BSP 118 PEC Flashcards

1
Q

TITRE 1 - L’ORGANISATION GÉNÉRALE DES SECOURS

MISSIONS DE COMPÉTENCE EXCLUSIVE
La BSPP est chargée de :

A
  • la prévention et l’évaluation des risques de sécurité civile ;
  • la préparation des mesures de sauvegarde et l’organisation des moyens de secours ;
  • la protection des personnes, des biens et de l’environnement ;
  • l’assistance et les secours d’urgence aux personnes en détresse ou victimes d’accidents, de sinistres ou de catastrophes ainsi que leur évacuation.
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2
Q

TITRE 1 - L’ORGANISATION GÉNÉRALE DES SECOURS

MISSIONS DE COMPÉTENCE PARTAGÉE
La BSPP concourt à :

A
  • la protection et la lutte contre les autres accidents, sinistres et catastrophes ;
  • l’évaluation et la prévention des risques technologiques ou naturels ;
  • aux secours d’urgence.
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3
Q
  1. LES MISSIONS NE RELEVANT PAS DE LA BRIGADE

Quelles sont les INTERVENTIONS DONT L’OBJET RELÈVE DE SOCIÉTÉS DU SECTEUR PRIVÉ :

A

-brancardage au profit de sociétés privées de
transport sanitaire ;
-mise à l’arrêt des sonneries d’alarme intrusion ;
-transport de patient par carence de moyens
sanitaires privés ;
-distribution d’eau potable auprès des populations;
-divagation des chiens et des chats ;
-débouchage d’égout ou de canalisation ;
-personne bloquée dans une cabine d’ascenseur
(sauf enfant, malaise, personne vulnérable) ;
-destruction d’hyménoptères (sauf VP, lieu
public et certains établissements publics) ;
-ouverture de portes sans risque à l’intérieur ;
-fuite d’eau ;
-panne d’origine électrique ;
-assèchement et nettoyage de locaux ;
-enlèvement de banderole ou d’emblème ;
-écobuage.

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4
Q
  1. LES MISSIONS NE RELEVANT PAS DE LA BRIGADE

Quelles sont les INTERVENTIONS DONT L’OBJET RELÈVE DE SERVICES PUBLICS SPÉCIALISÉS

A

-accident matériel de la circulation ;
-alerte à la bombe ;
-engin explosif ;
-objet, colis ou enveloppe suspect ;
-ramassage de carcasses ou d’animaux morts
(volatiles, etc…) ;
-dégagement des véhicules et matériaux
encombrant la voie publique ou les voies
navigables ;
-opération de sablage, de déneigement ou
de balisage des routes ;
-reconnaissance de coques ou d’hélices de
moyens nautiques ;
-recherche d’objets ;
-recherche sous l’eau d’épaves ou d’objets
divers ;
-personne égarée ou disparue (y compris en
carrière et en catacombe) ;
-transport de patient d’un établissement de
santé vers un autre (transports secondaires).

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5
Q
  1. LES MISSIONS NE RELEVANT PAS DE LA BRIGADE.

Quelles sont les INTERVENTIONS D’ASSISTANCE À LA POPULATION EN L’ABSENCE DE RÉQUISITION DES AUTORITÉS COMPÉTENTES ?

A

-transport ou déplacement de personnes
décédées ;
-maîtrise d’un forcené, différend, rixe ou
bagarre ;
-mise en place et surveillance de pédiluve, de
bûchers et de réserves d’eau (plan épizootie) ;
-brumisation de la population lors des
dispositifs prévisionnels de secours ;
-services de surveillance ou dispositifs prévisionnels
de secours (DPS) à l’occasion de
spectacles, manifestations sportives, culturelles
ou autres : ils sont normalement assurés par des moyens associatifs conformément à la réglementation en vigueur.

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6
Q
  1. LE TERRITOIRE DE COMPÉTENCE

Combien de communes défend la BSPP, sur quelle superficie et pour combien d’habitants, de franciliens et personnes en transit ?

A

La brigade de sapeurs-pompiers de Paris défend les 124 communes des départements de Paris (75), des Hauts-de-Seine (92), de la Seine-Saint-Denis (93) et du Val-de-Marne (94). Ce territoire de compétence unique en France concentre, sur une petite superficie de
800 km², une forte densité de population de 6,5 millions d’habitants, à laquelle viennent s’ajouter 2 millions de franciliens et 10 millions de personnes en transit.

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7
Q

Que veut dire SIDACR ?

A
schéma interdépartemental d’analyse et de couverture
des risques (SIDACR).
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8
Q

Nombre de militaire à la BSPP ?

A

Forte d’environ 8 800 militaires dont plus
de 500 en détachement, la BSPP engage ses
moyens (incendie, secours à victime, médicaux
et spéciaux) à partir de bases opérationnelles ou
lieux de stationnement judicieusement répartis
sur son territoire de compétence. Chaque jour,
elle compte près de 2 100 militaires de garde
ou d’astreinte.

