lui permet l’émergence de certaines habiletés en lien avec l’attention portée

A

La période de développement sensible

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14
Q

Gènes, origine héréditaires, inné, maturation

A

Facteurs internes

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15
Q

Influence du milieu (prénatal ou postnatal), acquis

A

Facteurs externes

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16
Q

les enfants ne sont ni bons ni mauvais, ils sont simplement le produit de leur environnement (tabula rasa)

A

John Locke

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17
Q

les enfants naissent avec un bagage d’idées qui se développent avec le temps

A

Jean-Jacques Rousseau

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18
Q

chaque culture devrait être étudiée individuellement, culture relativisme

A

Johann Gottfried Von Herder

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19
Q

la sélection naturelle; les caractéristiques des individus qui sont le plus “relevent” à l’évolution de l’espèce sont celles qui seront passées de génération en génération, la récapitulation: le développement individuel reproduit le développement de l’espèce de manière globale

A

Charles Darwin

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20
Q

fondateur du champ d’étude de la psychologie développementale, était également le premier président de L’APA

A

G. Stanley Hall

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21
Q

a influencé Piaget; sa théorie était que chaque individu est le résultat de l’hérédité et de son environnement, notions de stades

A

James Mark Baldwin

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22
Q

père fondateur du béhaviorisme, conditionnement et apprentissage

A

John B. Watson

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23
Q

maturation, stades de développement selon cette maturation naturelle

A

Arnold Gesell

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24
Q

stades psychosexuels du développement,est à l’origine de l’approche
Psychanalytique, le développement est marqué par l’action de forces inconscientes qui motivent le comportements, les événements arrivés dans l’enfance sont déterminants pour le développement de la personnalité à l’âge adulte

A

Sigmund Freud

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25
Q

Plus grande partie de l’esprit, Inconscient, présent dès naissance, Source des besoins biologiques, des désirs, des pulsions (refoulées)

A

ça (id)

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26
Q

La conscience, partie rationnelle de L’esprit Émerge tôt (poupon), Redirige pulsions du ça (acceptable), Pensées acceptables

A

moi (ego)

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27
Q

Censure inconsciente des pulsions non acceptables(dues à l’éducation, la société, la morale se développe de 3 à 6 ans à partir des interactions avec les parents

A

surmoi (superego)

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28
Q

influences de la culture et de l’environnement, l’être humain traverse au cours de sa vie huit crises développementales qui l’amènent à forger son identité, sa théorie du développement psychosocial se distingue de la théorie psychosexuelle de Freud par l’importance accordée à l’univers social et aux périodes de l’adolescence et l’âge adulte, l’ego acquiert aussi des habiletés utiles en société, important de connaître le contexte culturel pour comprendre le développement

A

Erik Erikson

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29
Q

0 à 18 mois (eric erikson)

A

confiance vs méfiance (On me répond, l’on répond à mes besoins, donneur de soin important)

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30
Q

18 mois à 3 ans (eric erikson)

A

autonomie vs honte + doute (Habiletés, l’enfant veut décider)

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31
Q

3 à 6 ans (eric erikson)

A

initiative vs culpabilité (Exploration par le jeu et les sens, responsabilité, ambition)

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32
Q

6 à 12 ans (eric erikson)

A

travail vs infériorité (Apprend, coopère)

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33
Q

un des psychologues les plus influents, épistémologie génétique, fonctions et structures cognitives, schèmes, adaptation, organisation, accommodation, assimilation, constructivisme

A

Piaget

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34
Q

la manipulation de l’environnement permet de manipuler directement l’individu

A

B.F Skinner: conditionnement opérant

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35
Q

donner au sujet un stimulus agréable, c’est un événement qui augmente la fréquence d’apparition d’un comportement grâce à l’apparition d’un stimulus agréable

A

renforcement positif

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36
Q

consiste à supprimer un stimulus

A

renforcement négatif

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37
Q

un stimulus aversif est présenté

A

punition positive

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38
Q

un stimulus agréable est éliminé

A

punition négative

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39
Q

l’apprentissage social, renforcement vicariant, apprentissage par observation, déterminisme réciproque, l’imitation et le modelage sont à la base des apprentissages et du développement, principe d’auto-efficacité (croire en ses propres qualités)

A

Bandura

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40
Q

Répond au monde comme les adultes, Ajout des mêmes habiletés, + en + en quantité et en complexité, Changement quantitatifs, Graduels, Stabilité

A

continuité

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41
Q

Nouvelles façons de répondre au monde, émergent, chaque stage a nouvelles façons spécifiques, Changements qualitatifs, Soudain, Stades avec des différences

