Chapitre 7: contexte des relations internationales, problèmatique de l'eau Flashcards
Quelles sont les particularités du contexte institutionnel qui encadre les relations internationales
- identifier certaines contraintes récurrentes rencontré au niveau international, pouvant faire obstacle à de véritables possibitlités de développement durable.
- pointer les possibilités bien réelles qui offrent les voies de solutions susceptibles de relever les défis posés.
- Faire la part des choses de manière équilibrée et nuancée
Quel est le rôle et la marge de manoeuvre des principaux acteurs qui y interviennent? ( le principal)
l’acteur principal est l’état national:
- Il se trouve parfois, contesté par les autorités locales, il demeure souverain à savoir qu’il exerce l’autorité ultime sur son propre territoire. La signature et la mise en oeuvre des accords internationaux dépend de sa volonté.
- Sa souveraineté peut lui apporter une source de faiblesse pour la gestion des problèmes environnementaux internationals, l’état peut refuser de coopérer.
- Hormis des cas exceptionnels, le système international ne peut obliger un état à respecter des normes internationales. Il ne peut ni forcer la mise en oeuvre ni même la vérifier car il n’existe pas d’autorité coercitive légale supérieure pour s’exercer sur les État
- Le suivi et la vérification des accords internationaux en environnement laisse à désirer( défaillant)
- La majorité des pays signataires d’accords ne soumettent pas de rapports complets sur leurs activités pertinentes en environnement. ( seulement la moitié des états liés au protocole de Mtl ont rapporté des données sur les activités qui affectent la couche d’ozone)
Quel est le rôle et la marge de manoeuvre des principaux acteurs qui y interviennent? ( le second)
La coopération internationale: elle semble impressionnante mais elle reste stérile pour contrer la déforestation, désertification, le déclin de la qualité de l’air et de l’eau, la dégradation des sols ainsi que la contamination
En quoi les visées du développement durable offrent des occasions réelles de dépasser l’approche dominante classique dans le champs des relations internationales, à savoir celle du réalisme politique
L’école réaliste des relations internationales perçoit la scène internationale comme un ensemble anarchique où chaque état chercher à établir sa puissance, coûte que coûte sans morale, sans éthique, dans un vaste jeu à somme nulle. Dans ce jeu à somme nulle, e gain d’un acteur est nécessairement compensé par une perte correspondante pour un autre acteur.
Quelles sont les perspectives ouvertes à cet égard par l’approche alternative du libéralisme, ainsi que par sa variante institutionnaliste, qui apparaissent mieux en mesure de saisir et de faire place, dans leur champ de préoccupations, aux exigence du développement durable
Les approches dites libérales ne concoivent pas la scène internationale exclusivement comme un jeu de puissance, où les gains des uns sont quasi automatiquement la cause de la perte des autres. Elles présentent d’avantage un monde de jeu à somme positive où grâce au respect de normes communes et à la coopération, les pays font plus et mieux en groupe que ce qu’ils auraient réalisé en restant isolés. Les approches libérales soutiennent que le bien commun se réalise dans un cadre bien défini.
L’approche institutionnelle pour sa part, accordera une plus grande importance aux institutions dans la définition des intérêts nationaux… Ces institutions peuvent prendre la forme d’orgaisations, de régimes ou de pratiques informelles. Elles ont une solution au problème de désertion.