cours 1 Flashcards

1
Q

quelle approche utilise on en svs

A

approche généraliste-éclectique

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2
Q

Qu’est-ce que l’approche généraliste démontre

A

l’interdépendance des individus avec leur environnement physique et social

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3
Q

les raisons de la tendan ce à l’éclectisme

A

l’échec de démontrer la supériorité d’une approche

la croyance qu’aucune école ne peut fournir toutes les réponses

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4
Q

l’utilisation de l’approche généraliste

A
  • Des habiletés relationnelles pour créer une alliance thérapeutique forte
    o Instaurer un esprit de collaboration lors de l’évaluation
    o Instaure le sens du pouvoir d’agir pour contrer la démoralisation et augmenter l’espoir
  • Une approche holistique pour tenir compte de plusieurs niveaux
    o Répondre aux besoins des personnes
    o Défendre les personnes
    o Prendre en compte les contextes de vie des personnes
  • Un modèle général de résolution de problème
    o Fournir une structure et des guides pour la pratique à travers différentes étapes d’aide
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5
Q

fonction des théories scientifiques

A
  • Décrire et expliquer le comportement humain

- Faciliter le changement

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6
Q

fonctions générales et niveau d’abstraction des théories

A

Les théories de haut niveau pour la compréhension globale de la situation, les théories intermédiaires pour savoir quoi faire et les théories de bas niveau pour une intervention axée sur un problème spécifique

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7
Q

5 théories intermédiaires

A
  1. Psychodynamiques
  2. Cognitive-comportementale
  3. Humanistes
  4. Féministes
  5. Post moderne
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8
Q

théories psychodynamiques : cause des difficultés et définition des problèmes

A

Cause des difficultés : expériences douloureuses durant l’enfance
Psychodynamique classique :
Les problèmes sont des conflits non résolus qui découlent de fixation ou régression d’un stade

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9
Q

but des théories psychodynamiques

A

But : rendre conscient ce qui est inconscient

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10
Q

type d’intervention théories psychodynamiques

A

Intervention à long terme et intensive

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11
Q

types d’intervenant théories psychodynamiques

A

L’intervenant est neutre passif

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12
Q

évolution des théories psychodynamiques

A

L’évolution des théories psychanalytiques

  • Interventions plus courtes et intégration des facteurs sociaxue t interpersonnels
  • Intervenant plus actif et chaleureux
  • Érikson parle de stade psychosociaux et non psychosexuels
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13
Q

théories humanistes auteur

A

Théories humanistes
- Carl Rogers – thérapie centrées sur la personne
- Croyance de l’importance de la relation thérapeutique
-

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14
Q

théories humanistes cause des problèmes

A

Causes des problèmes : perte de contact avec le réel

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15
Q

role intervenant théorie humaniste

A

Intervenant aide la personne à développer une nouvelle conscience et une nouvelle signification autour de l’expérience vécue dans le présent

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16
Q

type de relation théories humanistes

A

Relation égalitaire et authentique entre intervenant et personne, approche non directive

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17
Q

théorie centrée sur la personne

A
  • Dans la thérapie centrée sur la personne, cela implique de surmonter ce qui a été imposé par les autres (ex. : les valeurs) pour se connaitre et s’accepter de manière plus complète et authentique
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18
Q

théorie existentielle

A
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19
Q

théorie féministe cause des problèmes et but

A
  • Théorie critique : vise la transformation des rapports de pouvoir
  • Cause des problèmes sociaux : l’institutionnalisation des privilèges masculins, domination et exploitation des personnes
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20
Q

théorie féministe principes

A

Principes de la pratique féministe :