A

discontinuité

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42
Q

stades séquentiels, recherche d’une séquence universelle, traversée par tous

A

développement normatif

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43
Q

contextes distincts, trajectoires individuelles

A

développement individuel

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44
Q

Inné, biologique, héritage génétique, développement est stable, expériences ont pas ou peu d’effets, si oui uniquement lorsque précoces

A

Nature

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45
Q

Environnement avant et après naissance, biologique, psychologique, physique, développement tient compte de plasticité, expériences ont beaucoup d’effets, le développement est ouvert au changement à tout moment

A

Culture

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46
Q

implication sélective, l’enfant affecte directement son environnement

A

actif

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47
Q

réactif aux stimulis, le développement est l’accumulation d’associations apprises

A

passif

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48
Q

provient de l’approche cognitive qui a été influencée par l’essor de l’informatique dans les années 1970, considère l’esprit humain comme un ordinateur complexe, élaborée à partir du mode de pensée des enfants et spécifie les processus impliquées dans la résolution de problèmes et la réalisation de tâches

A

La théorie du traitement de l’information

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49
Q

les interactions sociales sont nécessaires pour faire des apprentissages. Il considère que les interactions sociales de l’enfant vont structurer son fonctionnement cognitif. Ainsi, les croyances, traditions et habiletés sont transmises à la nouvelle génération. Au travers le dialogue et l’interaction, l’individu acquiert des façons de penser, de faire et développe des aspects du langage, le rôle de l’interaction sociale dans le développement cognitif, autre personne mieux informée, zone proximale de développement

A

Vygotsky

50
Q

considèrent que l’être humain a une tendance naturelle à s’actualiser et à devenir la meilleure version de lui même, humain est capable de poser des choix conscient et rationnels qui vont mener à sa propre croissance personnelle,les difficultés s’expliquent par une entrave à cette actualisation, donc l’être humain n’est pas gouverné par des forces inconscientes ou déterminé par l’environnement

A

Théories humanistes

51
Q

besoins de la pyramide de Maslow en ordre d’importance

A 
1- besoins physiologiques 
2- besoins de sécurité 
3- besoins d'appartenance 
4- besoins d'estime 
5- besoins d'accomplissement
52
Q

Les trois besoins de bases; 1. Autonomie : adhérer pleinement au choix de l’action à entreprendre et participer de façon significative à la réalisation de cette action (Ex. offrir des choix), 2. Compétence : acquérir un sentiment d’efficacité (Ex. choix des activités), 3. Affiliation : faire partie d’un groupe et partager des relations avec des personnes importantes pour soi (Ex. faire des projets communs)

A

La théorie de l’autodétermination par Deci et Ryan (humaniste)

53
Q

processus par lequel un individu peut s’autodéterminer, humain a une tendance à réaliser des actions et faire des choix afin de satisfaire trois besoins psychologiques fondamentaux, objectif est de viser le développement optimal de l’enfant en favorisant un sentiment de motivation autonome, motivation intrinsèque où l’enfant est naturellement attiré par la tâche ET motivation identifiée où l’enfant comprend et adhère à l’importance des tâches moins amusantes qui reposent sur des règles et contraintes en opposition à la motivation extrinsèque (ou contrôlée) qui consiste à réaliser une tâche dans le but d’avoir une récompense ou d’éviter une punition

A

L’autodétermination par Deci et Ryan

54
Q

L’environnement est un milieu social complexe qui comporte différents niveaux et systèmes interreliés

A

Approche écologique par Bronfenbrenner

55
Q

maison, école, parc (Broffenbrenner)

A

microsystème

56
Q

liens entres (Broffenbrenner)

A

mésosystème

57
Q

amis, communauté, travail, église (broffenbrenner)

A

exosystème

58
Q

valeurs, lois, traditions (broffenbrenner)

A

macrosystème

59
Q

événements qui changent les relations entre l’enfant et son milieu

A

chronosystème

60
Q

soutient l’existence de comportements adaptatifs qui favorisent la survie, comportement sont maintenus par l’espèce dans l’histoire et l’évolution, un comportement attendu dans la séquence de l’enfance devrait donc avoir une fonction particulière, l’attachement du parent à son enfant est essentiel pour la prise en charge du nourrisson et pour assurer sa survie

A

théories éthologiques

61
Q

a observé des comportements d’animaux et proposés les notions de périodes critiques et sensibles, étude classique de l’imprinting (empreinte ou imprégnation) avec les bébés oiseaux suivent mère

