Choix Multiple Flashcards

1
Q

L’économique est une science humaine qui étudie (p. 6) :
A. L’argent, l’épargne et les finances personnelles.
B. L’allocation des ressources productives limitées dans une société, de façon à répondre le mieux possible aux besoins nombreux, voire illimités, de sa population.
C. L’allocation des ressources productives illimitées dans une société, de façon à répondre le mieux possible aux besoins nombreux, voire limités, de sa population.

A

B

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2
Q

Le problème de la rareté repose sur 2 prémisses (p. 6) :
A. Des besoins limités et des ressources illimitées.
B. Des besoins illimités et des ressources illimitées.
C. Des besoins illimités et des ressources limitées.

A

C

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3
Q

La rareté est un problème qui se manifeste dans (p. 6) :
A. Les pays pauvres.
B. Les pays riches.
C. Les pays pauvres et les pays riches.

A

C

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4
Q

La microéconomie est la branche de l’économique qui étudie (p. 6) :
A. Les comportements des consommateurs et des producteurs face à différents incitatifs dans un marché.
B. Les comportements des consommateurs face à différents incitatifs et à l’influence des gouvernements.
C. Les comportements des producteurs face à différents incitatifs et à l’influence des gouvernements.
D. Les échanges entre tous les agents économiques dans une économie

A

A

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5
Q

La macroéconomie est la branche de l’économique qui étudie (p. 6) :
A. Les comportements des consommateurs et des entreprises face à différents incitatifs dans un marché.
B. Les comportements des consommateurs face à différents incitatifs et à l’influence des gouvernements.
C. Les comportements des entreprises face à différents incitatifs et à l’influence des gouvernements.
D. Les échanges entre tous les agents économiques dans une économie.

A

D

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6
Q

Les ressources productives dans l’économie québécoise sont (p. 12-13) :
A. L’argent et les produits financiers.
B. La terre et le travail.
C. La terre, le travail et le capital humain.
D. La terre, le travail, le capital physique et la technologie.

A

D

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7
Q

7) La machinerie et l’équipement sont des exemples (p. 7) :
A. De biens et services de consommation.
B. De biens d’investissement.
C. De biens et services des administrations publiques

A

B

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8
Q

Quelles sont les 3 questions fondamentales en économique ? (p. 7) :
A. Qu’est-ce qu’on importe ? Qu’est-ce qu’on exporte ? Et comment fixer les prix ?
B. Comment réduire l’inflation ? Comment augmenter le taux d’activité ? Quel est l’impact de taux d’intérêt sur les dépenses d’investissement et de consommation ?
C. Comment augmenter le pouvoir d’achat des ménages ? Comment réduire le taux de chômage ? Comment fixer les impôts ?
D. Quoi produire ? Comment produire ? Et pour qui produire ?

A

D

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9
Q

Pour mieux répondre à la question « quoi produire et en quelle quantité ? », il faut savoir que (p. 7) :
A. Les ressources doivent être dirigées vers des utilisations compatibles avec les revenus et la demande des consommateurs.
B. La combinaison choisie de facteurs de production doit-être techniquement efficace et aux meilleurs coûts.
C. Nous devons être en mesure d’analyser, avec précisions, les capacités productives d’une économie.

A

A

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10
Q

Pour mieux répondre à la question « pour qui produire ? », il faut savoir que (p. 7) :
A. Les ressources doivent être dirigées vers des utilisations compatibles avec les revenus et les demandes des consommateurs.
B. La combinaison choisie de facteurs de production doit-être techniquement efficace et aux meilleurs coûts.
C. Nous devons être en mesure d’analyser, avec précisions, les capacités productives d’une économie.

A

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11
Q

En science économique, dans une économie ouverte, les décideurs (agents économiques) sont (p. 8) :
A. Les consommateurs, les entreprises et les gouvernements (administrations publiques).
B. Les consommateurs, les entreprises, les gouvernements et le reste du monde.
C. Les consommateurs, les entreprises et les gouvernements.
D. Les consommateurs et les entreprises.

A

B

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12
Q

Un énoncé positif est un énoncé (p. 12) :
A. Relatif à ce qui devrait être.
B. Qui repose sur un jugement de faits et qui peut être vérifié si on dispose des données pertinentes.
C. Qui repose sur des jugements de valeur et il est invérifiable.