  • Minimiser les rapport de force entre la personne et l’intervenant
  • Augmenter la conscience de la personne sur comment le système institutionnalisé des privilèges masculins résulte dans la domination, l’exploitation et l’abus des femmes
  • Montrer le lien entre les questions personnelles et politiques ou sociales pour contextualiser et dépathologiser les difficultés vécues par la personne;
  • Valider l’expérience subjective et les sentiments de la personne et mettre en exergue sa résilience et ses forces;
  • Favoriser le contact entre le client et d’autres personnes vivant la même chose pour favoriser son pouvoir d’agir, sa croissance, et l’actualisation de soi;
  • S’engager dans l’action sociale et politique pour changer les conditions et les croyances qui soutiennent le patriarcat;
  • Valoriser la diversité et promouvoir la conscience sur comment toutes les formes d’oppression sont liées et douloureuses pour le bien-être humain.
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21
Q

théorie féministe accent est mis sur

A

Accent mis sur les dommages engendrés par le système patriarcal qui utilise le pouvoir et ses privilèges pour oppresser les femmes et d’autres groupes marginalisés.

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22
Q

théories post-moderne caractéristiques

A
  • l’expérience humaine est socialement construite à travers le langage (réalité subjective)
  • Dans le constructivisme, la réalité est mentalement construite à partir de sa propre réalité ou elle est construite à travers une évolution conjointe avec les autres;
    Une variété d’approches post-modernes ont vu le jour depuis le début des années 1990. En général, ces approches sont caractérisées par:
  • se concentrer sur la compréhension du monde du client à partir de sa propre perspective;
  • ## emphase sur le rôle important du langage dans la recherche mutuelle d’une nouvelle compréhension axée davantage sur le pouvoir d’agir dans l’histoire de la personne;
  • ## Dans ce contexte, les personnes peuvent surmonter leurs difficultés en développant une vision plus positive de leur vie;
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23
Q

théories post-moderne intérêt principal

A
  • Son intérêt principal est dans l’intersection entre pouvoir, discours social et culture dans le développement des significations pour les personnes;
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24
Q

théories post-moderne type intervention et rôle du ts

A

intervention non structurée et non directive et le rôle du travailleur social est de collaborer et d’avoir une écoute empathique;
- La relation collaborative et égalitaire du travailleur social avec la personne, reconnaissant d’emblée le client comme l’expert de son expérience;

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25
Q

théories post-moderne cause du problème

A

cause du problème : construction subjective de l’expérience vécue par les clients ou dans l’internalisation de discours culturels toxiques;

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26
Q

Les approches inductives

A
  • regard porté sur l’action qui est ou qui a été réalisée;
  • L’acquisition des connaissances dans l’action.
  • Bien que ces connaissances peuvent refléter l’intégration de connaissances acquises à partir des théories, il y a aussi des connaissances qui se développent naturellement dans le «comment faire» et qui ne dépendent pas du «qu’est-ce qu’il faut faire»;
  • la réflexion dans l’action
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27
Q

définition communication

A

La communication est l’acte, par une ou plusieurs personnes, d’émettre et de recevoir des messages qui sont déformés par les parasites, surviennent dans un contexte, ont des effets (et une dimension morale) et offrent une possibilité de rétroaction (Devito, p. 20)

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28
Q

éléments communication

A
  • contexte
  • émetteur- destinataire
  • Le message;
  • Le canal de communication;
  • Les parasites (filtres ou bruits);
  • Les processus d’émission ou encodage;
  • La rétroaction (feedback);
  • La préparation du terrain, l’effet et la morale.
  • Les principes de la communication:
  • Un ensemble de signaux verbaux et non verbaux;
  • Un processus d’ajustement;
  • Un contenu et des aspects relationnels;
  • Des transactions symétriques et complémentaires;
  • Les séquences de communication sont ponctuées à des fins d’interprétation;
  • Un processus transactionnel;
  • La communication est inévitable;
  • La communication est intentionnelle;
  • La communication est irréversible.
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29
Q

la communication est

A

inévitable, irréversible et intentionnelle

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30
Q

les éléments de soi importants dans la comm.