A

Lorenz

62
Q

premier théoricien de l’attachement, les relations précoces (figures parentales, donneur de soin) jouent un rôle majeur dans le développement de l’enfant, besoin inné de former des liens d’attachement

A

Bowlby

63
Q

Toutes les cellules du corps (muscles, nerfs, organes, os) SAUF les cellules germinales, constituées de 23 PAIRES de chromosomes, soit 46, chromosomes constitués d’ADN, porteurs de milliers de gènes, contiennent toutes les informations génétiques, division cellulaire par mitose qui est la division du noyau d’une cellule en deux noyaux identiques

A

Cellules somatiques

64
Q

cellules reproductrices sexuées (spermatozoïde ou ovule), lla suite de la méiose, chaque cellule (mère et père) contient 23 chromosomes simples

A

Cellules sexuelles (gamètes)

65
Q

les traits physiques et les caractéristiques d’un individu qui sont influencés par le génotype et l’environnement

A

phénotypes

66
Q

le matériel génétique

A

génotype

67
Q

un trait est déterminé par l’interaction de plusieurs gènes

A

transmission polygénique

68
Q

trait déterminé par l’interaction des facteurs génétiques ET environnementaux

A

transmission plurifactorielle

69
Q

Mécanismes qui contrôlent le fonctionnement des gènes à l’intérieur d’une cellule, sans affecter la structure de l’ADN de cette cellule, Changements qui se produisent tout au long de la vie en réponse à des facteurs environnementaux, peuvent expliquer pourquoi un jumeau monozygote peut être affecté par une maladie et l’autre non

A

mécanismes épigénétiques

70
Q

(période du développement prénatal)
24 à 48 heures
Fécondation

A

conception

71
Q

(période du développement prénatal)
Conception à 2 semaines
Implantation, début du placenta

A

zygote

72
Q

(période du développement prénatal)
6 semaines
Développement du SNC, des bras, jambes, visage, organes, premiers battements de coeur

A

Embryon

73
Q

(période du développement prénatal)
30 semaines
Croissance et entrée en fonction définitive des organes

A

Foetus

74
Q

Agents provenant de l’environnement, tels que alimentation, les médicaments et drogues, les maladies de la mère qui peuvent interférer avec le développement prénatal et entraîner des anomalies développementales

A

agents tératogènes

75
Q

travail, expulsion, déliverance

A

accouchement naturel

76
Q

(Espace membraneux entre les os du crâne du nouveau-né qui permettent sa déformation pour passer dans le bassin de la mère)

A

fontanelle

77
Q

(Substance graisseuse qui recouvre le corps du fœtus, protège contre les infections et facilite l’accouchement)

A

vernix caseosa

78
Q

(Fin duvet qui recouvre le corps du fœtus qui protège la peau et sert à la régulation thermique)

A

lanugo

79
Q

valeur pronostique confirmée et valeur prédictive mitigée) / apparence - pouls - grimace - activité - respiration

A

indice d’apgar

80
Q

liquide secrété par le sein dans les premiers jours de l’allaitement servant à l’immunisation

A

colostrum

81
Q

Chez l’enfant: l’allaitement diminue les risques

A

d’infections (les infections respiratoires, les otites moyennes aiguës et les infections gastro-intestinales), diminue les risques de mort subite du nourrisson, et chez les bébés prématurés, les risques d’entérocolite nécrosante (une maladie grave qui affecte les intestins du bébé)

82
Q

Chez la mère: l’allaitement diminue les risques de

A

l’allaitement diminue les risques de cancer du sein, diminue le risque de dépression post-partum

83
Q

Respiration régulière, yeux fermés, pas de mouvement des yeux, pas d’activité à l’exception de mouvements saccadés occasionnels

A

sommeil profond

84
Q

Les yeux fermés mais des mouvements rapides peuvent être observés, le niveau d’activité est faible, les mouvements sont plus doux que dans le sommeil profond, la respiration peut être irrégulière

A

sommeil léger

85
Q

Les yeux peuvent s’ouvrir et se fermer mais paraissent ternes lorsqu’ils sont ouverts, les réponses à la stimulation sont retardées, la stimulation peut provoquer un changement d’état ; le niveau d’activité varie

A

somnolence

86
Q

Les yeux ouverts et brillants, attention portée sur les stimuli, niveau d’activité relativement faible

A

inactivité alerte

87
Q

Les yeux ouverts, niveau d’activité élevé, peut montrer une brève agitation, réagit à la stimulation par une augmentation des saccades et de l’activité motrice

