chap 1 Flashcards
Pour Jérôme Bruner, les activités symboliques permettent à l’homme :
A – de retrouver ce qui réunit les hommes au niveau le plus élevé et de redonner à chaque tradition une pureté parfois perdue
B – de donner un sens à sa propre existence et au monde qui nous entoure
C - de ne pas vivre systématiquement dans l’immédiateté, le réel est transformé par des symboles,
des images, du langage
B – de donner un sens à sa propre existence et au monde qui nous entoure
On observe le Président Obama s’incliner à 90 degrés en serrant la main de l’Empereur Akihito, que peut-on en dire si l’on se réfère au point de vue de Jérôme Bruner ?
A – Il est important de comprendre et de prédire ce qu’Obama a fait et ce qu’il fera quelque soit le contexte
B – Il est important de chercher à comprendre ce qu’Obama fait en fonction du contexte, et du sens que cela a pour lui
C – Le président Obama applique des règles de l’étiquette internationale
D – Le président Obama fait preuve d’une marque de trop grand respect
B – Il est important de chercher à comprendre ce qu’Obama fait en fonction du contexte, et du sens que cela a pour lui
Selon la théorie de l’action située :
A - L’action est un processus d’adaptation à la situation locale par ajustement réciproque
B – L’action est orientée par un objectif qui l’oriente et en fixe ses limites
C – L’action est sous-tendue par des intentions pré-construites
D – L’action repose sur des connaissances construites et stabilisées pour répondre aux exigences de
la situation
A - L’action est un processus d’adaptation à la situation locale par ajustement
réciproque
L’approche de la cognition distribuée a été initialement élaborée à partir de l’étude d’environnements naturels
A – Auprès d’experts de descente de rapides en canoë
B – Auprès de contrôleurs du trafic aérien
C – Auprès des Papous de Nouvelle Guinée et de la navigation en Micronésie
D – Auprès de dispatchers d’une société de transport
C – Auprès des Papous de Nouvelle Guinée et de la navigation en Micronésie
Selon l’approche de la cognition distribuée, la coopération entre agents d’un système peut être comprise en analysant :
A – les mécanismes de gestion des conflits mis en place par le système multi-agents
B – la structure de distribution, propagation et traitement d’états représentationnels d’un système
C – les communications entre agents nécessaires pour qu’ils puissent se comprendre et échanger des
informations
D – la répartition des tâches entre les agents engagés dans une tâche commune et leurs
communications
B – la structure de distribution, propagation et traitement d’états représentationnels d’un système
L’unité d’analyse proposée par la cognition distribuée est celle A – de l’individu B – de l’équipe C – du groupe D – de la population
B de l’équipe
Pour la cognition distribuée, les représentations externes, comme celles données éventuellement par une carte marine, constituent des A – aides pour la mémoire B – des représentations internes C – aides pour la prise de décision D – supports pour la planification
A des aides pour la mémoire
Selon Hutchins,
A – les faits cognitifs mis en évidence en laboratoire sont proches de ceux observés en situations
naturelles
B – les faits cognitifs mis en évidence en situations naturelles ne disent pas grand-chose, il est
préférable de s’appuyer sur le laboratoire
C – les faits cognitifs mis en évidence en laboratoire n’ont pas grand-chose à voir avec ceux observés en situations naturelles
D – les faits cognitifs mis en évidence en situations naturelles doivent être validés en laboratoire
C – les faits cognitifs mis en évidence en laboratoire n’ont pas grand-chose à voir avec ceux observés en situations naturelles
Qu’est-ce qu’un instrument psychologique selon Vygotski ?
A – Un objet fabriqué par l’homme en vue d’une utilisation particulière, généralement manuelle
B – Un objet finalisé qui est obtenu par l’intervention humaine
C – Un signe qui permet de réguler sa propre conduite ou celles des autres
D – Un objet fongible qui disparait une fois qu’il a assuré sa fonction
C – Un signe qui permet de réguler sa propre conduite ou celles des autres
Les « fonctions mentales supérieures », sont pour Vygotski
A – des fonctions spécifiquement humaines, produits de l’activité sociale de l’homme
B – des processus de traitement de l’information tels que le raisonnement, la mémoire, la prise de décision
C – des fonctions par lesquelles sont construites une représentation opératoire de la réalité à partir des perceptions
D – des fonctions susceptibles de nourrir le raisonnement et guider l’action
A – des fonctions spécifiquement humaines, produits de l’activité sociale de l’homme
Pour Vygotski, les mécanismes d’adaptation de type biologique constituent le substrat général des phénomènes mentaux,
A – et ils déterminent le développement de ces derniers
B - et ils ne déterminent pas le développement de ces derniers
C – et rendent efficaces la mémorisation et l’apprentissage
D – et sont souvent accompagnés de stimulus émotionnels
B - et ils ne déterminent pas le développement de ces derniers
Au cours du développement, les fonctions cognitives en jeu selon Vygotski
A- sont d’abord développées comme une activité externe puis reconstruites par la
personne de manière interne
B- sont d’abord développées de manière interne puis ensuite comme une activité externe
C- sont développées de façon concomitante de manière interne et externe
D- sont développées séparément, comme une activité externe et comme une activité interne
A- sont d’abord développées comme une activité externe puis reconstruites par la personne de manière interne
Chaque fonction cognitive apparaît sur un double plan dans le développement de l’enfant, selon Vygotski
A – d’abord au niveau individuel (niveau intrapsychologique) et puis entre les personnes (niveau
interpsychologique)
B –au niveau individuel (niveau intrapsychologique) et en même temps entre les personnes
(niveau interpsychologique)
C - d’abord au niveau social entre les personnes (niveau interpsychologique), et ensuite au niveau individuel, dans l’enfant (niveau intrapsychologique)
D - d’abord au niveau individuel (niveau intrapsychologique) et puis bien plus tard entre les
personnes (niveau interpsychologique)
C - d’abord au niveau social entre les personnes (niveau interpsychologique), et ensuite au niveau individuel, dans l’enfant (niveau intrapsychologique)
Que signifie, dans la théorie de l’activité, la nature sociale de l’esprit ?