A

conscience de soi, estime de soi, révélation de soi

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31
Q

fenêtre de johari

A

soi dévoilé, soi caché, soi aveugle, soi inconnu

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32
Q

estime de soi

A
  • Fait référence à la valeur que chacun s’accorde
  • Le fait de se sentir bien dans sa peau permet de travailler plus efficacement
  • Penser qu’on peut réussir augmente les chances de réussite et vice-versa
  • Augmenter son estime de soi permet d’être plus efficace dans ses études, ses relations interpersonnelles et sa vie professionnelle
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33
Q

l’ouverture de soi du point de vue du client

A

o Le dévoilement de soi désigne la transmission volontaire d’informations
o Le dévoilement de soi fait référence à la part cachée de soi
o Le dévoilement de soi peut inclure des informations sur nos proches
o Le dévoilement de soi implique au moins une autre personne

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34
Q

l’ouverture de soi du point de vue de l’intervenant

A

 Du point de vue de l’intervenant:

o Le dévoilement de soi doit être utilisé avec prudence, dans le but de soutenir ou de comprendre

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35
Q

facteurs influencant l’ouverture de soi

A

Facteurs influençant l’ouverture de soi

  • en groupe (ex.: AA) ou en dyade;
  • généralement avec des gens qui nous plaisent ou avec des gens en qui nous pouvons avoir confiance;
  • Les gens qui sont sûr d’eux-mêmes se dévoilent plus que ceux qui ont moins d’assurance;
  • Les gens sociables et extravertis se dévoilent plus que les gens moins sociables et plus introvertis;
  • Les hommes se dévoilent généralement moins que les femmes;
  • La culture.
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36
Q

Les avantages de la révélation de soi pour le client

A

 Permets de mieux se connaitre;
 Améliore sa capacité à faire face aux problèmes;
 Permets d’améliorer sa communication;
 Permets de créer une relation de confiance.

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37
Q

Les risques de la révélation de soi pour le client

A

 Rejet social et personnel;

 Perte matérielle;

38
Q

Les attitudes de l’intervenant devant la révélation de soi de son client

A

 Encouragez-le; tentez de vous mettre à sa place; soyez attentif au message (contenu et sentiment); paraphrasez en signe de compréhension; abstenez-vous de le critiquer ou de le juger; assurez-lui de la confidentialité de ses propos (sauf si sa vie ou celle des autres est en danger).

39
Q

L’écoute - rôle du récepteur

A

L’écoute
 L’audition ≠ l’écoute;

 Le récepteur doit:
 Se concentrer sur la nature des messages (sur ce qui est dit et sur ce qui n’est pas dit);
 Ne pas se laisser distraire par l’environnement;
 Se concentrer sur le locuteur plutôt que sur ce qu’il dira ensuite;
 S’en tenir au rôle d’auditeur.

40
Q

la nature des messages (communication)

A

verbal et non verbal

41
Q

la compréhension

A

Pour comprendre, il faut s’efforcer de:

  • Faire des rapprochements entre ce que l’on sait et les nouvelles informations;
  • Considérer les messages du locuteur selon son propre point de vue;
  • Éviter de juger le message avant d’avoir bien compris;
  • Poser des questions pour bien comprendre et au besoin demander plus de détails ou des exemples;
  • Reformuler (paraphraser) les idées du locuteur;
42
Q

la mémorisation

A

La mémorisation des messages nécessite de:

  • Reconnaitre les idées principales, les concepts clés;
  • Résumer le message sous une forme plus facile à retenir sans omettre les conditions ou les détails importants;
43
Q

 Pour évaluer, il faut essayer de:

A
  • Résister à la tentation de juger du message avant d’avoir parfaitement compris le point de vue du locuteur;
  • Faire la distinction entre les faits et les déductions, entre les opinions et les interprétations personnelles du locuteur;
  • Déterminer les partie pris, les intérêts personnels ou les préjugés pouvant inciter le locuteur à biaiser l’information présentée;
44
Q

La réponse pendant que le locuteur parle et après qu’il ait fini de parler;

A

  • Encourager à poursuivre (pendant);
  • L’empathie, l’éclaircissement, l’assentiment (après).
45
Q

Les obstacles à l’écoute efficace

A
  • La tendance à se soucier de soi (se concentrer sur sa propre performance comme intervenant ou à s’inquiéter de l’impression que l’on donne);
  • La tendance à se préoccuper de problèmes extérieurs sans rapport avec le propos;
  • La tendance à reconstruire des messages de manière à ce qu’ils reflètent vos propres attitudes, préjugés, besoins et valeurs;
  • La tendance à déformer les messages en fonction du facteur ami – ennemi;
  • La tendance à entendre ce que l’on prévoit entendre de la personne plutôt que d’entendre ce que la personne dit vraiment.
46
Q

La définition de l’écoute active :

A


 L’écoute active n’est pas la simple répétition des mots exacts employés par le locuteur, mais elle est plutôt l’organisation en un tout signifiant de la compréhension que l’on a du message global du locuteur.