A

B

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13
Q

13) Le modèle de la CPP est fondé sur les hypothèses suivantes (p. 12-13) :
A. Une économie fermée qui produit seulement 2 biens ; les quantités des facteurs de production sont fixes à court terme ; la technologie ne change pas à court terme.
B. Une économie fermée qui produit seulement 3 biens ; les quantités des facteurs de production sont fixes à long terme ; la technologie ne change pas à long terme.
C. Une économie ouverte qui produit seulement 2 biens ; les quantités des facteurs de production sont variables à court terme ; la technologie change à court terme.
D. Une économie fermée qui produit plusieurs biens ; les quantités des facteurs de production sont fixes à court terme ; la technologie ne change pas à court terme.

A

A

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14
Q

14) Selon la figure 1.3, les facteurs de production utilisés dans la fabrication de 2 biens sont (p. 12-13) :
A. La terre et le travail.
B. Le travail et le capital.
C. Le travail, le capital et l’entrepreneuriat.
D. La terre, le travail, le capital physique et la technologie.

A

C

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15
Q

Graphiquement, pour calculer le coût d’opportunité (p. 15-16) :
A. On mesure la valeur absolue de la pente de la limite des possibilités de production lorsqu’on effectue le passage d’une combinaison optimale à une autre ().
B. On mesure la différence sur l’axe des abscisses entre les coordonnées de 2 combinaisons optimales (théoriquement la distance).
C. On mesure la différence sur l’axe des ordonnées entre les coordonnées de 2 combinaisons optimales (théoriquement la distance).

A

A

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16
Q

Une forme concave par rapport l’origine de la CPP se traduit par (p. 17-18) :
A. Des coûts d’opportunité constants.
B. Des coûts d’opportunité croissants.
C. Des coûts d’opportunité décroissants.

17
Q

Une forme concave par rapport l’origine de la CPP démontre que les facteurs de production (p. 17-18) :
A. Ont le même niveau de productivité dans la production de 2 biens.
B. Sont substituables dans la production de 2 biens.
C. N’ont pas le même niveau de productivité dans la production de 2 biens.

18
Q

Une forme linéaire de la CPP (droite) démontre que les facteurs de production (p. 17-18) :
A. Ont le même niveau de productivité dans la production de 2 biens.
B. N’ont pas le même niveau de productivité dans la production de 2 biens.

19
Q

Une amélioration de la qualité ou une augmentation de la quantité des facteurs de production dans une économie se traduit par (p. 19-20) :
A. Un déplacement vers la droite de la courbe des possibilités de production.
B. Un déplacement vers la gauche de la courbe des possibilités de production.
C. Un déplacement de la courbe des possibilités de production sur un seul axe.

20
Q

Une augmentation du prix d’un produit se traduit par (p. 38) :
A. Une augmentation de la demande.
B. Une diminution de la demande.
C. Une augmentation de la quantité demandée.
D. Une diminution de la quantité demandée.

21
Q

Toutes choses étant égales par ailleurs (ceteris paribus), selon la loi de la demande (p. 38) :
A. La quantité offerte d’un produit augmentera si le prix augmente, et vice versa.
B. La quantité offerte d’un produit augmentera si le prix diminue, et vice versa.
C. La quantité demandée d’un produit augmentera si le prix diminue, et vice versa.
D. La quantité demandée d’un produit augmentera si le prix augmente, et vice versa.

22
Q

6) Graphiquement, une augmentation du prix d’un produit se traduit par (p. 38) :
A. Un mouvement le long de la courbe de la demande vers le haut.
B. Un mouvement le long de la courbe de la demande vers le bas.
C. Un déplacement de toute la courbe de la demande vers la droite.
D. Un déplacement de toute la courbe de la demande vers la gauche.

23
Q

9) Graphiquement, une diminution du revenu des acheteurs d’un produit se traduit par (p. 40-41) :
A. Un mouvement le long de la courbe de la demande vers le haut.
B. Un mouvement le long de la courbe de la demande vers le bas.
C. Un déplacement de toute la courbe de la demande vers la droite.
D. Un déplacement de toute la courbe de la demande vers la gauche.

24
Q

Graphiquement, une augmentation de nombre d’acheteurs d’un produit se traduit par (p. 40-41) :
A. Un mouvement le long de la courbe de la demande des vers le haut.
B. Un mouvement le long de la courbe de la demande vers le bas.
C. Un déplacement de toute la courbe de la demande vers la droite.
D. Un déplacement de toute la courbe de la demande vers la gauche.

25
Toutes choses étant égales par ailleurs (ceteris paribus), selon la loi de l’offre (p. 41-42) : A. La quantité offerte d’un produit augmentera si son prix augmente, et vice versa. B. La quantité offerte d’un produit augmentera si son prix diminue et vice versa. C. La quantité demandée d’un produit augmentera si son prix diminue, et vice versa. D. La quantité demandée d’un produit augmentera si son prix augmente, et vice versa.
A Lorsque le prix d’un bien augmente, les producteurs ont plus d’incitations à produire et vendre, car cela devient plus rentable.
26
L’offre sur un marché est (p. 42-43) : A. La quantité demandée d’un produit par les consommateurs à un prix donné. B. La quantité offerte d’un produit par les entreprises à un prix donné. C. L’ensemble des quantités demandées d’un produit que les consommateurs aimeraient et pourraient se procurer à divers prix. D. L’ensemble des quantités offertes d’un produit que les entreprises pourraient produire à divers prix.
B
27
Graphiquement, une augmentation au niveau du prix d’un produit se traduit par (p. 42-43) : A. Un mouvement le long de la courbe de l’offre vers le haut. B. Un mouvement le long de la courbe de l’offre vers le bas. C. Un déplacement de toute la courbe de l’offre vers la droite. D. Un déplacement de toute la courbe de l’offre vers la gauche.
A
28
Une diminution du prix d’un produit se traduit par (p. 42-43) : A. Une augmentation de l’offre. B. Une diminution de l’offre. C. Une augmentation de la quantité offerte. D. Une diminution de la quantité offerte.
D
29
Une diminution du prix d’un produit se traduit par (p. 42-43) : A. Une augmentation de l’offre. B. Une diminution de l’offre. C. Une augmentation de la quantité offerte. D. Une diminution de la quantité offerte.
D
30
Graphiquement, une augmentation des coûts de production d’un produit se traduit par (p. 44-45) : A. Un mouvement le long de la courbe d’offre vers le haut. B. Un mouvement le long de la courbe d’offre vers le bas. C. Un déplacement de toute la courbe d’offre vers la droite. D. Un déplacement de toute la courbe d’offre vers la gauche.
D
31
Graphiquement, une augmentation de nombre de producteur d’un produit se traduit par (p. 44-45) : A. Un mouvement le long de la courbe d’offre des vers le haut. B. Un mouvement le long de la courbe d’offre vers le bas. C. Un déplacement de toute la courbe d’offre vers la droite. D. Un déplacement de toute la courbe d’offre vers la gauche.
C
32
Graphiquement, le progrès technique dans une industrie se traduit par (p. 44-45) : A. Un mouvement le long de la courbe d’offre des vers le haut. B. Un mouvement le long de la courbe d’offre vers le bas. C. Un déplacement de toute la courbe d’offre vers la droite. D. Un déplacement de toute la courbe d’offre vers la gauche.
C
33
19) Graphiquement, un surplus sur un marché est le résultat de (p. 48-49) : A. Une demande excédentaire : Quantité offerte < Quantité demandée. B. Une demande excédentaire : Quantité offerte < Quantité demandée. C. Une demande excédentaire : Quantité offerte > Quantité demandée. D. Une offre excédentaire : Quantité offerte > Quantité demandée.
D
34
Un prix inférieur au prix d’équilibre sur un marché se traduit par une situation de (p. 48-49) : A. Surplus : Quantité offerte > Quantité demandée B. Pénurie : Quantité offerte > Quantité demandée C. Surplus : Quantité offerte < Quantité demandée D. Pénurie : Quantité offerte < Quantité demandée
D
35
Un prix supérieur au prix d’équilibre sur un marché se traduit par une situation de (p. 48-49) : A. Surplus : Quantité offerte < Quantité demandée. B. Pénurie : Quantité offerte > Quantité demandée. C. Surplus : Quantité offerte > Quantité demandée. D. Pénurie : Quantité offerte < Quantité demandée.
C
36
Dans une situation d’équilibre sur un marché, un déplacement de la courbe de demande vers la droite se traduit par (p. 50) : A. À court terme, une pénurie ; à long terme, une hausse des prix, une hausse de la quantité offerte et un déplacement de l’équilibre vers la droite. B. À court terme, une pénurie ; à long terme, une hausse des prix, une baisse de la quantité offerte et un déplacement de l’équilibre vers la droite. C. À court terme, un surplus ; à long terme, une baisse des prix, une hausse de la quantité offerte et un déplacement de l’équilibre vers la gauche.
A
37
Dans une situation d’équilibre sur un marché, un déplacement de la courbe d’offre vers la droite se traduit par (p. 51) : A. À court terme, un surplus ; à long terme, une baisse des prix, une hausse de la quantité demandée et un déplacement de l’équilibre vers la droite. B. À court terme, une pénurie ; à long terme, une hausse des prix, une baisse de la quantité demandée et un déplacement de l’équilibre vers la droite. C. À court terme, une pénurie ; à long terme, une baisse des prix, une hausse de la quantité demandée et un déplacement de l’équilibre vers la gauche.
A