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9
Q
  1. L’ARTICULATION EN SECTEURS

2 grands types de secteurs sont différenciables :

A

Le secteur administratif et le secteur opérationnel

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10
Q
  1. L’ARTICULATION EN SECTEURS

2 grands types de secteurs sont différenciables :
Le secteur administratif détermine les responsabilités organiques des autorités compétentes dans les domaines de gestion suivants :

A
  • commandement ;
  • gestion du personnel ;
  • établissements répertoriés ;
  • hydrants ;
  • cartographie ;
  • commissions de sécurité.
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11
Q

Que veut dire :
LSO :
LSS :

A
  • lieu de stationnement opérationnel (LSO) : localisation des moyens sapeurs-pompiers ;
  • lieu de stationnement santé (LSS) : localisation des moyens médicaux et para médicaux ;
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12
Q

Combien de lieux de staionnement peuvent être gérés par un seul PVO ?

A

Un ou plusieurs lieux de stationnement peuvent être gérés par un seul PVO.

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13
Q
  1. LES NIVEAUX DE RÉPONSE
    En combien de niveaux la Brigade organise-t-elle sa réponse opérationnelle ? A quels types de risques correspondent ces niveaux ?
A

En 3 réponses :

  • La réponse de niveau 1 : Risque courant
  • La réponse de niveau 2 : Risque particulier
  • La réponse de niveau 3 : Risque majeur
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14
Q

Les capacités opérationnelles de la BSPP sont organisées en fonctions opérationnelles réparties
en 3 familles :

1/ les fonctions intégrantes
il s’agit des fonctions incontournables pour assurer la capacité opérationnelle de la BSPP :
--
--
--
--
2/ les fonctions d’engagement
il s’agit des fonctions nominales pour intervenir :
--
--
--
--
--
3/ les fonctions d’environnement
il s’agit des fonctions complémentaires et de spécialités:
--
--
--
--
--
--
--
--
A

1/ les fonctions intégrantes
il s’agit des fonctions incontournables pour assurer la capacité opérationnelle de la BSPP :
–CDT (commandement) ;
–SIC (système d’informations et de commandement) ;
–LOG (logistique) : RAV, MAINT, SH, SAN ;
–SIO (soutien infrastructure opérationnelle).

2/ les fonctions d’engagement
il s’agit des fonctions nominales pour intervenir :
–INC / EXT (incendie/extinction) ;
–SAUV (sauvetage) ;
–RECO / ELD (reconnaissance/exploration longue durée);
–SAP/AMU/SR (secours à personne/aide médicale urgente/secours routier) ;
–VENT (ventilation).

3/ les fonctions d’environnement
il s’agit des fonctions complémentaires et de spécialités :
–NRBC (nucléaire radiologique biologique chimique/antipollution) ;
–RSMU (recherche et sauvetage en milieu urbain) ;
–NAUT (nautique) ;
–IMP (intervention milieu périlleux) ;
–CYNO (cynotechnique) ;
–PROTEC (protection) ;
–ECL (éclairage) ;
–COM (communication).

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15
Q

Que veut dire :
DPS :
DRUFF :

A

–Dispositifs prévisionnels de secours
(DPS)
–Détachement de Renfort Urbain à l’occasion
des Feux de Forêts (DRUFF) ;

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16
Q

AU NIVEAU DU CENTRE DE SECOURS

La garde comprend :

A

–1 officier de garde compagnie (OGC) dans les PC de compagnie, officier ou major de l’unité,
titulaire de la qualification correspondante et habilité par le commandant de groupement ;
–1 chef de garde, titulaire du certificat de chef de garde d’incendie, officier ou sous-officier dans les PC de compagnie, sous-officier dans les autres centres de secours ; (ce tiret comprend le modif)
–le personnel équipant les engins en service ;
–le personnel du poste de veille opérationnelle (PVO) ;
–le service de jour.

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17
Q

AU NIVEAU DU GROUPEMENT

La garde comprend :

A
  • -1 officier supérieur de garde groupement (OSG), titulaire de la qualification « officier supérieur de garde » et habilité par le Général sur proposition du sous-chef emploi ;
  • -1 officier poste de commandement (OPC), titulaire de la qualification « officier poste de commandement » ;
  • -le personnel du poste de commandement tactique (PC TAC2) qui accompagne systématiquement l’OPC en intervention ;
  • -le sous-officier « statique » et le personnel du centre de suivi opérationnel (CSO) ;
  • -les conducteurs.
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18
Q

AU NIVEAU DE LA BRIGADE

La garde comprend :