47
Q

 Les fonctions de l’écoute active:

A
  • Aide l’auditeur à vérifier sa compréhension de ce que dit le locuteur et plus important encore à ce qu’il veut dire;
  • Valide les sentiments éprouvés par le locuteur à propos de la situation;
  • Incite le locuteur à explorer ses sentiments et ses pensées;
48
Q

 Les techniques pour maitriser l’art de l’écoute active:

A

1) Paraphraser; 2) exprimer sa compréhension des sentiments du locuteur; 3) poser des questions.

49
Q

 La rétroaction:

A
  • Elle est essentielle pour partager notre compréhension du message;
  • Elle est tributaire de la culture;
  • Elle doit être immédiate, claire et directe;
  • En provenance du client, elle ne doit pas être ignorée.
50
Q

 La préparation du terrain:

A
  • Les messages préparatoires sont des informations précédant le message principal;
  • Les messages préparatoires parlent des messages à venir;
  • Les messages préparatoires sont des métamessages, soit des messages portant sur d’autres messages.
51
Q

Les messages verbaux

 La signification du message joue un rôle clé dans la communication;

A
  • Le caractère dénotatif ou connotatif;
  • La signification provient des gens;
  • Les mots ont un sens lorsqu’ils se rattachent d’une manière quelconque à des référents du monde réel;
  • Les désaccords surgissent fréquemment lorsque l’on oublie qu’un même terme peut avoir plusieurs significations;
  • Les mots ne communiquent qu’une petite partie de ce que l’on veut dire.
52
Q

 La communication verbale et non verbale;

-

A

L’accentuation; le renforcement; la contradiction; la régularisation; la répétition; la substitution;

53
Q

 Les fonctions des mouvements oculaires:

A
  • Demander une rétroaction;
  • Indiquer que le canal de communication est ouvert;
  • Indiquer la nature de la relation;
  • Réduire la distance;
54
Q

 Les fonctions du détournement du regard;

-

A

L’inattention courtoise; le manque d’intérêt; éviter un stimulus désagréable ou les stimuli visuels

55
Q

Éléments qui influent sur la communication reliée à l’espace :

A
  • La culture
  • La position sociale
  • Le contexte
  • Le sujet traité
  • Le sexe et l’âge
  • L’évaluation positive ou négative
56
Q

Le territoire, les marques et les artefacts

A

 Le territoire;
 Un président d’une grande entreprise peut envahir le territoire d’un cadre intermédiaire en faisant irruption dans son bureau, mais l’inverse serait impensable;
 Les marques;
 Un chandail laissé sur une chaise pour signifier que c’est notre place; les bras d’une chaise pour délimiter mon espace par rapport aux autres; les initiales brodées sur des objets, par exemple, pour signifier qu’ils nous appartiennent;
 Les artéfacts créés par l’homme (couleurs, vêtements, bijoux, articles de décoration, etc.)

57
Q

La communication par le toucher

A
  • L’émotion positive; exprimer un sentiment positif;
  • L’espièglerie; manifester son intention de jouer;
  • L’exercice d’une influence; à orienter le comportement, les attitudes ou les sentiments de l’autre personne (ex.: se faire obéir; capter l’attention);
  • L’accomplissement d’un rite; les contacts physiques rituels se rattachent surtout aux salutations et aux adieux. La poignée de main que l’on échange en signe de bienvenue entre aussi dans cette catégorie;
  • La réalisation d’une tâche; Enlever une poussière du visage de l’autre, vérifier si elle est fiévreuse, etc.
58
Q

