Chapitre 3 - Sémiologie Flashcards
Categorie d’âge pour les secouristes
Adulte -> puberté
Enfant -> de 1 an à la puberté
Nourrisson-> de 1 semaine à 1 an
Nouveau né -> < à 1 semaine
Analyse du trouble :
Question à poser
PQRST :
Provoqué par
Qualité
Région
Sévérité
Temps
Évaluations de l’intensité de la douleur
Échelles numérique (de 1 à 10 )
Échelle verbale simple ( de 1 à 4 )
Chez le tout petit enfant :
On regarde pleur, grimace, attitude antalgique, refus d’être toucher à la zone douloureuse, une prostration ( état d’abattement extrême, de faiblesse, d’inactivité total) , une agitation
Si la douleur ne peut etre évaluer (barrière de la langue) à préciser dans le bilan NE (Non évaluer)
Recherche des antécédents
MHTA
Maladie/malaise
Hospitalisation
Traitement
Allergie
Appréciation de la conscience
Question simple :
Comment ca va, ouvrez les yeux, serrer moi les mains, de quoi vous plaignez vous.
Si la victime ne répond pas et n’obéit pas au ordre simple, elle est inconsciente (coma). Si elle répond ou obéit, elle est consciente
En cas de suspicion de traumatisme, aucun mouvement important doit lui être demandé, il faut donc lui demander de serrer les mains sans mobiliser les bras
Évaluations de la consciences ( score de glasgow )
Permet d’évaluer un trouble de la conscience et la profondeur d’un coma
De 3 a 15
Y V M
Yeux (4 a 1) Verbal (5 à 1) Motrice (6 à1)
Score de glasgow ouverture des yeux
4 : spontané
Yeux ouvert et s’ouvre spontanément, regarde normal
3 : a la demande
Yeux fermé mais s’ouvre lorsqu’on lui demande
2 : a la douleur
Yeux fermé et s’ouvre que lorsqu’un stimulus douloureux est réalisé
1 : aucune
Score de glasgow réponse verbale
5 : orienté
La personne se souvient de son nom, de son âge, du jour, de l’endroit où elle se trouve et de ce qu’il lui arrive
4 : confuse
La victime comment des erreurs, montre des signes de désorientation, d’amnésie ou se répète régulièrement
3 : inapproprié
Les reponse données ne correspondent pas au questions posées
2 : incompréhensible (a la douleur ou à la voix même score )
Ne parle plus. Grogne ou marmonne soir spontanément soit lors de la stimulation douloureuse
1 : aucune
Ne parle plus du tout aucun son sort de sa bouche
Score de glasgow reponse motrice
6 : a la demande
Répond au ordre simple de façon adaptée
5 : orienté la stimulation douloureuse entraîne un mouvement plus ou moins violent de la victime qui essaie de se soustraire à la douleur
4 : repoussement non adaptée
Le mouvement ne recherche plus avec précision à se soustraire de la douleur, il n’est plus adaptée ou à peine ébauché
3 : flexion des avant bras
Lors de la stimulation douloureuse, les avant bras ont tendance à se mettre en flexion sur les bras ( decortication )
2 : extension des bras
Lors de la stimulation douloureuse, les bras ont tendance à se mettre en extension et en rotation interne (poing souvent fermé et paumé tourner vers l’extérieur)( décérébration )
1 : aucune
A partir de quel score de glasgow une victime est mise systématiquement en pls ?
Glasgow 10
Sauf ACR ou traumatisé laissée sur le dos
Score AVPU / EVDA
Forme simplifié du glasgow utilisé par certains secouriste pu sentinelles
Awake, alert Éveillé
Verbale Réactive a la voix
Pain Réactive à la douleur
Uresponsive Aréactive
Qu’es ce que l’intervalle libre
La durée qui sépare la survenu du traumatisme crânien (avec ou sans PCI) de la perte de connaissance secondaire
Plus l’intervalle est court, plus la compression cérébrale est rapide
Différence syncope/coma
Coma = perte de connaissance de plus de 5 minutes
Quand doit on rechercher le recherche de mobilité sensibilité ?
Lors d’un traumatisme de membre
Un traumatisme du rachis
Une atteinte cérébrale
Définition parésie / paralysie
Parésie : diminution de la force motrice
Paralysie : absence de mouvement
Pour la sensibilité, on recherche :
Des fourmillements
Des sensations de décharge électrique
Une diminution / abolition de la sensibilité
Traumatisme de membre on recherche :
Trouble de motricité : bouger lentement doigt/orteils
Trouble de sensibilité :
Ressent de façon symétrique un effleurement sur dos de la main ou pied
Attention elle peut être perturbé à cause de la douleur
Suspicion traumatisme du rachis :
trouble de la sensibilité :
Recherche de façon identique les 2 jambes, si déficit on recherche sur l’abdomen et éventuellement sur le thorax et les membre sup afin de déterminer le niveau de lésion
Trouble de motricité :
Bouger successivement jambe puis bras
Atteinte cérébrale
Trouble motricité membre supérieur
Deserrer simultanément les mains
D’élever les bras devant pendant 10 sec
Membre inférieur victime alonger jambe 90° (pareil que pour plaie abdominale mais sans soutien des jambes)
asymetrie faciale
trouble sensibilité
trouble de la parole (parole empatée, victime ne repete pas les même mots ou incapable de construire une phrase, mutisme)
en pratique, tetraplkégoie ou paraplégie souvent du a trauma rachis, hémiplégie souvent atteinte du cervau (trauma cranien, AVC)
réaction pupillaire apporte des information sur ?
trauma cranien
trouble neurologique
une intoxication
un traumatisme de l’oeil
réaction pupillaire : qu’es ce qu’on recherche ?
réactivité
symétrie
diametre ( myosis, mydriase, anisocorie )
si la victime inconsciente est en mydriase aréactive, il s’agit d’une souffrance aigue du cervau voir de sa destruction, ou d’une intoxication par médicaments ou drogue.
si elle est en ACR, sans massage, elle est généralement en mydriase bilatérale, si l’on constate après la mise en oeuvre de la réanimation une diminution du diamètre, ca veut dire que le cerveau n’est pas mort et que la reanimation est efficace.
