Cinéma - examen final Flashcards

1
Q

Quels sont les traits pertinents du langage cinématographique selon Christian Mertz

A

1) Iconicité visuelle
2) Duplication mécanique
3) Multiplicité
4) Mobilité

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2
Q

Quels sont les traits pertinents selon Roger Odin ?

A

1) Images réelles figuratives et non figuratives
2) Images multiples
3) Images à support temporalisé
4) Images projetées
5) Images projetées de façon discontinues

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3
Q

Quelles sont les matières de l’expression selon Gardies et Bessalel ?

A

1) L’image mouvante
2) La parole (son verbal)
3) la musique (son musical)
4) bruits enregistrés
5) mentions écrites

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4
Q

Définit la fréquence critique de scintillement dans tes mots :

A

C’est l’effet selon lequel lorsqu’un faiseaux lumineux est entrecoupé plus de 50 fois par secondes, on a l’impression en tant que spectateur qu’il est continu ; les images projetées en cinéma sont habituellement de 24 \ secondes, et elle sont projetées à l’écran 2 fois, pour accentuer cet effet.

“dans les conditions d’une projection cinématographique, si un rayon lumineux est interrompu plus de 50 fois par seconde, le spectateur ne perçoit plus des pulsations ou des éclats, mais a l’illusion d’une continuité lumineuse. Un film est généralement tourné et projeté à une cadence de 24 images par seconde. L’obturateur du projecteur masque le faisceau lumineux lorsqu’un nouveau photogramme se met en place et lorsqu’il est immobilisé dans le couloir de projection; chaque photogramme est ainsi projeté deux fois sur l’écran, ce qui accroît le nombre de flashes lumineux jusqu’au seuil critique où les scintillements se “ fondent ” en une continuité lumineuse.”

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5
Q

Définit l’effet du mouvement apparent dans tes mots :

A

C’est quand deux points clignotent à intervalles réguliers et qu’on a l’impression qu’un seul point bouge, plutôt que d’en voir deux qui s’éteignent et se rallume.

“lorsque deux points lumineux contigus clignotent selon certains intervalles de temps, les spectateurs ne perçoivent pas deux clignotements, mais un seul point en mouvement (on peut éprouver la même sensation avec la plupart des panneaux publicitaires lumineux). “

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6
Q

Quels sont les différences majeures entre notre vision de tous les jours et la vision d’un film au cinéma ?

A

1) Le point de vu monoculaire de la caméra.

2) La cadre de la caméra ; l’image est réduite par rapport à ce que verrai notre champ de vision humain normal.

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7
Q

Qu’est-ce l’univers profilmique ?

A

Ce qui est placé devant la caméra, pour être filmé ou enregistré.

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8
Q

Quelles sont les fonctions des décors, dans une optique de mise en scène ?

A

1) Fonction spatial : construire l’espace.
2) Fonction informative : il donne des indices sur le lieu, L’espace, le temps.
3) Fonction narrative : peut faire avancer l’histoire.
4) Fonction dramatique : intensifie l’aspect affectif.
5) Fonction stylistique : être beau.
6) Fonction symbolique : symbole de quelque chose.

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9
Q

Quels sont les deux principaux types d’ombres ? Définissez-les.

A

1) Ombre propre : Elle « apparaît lorsque la lumière n’éclaire que partiellement un objet, à cause de sa forme ou d’aspects particuliers de sa surface ».
2 Ombre portée : quand un objet obstrue la lumière. Elle est « produite par un obstacle entre la lumière et la surface où elle se projette ».

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10
Q

Quels sont les différents types d’éclairage ?

A

Lumière frontale : effet d’applatissement et élimine les ombres.
Lumière latérale (cross light) : Souligne les traits des acteurs.
Lumière de par derrière : effet de silouhette. Découpe les contours des acteurs si combiné avec lumière frontale.
Lumière venant d’en haut (zenith light ou north light) : effet glamour.
Lumière venant d’en bas : effet déformant, utilisé dans les films d’horreur.

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11
Q

Quels sont les trois facteurs qui définissent la tonalités de l’image ?

A

le contraste, la texture (granulation) et la couleur.

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12
Q

Comment manipule-t-on les trois facteurs qui définissent la tonalité de l’image de l’image ?

A
  • a) Type de pellicule utilisée: à haut ou bas contraste, sensibilité à la lumière, type d’émulsion, noir et blanc/couleur.
  • b) Procédés au tournage: filtres, sur- et sous-exposition, éclairage, etc.
  • c) Procédés de laboratoire: développement, teinte, coloration de la pellicule, tireuse optique.
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13
Q

Pourquoi le rapport entre le nombre d’images par seconde et la vitesse de projection est-il inversement proportionnel ?

A

Parce que plus il y’a d’images par secondes, moins le débit est rapide.

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14
Q

Définit la distance focale (ou la focale de l’objectif) dans tes mots :

A

C’est la distance entre la caméra et l’endroit ou l’image devient nette, claire.