L’évitement des contacts physiques

A
  • Il existe une relation directe entre l’évitement des contacts physiques et le niveau d’appréhension que suscite la communication. En effet, les gens qui craignent la communication orale se montreraient aussi peu enclins à toucher les autres;
  • Il en va de même chez les personnes qui révèlent peu de choses à leur propre sujet. Le toucher et le dévoilement de soi représentent deux formes de communication intime. C’est pourquoi les gens qui hésitent à établir des liens étroits avec une autre personne en se livrant à elle semblent aussi peu disposés à le faire au moyen du toucher.
  • Les gens plus âgés tendent à éviter davantage les contacts physiques avec des personnes du sexe opposé que ne le font les jeunes;
  • Les hommes se montreraient moins disposés que les femmes à toucher d’autres individus de même sexe, ce qui est conforme aux stéréotypes établis;
  • Les femmes auraient plus tendance que les hommes à éviter les contacts physiques avec des personnes du sexe opposé.
59
Q

Le paralangage et les jugements portés sur les autres

A

 Le paralangage;
- l’aspect vocal (mais non verbal) de la parole. Il représente la manière dont on dit quelque chose plutôt que les mots prononcés;
- l’accent, l’intonation, le début, le volume, le rythme
 Les jugements portés sur les autres
- On se fait souvent une opinion de la personnalité de quelqu’un sur la base de signaux paralinguistiques (ex.: quelqu’un s’exprime à voix basse, d’une voix monotone, parlent d’une voix forte);

60
Q

contexte historique théorie de l’Attachement

A
  • La théorie de l’attachement est née dans le contexte historique de la guerre;
  • John Bowlby, un psychiatre, s’intéresse aux effets de la séparation chez les enfants hospitalisés et les carences relationnelles précoces des délinquants;
  • Il émet l’hypothèse qu’il existe un lien entre privation maternelle et délinquance;
  • Il fait le pont entre vie émotionnelle et attachement;
  • Il suggère que les émotions sont le reflet de l’état des liens affectifs d’une personne.
  • L’attachement serait un besoin humain inné;
  • Le bébé a besoin d’un lien d’attachement précoce et continu;
  • L’amour ne renforce pas la dépendance, mais donne de l’assurance pour une ouverture au monde extérieur;
  • L’enfant qui n’obtient pas de réassurance lorsqu’il se sent en danger développera soit une hypervigilance émotionnelle, soit une exclusion de ses émotions.
61
Q

Le développement de l’attachement dépend de

A

 La sensibilité du parent; Détection et interprétation juste des signaux de l’enfant et réponse adéquate et rapide de la part du parent;
 La proximité du parent; Réponse émotive positive, contacts physiques affectueux, fréquents et de longue durée avec une attention particulière lors de moments de détresse;
 L’engagement; Connaissance des stades de développement de l’enfant, application des principes de surveillance et des principes de discipline positive;
 La réciprocité; Connaissance des préférences de l’enfant et initiation d’interaction et ajustement en fonction de la réponse.

62
Q

Facteurs influençant le développement de l’attachement

A

 Le bien-être général du parent;

  • L’état émotif (stress, dépression, etc.)
  • Les représentations mentales du rôle parental (parent parfait, absence de modèle, historique de mauvais traitements, etc.);
  • Le soutien social et le développement d’un attachement insécurisant;
  • La qualité de la relation conjugale prédit la satisfaction du rôle parental qui prédit une meilleure sensibilité parentale.
63
Q

Un attachement sécurisé:

A
  • Il peut avoir confiance dans son parent;
  • Il mérite d’être aimé;
  • Il conçoit que son environnement est sécuritaire;
  • Il mérite que ses besoins soient entendus et comblés;
64
Q

Un attachement désorganisé:

-

A

Il ne sait pas comment faire pour que l’on réponde à ses besoins ce qui engendre du désespoir;
- Il doit se protéger, mais ne sait pas comment faire ce qui l’incite à créer son monde à lui.

