chapitre 5 Flashcards

1
Q

perspective des dispositions

A

postule que les individus possèdent des prédispositions (traits) à répondre d’une certaine facon dans des situations diverses et que chaque personne est unique en fonction de ses traits de personnalité; on s’intéresse au comment une personne agit plutot qu’au pourquoi

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2
Q

trait de personnalité

A

ce qui permet de nommer ce qui caractérise quelqun de facon stable à travers le temps et les évènements.

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3
Q

allport cattell et eysenck

A

considérés comme 3 représentants majeurs de la perspective des dispositions, les traits ont cherchés à mettre en évidence dans leurs recherches ce qui différencie les individus entre eux. par contre, ces auteurs se distinguent dans leur facon d’étudier les traits de personnalité, dans la nature des traits et dans le nombre de traits qu’ils considèrent utiles pour décrire la personnalité

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4
Q

Cattell (en gros)

A

possède une conception très scientifique et psychométrique de la personnalité. il privilégie la méthode statistique de l’analyse factorielle pour étudier les traits. il cherche à établir une classification des traits de la personnalité. la motivation est un concept fondamental pour lui il s’efforce de reconnaitre l’influence de l’environnement social sur le comportement, donc il introduit les concepts d’état d’esprit et de rôle dans sa théorie

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5
Q

eysenck (en gros)

A

utilise lui aussi l’analyse factorielle pour étudier la personnalité. il a élaboré une thérapie du fonctionnement du système nerveux et de l’apprentissage. il explique la personnalité comme étant la somme de patrons de comportements potentiels ou effectifs, innés ou acquis. il a construit un modèle hierarchique de réponses et regroupe les différents traits de personnalité en 3 superfacteurs. il était préoccupé par la souffrance humaine, et tentait de concilier sa théorie avec les approches comportementales pour étudier les comportements anormaux

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6
Q

allport (en gros)

A

plutôt critique face à l’utilisation de l’analyse factorielle pour étudier la personnalité. il est plus près de la déduction et de l’intuition. il a développé le concept d’autonomie fonctionnelle. il tient compte des cognitions de l’adulte pour expliquer la motivation humaine. il a introduit le concept de proprium pour nommer le centre de la personnalité, que d’autres auteurs appelaient le soi

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7
Q

pendant plusieurs années, l’étude des traits de la personnalité a donné naissance à plusieurs recherches mais peu de concensus

A

de nombreuses discussions ont été amorcées afin de s’entendre sur le nombre de traits de base et la nature de ceux-ci. il y avait certainement une volonté de parvenir à une entente sur les traits fondamentaux de la personnalité. Cattell considérait que le problème majeur des recherches dans la perspective des dispositions était la trop grande quantité de traits que les chercheurs proposaient.

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8
Q

dans les années 1980-90 les méthodes de recherche et la science se sont raffinées

A

les chercheurs ont tentés d’établir un groupement logique et cohérant des traits en fonction de 5 grandes dimensions bipolaires (big-five) le modèle des 5 facteurs

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9
Q

gordon w allport 1897-1967: bio (7)

A

1897, indiana; tira ses influences de l’attitude humanitaire de son père et de la tendance spirituelle et philosophique de sa mère, de la religion protestante et de la valorisation du travail; psychologie harvard 1919; rencontre freud en 1919 et conclu que la psychanalyse n’étudiait pas suffisament les motivations manifestes (observables) et décida d’étudier les faits observables et concrets; premier prof américain à enseigner un cours sur la personnalité; sa 1ere publication est marquante: personnality a psychological interpretation; meurt en 1967 (70ans)

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10
Q

allport adopte une position idiographique

A

les individus sont uniques: configuration-assemblage particulier de traits pour tous les individus; la personnalité ne peut être étudier que par des investigations profondes de chaque individu;

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11
Q

recherche équilibre entre idiographique et nomothétique

A

selon l’approche nomothétique, il y a des similitudes suffisantes entre les individus pour étudier des grands groupes et isoler les éléments communs, les principes universels

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12
Q

ne s’intéresse pas à la consistence des comportements indépendament des situations

A

allport estime que des comportements dans différentes situations-contextes peuvent être inconsistant ou en contradiction avec les traits de personnalité de l’individu; il affirme que les traits sont des prédispositions à agir d’une même facon dans différents contextes, mais qu’il peut arriver que les gens aient des comportements qui ne concordent pas avec leurs traits

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13
Q

importance de la personnalité accordé par allport

A

beaucoup d’importance

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14
Q

définition personnalité allport en 1937

A

la personnalité est l’organisation dynamique au sein de l’individu de systèmes psychophyisiques qui déterminent son comportement caractéristique et ses pensées

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15
Q

pour allport la personnalité est une entité

A

qui traduit la facon de penser, de réfléchir, d’agir et de se comporter dans différentes situations

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16
Q

contribution des bases biologiques

A

influence de facteurs biologiques et génétiques sur la personnalité (déterminants de la personnalité)

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17
Q

système

A

le système est un ensemble complexe d’éléments qui s’inter-influencent: système est une somme de plusieurs éléments qui sont en interaction

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18
Q

psychophysique

A

la personnalité comprend le fonctionnement mental (psychologique) et neuronal (physique); combinaison de ces deux éléments

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19
Q

organisation dynamique

A

la personnalité est constitué de composantes qui interagissent entre elles et également avec l’environnement de l’individu; il est donc question d’un mécanisme actif: l’activation d’un élément du système active d’autres éléments du système dans un ordre déterminé

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20
Q

la personnalité est constituée de plusieurs éléments qui se développent au cours de la vie

A

s’influencent mutuellement et la personnalité est donc en changement constant

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21
Q

comportements et pensées

A

c’est ce qui est observable. ils sont dirigés par les systèmes psychophysiques et nous permettent de nous adapter à notre environnement

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22
Q

ces éléments sont les pensées, les habitudes , les sentiments et les styles de comportements

A

en plus de s’influencer mutuellement et de se développer au cours de la vie, ils sont dictés par le fonctionnement de l’esprit et du corps

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23
Q

traits de la personnalité (4)

A

correspondent à la meilleure unité d’analyse de la personnalité; prédispositions à répondre de la même manière à des stimuli divers; assurent la stabilité des comportements au fil du temps et au travers des situations; influencent la perception des évènements

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24
Q

allporte indentifie trois propriétés à sa notion de traits de personnalité

A

la fréquence, l’intensité et l’éventail des situations

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25
Q

caractéristiques-critères des traits de personnalité (9)

A

les traits sont clairement définis; ils sont plus qu’une habitude et une attitude; leur nature n’est pas purement logique; ils existent et ils sont observables; leur existence peut être empiriquement démontrée; les traits interagissent entre-eux; ils ne font l’objet d’aucun jugement moral; ils sont distribués normalement dans la population; un comportement inconsistant avec un trait ne constitue pas une preuve de la non existence du trait

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26
Q

il existe deux catégories de traits pour allport

A

traits communs et traits personnels

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27
Q

traits communs

A

suivent une distribution normale dans la population; sont les traits que la plupart des gens possèdent dans une culture donnée; sont nomothétiques

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28
Q

traits personnels (dispositions personnelles)

A

sous-catégories des traits communs; réfèrent à la manière particulière dont l’Individu possède le trait; sont idiographiques

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29
Q

autonomie fonctionnelle

A

constitue un élément fondamental de la personnalité pour allport: signifie qu’une activité donnée qui reposait à son origine sur un motif particulier s’en détache et devient satisfaisante en elle-même; il en existe deux niveaux

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30
Q

niveaux de l’autonomie fonctionnelle: autonomie persévératrice

A

se rattache à des processus neurologiques par lesquels l’être humain a tendance à répéter une action pour elle-même de facon routinière indépendamment des causes premières de cette action

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31
Q

niveaux de l’autonomie fonctionnelle: autonomie du proprium

A

répond à l’intentionnalité de l’individu, ce qui tend à diriger vers de nouvelles frontière

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32
Q

développement de la personnalité pour allport

A

en 7 périodes en donction de la notion du proprium: le proprium se développe et fonctionne avec l’influence du monde extérieur

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33
Q

proprium

A

centre de la personnalité qui regroupe et organise les habitudes, les attitudes et les traits de la personne; il s’agit d’un foyer d’énergie dont nous avons une conscience subjective

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34
Q

proprium désigne le soi en tant qu’objet de réflexion et comprend 7 aspects-fonctions

A

sens corporel de soi, l,estime de soi, le déploiment de soi, l’identité de soi, l’image de soi, le soi rationnel et l’effort central

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35
Q

développement des aspects-fonctions du proprium

A

se fait grsduellement à des périodes de la vie qui s’étendent du moment ou le bébé découvre ses sensations corporelles jusqu’à ce que la capacité de réfléchir sur soi se développe il ne s’agit pas de stade séquentiels, mais plutot d’aspects retrouvés dans le développement qui vont apparaitre à différents moments et qui vont évoluer jusqu’à l’âge adulte

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36
Q

ls petite enfance

A

0 à 6 mois; pas de conscience de soi, le bébé est incapable de se différencier des autres, absence de proprium; quand il se fait mal, ne sait pas que c’est lui qui s’est infligé la douleur; n’a pas de réelle conscience personnelle

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37
Q

soi corporel

A

6 à 12 mois; conscience des sensations corporelles; cette période est marquée par le premier aspect du proprium que l’enfant développe: le moi corporel; développement des organes sensoriels; se développe suite aux frustrations vécues par l’enfant et par les sensations corporelles dont il a de plus en plus conscience

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38
Q

identité du soi

A

2 ans; auto-identité; continuité de soi; cette période est caractérisée par le développement de l’identité; prise de conscience de la permanence de soi à travers le temps et l’espace: grâce au développement du système mnésique; le langage se développe et l’enfant est capable de parler de lui et des autres: aide à faire évoluer son identité

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39
Q

pour allport trois niveaux de dispositions personnelles

A

traits personnels; cette division tient compte du fait que les traits de la personnalité ne sont pas tous égaux en terme d’importance et de généralité lors de leur manifestation

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40
Q

disposition personnelle cardinale

A

trait autour duquel s’organise toute la personnalité d’un individu, correspond à la ou les dispositions principales et marquantes de la personnalité de l’individu

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41
Q

la dispositions personnelle centrale

A

tendance de signification majeure (généralement entre 5 et 10); correspond à des qualificatifs généraux attribuables à la personnalité de l’individu (premières caractéristiques prépondérantes d’un individu)

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42
Q

la disposition personnelle secondaire

A

dimension périphérique qui se manifeste occasionnellement

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43
Q

dans sa définition de la personnalité comme dans sa catégorisation des traits allport cherche à trouver un équilibre entre l’approche idiographique et nomothétique

A

CEST À dire de trouver l’Équilibre entre l’unicité de chacun et l’établissement des principes universels: tendance vers le pôle idiographique

