Chapitre 6 Flashcards

1
Q

Quelle est la différence entre une population et un échantillon?

A

Un échantillon est un ensemble d’observations de la variable aléatoire qui provient d’une
population infinie dont les propriétés statistiques sont constantes, alors qu’elles sont variables
avec l’échantillon.
(p. 180)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Q2 – Quelles sont les qualités d’une série de données stationnaires?

A

Une série de données est stationnaire si ses paramètres statistiques à long terme (p. ex., moyenne
et écart-type) sont invariants dans le temps. La variabilité de la série ne doit être causée que par
des fluctuations aléatoires.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Q3 – Comment construit-on l’histogramme de fréquence d’un échantillon?

A

L’histogramme de fréquences de l’échantillon constitue un simple ensemble de rectangles de
même largeur, la base du ième rectangle étant l’intervalle i, et sa hauteur étant la fréquence ou la
fréquence relative de cette classe.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Q4 – Quels liens existe-t-il entre la probabilité de dépassement et la fréquence cumulative?

A

La probabilité de dépassement est égale à (1 – p) alors que la fréquence cumulative est égale à p,
soit la probabilité de non-dépassement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Q5- Qu’ont en commun la fonction de densité de probabilité et la fonction de distribution
de probabilité?

A

La dérivée de la fonction de distribution de probabilité cumulative F(x) donne la fonction de
densité de probabilité f (x) lorsque F(x) est dérivable

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Q6 – Que représente F( x) = P(X ≤ x) ?

A

Il s’agit de la probabilité cumulative que la variable aléatoire X soit inférieure ou égale à x

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Q1 – Quelle est la différence entre une population et un échantillon?

A

Un échantillon est un ensemble d’observations de la variable aléatoire qui provient d’une
population infinie dont les propriétés statistiques sont constantes, alors qu’elles sont variables
avec l’échantillon.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Q2 – Quelles sont les qualités d’une série de données stationnaires?

A

Une série de données est stationnaire si ses paramètres statistiques à long terme (p. ex., moyenne
et écart-type) sont invariants dans le temps. La variabilité de la série ne doit être causée que par
des fluctuations aléatoires.
(p. 180)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Q3 – Comment construit-on l’histogramme de fréquence d’un échantillon?

A

L’histogramme de fréquences de l’échantillon constitue un simple ensemble de rectangles de
même largeur, la base du ième rectangle étant l’intervalle i, et sa hauteur étant la fréquence ou la
fréquence relative de cette classe.
(p. 182)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Q4 – Quels liens existe-t-il entre la probabilité de dépassement et la fréquence cumulative?

A

La probabilité de dépassement est égale à (1 – p) alors que la fréquence cumulative est égale à p,
soit la probabilité de non-dépassement.
(p. 187)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Q5- Qu’ont en commun la fonction de densité de probabilité et la fonction de distribution
de probabilité?

A

La dérivée de la fonction de distribution de probabilité cumulative F(x) donne la fonction de
densité de probabilité f (x) lorsque F(x) est dérivable.
(p. 185)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Q6 – Que représente F( x) = P(X ≤ x) ?

A

Il s’agit de la probabilité cumulative que la variable aléatoire X soit inférieure ou égale à x

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Q9 – Que nous indique l’asymétrie d’une distribution sur la moyenne et la médiane de
l’échantillon?

A

Une asymétrie positive indique que la valeur maximale de f(x) se situe à gauche de la médiane et
inversement pour une asymétrie négative. (p. 190)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Q10 – Pourquoi plusieurs hydrologues préfèrent-ils les moments linéaires aux moments
ordinaires?

A

Ils sont moins sensibles aux données aberrantes que les moments ordinaires. (p. 189)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Objectif 6.3

Q11 – Qu’est-ce que la variable normale standardisée?

A

Elle a une distribution avec une moyenne de 0 et un écart-type de 1. (p. 193)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Q12 – Quels sont les avantages et inconvénients à ajuster une fonction de distribution au
logarithme de l’échantillon?

A

C’est utile lorsque la variable aléatoire X s’étend sur plusieurs ordres de grandeur. Par rapport à
la distribution normale, elle est bornée (0 ≤ x). Dans plusieurs cas, la variable aléatoire X n’est
pas distribuée normalement. (pp. 193-195)

17
Q

Q13 – Pourquoi l’évaluation de la qualité de l’ajustement d’une fonction de distribution
théorique à un échantillon particulier est-elle une étape cruciale d’une analyse
fréquentielle?

