clinique TSPT Flashcards
névroses actuelle (freud)
conflit pulsionnel directement exprimé en angoisses
psychonévroses (freud)
ou conflit infantile = exprimé de manière symbolique pour aboutir à un compromis (symptome)
circonstances déclenchantes du TSPT (schéma)
trauma
1) réaction immédiate
2) phase de latence
3) syndrome de répétition
4) puis extinction symtomes et soit
- rentre dans l’ordre*
- soit autre trouble maintient
- soit réactivation avec un mini trauma
réaction immédiate
rétrécissement du champs de conscience
- dissociation
- désorientation, confusion mentale, déconnection, colère, fuite, amnésie partielle ou totales
rapide : disparition sans séquelle au bout de 48 à 72h
temps de latence
AP trauma et ap réaction immédiate
- qq jours/semaines qd sujet sera en sécurité
temps d’incubation, de rumination, travail de réorganisation; mise en place d’un défense tardive assurant un nouvel équilibre ap la désorganisation première
cette latence est souvent asymptomatique cliniquement (parfois symptomes mais discrets : isolement, retrait, ou excitabilité paradoxale, désorientation)
syndrome de répétition
« commémoration » du traumatisme, des souvenirs répétitifs qui envahissement l’esprit du sujet, (« cauchemars » ou flashs )
« rêves » nocturnes, parfois diurnes
« cauchemar de répétition »
Signes non spécifiques : Comme de l’angoisse +/- permanente,
Comportement d’évitement anxio-phobique
Modifications de la personnalité
Manifestations neurovégétatives/ automatiques qui correspondent aux besoins I
formes tardives
différées … jusqu’à un an ou plusieurs années après le traumatisme
Formes frustes ou paucisymptomatiques
svt méconnues, mais qui can ê la source d’anxiéT chroniq avec irritabiliT + réact°
formes sévères
avec un syndrome de répétition particulièrement marqué, ou une régression infantile très importante, la perte massive de toute activité sociale, la dépendance extrême et les revendications sinistrosiques…).
formes « masquées
qui peuvent s’abriter derrière un autre trouble (trouble de l’humeur, troubles anxieux, addictions…).
névroses traumatiques
victimes d’agression corporelle, de violence et de viol sont fréquentes, souvent graves, méconnues. L’évolution peut être émaillée de troubles graves de l’humeur
formes à expression somatique
(avec hypertension artérielle, maladies coronariennes, ulcère gastroduodénal…). Deux types à distinguer :
Type 1 : TSPT « classique »
Type 2 : traumatismes répétés (maltraitance infantile, violences diverses, dont agressions sexuelles, violence conjugale
…
) avec un état de stress post traumatiq ESPT réduit, mais des troubles de personnalité très marqués. Ce trouble serait + fréqt qu
’
on ne le croit
…
avec des personnalités « traumatiques » proches des états-limites.
Violences conjugales répétée entrainent changemt de personnalité qualifiée d’état limite, borderline (difficulté d’attachement) donc RPtition trauma peut changer la personnalité
Évolution
Très variables, plusieurs semaines, mois ou années. Il faut considérer ce trouble comme une affection chronique grave, même si l’intensité des symptômes s’estompe avec le temps.
Dépend des troubles comorbides (préexistants ou consécutifs), des interactions avec l’entourage… (par ex., des bénéfices qui peuvent favoriser un « enkystement » des symptômes). Dans de rares cas, un nouveau traumatisme (même mineur) vient réactiver le traumatisme initial et renforcer l’organisation « névrotique »
age
tout age y compris enfance
prévalence du TSPT
8% chez les adultes (aux États-Unis) vs 4% en France