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44
Q

allport se distingue de freud par sa théorie d’autonomie fonctionnelle

A

l’autonomie fonctionnelle fait référence à la motivation; freud parle de motivation pulsionnelle tandis qu’allport différencie les motivations de l’enfance à celles de l’adulte

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45
Q

les motivations infantiles répondent aux pulsions

A

les comportements sont effectués afin de réduire les tensions chez l’individu: allport estime qu’à l’enfance, l’ëtre humain est guidé par des pulsions. il mange quand il a faim, il joue quand il en a envie et il dort quand il est fatigué. lorsqu’Il ne peut pas combler ses besoins primaires, des frustrations se font sentir

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46
Q

cette théorie possède les même fondements que la théorie freudienne (pulsions enfants)

A

le comportement vise l’évitement des frustrations, motivation extrinsèque: comportment motivé par une pulsion

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47
Q

à l’âge adulte, l’être humain est guidé par ses intensions plutôt que par des pulsions

A

éventuellement dans la réalisation de l’action motivée par la raison (et non les pulsions), l,adulte peut même trouver un certain plaisir à cette réalisation. le plaisir est caractéristique de la motivation intrinsèque

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48
Q

motivation intinsèque

A

action conduite uniquement par l’intérêt et le plaisir que l’individu trouve à l’action sans attentes de récompenses externes

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49
Q

consuites-comportements dictés par les ambitions, plans et aspirations

A

constituent des ensembles cognitifs diversifiées et individualisés

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50
Q

l’estime de soi

A

3 ans; initiative; l,enfant est à la recherche de son estime de soi; son sens de l’autonomie, ses jeux, insi que la maitrise qu’il exercera sur son environnement influenceront l’estime qu’il se porte

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51
Q

le soi en image

A

4 à 6 ans; le moi-soi comprend différents aspects de l’environnement, espoir et aspirations basées sur les attentes des autres; l’enfant développe une vision de son environnement ainsi qu’un concept de réciprocité: il se crée des attentes et des buts suite aux rétroactions qu’ont les gens de son entourage sur lui

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52
Q

le soi rationnel

A

6 à 12 ans; raisonnement et solutions des problèmes; cette étape marque le début du développement du raisonnement; l,enfant devient capable de trouver des solutions raisonnables aux diverses exigences internes et externes de la vie. contribution des capacités cognitives qui se développent. la pensée devient plus logique et formelle.

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53
Q

l,effort ou l’adolescence

A

12 à 18 ans; planification du futur; c’est à cette étape que le développement de la planification future se fait (recherche d’un sens à la vie, objectifs futurs): intentionnalité; l’individu apprend que ses actions et comportements ont des répercussions sur l’avenir

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54
Q

la maturité (6 critères)

A

autonomie; capacité d’intimité et de compassions pour autrui; tolérance de la frustration; perceptions réalistes et aptitudes; connaissances objective de soi (insight) et humour; autodétermination (but)

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55
Q

un des premiers psychologues à parler de trait de la personnalité

A

allport

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56
Q

approche idiographique laissant sous entendre que les gens n’agissent pas nécessairement de la même manière dans des contextes différents

A

impossibilité de généraliser à partir des comportements des individus

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57
Q

allport considère l’homme comme étant

A

complexe

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58
Q

la théorie d’allport n’est pas vraiment une théorie

A

plusieurs mini-théories sans les unifier

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59
Q

bio cattell (6)

A

20 mars 1905 angletterre, 2e de 3 garcons; ses parents découvrirent très rapidement sa vivacité intelectuelle; au cours de sa vie cattel a subit la WW1 ET LA WW2; il fait son examen d’admission à l’université à l’âge de 15 ans; il termine à 19 ans son bac en chimie avec une mention d’honneur; à 24 ans il obtient son doctorat en psychologie avec la collaboration du psychologue-statiticien charles spearman; 1941 cattell invité par allport à s’installer à l’uni harvard ou il se concentre sur l’étude des traits de perosnnalité à l’aide de l’analyse factorielle; étant l’aiteur d’une cinquantaine de livres et d.environ 350 artivles il représente l’un des théoriciens les plus prolifiques que la psychologie ait connu

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60
Q

définition de la personnalité pour cattell

A

correspond à ce qui permet une prédiction de ce que va faire une personne dans une situation donnée

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61
Q

cattell propose une formule en fonction de sa définition de la personnalité

A

R = f(S x P); R: nature de l’intensité de la réponse comportementale; S: la situation dans laquelle la personne est placée; P: la nature de la personnalité

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62
Q

la réponse comportementale est donc fonction de

A

la personnalité et de la situation

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63
Q

nécessité de recourir à l’analyse factorielle pour déterminer les dimensions fondamentales de la personnalité

A

approche nomothétique

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64
Q

unité d’analyse de la personnalité pour cattell

A

trait de peronnalité: ce qui parmi les comportements, les affects et les pensées, au fil du temps (et dans les situations de la vie), caractérise de facon relativement immuable et constante la personnalité

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65
Q

cattell utilise trois types de donnés dans l’étude de la personnalité

A

l-data; q-data et t-data; importance de la combinaisons des trois types de donnés; c’est la combinaison de ces trois types de donnés qui permet d’augmenter la justesse de la prédiction du comportement d’un individu

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66
Q

l-data

A

archives des évènements de vie

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67
Q

q-data

A

questionnaires auto-rapportés

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68
Q

t-data

A

observation d’un individu dans une situation standardisée désignée à évaluer un aspect de la personnalité

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69
Q

le trait et ou l’assemblage de traits de personnalité permet la prédiction des comportements

A

les traits sont des entités permanentes qui sont hérités et qui se développent pendant la vie. ils faconnent le comportement

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70
Q

cattell a développé diverses conceptualisations des traits

A

chaque trait est associé à certains effets comportementaux; permet de rejoindre la multitude de natures de personnalités existantes

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71
Q

conception hierarchique des traits

A

des plus généraux (en nombre réduits) aux plus spécifiques ( en plus grand nombre)

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72
Q

cattell distingue deux types de traits

A

les traits de surface et les traits de source

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73
Q

traits de surface

A

traits qui illustrent une facon caractéristique d’agir et qui sont directement observables. sont très nombreux et sous le contrôle des traits de source; se situent aux deux pôles d’un continum

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74
Q

traits de source

A

responsables de la diversité des personnalités, ils sont à la base de la personnalité: traits d’aptitude, traits de tempérament et traits dynamiques ou motivationnels

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75
Q

traits d’aptitude

A

potentiel qui permet d’affronter la vie avec plus ou moins de facilité. ce sont des traits innés

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76
Q

traits de tempérament

A

traits innés qui se rapportement aux différents affects qui qualifient notre style de vie. correspond aux affects qui colorent la vie émotionnelle et la facon de se comporter

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77
Q

traits dynamiques ou motivationnels

A

traits qui sous tendent les choix de l’individu. refèrent au degré de motivation et aux intérêts des individus

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78
Q

dynamique de la personnalité pour cattell

A

attitudes, sentiments, ergs

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79
Q

pour rendre compte d’une nature plus générale de certains aspects de la personnalité

A

distinction entre les traits communs et les trais uniques

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80
Q

traits communs

A

traits qu’on retrouve habituellement chez un nombre important d’individu ex intelligence, anxiété et estime de soi

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81
Q

traits uniques

A

traits qui sont attribuables à un seul individu, contrairement aux traits communs; ces traits peuvent prendre la forme d’intérêts particuliers ou de croyances. permettent à chacun de se singulariser

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82
Q

une autre facon de catégoriser les traits implique de déterminer à quel point ils sont déterminés par des facteurs biologiques ou environnementaux

A

cattell désirait ardement distinguer les traits constitutionnels qui sont déterminés par l’hérédité de ceux qui le sont par le milieu

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83
Q

facteurs constitutionnels

A

dépendent principalement des facteurs biologiques ex. émotivité est relié à une variation hormonale

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84
Q

facteurs environnementaux

A

influence des facteurs environnementaux et sociaux ex. la moralité d’un individu est influencé par l’influence de sa famille ou de ses pairs

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85
Q

la plupart des traits de la personnalité proviennent

A

d’un mélange des traits constitutionnels et environnementaux

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86
Q

trait le plus influencé par l’hérédité d’après cattell

A

intelligence; cette affirmation a suscité beaucoup de controverses dans le milieu scientifique de l’époque

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87
Q

introversion et extraversion

A

seraient pour une bonne part héréditaires également

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88
Q

importance de considérer l’interaction entre l’hérédité et l’environnement

A

permet le renforcement ou l’affaiblissemeny des traits

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89
Q

développement de la personnalité pour cattell est fonction

A

de l’interaction entre l’hérédité et l’environnement

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90
Q

cattell insiste sur l’importance des premières années de vie

A

l’environnement familial-social exerce une influence particulièrement forte au cours des premiers stades de développement; alors que le bagage héréditaire placera l’individu devant certaines limites quant à son rythme et à ses capacités d’apprentissage, l’environnement viendra faconner, controler et favoriser le développement de ce potentiel

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Perfectly
91
Q

cattell considère qu’une personne peut se comporter différemment selon la situation

A

la personnalité est donc dynamique; la facon d’agir d’une personne dans une situation donnée dépend de ses traits de personnalité et des motivations que la personne entretient dans cette situation

92
Q

le dynamisme de la personnalité

A

s’explique par les concepts d’état d’esprit et de rôle: pour cattel on ne peut décrire un individu que si on tient compte de son état d’esprit et de son rôle au moment ou on l’étudie

93
Q

état d’esprit

A

changement émotionnel ou d’humeur inhérant aux différentes situations de la vie

94
Q

rôle

A

influence des habitudes et des valeurs culturelles et sociales sur le comportement d’un individu selon la fonction qu’il occupe au moment ou il adopte le comportement; comportement attendu en fonction de la situation

95
Q

motivation pour cattell

A

comme allport considère que c’est un élément fondamental de la personnalité

96
Q

motivation cattell

A

le comportement d’un individu est animé et guidé dans ses choix et ses projets par la dimension dynamique des différents traits innés et aquis

97
Q

cattell énonce trois éléments faisant partie de la dynamique de la personnalité

A

attitudes, sentiments et ergs

98
Q

attitudes

A

trait appris qui détermine comment un individu réagira dans une situation ou devant un objet en particulier

99
Q

sentiments

A

ensemble de traits dynamiques qui font en sorte qu’un individu est plus attentifs à certains objects plutôt qu’à d’autres

100
Q

ergs

A

trait de source constitutionnel responsable de l’apport à l’organisme de l’énergie dont il a besoin pour tous ses comportements

101
Q

les attitudes et les sentiments

A

démontrent l’influence de la nature et de la culture sur l’individu

102
Q

ergs, motivations internes

A

vont controler, moduler les comportements; correspond à ce qui procure l’énergie psychique nécessaire aux différents comportements: instincts, intensité de l’erg est variable pour chaque individu

