CHAP 1.les principes fondamentaux Flashcards
victime
En SUAP, ne victime est une personne présente et concerné par un éénement ou un état qu’elle subit :
-soit elle présente des sensations anormales qu’elle se sache ou non malade
-soit elle a subit un traumatisme, quelles que soit les circonstances et qu’il soit physique ou psychologique immédiatement ou retardé
-atteintes de maladie mentale
-intoxication
-parturiente
impliqué
Est une personne qui n’a subi aucun dommage physique ou psychique immédiatement apparent, mais
qui est directement liée à l’événement, compte tenu de
sa proximité géographique avec des victimes.
Les étapes de la prise en charge
d’une victime
❶La sécurité.
❷L’alerte des services de secours.
❸La réalisation des gestes de secours par un témoin.
❹La prise en charge par les sapeurs-pompiers.
❺La médicalisation pré-hospitalière.
❻La prise en charge hospitalière
UA
RESPIRATOIRE
-spo2 <90%
-geste de désobstruction
CIRCULATOIRE
-PA systolique <90 mm HG
-manoeuvre guidée pour réduire une tachycardie
-pose de garrot
NEUROLOGIQUE
-glasgow <14
-diabétique dans le coma qui est resucré
-AVC transporté vers USINV
ACOUCHEMENT
-femme qui accouche hors de la maternité et son NN sont UA
-femme enceinte qui accouche juste après l’arrivé à la maternité (trans. faites ou non)
-personne présumé UR qui s’aggrave brutalement voire fait un arrêt cardiaque aux urgences (trans. faites ou non)
L’appelant doit pouvoir donner les indications suivantes :
-le numéro de téléphone ou la bornes d’où l’on appelle
-la localisation très précise de l’événement
-la nature du problème, maladie ou accident
(le nombre approximatif de victimes et leurs état-1ère mesures prise et gestes effectués-risque éventuels persistants)
Les acteurs de la chaîne des secours
- citoyen ;
- réserves communales de sécurité civile ;
- médecins libéraux et des entreprises de transport
sanitaire agréées ; - associations agréées de sécurité civile ;
- gendarmerie et police nationale ;
- sapeurs-pompiers, civils et militaires ;
- structures d’aide médicale urgente (SAMU) ;
- structures des urgences au niveau des hôpitaux (SU)…
À la prise de garde
Le personnel doit :
- vérifier et contrôler la présence, l’état et l’hygiène du
matériel ; - vérifier la présence, les dates de péremption et la
quantité des consommables ; - compléter ou remplacer les matériels et
consommables, si nécessaire ; - vérifier l’état et l’hygiène du véhicule et en assurer le
bio-nettoyage.
Le chef d’agrès doit, en plus : - vérifier la tenue et l’hygiène du personnel
Le secret professionnel est général et absolu sauf pour
les cas suivants :
- obligation pour les agents publics de dénoncer
les crimes et délits dont ils ont connaissance à
l’occasion de l’exercice de leur activité ; - lorsque l’agent doit révéler une information à
caractère confidentiel pour prouver son innocence
dans une affaire pour laquelle il est mis en cause.
Cas justifiant le recours aux forces de police
- décès d’une victime :
- sur la voie publique ou dans un lieu public ;
- à domicile en l’absence de la famille.
- décès d’une victime par mort violente ou suspecte
(obstacle médico-légal) ; - décès certain en l’absence d’un médecin sur place ;
- accident du travail ayant entraîné un décès ou une
blessure grave ; - accident de circulation avec victime ou dégradation
d’un bien public ; - personne victime d’une agression (sauf dans les cas
définis dans le paragraphe 1.5 D : violence envers la
victime) ; - victime mineure ou dans l’impossibilité de
pourvoir seule à son autonomie en raison de ses
facultés mentales ou corporelles, en l’absence d’un
représentant légal (parent, tuteur, enseignant…),
sauf dans les cas définis dans le paragraphe 1.5 C :
Prise en charge des mineurs ; - victime mineure nécessitant une hospitalisation
refusée par le représentant légal ; - victime présentant un danger pour elle-même, un
tiers ou l’équipe de secours ; - victime nécessitant une contrainte physique en
particulier en cas d’admission en soins psychiatriques
sur demande d’un tiers (SPDT) ainsi qu’en soins
psychiatriques sur décision d’un représentant de
l’État (SPDRE) ; - victime en état d’ébriété sur la voie publique
ne faisant pas l’objet d’un transport en milieu
hospitalier ; - découverte d’arme sur ou à proximité immédiate de
la victime (sauf cas particuliers définis dans l’encadré
« découverte d’arme sur la victime ») ; - découverte de stupéfiants sur ou à proximité
immédiate de la victime (sauf cas particuliers définis
dans l’encadré « découverte de stupéfiant sur la
victime ») ; - personne menaçante, violente ou injurieuse à
l’égard des secours.
Par ailleurs, le chef d’agrès peut demander les forces de
l’ordre dans tout autre cas où il l’estime nécessaire.
SAED
S= situation (bilan circonstantiel)
A= antécédents (utlies)
E= évaluation (bilan)
D= demande (décision de la CM)
la responsabilité des secours
n’est pas engagée si :
- la victime est majeure et ne compte pas au nombre
des majeurs protégés par mesure de justice à l’instar
de la tutelle ; - elle ne se trouve pas dans un état altérant ses
capacités de discernement et de compréhension
(intoxications, trouble de la conscience ou du
comportement, trouble psychiatrique…) ; - sa décision est éclairée, c’est-à-dire intervient en
parfaite connaissance de la situation et des risques
réellement encourus.
Quand doit-être rempli une décharge de responsabilité ?
lorsque des soins ou une
hospitalisation apparaissent nécessaires et sont refusés par le patient.
SPDT
soins
psychiatriques à la demande d’un tiers ou en cas de
péril imminent
SPDRE
soins
psychiatriques sur décision d’un représentant de l’État
La mort est défini comme :
Un arrêt cardiaque persistant avec une absence total de conscience et d’activités motrice spontanée, une abolition de tous les réflexes du tronc cérébral et enfin une absence total de ventilation spontanée
Cas de décès certains
La décapitation (tête séparé du tronc)
La putréfaction (signe de décomposition du cadavre)
La raideur cadavérique (rigidité de l’ensemble des articulations)
Les situations d’arrêt cardiaque accompagné d’importants délabrement crâniens avec perte de matières cérébrale peuvent être assimilées à une décapitation.
Les spp peuvent-ils transporter seul un mineur ?
Oui
Si possible, attestation parentale autorisant la prise en charge médicale pour CR parents ou représentant légale + RC police
Parents refusant l’hospitalisation de leur enfant
CA contact les forces de l’ordre
Enfants maltraités
Ne fais pas appel au force de l’ordre mais fais un signalement à la SU
Les patients remarquables
-Carte de soin d’urgence
-Directives anticipé (MCC)
La loi léonetti
Décret du 6 fév. 2006
Les actes médicaux “ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable”