connaissances brigade Flashcards
L’état-major assiste le général commandant la brigade de sapeurs-pompiers de Paris dans l’exécution des missions prévues aux articles R. 1321-19 à R. 1321-24-1 du code de la défense.
A ce titre il : ( 2 tirets )
― Il conduit la mission opérationnelle
― Il assure l’administration, le soutien logistique, la gestion des ressources humaines et la mise en œuvre de la politique de formation de la brigade.
L’état-major de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris comprend :
1° La division “ emploi “
2° La division “ logistique “
3° La division “ organisation ressources humaines “
4° La division “ administration finances “
5° La division “ santé “
6° Le bureau “ études et prospective “
La division “ emploi “ est composée :
1° Du bureau “opérations et préparation opérationnelle”
2° Du bureau “ planification opérationnelle“
3° Du bureau “ prévention“
La division “ logistique “ est composée :
1° Du bureau “ soutien de l’infrastructure “
2° Du bureau “organisation des systèmes d’information “
3° Du bureau “ maintien en condition opérationnelle “
4° Du bureau “ soutien de l’homme “
La division “ organisation ressources humaines “ est composée :
1° Du bureau “ organisation ressources humaines “
2° Du bureau “ condition du personnel et environnement humain “
3° Du bureau “ logement “
4° Du bureau “ ingénierie de la formation “
La division “ administration finances “ est composée :
1° Du bureau de la programmation financière et du budget
2° Du bureau des affaires juridiques et de la commande publique
3° Du bureau “ administration générale “
La division “ santé “ est composée :
1° Du bureau de santé et de prévention
2° Du bureau médical d’urgence
3° Du bureau “ pharmacie et ingénierie biomédicale “
La mémoire des militaires du corps disparus est entretenue par l’une des deux listes suivantes :
‒ les morts au feu
‒ les morts en service commandé
Est considéré comme « mort au feu » à la Brigade, tout sapeur-pompier de paris qui, participant à une mission Brigade, décède dans les conditions suivantes :
‒ décès survenu entre le moment où le véhicule se présente sur les lieux de l’intervention et celui où il quitte les lieux, et ce, quelle que soit la circonstance de la mort
‒ décès des suites directes des blessures contractées dans les mêmes conditions de délai et de situation
‒ décès consécutif à une action de secours portée par un militaire isolé hors service sur le secteur de la Brigade.
Présidée par le général ou son adjoint cette commission se réunit avant toute inscription sur la liste des « morts au feu », elle est composée par :
Membres : ‒ le chef d’état-major ‒ le commandant de groupement concerné ‒ l’officier de tradition ‒ le président de catégorie Brigade relatif à l’appartenance du militaire décédé ‒ le commandant d’unité concerné
Est considéré comme « mort en service commandé » à la Brigade, tout sapeur-pompier de paris qui décède consécutivement :
‒ aux réquisitions administratives ou judiciaires hors service ;
‒ aux secours portés par un militaire de la Brigade hors service et hors du secteur Brigade ;
‒ à un accident de trajet en se rendant sur intervention ou au retour d’intervention et, a fortiori, des suites des blessures consécutives à l’accident de trajet ;
‒ à des blessures sans lien direct avec le fait générateur qui se serait produit sur le lieu de l’intervention.
Les modalités de l’appel des morts au feu lors de la cérémonie du 18 septembre comportent :
‒ une remise au premier plan des « morts pour la France », qu’ils l’aient été au champ d’honneur ou dans d’autres circonstances (exemple des gradés et sapeurs du fourgon de Fontenay, morts en déportation après avoir été capturés au Perreux par l’ennemi lors des combats de la libération de paris et de la région parisienne) ;
‒ l’évocation globale de tous les morts au feu de l’histoire des sapeurs-pompiers de paris, avant la création de la Brigade, par une formule synthétique ;
‒ l’énumération nominative de tous les morts au feu débutant à la création de la BSPP en 1967.
Différents protocoles sont requis pour arborer un drapeau, ainsi il n’est pas approprié de laisser un drapeau :
‒ flotter la nuit (à moins qu’il ne soit équipé d’un éclairage adapté) ;
‒ lorsque les conditions météorologiques ne s’y prêtent pas (à moins qu’il ne soit conçu à cet effet).
il est universellement condamné, par la loi ou du moins par la morale et la fierté d’appartenance ou de représentation à une nation ou une organisation, de laisser flotter un drapeau :
dégradé, décoloré, sale ou qui s’est enroulé autour de son mât.
Un drapeau flottant à l’envers peut signifier que :
la base ou les bâtiments où il flotte sont passés aux mains de l’ennemi. C’est également un signe de détresse international et universel.