103
Q

motivation à adopter un comportement

A

constitué des ergs ainsi que de motifs déterminés par le milieu (attitudes et sentiments)

104
Q

ergs possèdent une origine biologique

A

mais l’expression de l’erg est teintée par la culture; ressembles aux pulsions et au concept de libido de freud; les ergs sont relativement permanents au sein des individus

105
Q

personnalité pour cattell en bref

A

est influencée par l’hérédité (composante possiblement liée aux ergs) et l’environnement. elle est variable en fonction de la situation (rôle de l’individu selon la situation) ainsi que de son état d’esprit

106
Q

méthode de travail de cattell

A

inovatrice dans le domaine de la psychologie. elle se basait sur l’observation tel que les scientifiques le faisaient à cette époque; étudiait les donnés prises lors de ces observations et les analysaient selon des méthodes statistiques avec les résultats, il pouvait alors en retirer des principes qui étaient à la base de ses concepts théoriques

107
Q

pour cattell : trois méthodes pour étudier l’organisation de la personnalité

A

la méthode bivariée, la méthode multivariée et la méthode clinique

108
Q

méthode bivariée

A

respecte la conception expérimentale classique. il s’agit de la méthode par laquelle on étudie les fluctuations d’une variable indépendante et on en observe l’effet sur sa variable dépendante

109
Q

méthode multivariée

A

l’étude de la corrélation entre plusieurs variables

110
Q

méthode clinique

A

étude de la personnalité en observant les comportements en situation naturelle. les variables ne sont pas évaluées systématiquement

111
Q

analyse factorielle pour cattell

A

espérarait décomposer la personnalité en différents niveaux d’éléments hierarchiques avec cette méthode; méthode mathématique qui permet de déterminer les effets des différentes variables. cattell a utilisé cette méthode pour construire ses tests de personnalité

112
Q

analyse factorielle en bref

A

méthode d’analyse multivariée. s’agit d,une technique étudiant la covariance entre différents traits afin de voir lesquels peuvent être pairés

113
Q

forces de cattell

A

objectivité par l’approche quantitative; démarche scientifique par l’utilisation de méthodes statistiques (analyse factorielle)

114
Q

limites de cattell

A

ces méthodes statistiques peuvent être compliqués, très techniques; emphase sur l’identification d’une personnalité universelle, perte de vue de l’individu

115
Q

bio eysenck

A

allemagne 1916, parent comédiens, élevé par sa grand-mère après la séparation de ses parents dans une grande liberté. va en angletterre en 1934 pour étudier la psycho car il n’avait pas les préalables pour étudier la physique son premier choix; pronait par d’hérédité dans la personnalité a été qualifié de fascitste. travailla dans un hopital et prof à l’uni de londres. fonde revue international dont l’objet est les traits de personnalité: personnality and individuals differences; travaille jusqu’à sa mort à 81 ans

116
Q

définition personnalité pour eysenck

A

organisation durable plus ou moins stable du caractère du tempérament, de l’intellect et du physique. cette organisation détermine l’ajustement unique de l’individu à son environnement

117
Q

eysenck tout comme cattell

A

croit à l’analyse de facteurs pour identifier l’existence de dimensions sous-jacente de la personnalité

118
Q

début de la théorie d’eysenck

A

en développant l’idée que la personnalité pouvait être divisée en deux dimensions

119
Q

ces dimensions se situent sur un continum

A

elles sont liées à l’émotivité ou névrosisme -stabilité ainsi qu’à l’extraversion-introversion

120
Q

théorie d’eysenck repose sur le fait

A

qu’il organise la personnalité de facon hierarchique: plus nous montons dans cette hierarchie plus les comportements sont rencontrés dans des situations variées

121
Q

eysenck sépare la personnalité en quatre niveau d’analyse différents

A

les réponses spécifiques, les réponses habituelles, les traits et les types

122
Q

réponses spécifiques

A

premier niveau d’analyse, sont enclanchés lors de situations précises ex. sourire et tendre la main lors d’une rencontre nouvelle

123
Q

réponse habituelle

A

regroupement des réponses spécifiques, deuxième niveau d’analyse, cette réponse habituelle sera enclanché lors de situations diverses ex. sourire et tendre la main à chaque nouvelle rencontre

124
Q

réponsent deviennent traits

A

un nouveau regroupement de réponses habituelles s’effectue au 3e niveau

125
Q

type

A

interrelation de plusieurs traits. cela crée un modèle général de comportements qui exerce une grande influence dans la réponse comportementale de l’individu; croit que c’est à ce niveau de la hierarchie que la personnalité s’organise. c,est ce 4e niveau qui constitue les trois dimensions de la personnalité abordées plus loin

126
Q

eysenck a divisé le 4e niveau de la personnalité en 3 dimensions

A

extraversion-intraversion (E), neurotisme-stabilité émotionnelle (N) et psychotisme-force du moi (P)

127
Q

continums des dimensions de la personnalité

A

chaque individu doit se trouver à une place plus ou moins intermédiaire de ceux ci

128
Q

composition de chacune des trois dimentions

A

un ensemble de traits

129
Q

première dimension de la personnalité

A

continuum de l’extraversion; deux poles: extraversion-introversion; la position de la personne sur le continuum: le fait d’être plus ou moins extra ou introverti d’expliquerait par des différences dans certains processus biologiques

130
Q

introverti

A

aurait un système nerveux plus sensible

131
Q

extraverti

A

système nerveux peu sensible; par contre auraient certaines régions du cerveau plus sensibles à certains signaux de l’environnement, ce qui viendrait influencer leur comportement