A

–le commandant opérationnel Brigade ;
–le colonel de garde, chef d’état-major opérationnel (CEMO) ;
–le médecin-chef Brigade de garde ;
–le chef CO, l’officier de garde CO, le médecin coordinateur chef et le personnel du centre opérationnel (CO) jusqu’au niveau 3 inclus ;
–le directeur des secours médicaux (DSM) et la garde des secours médicaux constituée d’un vétérinaire, d’un pharmacien, d’un psychologue, du médecin d’astreinte et des équipages des ambulances de réanimation
(AR), du véhicule poste de commandement médical (VPCM) et du véhicule d’accompagnement santé (VAS) ;
–les officiers ou sous-officiers « environnement poste de commandement tactique » : prévention, sécurité et dessinateur opérationnel ;
–l’officier communication opération ;
–les officiers ou sous-officiers « experts de niveau tactique et opératif » : officiers NRBC, NAUTIQUE, chef de section RSMU, chefs de groupes IMP, CYNO, représentant des cultes, investigateurs RCCI ;
–les officiers de liaison Brigade :
–CCZ1 ;
–CIC DOPC1/ renfort CCZ ;
–COPP/SIC DSPAP2 ;
–le personnel du GSS, et du GFIS armant certains moyens spéciaux, d’aide au commandement ou d’appui à la couverture opérationnelle ;
–le sous-officier du service général ;
–les conducteurs de la section transport ;
–le personnel de garde et d’astreinte technique ou administrative.

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19
Q

Il existe 6 types d’équipage pour l’armement des engins Brigade :
Donnez en plus du type un exemple pour chacun. Abréviation non tolérée

A

ªªéquipage à 1 : moto d’intervention rapide (MIR) ;

  • -équipage à 2 : véhicule d’interventions diverses (VID), véhicule de liaison radio (VLR), échelle pivotante automatique (EPA), bras élévateur articulé (BEA), camion d’accompagnement (CA), véhicule de détection d’identification et de prélèvement (VDIP), etc. ;
  • -équipage à 3 : véhicule de secours et d’assistance aux victimes (VSAV), ambulance de réanimation (AR), véhicule d’intervention grande intempérie (VIGI), berce unité mobile de décontamination (BUMD), etc. ;
  • -équipage à 4 : véhicule d’intervention voie publique (VIVP), véhicule poste de commandement (VPC), véhicule de reconnaissance chimique (VRCH), etc. ;
  • -équipage à 5 : véhicule d’intervention en milieu périlleux (VIMP), etc. ;
  • -équipage à 6 : premier-secours (PS), camion-citerne rural (CCR), fourgon pompe tonne (FPT), etc.
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20
Q

la dénomination réglementaire des premiers secours est complétée par une lettre en fonction de la compétence du chef d’agrès :

A

A le chef d’agrès est un sous-officier ou un caporal-chef titulaire du CT1SP ;
B le chef d’agrès est titulaire du CCGI;
C le chef d’agrès est le chef de garde du centre de secours.

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21
Q





Un PC TAC de niveau 2 est systématiquement associé aux départs dans […………].

A

Hormis pour les tunnels de plus de 300 m et les sites soumis à un plan d’opération interne (POI), le volume de moyens « premier départ » pour les motifs d’alerte « feu ou explosion » dans un ÉTARÉ, quel que soit son niveau, est constitué de :
– 1 OGC
– 3 EP dont 1 F
– 1 MEA
– 1 ventilateur opérationnel
– 1 VSAV
Un PC TAC de niveau 2 est systématiquement associé aux départs dans un ÉTARÉ 3 et pour tous les IGH et ITGH.

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22
Q

LE COMPLÉMENT PAR ANTICIPATION
En fonction des informations recueillies lors de l’instruction des demandes de secours laissant
présager un sinistre grave ou d’ampleur, le CO peut compléter le premier départ par un complément
par anticipation :





Il peut également adapter le premier départ par l’engagement d’un groupe, de moyens spéciaux
(CD, AR, etc.) ou de moyens génériques (EP, MEA, etc.) dans la limite d’un volume équivalent à un complément par anticipation.
Prévenu par le CO, le CSO territorialement compétent demande [………………………………………….] et engage manuellement un module commandement constitué de :

A

LE COMPLÉMENT PAR ANTICIPATION
En fonction des informations recueillies lors de l’instruction des demandes de secours laissant
présager un sinistre grave ou d’ampleur, le CO peut compléter le premier départ par un complément
par anticipation :
– 1 EP
– 1 MEA
– 1 CRAC
– 1 VSAV
– 1 AR
Il peut également adapter le premier départ par l’engagement d’un groupe, de moyens spéciaux
(CD, AR, etc.) ou de moyens génériques (EP, MEA, etc.) dans la limite d’un volume équivalent à un complément par anticipation.
Prévenu par le CO, le CSO territorialement compétent demande l’intervention d’ErDF - GrDF et engage manuellement un module commandement constitué de :
– 1 OGC
– 1 PC TAC de niveau 2

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23
Q

Dès lors qu’un renfort est engagé sur une intervention,

la présence du […], d’une […] et d’un […] est requise.