A

On relève toujours des écarts entre les fréquences expérimentales des valeurs observées et les
fréquences théoriques calculées à partir d’une fonction de distribution choisie. (p. 200)

18
Q

Q14 – Pourquoi, à qualité d’ajustement égale, va-t-on privilégier une fonction de
distribution à deux paramètres plutôt qu’une fonction à trois paramètres?

A

On réduit alors les sources d’incertitude.

19
Q

Q15 – Quelle est l’hypothèse intrinsèque du diagramme des moments L?

A

Les 3e et 4e moments représentent à eux seuls la série et la distribution théorique.

20
Q

Q16 – Quelle est l’hypothèse intrinsèque des fréquences expérimentales?

A

Les fréquences sont fondées sur un comportement moyen.

21
Q

Q17 – Quel est l’avantage de recourir à du papier de probabilité pour évaluer l’ajustement
d’une fonction de distribution théorique à un échantillon particulier?

A

Les fonctions de distribution tracent alors une ligne droite, ce qui facilite l’évaluation visuelle de
la qualité de l’ajustement obtenu, car les probabilités cumulatives déduites de la fonction
empirique doivent alors s’aligner. (p. 202)

22
Q

Q18 – Quelle est l’utilité hydrologique des tests khi-deux et de Kolmogorov-Smirnov?

A

Ils aident à déterminer le rejet ou l’acceptation de la fonction de distribution de probabilités. Ils
ne font aucune supposition sur le type de distribution de probabilité concernée. (p. 205)

23
Q

Q19 – À quoi reconnaît-on les formulations d’intervalles de confiance qui reposent sur
l’hypothèse d’une incertitude suivant une distribution normale?

A

On y utilise la variable normale standardisée. (p. 209)

24
Q

Q20 – Dans quelle condition devrait-on préférer la méthode de renouvellement à la
méthode standard d’ajustement de fonctions de distribution théorique?

A

Pour de courtes périodes (typiquement moins de 15 ans). (p. 213)

25
Q

Q21 – Quelles sont les trois hypothèses de base à respecter dans l’optimisation du choix du
débit-seuil de la méthode de renouvellement?

A

1) Les pointes de crues retenues doivent être indépendantes.
2) L’effectif des dépassements doit suivre une loi de Poisson.
3) La distribution des dépassements doit suivre une distribution exponentielle.
(p. 215)

26
Q

Q22 – Dans la méthode d’analyse régionale, quelle est la procédure qui permet de combiner
des débits de bassins versants de taille variées?

A

La définition d’une région homogène (étude combinée des données de plusieurs cours d’eau
jaugés (sites) en vue de leur établir une fonction de distribution unique pour l’estimation de leurs
crues. (p. 216)

27
Q

Q23 – De quelle manière exploite-t-on les résultats d’une analyse régionale pour décrire la
récurrence des débits d’un bassin versant non jaugé?

A

On développe une méthode pour estimer le débit de crue moyen (utilisé dans l’équation 6.88) en
fonction des caractéristiques des bassins versants (taille, pente moyenne, etc.). (p. 218)

28
Q

Q24 – En quoi le nombre d’années d’observation des débits a-t-il une incidence sur le choix
d’une méthode dans l’analyse de fréquence des crues?

A

Voir Figure 6.10. Selon le nombre d’années de données disponibles, la détermination d’une crue
en fonction de la période de retour varie. (p. 220)

29
Q

Q25 – En quoi l’analyse fréquentielle d’une série d’étiages s’apparente-t-elle à celle d’une
série de crues?

A

La seule différence se limite à la définition de la période de retour. Avec les crues, on s’intéresse
à l’extrémité supérieure de la distribution de probabilité, alors qu’avec les étiages, on s’intéresse
à la portion inférieure. (p. 221)

30
Q

Q26 – Quelles sont les trois variables hydrologiques les plus couramment utilisées dans
l’analyse des étiages?

A

Q2,7 : débit d’étiage de recurrence de 2 ans pendant 7 jours consécutifs
Q10,7 : débit d’étiage de recurrence de 10 ans pendant 7 jours consécutifs
Q5,30 : débit d’étiage de recurrence de 5 ans pendant 30 jours consécutifs
(p. 221)

31
Q

Q27 – En quoi l’analyse fréquentielle d’une série de précipitations diffère-t-elle de celle
d’une série de débits?

A

Toutes les notions développées dans les sections 6.1 à 6.7 s’appliquent à l’estimation des
précipitations. (p. 222)

32
Q

Q28 – Quelle est l’utilité des courbes intensité-durée-fréquence?

A

Elles permettent d’établir les intensités maximales annuelles associées à différentes durées mais
également de classer ces valeurs maximales de façon à établir leur période de retour.
(p. 224)