132
Q

les extravertis et les introvertis

A

possèderaient chacun des qualités propres ex. vigilance, sensibilité

133
Q

la deuxième dimension de la personnalité

A

le névrotisme; deux poles du continuum: névrotisme-absence de névrotisme ou normalité; seraient influencés par l’hérédité, mais également par les facteurs environnementaux et l’apprentissage

134
Q

différents types de névroses

A

selon la qualité extraverti ou introverti de l’individu

135
Q

quatre sous catégories peuvent donc etre formés avec les deux dimensions

A

introverti normal ou névrotique et l’extraverti normal ou névrotique

136
Q

la troisième dimension

A

le psychotisme,a été développé quelques années après les deux première: les deux pôles de ce continuum seraient le psychotisme et la force du Moi; les traits de cette dimension seraient héréditaire

137
Q

certains auteurs ont critiqué le choix du nom de psychotisme

A

ils avancaient celui d’impulsivité aurait été plus approprié

138
Q

principale critique de la dimension du psychotisme

A

étude de la personnalité maladive plutot que d’une personnalité saine

139
Q

pour eysenck les dimensions de la personnalités sont influencés par

A

des facteurs héréditaires; dimensions sous0tendues par des systèmes psychobiologiques

140
Q

biologie et extraversion-introvertion

A

mise en relation avec le système réticulaire activateur qui détermine le niveau d’éveil cortical; réponse psycho-galvanique (électrodermale)

141
Q

biologie et névrotisme-normalité

A

relation avec le système nerveux autonome et le système limbique

142
Q

biologie et psychotisme-force du moi

A

mise en relation avec les hormones sexuelles

143
Q

forces eysenck

A

psychologue de la personnalité influant du siècle dernier; considérait les autres modèles comme des versions différentes du sien; a fortement critique le mouvement des 5 facteurs, appui sa théorie avec de nombreuses expériences

144
Q

critiques de eysenck

A

utilisation de l’analyse factorielle et positions éthiques non défendables

145
Q

fiske 1949

A

ne parvenait pas à reproduire la structure factorielle de cattell, donc a proposé une solution avec 5 facteurs de personnalité

146
Q

auteurs pronant la nécessité d’un modèle à 5 facteurs

A

norman 1963 et borgotta 1964

147
Q

volonté des psychologues de la personnalité de réduire le nombre de facteurs à cinq mais

A

absence de concensus sur l’appelation; pour peabody et goldberg en 1989 il s’agit de variations d’un même thème; difficulté à donner un nom aux facreurs découlant de l’analyse factorielle; les facteurs découlant de l’analyse factorielle dépendent des mesures incluses dans l’étude

148
Q

fiske 1949

A

adaptation sociale, conformité, volonté d’rriver, contrôle émotionnel, quête de l’intelligence

149
Q

norman 1963

A

urgence, agréabilité, consciencieusité, émotionnalité, culture

150
Q

borgotta 1964

A

assertivité, sympathie, responsabilité, émotionnalité, intelligence

151
Q

digman 1990

A

extraversion, amabilité, volonté d’arriver, neuroticisme, intellect

152
Q

costa et mccrae

A

extraversion, agréabilité, consciencieusité, neurotisme, ouverture à l’expérience

153
Q

personnalité décrite delon un système hierarchique à deux niveaux

A

5 facteurs fondamentaux de la personnalité et 6 facettes par facteur

154
Q

facettes

A

permettent de décrire avec précision les différents aspects qui composent les 5 dimensions fondamentales de la personnalité; stables dans le temps et cohérants chez un même individu dans différents contextes-situations

155
Q

caractéristique modèle bog five (5)

A

traits de la personnalité comme unités fondamentales; s’appliquent à tous les individus; indépendance des dimensions, stabilité des traits; modèle dimentionnel de la personnalité

156
Q

extraversion

A

confiant-timide; spontané-inhibé; assuré-passif; bavard; heureux; énergique

157
Q

agréabilité

A

chaleureux-froid; gentil-méchant; poli-rude; serviable; jaloux; compatissant

158
Q

propension à être consciencieux

A

sérieux-frivole; responsable-irresponsable; soigneux-négligé; prudent; persévérant; planifié

159
Q

névrotisme

A

nerveux-reposé; anxieux-détendu; excitabel-calme; tendu; craintif; tracassé

160
Q

ouverture à l’expérience

A

créatif-non-créatif; aimant la variété-routinier; curieux-non-curieux; original; éveillé, attentif

161
Q

modèle dimensionnel de la personnalité

A

les dimensions et les facettes s’évaluent sur un continuum allant d’Un faible niveau à un haut niveau. l’individu se retrouve à un endroit précis sur le continuum; en situant l’individu sur les cinq dimensions, nous obtenons un profil de sa personnalité

162
Q

définition névrosisme

A

propension à faire l’expérience d’émotions négatives et positives; anxiété, hostilité-colère, dépression, impulsivité, timidité, vulnérabilité

163
Q

définition extraversion

A

approche énergique face au monde social et matériel: chaleur, grégarisme, assertion, activité, recherche de sensations, émotions positives

164
Q

définition ouverture à l’expérience

A

étendu, profondeur, originalité et complexité de l’expérience et de la vie mentale: fantaisie-rêverie, esthétisme, ouverture aux sentiments, ouverture aux actions, ouverture aux idées, ouverture aux valeurs