A –La constitution d’habitus qui structurent les perceptions, déterminent l’action individuelle et plus
largement les rapports sociaux
B - Les structures et phénomènes sociaux sont la conséquence de l’agrégation des actions
individuelles
C - Les structures sociales sont cachées dans les situations ordinaires et incorporées par socialisation
dans l’enfance
D – La culture, le langage, les interactions avec les autres influencent ce que
l’homme est et devient
D – La culture, le langage, les interactions avec les autres influencent ce que l’homme est et devient
Quelles sont les préoccupations majeures de la théorie de l’activitéselon Leontiev ?
A- Les motifs, buts et conditions de réalisation des opérations
B- Les schèmes d’utilisation et schèmes d’usage
C- Les représentations internes et externes
D- Les représentations symboliques
A- Les motifs, buts et conditions de réalisation des opérations
Pour la théorie de l’activité, A - Les structures intrapsychiques (cognitions, émotions, motivations) se développent conjointement aux structures interpsychiques (langage, gestes) B – Les structures intrapsychiques (cognitions, émotions, motivations) se développent bien avant les structures interpsychiques (langage, gestes) C – Les structures interpsychiques (langage, gestes) se développent à partir des structures intrapsychiques (cognitions, émotions, motivations) D - Les structures intrapsychiques (cognitions, émotions, motivations) se développent à partir des structures interpsychiques (langage, gestes)
D - Les structures intrapsychiques (cognitions, émotions, motivations) se développent à partir des structures interpsychiques (langage, gestes)
Qu’est-ce qu’un schème d’utilisation dans l’approche instrumentale ?
A – un moyen d’action sur une situation en fonction de plans définis
B – un moyen de se représenter l’objet de l’activité pour interagir avec une situation
C – un moyen de transformation d’une situation en fonction d’une contrainte de l’environnement
D – un moyen du sujet pour atteindre le but poursuivi et pour agir sur l’artefact
D – un moyen du sujet pour atteindre le but poursuivi et pour agir sur l’artefact
De quoi est composé un schème d’utilisation dans l’approche instrumentale ?
A – D’un schème d’usage et d’un schème d’action instrumentée
B – D’un schème de réglage et d’un schème d’ajustement
C – D’un schème élémentaire et d’un schème complexe
D – D’un schème d’instrumentation et d’un schème de genèse instrumentale
A – D’un schème d’usage et d’un schème d’action instrumentée
Qu’est-ce qu’un schème selon Piaget ?
A – une représentation mentale abstraite qui résume de façon structurée des événements, des objets,
des situations
B – une routine exécutée automatiquement à partir d’indices internes ou environnementaux
C – une structure sous-jacente à l’action qui se transforme et peut se généraliser à
des circonstances semblables
D – une structure précoce inadaptée à l’origine de troubles identitaires
C – une structure sous-jacente à l’action qui se transforme et peut se généraliser à des circonstances semblables
On observe un enfant qui branche la prise d’un jouet train électrique dans une prise de 220v, que peut-on en dire ?
A – L’enfant fait des essais et erreurs
B – Il y a activation d’un schème déjà formé, le schème de branchement éléctrique
C - L’enfant poursuit son objectif coûte que coûte
D - L’enfant imite son parent qui vient de la faire la même action
B – Il y a activation d’un schème déjà formé, le schème de branchement éléctrique
A la naissance de la discipline, l’ergonomie s’est principalement centrée sur des problématiques en lien avec : A – La formation. B – Le travail. C – Le handicap. D – Le domaine de l’enfance.
B – Le travail.
L’ergonomie s’intéresse majoritairement aux activités en situation : A – Simulée. B – Non écologique. C – Expérimentale. D – Naturelle.
D – Naturelle.
On dit que l’ergonomie vise à : A – Observer pour inférer. B – Interroger pour évaluer. C – Comprendre pour agir. D – Interpréter pour améliorer.
C – Comprendre pour agir.