CITATIONS Flashcards
LA MORT (MALADE IMAGINAIRE)
(acte III, scène 3 → “BÉRALDE- […] j’aurais souhaité de pouvoir un peu vous tirer de l’erreur où vous êtes et, pour vous divertir, vous mener voir sur ce chapitre quelqu’unes des comédies de Molière.”)
SCATALOGIE (MALADE IMAGINAIRE)
(acte I, scène 3 → “ARGAN courant au bassin- Attendez. Donnez-moi mon bâton. Je vais revenir tout à l’heure.”)
UNE COMÉDIE MÊLÉE DE DANSE ET DE MUSIQUE (MALADE IMAGINARE)
il s’agit dans “une comédie -ballet de faire une seule chose du ballet et de la comédie”, comme l’a écrit dans son avertissement des Fâcheux (1661)
RÉALITÉ HISTORIQUE DANS LA PIÈCE (MALADE IMAGINAIRE)
→ “[…] après les glorieuses fatigues et les exploits victorieux de notre auguste monarque […]”
BOURGEOIS DE COMPORTEMENT IGNOBLE, COMME ANTITHÈSE DU GALANT-HOMME (MALADE IMAGINAIRE)
“homme incommode à tout le monde, malpropre, dégoûtant, sans cesse un lavement ou une médecine dans le ventre, mouchant, toussant, crachant toujours, sans esprit, ennuyeux, de mauvaise humeur, fatiguant sans cesse les gens, et grondant jour et nuit servantes et valets” -acte III, scène 12
CHIMÈRE (MALADE IMAGINARE)
dans le second prologue, “Votre plus haut savoir n’est que pure chimère, /Vains et peu sages médecins; / Vous ne pouvez guérir pas vos grands mot latins / La douleur qui me désespère: / Votre plus haut savoir n’est que pure chimère.”
IMAGINATION 1 (MALADE IMAGINAIRE)
–> THOMAS DIAFOIRUS
“Il n’a jamais eu l’imagination bien vive, ni ce feu d’esprit qu’on remarque dans quelques-uns ; […] cette lenteur à comprendre, cette pesanteur d’imagination, est la marque d’un bon jugement à venir” - (acte II, scène 5).
BÉRALDE COMME LA RAISON, INCARNATION DES VALEURS CLASSIQUES (MALADE IMAGINARE)
“je vous demande, avant toute chose, de ne vous point échauffer l’esprit […]. Et de raisonner ensemble, sur les affaires dont nous avons à parler, avec un esprit détaché de toute passion.” (acte III, scène 3)
CÉLÉBRATION DU CARNAVAL (MALADE IMAGINARE)
Il faut boire notre vin; et pour epaissir votre sang qui est trop subtil, il faut manger bon gros boeuf, de bon gros porc, du bon fromage de Hollande, du gruau et du riz, et des marrons et des oublies, pour coller et conglutiner”
HORACE SUR LE THÉÂTRE
“Castigat ridendo mores corriger les mœurs par rire”
SATIRE/CRITIQUE DES MEDECINS (MALADE IMAGINARE)
BERALDE: Ils savent la plupart de fort belles humanités, savent parler en beau latin, savent en beau latin, savent nommer en grec toutes maladies, les définir et les diviser; mais pour ce qui est de les guérir, c’est qu’ils savent point du tout. (acte III, scène 3)
SATIRE DE LA MÉDECINE (MALADE IMAGINARE)
presque tous les hommes meurent de leurs remèdes et non de leurs maladies. (acte III, scène 5)
SATIRE DES MÉDECINS (MALADE IMAGINAIRE)
Argan : -Quoi ! L’on sait discours sur les maladies quand on a cet habit-là
Beralde : - Oui. L’on n’a qu’à parler avec une robe et un bonnet, tout galinatias devient savant, et toute sottise devient raison
SITUATION DE LA FEMME AU XVIIIe (DDFC)
« tout a été soumis à l’ambition de ce sexe autrefois méprisable et respecté et depuis la Révolution, respectable et méprisé.»
LUTTE POUR LA LEGITIMITÉ DES ENFANTS (DDFC)
“La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de la femme, puisque cette liberté assure la légitimité des pères envers leurs enfants. Toute citoyenne peut donc dire librement : je suis mère d’un enfant qui vous appartient, sans qu’un préjugé barbare la force à dissimuler la vérité ; sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans des cas déterminés par la loi.”
SYLLOGISME DE L’ÉCHAFAUD (DDFC)
“Nul ne doit être inquiété pour ses opinions même fondamentales ; la femme a le droit de monter sur l’échafaud, elle doit également avoir celui de monter à la tribune, pourvu que ses manifestations ne troublent pas l’ordre public établi par la loi.”
STATUT DE CITOYENNETÉ (+LEGISLATION) ENTRE LES SEXES (DDFC)
“Nulle femme n’est exceptée ; elle est accusée, arrêtée, et détenue dans les cas déterminés par la loi : les femmes obéissent comme les hommes à cette loi rigoureuse
ARGUMENT D’AUTORITÉ POUR L’ÉGALITÉ DEVANT LES LOIS NATURELLES ET DIVINES (DDFC)
“Les lois de la nature et de la raison défendent toutes actions nuisibles à la société ; tout ce qui n’est pas défendu par ces lois sages et divines ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elles n’ordonnent pas.”
EXERCICE DES DROITS NATURELS DE LA FEMME (DDFC)
“La liberté et la justice consistent à rendre tout ce qui appartient à autrui ; ainsi l’exercice des droits naturels de la femme n’a de bornes que la tyrannie perpétuelle que l’homme lui oppose ; ces bornes doivent être réformées par les lois de la nature et de la raison.”
STATUT D’ÉGALITÉ (DDFC)
Un commerce d’hommes ! Grand Dieu ! Et la nature ne frémit pas ? S’ils sont des animaux, ne le sommes-nous pas comme eux ?
APPEL À LA LUTTE 1 (DDFC)
« Femme, réveille-toi »
APPEL À LA LUTTE 2 (DDFC)
« Ô femmes, femmes, quand cesserez-vous d’être aveugles ? »
ALLÉGORIE PRÉSENTANT LA RÉALITÉ RÉVOLUTIONNAIRE (DDFC)
le tocsin de la raison se fait entendre dans tout l’univers + “flambeau de la vérité”
LYRISME DE LA NATURE ET DES SAISONS (ALCOOLS)
- « Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne », Les Colchiques
- « L’automne est mort souviens-t’en […] Et souviens-toi que je t’attends », L’Adieu
- « […] dans les prairies lyriques », L’émigrant de Landor Road
- « Mon Automne éternelle ô ma saison mentale », Signe
-> Apo s’identifie mentalement à la saison de l’automne. Métaphore de ses sentiments mélancoliques avec les feuilles qui tombent comme les larmes qui coulent.