165
Q

définition agréabilité-amabilité

A

orientation prosociale des comportements: confiance, franchise-droiture, altruisme, soumission, modestie, sensibilité

166
Q

définition propension à être consciencieux

A

contrôle des impulsions qui facilitent la tâche et le comportement dirigé vers un but: compétence, ordre, sens du devoir, recherche de réussite, discipline, délibération

167
Q

arguments en faveurs du modèle du big five

A

études longitudinales prouvant la stabilité des facteurs dans différentes situations; les cinq facteurs se retrouvent dans le langage courant et dans les principaux questionnaires de la personnalité; les facteurs se retrouvent dans différentes cultures et ne sont pas influencés par l’âge et le genre; les facteurs ont une base biologique

168
Q

critiques du modèle du big-five

A

peu d’informations sur la manière dont la personnalité fonctionne et comment elle peut être expliquée; l’avenue des traits de la personnalité n,est pas intéressante pour expliquer la personnalité: critique de l’approche situationniste; les comportements sont les résultats de l’interaction trait-situation

169
Q

critique de l’approche interractionniste

A

ender et magnussun 1976: proposent un modèle tenant compte des traits, des situations et de leur interractions, les traits n’expliquent qu’une faible partie de la variance: traits (12,1%), situations (10,2%), interactions (20,8%) et autres (56,9%)

170
Q

NEO-PI-R

A

développé par costa et mccrae; principal instrument d’évaluation de la personnalité selon les modèles du big-five; mesure les facteurs et leurs facettes; névrotisme,extraversion, ouverture à l’expérience, personnality inventory revised

171
Q

structure du NEO-PI-R

A

questionnaire (papier ou informatisé), 240 items-énoncés, 8 items par facette; échelle de Likert

172
Q

passation du NEO-PI-R

A

individuelle ou en groupe, pas de limite de temps (nécessite normalement entre 30 et 40 minutes)

173
Q

deux formes de questionnaires NEO-PI-R

A

forme S et forme R; il existe aussi une forme brève NEO-FFI (five factors inventory)

174
Q

forme S

A

remplie par le participant lui-même (auto-évaluation)

175
Q

forme R

A

remplie par un proche du participant

176
Q

NEO-PI-R névrotisme

A

je me sens souvent inférieur aux autres; lorsque je suis dans une période intense de stress j’ai parfois l’impression que je vais m.effondrer; trop souvent lorsque les choses vont mal, je me sens découragée et j’ai envie de tout laisser tomber, je suis quelqun d’anxieux

177
Q

NEO-PI-R extraversion

A

j’aime être entouré de beaucoup de gens, je suis une personne enjouée, pleine d’action, je ris facilement, je suis une personne très active

178
Q

NEO-PI-R ouverture à l’expérience

A

je suis intringué par les formes que je trouve dans l’art et la nature; je crois que le fait de laisser les étudiants écouter des orateurs controversés ne peur que les torubler et les induire en erreur, je démontre une très grande curiosité intellectuelle

179
Q

NEO-PI-R agréabilité

A

j’essaie d’être courtois envers tous ceux que je rencontre; je préfère coopérer avec les gens plutôt que de rivaliser avec eux; la plupart des gens que je connais m’aiment bien; en général, j’essaie d’être attentionnée et respectueuse

180
Q

NEO-PI-R propension à être consciencieux

A

je garde propre et en ordre mes effets personnels; une fois que j,ai trouvé la bonne facon de faire quelque chose, je la conserve; je suis capable de me discipliner afin de m,acquitter de mes tâches à temps; je vise la perfection dans tout ce que j’entreprends

181
Q

utilité clinique NEO-PI-R

A

mieux comprendre le client; choisir la prise en charge la plus apropriée en psychothérapie; prédir l’évolution de la prise en charge

182
Q

NEO-PI-R sensible à la présence de troubles de la personnalité

A

mais ne permet pas de poser de diagnostic de trouble de la personnalité

183
Q

les troubles de la personnalité pourront être considérés comme

A

des variantes extremes de traits de la personnalité: représentation générale des TP: haut niveau de névrotisme et score très faible d’agréabilité (exception TP dépendante)

184
Q

haut niveau d’extraversion

A

associé au TP histonique et narcissique

185
Q

faible niveau d’extraversion

A

associé aux TP schizoide, schizotypique et évitente

186
Q

haut niveau de propension à la consciencieusité

A

associé aux TOC

187
Q

faible niveau de propension à la consciencieusité

A

associé au TP antisociale

188
Q

ouverture à l’expérience et TP

A

aucune association

189
Q

OCEAN

A

ouverture à l’expérience-conscienscieusité-extraversion-agréabilité-névrotisme

190
Q

bio robert cloninger

A

né USA 4 avril 1944; premier cycle d’étude en psychologie, philosophie et anthropologie; puis médecine; présentement médecin dans le département de psychiatrie à l’uni de Washinton, université ou il a fait ses études en médecine; enseigne la psychiatrie, la psychologie et la génétique tout en dirigeant le centre de psychobiologie de la personnalité

191
Q

modèle biosociale

A

approche dimensionnelle: l’intensité des différentes dimensions détermine certains traits de la personnalité; le modèle de cloninger admet l’hypothèse qu’il existe une continuité des dimensions de la personnalité entre ce qui est considéré normal et ce qui est pathologique, mais sans avoir de point de rupture

192
Q

mise en relation de variables psychobiologiques avec certaines variances individuelles

A

implication de la génétique comportementale; implication de la psychologie humaniste