évaluation de la raideur de la nuque
atteinte des méninge ( infectieuse ou hémoragique)
elle est qualifiée de raide quand il y a une résistance nette ou impossibilitée a la flexion, raideur souvent accompagnée de douleurs.
signe accompagnat les atteintes neurologique
photophobie
céphalées
trouble de l’équilibre et vertiges
trouble de la vigilance ou du comportement
amnésie
obnubilation
saignement de l’oreille
convultion
vomissement en jet et répétés
dyspnée
difficultée respiratoire, elle peut être inspiratoire, expiratoire ou aux deux temps
dyspnée signe ressentis
difficulté respiratoire uniquement ressentie
sensation d’étouffement
douleur a la respiration
dispnées signe audible
essouflement et difficultée a parler ou compter
(on considère pas de trouble si elle peut compter jusqu’a 10 ou faire des phrase complete, trouble si elle prend sa respi entre 5 et 10, detresse si elle ne parviens pas jusqu’a 5 ou ne peut pas dire plus de 5 mots).
bruit anormaux:
sifflement, retrécissement des voies respiratoire (crise d’asthme généralement)
ronflement, du a une chute de la langue dans les voies aériennes généralement consécutive a un coma ou encombrement des voies
râles, encombrement liquide des voies
toux, acte reflexe du a irritation des voies aériennes et sert a éliminer toute substance presente
dyspnée : les signes visibles
signe de lutte
signe cutanéomuqueux
signe dépuisement
signe de lutte
tirage mise en jeu des muscle accessoires lors de l’inspiration :
muscle du coup
muscle intercostaux
balancement thoraco-abdominal
battement des ailes du nez (surtout chez le nourrisson ou l’enfant en bas ages
dyspnée : signe cutanéomuqueux
cyanose : sygne de diminution importante de la quantitée d’oxygnène, coloration bleutée au niveau des ongles, des lèvres, des ailes du nez, des lobes d’oreille voire de la face dans les cas extrêmes (chez une personne de couleur surtout au niveau des ongle et des lèvre)
signe d’extreme gravitée/ detresse vital.
sueur moiteur qui vienne de la dilatation des vaisseaux sanguin par l’augmentation de la quantiée de CO2 dans le sangs. d’abord sur le front puis sur tout le corps si agravation
Dyspnée : signes d’épuisement
Les signe apparaissent quand l’organisme est fatigué par sa lutte contre la détresse respiratoire et se manifeste par une somnolence qui traduit l’hypoxie cérébrale et l’épuisement physique suite à l’hyperventilation. Elle peut aussi resulté de l’élévation en co2 chez l’insuffisant respiratoire chronique. Si la victime ne peut pas tenir assise, et que malgré le traitement entrepris les signe épuisement cyanose etc persiste, le pompier doit les interpréter comme extrême gravité précédant l’arrêt respiratoire
Évaluations mouvement respiratoire
Lors du bilan secondaire, main sur le thorax pendant 1 minutes.
Si victime inconsciente, la présence ou non de ventilation ne peut se faire qu’après sont retournement.
En cas de détresse, il est souhaitable de dénudé la partie antérieur du thorax afin d’observer les mouvement respiratoire
Fréquence respiratoire
Bradypnée : inférieure à la normal
Tachypnée : supérieur à la normal avec amplitude normal et adaptée
Polypné : fréquence respiratoire supérieur à la normal et superficiel
Victime (sauf nouveau né a la naissance) considérée comme en arrêt respiratoire si inférieure à 6 par minutes ou si elle présente des pause supérieur ou égale à 10 sec
Amplitude respiratoire
Environ 4 à 5 cm chez l’adulte
En polypné, très faible amplitude/superficiel
En bradypné : possible mouvement très ample.
Rythme respiratoire
Adulte : 12 - 20
Enfant : 20 -30
Nourrisson : 30 - 40
Nouveau né : 40 - 60
Saturation classique
Spo2 supérieur à 95
Peut être inférieure et ne pas être en détresse si insuffisance respiratoire chronique
En cas d’intoxication au co, ne pas prendre la sat en compte
Signification mousse plus ou moins rose au levre
Forme majeur de l’œdème aigu du poumon, témoin d’une véritable noyades interne. Le plasma issu des capillaires envahi la majeur partie des alvéoles
Présence de quand dans les crachat
Hemopstysie, souvent une atteinte pulmonaire grave
Emphysème sous cutanée
Conséquence Blessure entraînant passage de l’air dans l’arbre respiratoire vers le tissus sous cutanée.
Gonflement modéré de la peau avec crépitement neigeux
Définition gasp
Mouvement d’apparence respiratoire, inefficace que lont peut parfois apercevoir chez une victime inconsciente. ( pouls peut encore être perçu à ce stade ) il peuvent précédé l’arrêt cardiaque et continuer pendant.
Ne pas les confondre avec une respiratoire normal car la rcp doit commencé directement