A
Dès lors qu’un renfort est engagé sur une intervention,
la présence du VE2I, d’une DEP et d’un module commandement est requise.
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24
Q
Engagé manuellement, le module commandement est constitué a minima de :
 
 
 
 

A
Engagé manuellement, le module commandement est constitué a minima de :
 1 OSG
 1 OGC
 1 OGC officier ZDI
 1 PC TAC de niveau 2
 le dessinateur opérationnel
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25
Q

lors d’une demande de renfort après un complément de départ normal, un complément par anticipation ou un départ dans un établissement répertorié, les moyens en […………………………….] sont honorés dans leur intégralité mais les autres moyens ne sont pas doublés (exemple : pas de […….]dans le GRCP du RI ou du RH après un complément
d’anticipation.

A

lors d’une demande de renfort après un complément de départ normal, un complément par anticipation ou un départ dans un établissement répertorié, les moyens
en EP, VSAV, MEA sont honorés dans leur intégralité mais les autres moyens ne sont pas doublés (exemple : pas de CRAC dans le GRCP du RI ou du RH après un complément

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26
Q

LE RENFORT INCENDIE (RI)
Il est demandé par le COS sous la forme :
 « Je demande renfort incendie telle adresse ».
Prévu pour les incendies nécessitant la mise en oeuvre d’un dispositif hydraulique important, il est composé de :








Le renfort incendie peut être modulé en fonction des besoins spécifiques de l’intervention :
–renfort incendie sans ………….. (les ………… sont défalqués) ;
–renfort incendie sans ………….(les ………… sont défalqués, sauf……………..).

A

LE RENFORT INCENDIE (RI)
Il est demandé par le COS sous la forme :
 « Je demande renfort incendie telle adresse ».
Prévu pour les incendies nécessitant la mise en oeuvre d’un dispositif hydraulique important, il est composé de :
 2 EP les + proches, dt au moins 1F
 2 FACA
 3 MEA (dt au moins 1 de 30m et 1 BEA)
 1 VSAV
 1 AR
 1 PEV
 1 CD
 1 GRCP
Le renfort incendie peut être modulé en fonction des besoins spécifiques de l’intervention :
–renfort incendie sans FACA (les FACA et le BEA sont défalqués) ;
–renfort incendie sans échelle (les MEA sont défalqués, sauf le BEA).

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27
Q
LE RENFORT HABITATION (RH)
Il est demandé par le COS sous la forme :
 « Je demande renfort habitation telle adresse »
Prévu pour conduire simultanément les opérations de ................, de ................, ainsi que de ................... .
Il est non modulable et composé de :
 
 
 
 
 
 

A

LE RENFORT HABITATION (RH)
Il est demandé par le COS sous la forme :
 « Je demande renfort habitation telle adresse »
Prévu pour conduire simultanément les opérations de reconnaissances, de prise en charge des
victimes et des personnes impliquées, ainsi que de l’extinction.
Il est non modulable et composé de :
 5 EP, dont au moins 2 F
 2 MEA, dont au moins un de 30 m
 2 VSAV
 2 AR
 1 PEV
 1 CD
 1 GRCP

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28
Q
Le renfort poste de commandement est composé de :
 
 
 

A

Le renfort poste de commandement est composé de :
 3 OGC (officier MANFUT, RENS/SYNT et CTRZ)
 1 VLR cdg (adjoint fonction MOYENS)
 1 VSTI
 la garde environnement PC TAC

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29
Q
Le renfort secours est un volume de moyens destiné à .... , au ... et à ... .
Il est composé de :
 
 
 
 
 
 
 
Le départ normal de substitution permet ... .
A
Le renfort secours est un volume de moyens destiné à la recherche, au sauvetage et à la prise en charge médicale des militaires du corps qui se trouveraient en difficulté à la suite d’un accident.
Il est composé de :
 1 OGC
 1 F
 1 DN de substitution
 1 GELD
 1 section RSMU
 1 groupe CYNO
 1 AR
Le départ normal de substitution permet d’assurer le remplacement des équipes devenues indisponibles.
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30
Q

TITRE 9 - LES DOCUMENTS DU
SERVICE INCENDIE
Ce chapitre comprend 9 sous titres qui correspondent aux diffférents docs. Quels sont ils ?

A
    • Liste de service
    • Cahier de départ des secours
  • -Listing voies et ETARE du secteur
  • -Fiches de départ des secours
  • -Cahier de main courante opérationnelle
  • -Carnet de messages et de renseignements
  • -Plan tryptique
  • -Autres docs devant se trouver à bord des engins.
    • Imprimés BOPE
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31
Q

La liste de service est arrêtée et affichée au moins ….. heures à l’avance.