193
Q

continuum de la psychopathologie

A

de sain à pathologique

194
Q

le modèle biosocial est élaboré à partir

A

de données ciniques, neurobiologiques et génétiques

195
Q

approche initiale de cloninger

A

définir la personnalité par la description des différences individuelles dans le tempérament

196
Q

tempérament cloninger

A

décrit en terme d’habitudes et de compétences qui sont provoqués par la perception de stimuli; habituellement défini comme étant les composantes de la personnalité qui sont héritables, qui se développent de facon stable, qui sont basés sur les émotions et qui ne sont pas influencés par l’apprentissage social

197
Q

première élaboration du modèle

A

1980; à l’origine comprenait 3 dimensions: la recherche de nouveauté, l’évitement du danger et la dépendance à la récompense

198
Q

recherche de nouveauté

A

correspond à la tendance à répondre positivement à la présentation des stimuli nouveaux: évaluation couts-bénifices

199
Q

recherche de nouveauté et hormone

A

ce sont les circuits controlés par les neurones dopaminergiques qui sont activés lors de la présentation de stimuli nouveaux, ce qui renforcerait le comportement d’exploration

200
Q

hansenne 2001

A

semblerait que l’avancement en âge soit corrélé négativement à la recherche de nouveauté

201
Q

émotion de recherche de nouveauté

A

colère

202
Q

l’évitement du danger

A

associé à une réponse comportementale d’inhibition du comportement; tendance à éviter les stimuli jugés négatifs afin d’éviter les punitions qui y sont associés

203
Q

évitement du danger et hormone

A

les comportements associés à l’évitement du danger activeraient le système sérotoninergique

204
Q

émotion et évitement du danger

A

crainte-peur

205
Q

dépendance à la récompense

A

consiste en la propension à répondre de manière intense aux récompenses, comme l’approbation sociale et interpersonnelle et à éviter une punition ex. pour une personne ayant un niveau de dépendance à la récompense élevé, l’approbation sociale et interpersonnelle pourrait être une motivation expliquant certains comportements de la personne

206
Q

dépendance à la récompense et hormone

A

haut niveau associé à une activité basale faible de la noradrénaline

207
Q

émotion et dépendance à la récompense

A

amour

208
Q

activation des comportements

A

recherche de nouveauté

209
Q

inhibition des comportements

A

évitement du danger

210
Q

maintien des comportements

A

dépendance à la récompense

211
Q

critique du modèle initial de cloninger

A

le modèle ne couvre pas tous les aspects de la personnalité

212
Q

ajout au modèle de base

A

la persistance (tempérament); trois types de caractères

213
Q

caractère

A

disposition durable qui apparait plus tard dans la vie et qui module les tempéraments de base; défini comme étant des dimensions de la personnalité au même titre que les tempéraments: seraient faconnés par l’apprentissage social et cognitif et facteurs génétiques n’auraient pas d’impacts sur ceux-ci

214
Q

persistance

A

consiste à avoir tendance à continuer une activité ou un comportement sans considérer les conséquences de l’activité ou du comportement: le terme persistance est synonnyme de ténacité; une personne ayant un haut niveau de persistance est décrite comme un individu têtu, persévérant et qui accorde une grande importance à l’investissement au travail

215
Q

coopération

A

ce caractère met l,accent sur l,acceptation des autres. le continuum de la coopération constitue la dimension de la personnalité qui s’étend de la personne aidante et empathique à la personne hostile et agressive

216
Q

auto-détermination

A

aptitude d’un individu à moduler son comportement afin d’atteindre le but visé, de faire face à uen situation avec ses valeurs. le continuum de la détermination constitue la dimension de la personnalité qui s’étend de la personne responsable et orientée vers un but à la personne qui est insécurisée et inepte

217
Q

transcendance

A

dimension spirituelle de la personnalité. le continuum de la transcendance constitue la dimension de personnalité qui s’étend de la personne imaginative et non-conventionnelle à la personne controlante et matérialiste. cette dimension ne se retrouve pas dans d’autres modèles explicatifs de la personnalité. elle trouve son fondement dans le fait qu’il existe un multitude de croyances que les individus peuvent détenir

218
Q

description variance extreme autodétermination

A

responsable-blamant; déterminé-sans-but; débrouillard-inepte; auto-acceptation-vaniteux; discipliné-indiscipliné

219
Q

description variance extreme coopération

A

tendre-intolérant; empathique-insensible; aidant-hostile; compatissant-vengeur; a de bons principes-opportuniste

220
Q

description variance extreme transcendance

A

oubli de soi-non-imaginatif; consentant-controlant; spirituel-matérialiste; éclairé-possesif; idéaliste-conventionnel

221
Q

modèle final

A

intègre les 4 tempéraments ainsi que les 3 dimensions de caractère (donc 7 dimensions)

222
Q

application clinique cloninger

A

premier modèle a été utilisé en clinique; utilisé entre autre pour l’étude de la dépression, TOC, la schizophrénie, le stress post-traumatique

223
Q

troubles de la personnalité et TCI

A

score faible d’autodétermination et de coopération; transcendance: indice de gravité psychopathologique

224
Q

pfohl et al 1990

A

TOC score plus élevé à l’évitement du danger et dépendance à la récompense

225
Q

avantages cloninger

A

données psychobiologiques robustes; intérêt car le modèle met de l’avant les déterminants biologiques de la personnalité; intéret clinique de recherche

226
Q

limites cloninger

A

explication réductionniste du rôle des neurotransmetteurs; dimensions ne sont pas des catégories diagnostiques