“Distance du centre de l’objectif au point où les rayons lumineux convergent (foyer) pour former une image nette. La distance focale détermine les relations perspectives de l’espace représenté à l’écran. “

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15
Q

Il existe les focales courtes, normales et longues. Définit moi en quoi les trois consistes, et quelles sont leurs caractéristiques :

A

Focale courte : focale inférieure à 35 mm. Inférieure à 18 mm, on parle aussi de grand angle (ou grand-angulaire).
1) Le champ couvert: plus la focale est courte, plus le champ embrassé par la caméra est grand (l’angle est grand).
2) La courte focale a tendance à courber les droites sur les bords de l’image.
3) La courte focale exagère la profondeur. Les objets paraissent plus loin les uns des autres. Les personnages qui se déplacent vers la caméra semblent se déplacer plus rapidement.
Focale longue : focale supérieure à 75 mm. Supérieure à 135 mm, on parle de téléobjectif.
1) Plus la focale est longue, plus le champ embrassé par la caméra est restreint.
2) La longue focale aplatit les distances entre les objets situés sur l’axe de la caméra. La profondeur et les volumes sont comprimés, les plans semblent écrasés les uns sur les autres (télescope, jumelles). L’image semble plate, à deux dimensions.
3) Les mouvements qui évoluent dans l’axe de la caméra mettent beaucoup de temps à couvrir ce qui paraît être une faible distance et les personnages semblent faire du « surplace ».
Focale normale : focale comprise entre 35 mm et 50 mm.
1) Avec cet objectif « normal », les distorsions sont réduites: les droites verticales et horizontales sont droites.
2) Les lignes parallèles se rejoignent à l’infini.
3) Les distances entre le premier plan et l’arrière-plan semblent normales, ni étirées ni comprimées.

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16
Q

La profondeur de champ est affectée par deux variables techniques. Quelles sont-elles ?

A

Le diaphragme ; son ouverture ainsi que la focale de l’objectif.

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17
Q

En quoi le rapport de la profondeur et du diaphragme est proportionnel ?

A

Plus l’ouverture du diaphragme est grande, moins la profondeur de champ le sera (courte focale). Plus l’ouverture est petite, plus la profondeur de champ est grande (longue focale).

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18
Q

Quels sont les deux procédés de montage les plus connus ?

A

Le flashback (ou flashfoward (à lire analespe et prolepse en tant que littéraire) et le raccord de regard.

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19
Q

Qu’est-ce qu’un faux raccord ?

A

Une discontinuité spatiale, temporelle ou visuelle entre deux plans successifs et contiguës.

20
Q

Pourquoi les faux raccords sont parfois voulus ?

A

Licence poétique, bris dans la méthode. Donne un effet, faire naître un symbole. La faute dans le code apporte quelque chose.

21
Q

Comment le jup cut s’inscrit-il dans l’idée de bris de la poétique du faux raccord ?

A

C’est un saut qui est en ne respectant pas la règle des trente degrés. L’image saute, elle produit une ellipse. Peut être esthétique, mais pas nécessairement. Propose aussi l’idée d’un bris dans la continuité du monde, une particularité à la diégèse du film, donc, à sa qualité artistique. Aussi possible au niveau du son.

22
Q

Le cinéma parlant commence en 1926. Avant, le cinéma était muet, mais pas sourd. Explique.

A

La salle était remplie de bruits, et certains représentations proposaient des synchrones musique-films.

23
Q

Qu’est-ce que le Mickeymousing ?

A

Le procédé qui consiste, avec les dessins animés, à enregistré la bande sonore avant les dessins. Certains films montre les personnages qui dansent sur des notes de musique, ce qui relève d’un synchronisme parfait en musique et image.

24
Q

En quoi Once Upon a Time in the West propose des scènes où le son est un procédé puissant et essentiel ?

A

Le son est porteur d’éléments diégétiques hors-champs. Les coups de fusils, les chevaux, l’harmonica (qui passe de son diégétique à son extradiégétique) sont des sons qui nous informent sur le hors-champs et qui nous donne le ton quant au danger qui approche.

25
Q

Il y’a trois dualités dans le sons. Quelles sont-elles, et définissez les :

A

1) Intradiégétique : qui fait partie de l’histoire + extradiégétique : musique, narrateur, voix off, etc.
2) In : dans le champ. Off : hors champs.
3) Externe : tout ce qui fait partie de la diégese + internet : équivalent son d’un plan subjectif (personnage entend des choses, des bruits, les déforme par sa condition…)

N.B.: les deux derniers font partie des sons intradiégétiques.

26
Q

Quelles sont les 3 caractéristiques du montage ?

A

Ordre, fréquence, durée. Truc : porno.
Ordre : préliminaire, fouration. Dans quel ordre tu le fais.
Fréquence : combien de fois tu le fais ?
Durée : pendant combien tu le fais ?

27
Q

En quoi l’ordre est garant de la fonction synthétique du montage ?

A

L’ordre synthétise ce qui a été filmé ; il n’est jamais le résultat premier de la pellicule. Il enlève le facultatif, crée des ellipse, ajoute des effets de montages (coupe franche, fondue). Possible de faire des coupes qui transporte ailleurs.