65
Q

Un attachement insécurisant-évitant:

A
  • Il doit faire preuve de vigilance afin de se protéger des comportements punitifs et de rejet adoptés par son parent;
  • Il doit oublier ses besoins afin de ne pas être blessé ou rejeté;
  • Il doit satisfaire les besoins de son parent pour éviter d’être rejeté;
  • Il doit oublier ses besoins et prendre soin de son parent afin d’être aimé;
66
Q

Un attachement insécurisant-ambivalent ou anxieux:

A
  • Il ne sait pas à quoi s’attendre de son parent;
  • Il ne peut s’éloigner qu’au risque de manquer un moment d’affection;
  • Il doit découvrir comment amener son parent à s’occuper de lui;
67
Q

Le trouble de l’attachement

Deux cibles d’intervention

A
  1. La qualité des soins: Sensibilité, proximité, engagement, réciprocité
  2. Les facteurs psychosociaux:
    - Le bien-être psychologique du parent : État émotif, les représentations du rôle
    - Le réseau social : Soutien social, qualité de la relation conjugale.
68
Q

L’attachement adulte :

Quatre types d’états d’esprit à l’égard des relations d’attachement :

A

a) L’autonome (enfant sécure);
b) Le préoccupé (enfant insécure (anxieux)/ambivalent);
c) Le détaché (enfant insécure/évitant)
d) Le craintif (enfant désorganisé)

69
Q

attachement adulte
Chez l’adulte, il est question de la peur de l’abandon et de la recherche de l’intimité;

A

L’autonome a confiance en l’autre et ne craint pas d’être abandonné;
• Le préoccupé cherche à contenir son anxiété d’abandon en maintenant un lien relationnel étroit avec son partenaire;
• Le détaché est autosuffisant et distant émotionnellement. Pour lui, le partenaire n’est pas perçu comme une source de réconfort et de soutien. Par conséquent, il n’y a pas lieu de lui communiquer ses préoccupations ce qui renforce son sentiment de ne devoir compter que sur lui-même;

70
Q

descriptions des 3 phases de théories cognitves comportementales

A

1 : 1950-1980 conditionnement classique et opérant, apprentissage social. Tient peu compte des aspects mentaux

2: 1970 intégration de notions cognitives, considère les phénomènes internes à l’individu, modification des pensées dysfonctionnelles
3: 2004 interdépendance entre le comportement et le contexte, reconnaissance et exploration active des émotions, pathologie provient de processus normaux, intégration d’autres approches

71
Q

conditionnement classique/répondant

A
intégration : répétition ou 1x traumatisme 
stimulus inconditionnel (nourriture) + stimulus conditionnel (son) = réponse (salive)
72
Q

conditionnement opérant

A

Augmenter la fréquence par le renforcement :
Positif = donner une conséquence agréable
Négatif = retirer une conséquence désagréable
Diminuer la fréquence par la punition :
Positive =donner une conséquence négative
Négative = enlever une conséquence positive

73
Q

Renforcement différentiel :

A

Ce qui détermine le maintien ou l’abandon des comportements, c’est la proportion relative des renforcements et des punitions

74
Q

Apprentissage social :

A

 Observation : Je regarde et je note comment les autres se comportent
 Modelage : J’essaie de me comporter comme les autres
 Identification : Je veux être comme l’autre et me comporter comme elle/lui

75
Q

Le courant cognitif

A

 L’expression intervention «comportementale et cognitive» dénote de la volonté d’intégrer les interventions comportementales à des techniques de nature cognitive (TCC);
 La deuxième vague permet de considérer les phénomènes internes de l’individu;
 L’approche TCC fait ressortir le rôle causal des variables comportementales et cognitives dans l’explication et le maintien des comportements problématiques et des troubles psychologiques;
 Le client est amené à prendre conscience de ses pensées automatiques afin de modifier le contenu de structures cognitives de base comme les croyances dysfonctionnelles et les schémas;

76
Q

 La théorie A-B-C d’Albert Ellis (1999).