A

activité alerte

88
Q

Pleurs intenses difficiles à arrêter, niveau élevé d’activité motrice

A

pleurs

89
Q

(réflexe)
Soulever le dos et les fesses du bébé puis les relâcher, faire entendre un gros bruit
Étends les bras et les jambes, cambre le dos, rejette la tête en arrière

A

moro

90
Q

Frotter la plante du pied

Tourne les pieds vers l’intérieur, déploie les orteils

A

babinsky

91
Q

le sens le plus développé à la naissance

A

odorat

92
Q

les gènes sont responsables de la grandeur de l’enfant de par

A

l’activation de la glande pituitaire permettant de sécréter l’hormone de croissance

93
Q

un mode de pensée organisée qui regroupe les connaissances sur un thème et qui sert à interpréter certains aspects de son expérience

A

schèmes de piaget

94
Q

Mécanisme par lequel l’organisme incorpore les éléments externes en fonction de ses
schèmes existants, ce qui enrichit le schème “déformation de la réalité”

A

assimilation

95
Q

Modification des structures (création de nouveaux schèmes) afin d’avoir la capacité d’incorporer de nouveaux éléments (régulation; création et adaptation)

A

ACCOMMODATION

96
Q

Résultat d’un processus d’autorégulation par lequel l’organisme recherche un équilibre adaptatif dans l’intégration des données du milieu (assimilation) et dans l’ajustement de ces dernières aux exigences du milieu (accommodation)

A

équilibration

97
Q

naissance à 2 ans, permanence de l’objet, stade crucial; est la période de formation de schèmes, l’enfant commence à comprendre qu’il a une influence sur l’environnement ; il développe également la compréhension d’une séparation entre lui et le monde

A

stade sensorimoteur

98
Q

Exploration du monde par les schèmes sensoriels et moteur, Premiers schèmes : réflexes primitifs et comportements aléatoires, ces premiers schèmes vont évoluer par équilibration, la maîtrise graduelle des premiers schèmes et leur combinaison amène l’enfant à résoudre des problèmes simples

A

stade sensorimoteur

99
Q

À partir de 4 mois : L’enfant commence à comprendre qu’il peut agir sur l’environnement et il saisit plus tard la notion de cause à effet, la notion d’objet se développe graduellement pour mener à la permanence de l’objet entre 18 et 24 mois, ce qui permet à l’enfant d’accéder à la pensée symbolique

A

stade sensorimoteur

100
Q

exerce ses réflexes primitifs et comment les maîtriser, Ne coordonne pas encore volontairement l’information provenant de différents sens

A

sous stade 1- exercise des réflexes

101
Q

les réflexes se modifient pour devenir les premières habitudes, Reproductions d’actions d’abord survenue par hasard, parce qu’elle donnent des sensations agréables Elles sont dites primaires parce qu’elles sont centrées sur le corps plutôt que l’environnement (sucer son pouce)

A

sous-stade 2- réactions circulaires primaires

102
Q

début de l’intentionnalité, l’enfant commence à comprendre que certains événements surviennent ensemble, compréhension très limitée de la causalité, puisqu’elle n’implique pas encore le lien de cause à effet, Reproduction d’actions afin de recréer l’effet produit (ex; gazouiller = provoquer le rire chez quelqu’un), Dites secondaires parce qu’elles impliquent des réactions dans l’environnement (objets ou gens)

A

sous-stades 3- réactions circulaires secondaires

103
Q

les comportements s’orientent vers des buts, combinent les schèmes secondaires pour atteindre des objectifs de complexité croissante (Ex. : un enfant qui veut saisir un objet peut un écarter un autre qui fait obstacles), commence à prévoir les événements (Ex. un enfant comprend que sa mère va le nourrir parce qu’elle prépare le repas)

A

sous-stades 4 - coordinations des schèmes secondaires

104
Q

essai erreur (vs le stade précédent = plus safe moins exploratif), varier ses modes d’interaction, explore activement son environnement et les fonctionnalités variables des objets exploration active par essais et erreurs

A

sous stade 5 - réactions circulaires tertiaires

105
Q

invention de nouveaux moyens, marque la fin du stade sensorimoteur, s’éloigne progressivement de l’action pour entrer dans la représentation mentale, les découvertes ne résultent plus uniquement de l’expérimentation mais de combinaisons mentales, peut donc imaginer des gestes et ne passer à l’action que lorsque que la solution est trouvée

A

sous-stade 6 - combinaisons mentales

106
Q

2 ans à 7 ans, égocentrisme, débute avec l’acquisition complète du schème de l’objet permanent qui lui permet de se représenter mentalement les objets ou des situations, surtout définit par ce que les enfants ne comprennent PAS encore

A

stade préopératoire

107
Q

la pensée est rigide, illogique, tient compte que d’un aspect à la fois, très influencée par les apparences, ces représentations sont toutefois largement limitées par la centration qui amène l’enfant à ne percevoir qu’un seul aspect d’une situation (le plus saillant) au détriment des autres, développement de la compréhension de l’identité

A

stade préopératoire

108
Q

La classification (Déterminer des différences et similitudes), la compréhension des nombres (principe d’ordre stable, principe de cardinalité, principe d’ordinalité) la sériation (classer et trier des objets selon leurs caractéristiques (une seule catégorisation), inclusion des classes (comprendre les relations entre les classes d’objets, capacité à considérer qu’un objet peut appartenir en même temps à deux catégories (pas maîtriser dans le stade préopératoire))

A

stade préopératoire

109
Q

la suite des étiquettes forme une séquence ordonnée et fixe

A

principe d’ordre stable

110
Q

la dernière étiquette utilisée représente le cardinal de la collection (si on compte 1, 2, 3, 4, 5 éléments, alors, on en dénombre 5)

A

principe de cardinalité

111
Q

quantité d’objets avant lui, lui comprit (s’il est troisième, c’est qu’il y en a deux avant lui) l’ordinal d’un objet dans une collection ordonnée, c’est là où s’arrête le comptage pour cet objet

A

principe d’ordinalité

112
Q

capacité de comprendre que deux quantités égales restent égales malgré leur transformation

A

non conservation

113
Q

7 à 11 ans, décentration + apparition de la pensée logique, se remémorer les actions telles qu’il les a observées et aussi d’opérer mentalement des transformations sur ses représentations, la pensée est plus logique, flexible et organisée, capable d’opérations suivant une logique, la décentration (permet à l’enfant de focaliser sur plus d’un aspect à la fois et de les relier)

A

stade des opérations concrètes

114
Q

Réversibilité (suivre une série d’étape dans l’ordre et à l’inverse), les limitations deviennent les nouvelles capacités de l’enfant lors de ce stade, causalité (apparition du raisonnement inductif où l’enfant part d’observations sur plusieurs membres d’une classe pour les généraliser à toute la classe), base son jugement sur plusieurs observations (plutôt qu’une seule)

A

stade des opérations concrètes

115
Q

la fonction symbolique (faire des opérations sur ses représentations mentales sur la réalité concrète expérimentée par l’enfant), raisonnement spatial (rotation mentale, indications chemin, cartes), stade qui permet à l’enfant de se remémorer les actions telles qu’il les a observées et aussi d’opérer mentalement des transformations sur ses représentations pensée est plus logique flexible et organisée capable d’opérations suivant une logique

A

stade des opérations concrètes

116
Q

12 à … , raisonnement hypothético-déductif *pas tout le monde l’atteint

A

stades des opérations formelles

117
Q

aptitude cognitive permettant d’attribuer des états-mentaux non observables à soi ou aux autres, «penser que l’on pense», capacité de réfléchir sur les capacités cognitives, dans l’âge scolaire, l’enfant développe la conscience que les gens pensent aux pensées des autres, commence à comprendre le rôle des facteurs psychologiques sur la performance grâce entre autre à l’école (Ex. porter attention, se souvenir plus efficace, L’enfant commence à comprendre d’où viennent les connaissances)

A

théorie de l’esprit

118
Q

les enfants acquièrent les valeurs et les croyances de leur culture, de même que des stratégies de résolution de problèmes par le biais de dialogues de collaboration avec des membres mieux informés de société

A

vygotsky

119
Q

L’importance des contextes sociaux, les autres contribuent au développement cognitif, grande importance accordée au langage qui permet de communiquer avec les membres plus instruits et de participer à des dialogues, les découvertes, explorations et apprentissage de l’enfant se produisent par le biais des dialogues, le langage est la fondation pour tous les processus cognitifs de haut niveau, langage privé qui devient silencieux

A

théorie socio-culturelle

120
Q

manière par lequel le dialogue favorise le développement cognitif, tâches que l’enfant ne peut faire par lui-même, mais qu’il peut faire s’il est aidé ou accompagné

A

zone proximale de développement (vygotsky)

121
Q

Ajustement du soutien offert, processus par lequel un expert, lorsqu’il instruit un novice, répond en fonction du comportement du novice dans une situation d’apprentissage, de sorte que le novice augmente progressivement sa compréhension d’un problème

A

l’échaffaudage (vygotsky)

PSY 1095 - PSYCHO DE L'ENFANT (1 decks)

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