Cours 1 Flashcards

1
Q

La psychologie légale, aussi appelée psychologie forensique, est une discipline distincte des Sciences forensiques

A

Oui, et ces deux disciplines se distinguent sur deux aspects.
La psychologie légale est une science, celle de la psychologie appliquée aux questions légales que ce soit sur le plan criminel, juridique ou civiles.
Les sciences forensiques elles, p. Ex., chimie, bio, criminalistique analyse trace de crime

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2
Q

En conséquence, l’activité principale de la/du psychologue judiciaire est de réaliser du profilage criminel, soit de dresser la liste de caractéristiques psychosociales des criminels ?

A

Non

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3
Q

Alors que fait la/le psychologue judiciaire ?

A

Il intervient sur le plan criminel, civil et dans la recherche

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4
Q

Que fait-il sur le plan criminel ?

A

L’évaluation lors de situations de crises
L’évaluation de menaces
L’évaluation de (fausses) allégations

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5
Q

Sur le plan civil

A

Ecrire

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6
Q

Sur le plan de la recherche

A
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7
Q

Dans le contexte légal, à quoi correspond une situation de crise ?

A

Un contexte dans lequel la police intervient afin de négocier avec un individu potentiellement violent

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8
Q

Quelle proportion des interventions policières sont effectuées auprès de personnes atteintes d’une maladie mentale ?

A

7%à15%

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9
Q

Quel est le rôle du psychologue dans une situation de crise ?

A

Régler la situation sans violence ( discuter, comprendre, raisonner, prendre en charge )
Évaluer les symptômes dépressifs, les menaces et l’intoxication

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10
Q

Quelle stratégie pour le psychologue judicaire afin d’intervenir en situation de crise

A

modèle SINCRO

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11
Q

Les issues d’une situation de crise

A

Résolu par négociation = 86%
Résolu par groupe tactique d’intervention = 7%
A mené au décès de l’individu = 7%

= subi expertise psychologique (42%) et subi un procès (73%)

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12
Q

Les six étapes de l’évaluation de la menace

A

1 menace anonyme?
2 cible spécifique
3 imminence de la réalisation
4 réaliste
5 degré d’intention
6 profil psychologique et psychosocial

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13
Q

L’évaluation des allégations, des mensonges

A
  1. La problématique des fausses allégations : parvenir à distinguer le vrai du faux …
    ● 2. … parvenir à distinguer le vrai du faux, mais aussi l’intention de la personne : mauvaise intention ou
    croyance erronée ?
    ● 3. Le travail délicat d’analyser les motivations et la personnalité de l’individu …
    ● 4. … et potentiellement d’émettre un jugement pouvant mener à l’identification d’un faux positif : soit une personne que l’on identifie à tord comme étant l’auteure d’une fausse allégation et donc d’accuser de manière erronée une victime d’acte criminel …
    ● 5. L’outil principal pour le psychologue judiciaire à la recherche de la vérité : l’entrevue.
    ● 6. Les fausses allégations existent, mais leur prédominance reste à relativiser (ex. agressions sexuelles).
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14
Q

Fausses allégations?

A

Sur 1000 viols, 100 plaintes.
Su 100 plaintes, 30 procès, 10 incarcérés
2 fausses allégations.

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15
Q

mensonges ( cognitifs

A

Droite, images construites

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16
Q

Le système de santé et la loi
L’aptitude à subir son procès

A

L’aptitude à subir son procès consiste à évaluer la capacité de l’accusé, en raison de troubles mentaux, d’assumer sa défense, ou de donner des instructions à un avocat à cet effet, à toute étape des procédures, avant que le verdict ne soit rendu, et plus particulièrement de :( tableau processus décisionnel)

17
Q

La responsabilité criminelle (RC)

A

La responsabilité d’une personne n’est pas engagée à l’égard d’un acte ou d’une omission de sa part survenue alors qu’elle était atteinte d’un trouble mental qui la rendait incapable de juger la nature et de la qualité de l’acte ou de l’omission, ou de savoir que l’acte ou l’omission était mauvais.

18
Q

La non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux (NCRTM) : le processus décisionnel

A

Tableau

19
Q

Les dispositions possibles de la Commission d’Examen des Troubles Mentaux

A