28
Q

La fréquence consiste à répété une image. Exemple ?

A

Le coup de poing sous plusieurs angles dans un film d’action ouaaais.

29
Q

Quel est le lien entre la fréquence et le hiatus (rupture de l’image) ?

A

Lien flou, qui ne nous regarde pas.

30
Q

Sur quoi se fonde le cinéma classique ?

A

Continuité spatiale, temporelle, causale. Le maître mot du cinéma classique est la transparence.

31
Q

En quoi le montage du cinéma classique contribue à l’illusion du réel ?

A

Comme un robinet qui coule.

32
Q

Définissez la règle des 180 degrès ?

A

C’est un demi-cercle. Assure une représentation d’un espace commun. Ca ne te fuck pas la vie, tu comprends ou tu es et tu as un sens de l’orientation. C’est sécurisant. La position des caméras situe le spectateur dans l’espace.

33
Q

Pourquoi le son est-il délaissé dans les éléments d’analyse du cinéma ?

A

Parce qu’on remarque un mauvais son mais pas un bon.

34
Q

Bonimenteur : c’est quoi ?

A

Il explique le film. C,est un peu comme la derscription pour les non-voyants.

35
Q

Actophone : C’est quoi ?

A

Acteur qui double en live.

36
Q

Définit les propriétés et caractéristiques du sons :

A

Intensité : amplitude des vibrations sonore. Volume, fort ou faible
Hauteur : Fréquence des virbrations sonores. Aigu ou grave. (les sons aigu vont loin, les sons graves traversent les murs (comme un bass))
Timbre : Harmonique du son, grain, texture. Nasal, douce, mélodieux, rauque, etc.

37
Q

L’Humain et le micro n’ont pas la même capacité à isoler le son. Shout.

A

Il faut donc débrancher les appareils électroniques sur la plateau, car le micro ne pas les laisser de côté comme l’oreille humaine.

38
Q

En quoi la sélection des sons est un soucis d’intelligibilité que réalisme ?

A

Dans les scènes de combats, par exemple, ou le son et la musique sont mi de l’avant. Dans under the skin, le son est moteur de compréhension autant que l’image.

39
Q

Le réalisteur a beaucoup de contrôle sur le son. Explique.

A

Il est possible certes de s’en servir de façon horizontal : son par son, mais aussi de façon vertical, superposition de sons, ou par enregistrement multipiste, en les enregistrant séparemment pour les mixer en studio pour créer un complexe sonore a plusieurs niveaux.

40
Q

Il y’a deux extrêmes de sons. Quels sont-ils ?

A

1) Le son sur fond de silence (comme dans underskin).
2) Le montage danse, musique, bruit, parole. Brouahaha. Scène de combat, par exemple.
Peux donner lieu a des récurrences significatives, comme des motifs. Thèmes de personnages, qui peuvent se modifier dans le sens, etc.

41
Q

Dimensions du son filmique :

A

Reprise du motif de la fourre.
Rythme : (a quel rythme tu fourres?) Les personnages peuvent ou pas suivre la musique. Relation entre le rythme qui peut devenir complexe (comédie musicale). Mickeymousing, comme le trip a trois dans orange mécanique.
Fidélité : (combien de partenaire?). Source, ce qui produit le sens, doit concordé avec la voix. La vraisemblance du son est plus importante que le réalisme du son.
L’espace : (ou tu fourres?) son et dimension spatiale parce que provienne d’une source.

42
Q

Définit le rhétorique non narratif au cinéma.

A

Consiste a convaincre le spectateur sur un sujet donné. Pas du scientifique, pas objectif, mais plus de l’ordre de l’idéologique et du factuel.

43
Q

Quels sont les 3 argumentations du rhétorique ?

A

Arguments d’autorité : Un ton sérieux, autorité qui peut être attribué a une voix, opinion d’expert, citations, entre autre.
Argumentation centrée sur le sujet : basé sur stéréotypes, lieux communs, recours aux exemples. Exposition du problème, développement thèses-antithèses, solution au problème initial.
Argumentation sur l’affecte du spectateur (ses émotions) : se sert d’images affectives. (pub commerciales, le film de Lise Payette sur les Tremblay).

44
Q

Le non narratif abstrait. YO.

A

Met en relation des formes abstraites pour leurs qualités plastiques. Agencement de formes, couleurs mouvements, sons. Pas de causalité, que des relations abstraites. Demande un mode lecture peu commun. Le narratif est plus populaire.

45
Q

Le non narratif Associatif. Fak ?

A

Concepts saisis et associés ensemble. Pas d’histoire, pas d’argumentation, pas seulement relié par l’abstrait. Regroupe des éléments qui n’ont pas l’air d’avoir un lien ensemble entre eux au départ, c’est le spectateur qui crée le sens, la métaphore est soit évidente ou mystifiante. Soit des images en grand ensemble distincs qui forment des blocs d’unités. Soit un film qui donne une importance qui la récurrence de motifs ou de répétitions.
Lien causal entre les saucisses et les humaines inexistants, mais la superposition des plans compare les humains a des produits usinés.