A

a: évènement
b: cognition
c: comportement/émotion

77
Q

Les principes fondamentaux de l’approche cognitive

A

Les principes fondamentaux de l’approche cognitive
1. Les émotions des être humains sont surtout causées par leurs pensées ou leur perception plutôt que par les événements;
 La pensée précède et, le plus souvent, génère l’émotion;
2. Les événements, les pensées, les émotions, les comportements et les réactions physiologiques s’influencent mutuellement;
 L’intervention peut mettre l’accent sur l’une ou l’autre de ces composantes;
3. Les émotions dysfonctionnelles sont habituellement causées par des pensées irréalistes. Pour diminuer ses émotions dysfonctionnelles, l’être humain a donc intérêt à prendre conscience de ses pensées irréalistes et à s’appliquer à les changer;
4. Les êtres humains ont une tendance innée à perturber leur vie par des croyances irrationnelles, et cette tendance est renforcée par l’environnement dans lequel ils évoluent;
5. L’être humain adulte contribue à maintenir et à accentuer ses émotions dysfonctionnelles et, par conséquent, sa propre détresse, parce qu’il entretient et accentue ses croyances irrationnelles souvent inconsciemment;
6. Seuls des efforts prolongés et soutenus permettent de modifier de façon efficace les pensées, les émotions et les comportements dysfonctionnels;
7. Une pensée rationnelle conduit habituellement à une réduction de la fréquence, de l’intensité et de la durée des émotions dysfonctionnelles, et non à une absence d’affects ou d’émotions;
8. Une bonne relation thérapeutique est essentielle à une intervention cognitive efficace;
9. L’intervention cognitive est basée sur un modèle éducatif, et la relation qu’elle implique est du type enseignant – élève;
10. L’approche cognitive utilise le questionnement socratique;
 Sur quelles preuves cette idée est-elle basée?
 Serait-il possible de voir les choses autrement?
 Et si «cela» (cet événement, cette situation ou cette inquiétude) se produisait, quelles en seraient les conséquences?
11. Les travaux à domicile constituent un élément essentiel de l’approche cognitive;
12. L’approche cognitive est active et directive, et les entrevues sont structurées:
1. Revoir brièvement les événements survenus depuis la dernière entrevue;
2. Faire brièvement le lien avec l’entrevue précédente;
3. Préparer le contenu de l’entrevue [choix d’un problème cible en lien avec le thème];
4. Travailler sur le problème cible [restructuration cognitive + techniques comportementales];
5. Parler des conséquences des changements dans la vie quotidienne du client [intégration des changements et impacts sur l’entourage]
6. Donner des tâches;
7. Résumer l’entrevue et fournir une rétroaction.
13. L’intervention cognitive est généralement brève (moyenne de 15);
14. L’approche cognitive est basée sur un modèle cognitif qui comprend six étapes principales:
1. Le client se familiarise avec les principes fondamentaux du modèle;
2. Il prend conscience de ses pensées au moment où il ressent des émotions dysfonctionnelles;
3. Il apprend à sonder ses pensées pour en examiner la validité.
4. Il substitue des interprétations plus appropriées aux pensées inappropriées;
5. Il tient compte des résultats en modifiant ses comportements inappropriés;
6. Lorsque l’intervention est plus avancée, il apprend à reconnaître, puis à modifier ses attitudes dysfonctionnelles de même que les croyances dysfonctionnelles qui leur sont sous-jacentes.

78
Q

L’approche cognitive utilise le questionnement socratique;

A

 Sur quelles preuves cette idée est-elle basée?
 Serait-il possible de voir les choses autrement?
 Et si «cela» (cet événement, cette situation ou cette inquiétude) se produisait, quelles en seraient les conséquences?

79
Q
  1. L’approche cognitive est active et directive, et les entrevues sont structurées:
A
  1. Revoir brièvement les événements survenus depuis la dernière entrevue;
  2. Faire brièvement le lien avec l’entrevue précédente;
  3. Préparer le contenu de l’entrevue [choix d’un problème cible en lien avec le thème];
  4. Travailler sur le problème cible [restructuration cognitive + techniques comportementales];
  5. Parler des conséquences des changements dans la vie quotidienne du client [intégration des changements et impacts sur l’entourage]
  6. Donner des tâches;
  7. Résumer l’entrevue et fournir une rétroaction.
80
Q
  1. L’approche cognitive est basée sur un modèle cognitif qui comprend six étapes principales:
A
  1. Le client se familiarise avec les principes fondamentaux du modèle;
  2. Il prend conscience de ses pensées au moment où il ressent des émotions dysfonctionnelles;
  3. Il apprend à sonder ses pensées pour en examiner la validité.
  4. Il substitue des interprétations plus appropriées aux pensées inappropriées;
  5. Il tient compte des résultats en modifiant ses comportements inappropriés;
  6. Lorsque l’intervention est plus avancée, il apprend à reconnaître, puis à modifier ses attitudes dysfonctionnelles de même que les croyances dysfonctionnelles qui leur sont sous-jacentes.
81
Q

durée de l’intervention cognitive

A

brève ( 15)

82
Q

Dans l’intervention cognitive
pensées visées ?
comment identifier ces pensées ?
comment modifier ces pensées ?

A
Pensées visées : automatiques, dysfonctionnelles, schémas 
Comment identifier ces pensées?
	Écoute du «monologue intérieur»
	Auto-observation
Comment modifier ces pensées?
	Restructuration cognitive
83
Q

La restructuration cognitive

attitudes intervenants

A

 Un question d’attitude (intervenant)
- Empathie et curiosité
- Pas de jugement de valeur, d’interprétations abusives, de dévut pour apporter une vérité au client
 Le client face à ses propres choix
- Il s’agit de pousser le client plus loin dans sa réflexion pour qu’il trouve ses propres alternatives

84
Q

nommer 3 techniques de restructuration de la pensée

A

questionnement socratique
prise d’information
recherche d’alternatives

85
Q

Les caractéristiques de la troisième vague (ajout lien avec le contexte)

A

 Le passage d’une philosophie mécaniste, structurelle et mentaliste à une philosophie contextuelle;
 Le comportement est compris en termes de conséquence ou d’effet qu’il produit dans l’environnement. Réciproquement, l’effet sur l’environnement acquiert un contrôle sur le comportement. C’est donc l’interdépendance entre un comportement et sa conséquence qui importe;
 Le comportement, en perpétuel mouvement dans son contexte, lui-même en changement constant, est influencé par un nombre indéfinissable de facteurs qui surviennent de façon concomitante et continue, rendant impossible l’identification d’une cause singulière (comme dans la vision mécaniste);
 Un comportement ne peut être compris en dehors de son contexte;
 La fonction du comportement est ce qui importe avant tout;
 La majorité des approches de la troisième vague préconise un contextualisme dit fonctionnel;
 La cognition n’a pas de rôle causal(la pensée ne fait pas nécessairement l’effet/l’émotion, il y a d’autres facteurs);
 Les cognitions n’ont pas de statut particulier, elles sont traitées comme des comportements au sens large;
 La psychopathologie provient de processus normaux(simplement un mauvais ajustement au contexte/situation);
 La vision nomothétique passe à une vision idiographique (vision idiographique, plusieurs vision du même évènement par différentes personnes);

86
Q

évaluation du fonctionnement social grande catégories

A

demande et contexte de l’évaluation
caractéristiques de la eprsonne et de son environnement
analyse et synthèse
opinion professionnel

87
Q

évaluation du fonctionnement social : demande et contexte de l’évaluation

A
identification du clien
demande de services
sources d'informations
situation actuelle
besoins de la personnes
88
Q

évaluation du fonctionnement social : caractéristiques de la personne et de son environnement

A
  • histoire sociale et familiale de la eprsonne
  • motivation au changement
  • capacité/ compétences pour résoudre le problème
  • environnement immédiat et ses opportunités
  • environnement sociétal et ses opportunités
89
Q

évaluation du fonctionnement social : analyse et synthèse

A
  • les problèmes
  • les conséquences du problèmes
  • les attitudes de la personne et ses proches face au problème
  • l’influence des caractéristiques de la personnes et son environnement sur le fonctionnement de la personne
90
Q

évaluation du fonctionnement social :opinion professionnelle

A

formulation de l’opinion

recommandations