A

La liste de service est arrêtée et affichée au moins 48 heures à l’avance.

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32
Q

Le cahier de main courante opérationnelle doit faire mention, chronologiquement et de manière exhaustive, aux actes et événements opérationnels qui ponctuent la journée. Doivent y figurer :

  • -la date complète, inscrite à chaque changement de journée ;
  • -les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct) ;
  • -les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels ;
  • -les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaires, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement ;
  • -les changements de garde non programmées ;
  • -les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes ;
  • -les contacts avec les stations directrices associées.
A

Le cahier de main courante opérationnelle doit faire mention, chronologiquement et de manière exhaustive, aux actes et événements opérationnels qui ponctuent la journée. Doivent y figurer :

  • -la date complète, inscrite à chaque changement de journée ;
  • -les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct) ;
  • -les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels ;
  • -les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaires, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement ;
  • -les changements de garde non programmées ;
  • -les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes ;
  • -les contacts avec les stations directrices associées.
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33
Q

Combien de temps sont archivés :
Fiche bilan :
Main courante opé :

A

Combien de temps sont archivés :
Fiche bilan : 30 ans
Main courante opé : 5 ans

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34
Q

Le commandement opérationnel de la Brigade s’articule autour de l’échelon (……………..) au niveau des groupements et de l’échelon (……………….) à l’état-major Brigade, subordonné à la préfecture de zone, échelon (…………………).

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention :

Le commandement opérationnel de la Brigade s’articule autour de l’échelon tactique au niveau des groupements et de l’échelon opératif à l’état-major Brigade, subordonné à la préfecture de zone, échelon stratégique.

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35
Q

La (……………………………………………………………..(……….)) appartient au préfet de police ou, le
cas échéant, à l’autorité déléguée (préfet des départements 92, 93 et 94). Dans l’exercice de ses pouvoirs, il met en oeuvre les moyens de la BSPP dans les conditions prévues par le règlement opérationnel Brigade ou les règlements opérationnels spécifiques aux emprises des aérodromes.

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention

La direction des opérations de secours
(DOS) appartient au préfet de police ou, le
cas échéant, à l’autorité déléguée (préfet des départements 92, 93 et 94). Dans l’exercice de ses pouvoirs, il met en oeuvre les moyens de la BSPP dans les conditions prévues par le règlement opérationnel Brigade ou les règlements opérationnels spécifiques aux emprises des aérodromes.

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36
Q

Le (……………………………………………………(………..)) désigné est chargé, sous l’autorité du (………), de la mise en oeuvre de tous les moyens publics et privés mobilisés pour l’accomplissement des opérations de secours.

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention

Le commandant des opérations de secours
(COS) désigné est chargé, sous l’autorité du DOS, de la mise en oeuvre de tous les moyens publics et privés mobilisés pour l’accomplissement des opérations de secours.

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37
Q

Nota : en cas d’attentats, dès le déclenchement du premier plan rouge alpha (PRA), le (……………………………………………………………) prend automatiquement le COS et le médecin chef Brigade prend automatiquement la fonction de DSM de l’ensemble du dispositif. A l’échelon tactique, les responsables de site deviennent des « chefs de site » conseillés
par des « DSM de site ».

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention

Nota : en cas d’attentats, dès le déclenchement du premier plan rouge alpha (PRA), le commandant opérationnel Brigade prend automatiquement le COS et le médecin chef Brigade prend utomatiquement la fonction de DSM de l’ensemble du dispositif. A l’échelon tactique, les responsables de site deviennent des « chefs de site » conseillés par des « DSM de site ».

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38
Q

(………………………………………………………………..) est COS sur les emprises des aérodromes Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget (l’emprise d’un aérodrome n’est pas obligatoirement totalement identique à la zone d’aérodrome ou ZA).

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention

Le général commandant la Brigade est COS sur les emprises des aérodromes Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget (l’emprise d’un aérodrome n’est pas obligatoirement totalement identique à la zone d’aérodrome ou ZA).

39
Q

La responsabilité de l’intervention incombe au chef présent sur place et qui occupe le plus haut rang dans la chaîne de commandement opérationnel (………………………,……………………..,……………………,…………………..,…………………et……………………….). S’il y a plusieurs chefs en titre de même niveau (chef d’agrès, chef de garde ou officier de garde) dans le départ de première intervention et dans le complément de premier départ, c’est celui du……………………. qui est de fait COS. En l’absence d’un chef du ………………. ………………… dans un niveau donné, il revient au …………………………………………………………………de prendre la fonction.

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention

La responsabilité de l’intervention incombe au chef présent sur place et qui occupe le plus haut rang dans la chaîne de commandement opérationnel (chef d’agrès, chef de garde, officier de garde compagnie, officier supérieur de garde groupement, colonel de garde et commandant opérationnel Brigade). S’il y a plusieurs chefs en titre de même niveau (chef d’agrès, chef de garde ou officier de garde) dans le départ de première intervention et dans le complément de premier départ, c’est celui du CSTC qui est de fait COS. En l’absence d’un chef du CSTC concerné dans un niveau donné, il revient au plus ancien dans le grade le plus élevé de prendre la fonction.

40
Q

Les situations d’urgence de certaines opérations, le caractère extrêmement sensible d’interventions particulières ou la rapidité de développement et de propagation des incendies, exigent de prendre sur l’arrivée de l’événement un temps d’avance. (…………………….), qui permet la prise de toutes les dispositions tactiques et matérielles, est indispensable dans tous les domaines.

A
  1. ANTICIPATION
    3e partie l’organisation des secours sur intervention :
    - titre 1 : les devoirs généraux en intervention,

Les situations d’urgence de certaines opérations, le caractère extrêmement sensible d’interventions particulières ou la rapidité de développement et de propagation des incendies, exigent de prendre sur l’arrivée de l’événement un temps d’avance. L’anticipation, qui permet la prise de toutes les dispositions tactiques et matérielles, est indispensable dans tous les domaines.

41
Q

La discipline requiert de la part de l’exécutant :

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention,

La discipline requiert de la part de l’exécutant :
ªª la stricte observation des ordres reçus ;
ªª la recherche à son niveau du résultat escompté et de l’exécution parfaite de tous les actes y concourant.

42
Q

En particulier, la discipline d’action impose :

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention,

En particulier, la discipline d’action impose :
ªª de se protéger physiquement avec les équipements de protection individuelle (EPI) et les moyens adaptés (gants, appareil respiratoire isolant, écran oculaire ou facial, arrimage, etc.) ;
ªª de conserver son sang-froid et sa sérénité ;
ªª d’opérer en silence en toute circonstance ;
ªª de rester constamment en contact avec un voisin ou un supérieur hiérarchique (cette règle ne souffre aucune exception lors d’une évolution sous ARI) ;
ªªde rendre compte sans délai des actions menées, ainsi que de tout fait nouveau ou de toute initiative.

43
Q

ZONE D’EXCLUSION
Quelle couleur ?
+ Définition :

A

ZONE D’EXCLUSION
(ROUGE)

Il s’agit de la zone où les intervenants sont directement
exposés aux effets du danger principal (par exemple,
exposition au feu et aux fumées dans le cas d’un incendie ou à proximité des véhicules concernés sur un accident de la route). L’accès en est strictement réglementé et n’est autorisé qu’aux intervenants
équipés de tenues de protection adaptées aux risques.

44
Q

ZONE CONTRÔLÉE
Quelle couleur ?
+ Définition :

A

ZONE CONTRÔLÉE
(ORANGE)

Il s’agit d’une zone tampon d’où est coordonné l’engagement des intervenants en zone d’exclusion. Ne doit s’y trouver que du personnel ayant le même niveau de protection vestimentaire qu’en zone d’exclusion (équipes de sécurité, PCA, réserve d’approche du matériel).

45
Q

ZONE DE SOUTIEN
Quelle couleur ?
+ Définition :

A

ZONE DE SOUTIEN
(VERTE)

Cette zone est la plus excentrée. Comme les autres,
elle est interdite au public, de manière à ne pas entraver
l’action des secours. Il s’agit cependant d’une zone qui ne
nécessite pas de protection particulière pour les personnes qui s’y trouvent. Les structures de soutien nécessaires au bon déroulement de l’intervention doivent être localisées dans cette zone : ZDI, PMA, PCP,
zone des PC, zones de remise en condition du personnel, etc.

46
Q

ZONAGE DE L’INTERVENTION :

Combien existe t il de zones sur intervention, citez les :

A

3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention,

Zone d’exclusion
Zone contrôlée
Zone de soutien
Zone publique

47
Q

titre 2 : les rôles et devoirs particuliers en intervention

Le commandant des opérations de secours
(COS) est l’officier, le sous-officier ou le gradé
qui, sur une intervention, commande l’action
des moyens engagés. Il se retrouve souvent à
la tête d’un ensemble de moyens ; il coordonne
alors leurs actions.
Le COS appartient obligatoirement à ……………………………………………………………. .

A

titre 2 : les rôles et devoirs particuliers en intervention

Le commandant des opérations de secours (COS) est l’officier, le sous-officier ou le gradé qui, sur une intervention, commande l’action des moyens engagés. Il se retrouve souvent à la tête d’un ensemble de moyens ; il coordonne alors leurs actions.
Le COS appartient obligatoirement à la chaîne de commandement opérationnel.

48
Q
  1. LES GRADÉS ET SAPEURS DISPONIBLES
    Les gradés et sapeurs disponibles se tiennent …………………………………………………………………………………………………………………………………………. .
A
  1. LES GRADÉS ET SAPEURS DISPONIBLES
    Les gradés et sapeurs disponibles se tiennent obligatoirement dans les engins auxquels ils sont
    affectés, à la disposition de leur chef d’agrès.
49
Q
  1. LE MILITAIRE ISOLÉ
    Si l’intervention a lieu sur le secteur Brigade, le chef de détachement inclut dans son rapport principal le militaire isolé en le créant dans la partie engin sur intervention (………………………….). Si l’intervention a lieu hors secteur
    Brigade, le militaire isolé rédige ………………………………………………………………………., pour archivage permettant notamment de répondre à d’éventuelles demandes des SDIS concernés.
    En fonction de la nature de l’intervention, un courrier est alors adressé au SDIS territorialement concerné.
A
  1. LE MILITAIRE ISOLÉ
    Si l’intervention a lieu sur le secteur Brigade, le chef de détachement inclut dans son rapport principal le militaire isolé en le créant dans la partie engin sur intervention (détachement à pied). Si l’intervention a lieu hors secteur
    Brigade, le militaire isolé rédige un compte rendu et l’adresse à son chef de corps avec copie au BOPO/groupe rapport, pour archivage permettant notamment de répondre à d’éventuelles demandes des SDIS concernés.
    En fonction de la nature de l’intervention, un courrier est alors adressé au SDIS territorialement concerné.
50
Q

titre 1 : le principe de la manoeuvre « incendie »,
LE TRIANGLE DU FEU
L’existence d’un incendie est conditionnée par la présence simultanée d’un …………………., d’un ………………….. et d’……………………………………………, qui est souvent une ……………………………… C’est le triangle du feu. Éteindre un incendie, c’est agir sur un ou plusieurs de ces facteurs. On y parvient généralement par ………………….., ……………………. et ……………………………… .

A

titre 1 : le principe de la manoeuvre « incendie »,
LE TRIANGLE DU FEU
L’existence d’un incendie est conditionnée par la présence simultanée d’un combustible, d’un comburant et d’une énergie d’activation, qui est souvent une source de chaleur. C’est le triangle du feu. Éteindre un incendie, c’est agir sur un ou plusieurs de ces facteurs. On y parvient généralement par refroidissement, étouffement et dispersion du foyer.

51
Q

titre 1 : le principe de la manoeuvre « incendie »,
LES TYPES D’INCENDIE
On distingue globalement 3 types de feu :
De plus, citez 1 exemple par type.

A

LES TYPES D’INCENDIE
On distingue globalement 3 types de feu :
ªªLes feux de CONTENANT :
ÂÂfeux de locaux : appartement, bureau, cave, magasin, parc de stationnement, … ;
ÂÂfeux d’éléments constitutifs de bâtiments : escalier, mur, terrasse, gaine, cheminée, joint de dilatation… ;
ªªLes feux de CONTENU :
ÂÂfeux de matières ou de produits en général ;
ªªLes feux DIVERS :
ÂÂfeux d’espace naturel, feux de véhicule VP, etc.

52
Q

Quels sont les 2 procédés de transmission de la combustion ?

A

titre 1 : le principe de la manoeuvre « incendie »,
LA TRANSMISSION DE LA COMBUSTION
La combustion peut se transmettre par transfert de la chaleur et/ou déplacement des substances
en combustion :
ªªTransmission de la combustion par
transfert de chaleur.
La chaleur peut se transmettre par conduction,
convection ou rayonnement.
ªªTransmission de la combustion par
déplacement des substances en combustion.
Les substances en combustion peuvent être
des gaz, des liquides ou des solides.

53
Q
  1. LE PRINCIPE DE LA MANOEUVRE
    L’extinction d’un incendie repose sur un ensemble d’actes et d’actions simultanés ou successifs
    qui constituent une manoeuvre.
    Celle-ci vise à :
A
  1. LE PRINCIPE DE LA MANOEUVRE
    L’extinction d’un incendie repose sur un ensemble d’actes et d’actions simultanés ou successifs qui constituent une manoeuvre.
    Celle-ci vise à :
SAUVETAGES, MISES EN SÉCURITÉ.
LUTTE CONTRE LES PROPAGATIONS
VENTILATION.
ATTAQUE et EXTINCTION.
PROTECTION.

En détail :

  • Protéger les personnes : SAUVETAGES, MISES EN SÉCURITÉ.
  • Empêcher le feu de s’étendre en préservant ce qui n’est pas atteint : LUTTE CONTRE LES PROPAGATIONS.
  • Empêcher les gaz chauds et les fumées de se transporter par toutes les voies possibles vers d’autres locaux et faciliter la pénétration des équipes d’attaque par la circulation d’air frais : VENTILATION.
  • Réduire, puis éteindre le feu : ATTAQUE et EXTINCTION.
  • Protéger les biens situés dans le voisinage : PROTECTION.
54
Q
  1. ENGAGEMENT TACTIQUE SUR FEU

Le concept tactique d’engagement sur feu prescrit, sauf contre indication particulière d’un plan ou concept tactique :

A
  1. ENGAGEMENT TACTIQUE SUR FEU
    Le concept tactique d’engagement sur feu prescrit, sauf contre indication particulière d’un plan ou concept tactique :
    AU PREMIER ENGIN-POMPE
    ªªde dépasser largement l’entrée de l’immeuble et si possible l’adresse de l’intervention, afin de faciliter la mise en oeuvre des moyens, permettre l’engagement de(s) l’échelle(s) sur la façade de l’immeuble, se mettre à
    l’abri des effets du rayonnement ou des risques d’explosion, permettre à l’équipage de descendre et de se préparer à couvert ;
    ªªde s’alimenter systématiquement sur l’hydrant disponible le plus proche ;
    ªªde s’engager conformément aux principes de la manoeuvre ;
    ªªde pouvoir être désengagé facilement dès
    que possible.
55
Q
  1. ENGAGEMENT TACTIQUE SUR FEU
    Le concept tactique d’engagement sur feu prescrit, sauf contre indication particulière d’un plan ou concept tactique :
    AU PREMIER MOYEN ÉLÉVATEUR AÉRIEN :
A
  1. ENGAGEMENT TACTIQUE SUR FEU
    Le concept tactique d’engagement sur feu prescrit, sauf contre indication particulière d’un plan ou concept tactique :
    AU PREMIER MOYEN ÉLÉVATEUR AÉRIEN
    ªªde se positionner à l’adresse, ou sur la façade nécessitant des sauvetages ;
    ªªde laisser la place à la mise en station éventuelle d’un deuxième MEA ;
    ªªde s’engager conformément aux principes de la manoeuvre et aux règles de sécurité associées aux types de MEA.
56
Q
  1. ENGAGEMENT TACTIQUE SUR FEU
    Le concept tactique d’engagement sur feu prescrit, sauf contre indication particulière d’un plan ou concept tactique :
    AU DEUXIÈME ENGIN-POMPE
A
  1. ENGAGEMENT TACTIQUE SUR FEU
    Le concept tactique d’engagement sur feu prescrit, sauf contre indication particulière d’un plan ou concept tactique :
    AU DEUXIÈME ENGIN-POMPE
    ªªde s’assurer de la présence effective du 1er engin-pompe à l’adresse de l’intervention ;
    ªªde s’alimenter systématiquement à l’hydrant le plus approprié à la manoeuvre ;
    ªªde veiller à ne pas gêner l’accès à d’éventuels MEA de renforcement ;
    ªªde s’engager conformément aux principes de la manoeuvre.
57
Q
  1. LES PHASES ACTIVES DE L’EXTINCTION DES INCENDIES

L’extinction régulière d’un incendie est caractérisée par trois phases actives :

A
  1. LES PHASES ACTIVES DE L’EXTINCTION DES INCENDIES
    L’extinction régulière d’un incendie est caractérisée par trois phases actives : circonscrire le feu, s’en rendre maître, en achever l’extinction.
     Feu circonscrit

 Maître du feu

 Feu éteint

58
Q
  1. LES PHASES ACTIVES DE L’EXTINCTION DES INCENDIES

 Définition de Feu circonscrit :

A
  1. LES PHASES ACTIVES DE L’EXTINCTION DES INCENDIES
    L’extinction régulière d’un incendie est caractérisée par trois phases actives : circonscrire le feu, s’en rendre maître, en achever l’extinction.
     Feu circonscrit
    Le feu est circonscrit lorsque les lances sont établies aux points d’attaque choisis et en nombre suffisant pour empêcher le feu de se propager.
59
Q
  1. LES PHASES ACTIVES DE L’EXTINCTION DES INCENDIES

 Définition Maître du feu

A
  1. LES PHASES ACTIVES DE L’EXTINCTION DES INCENDIES
    L’extinction régulière d’un incendie est caractérisée par trois phases actives : circonscrire le feu, s’en rendre maître, en achever l’extinction.

 Maître du feu
On est maître du feu lorsque le foyer diminue d’intensité et que l’on est certain qu’il ne peut plus prendre d’extension dans les limites où il a été circonscrit. A cette phase, le débit hydraulique des moyens d’extinction est à son maximum. Ces moyens sont supérieurs ou égaux en volume à ceux établis pour circonscrire le feu.

60
Q
  1. LES PHASES ACTIVES DE L’EXTINCTION DES INCENDIES
    L’extinction régulière d’un incendie est caractérisée par trois phases actives : circonscrire le feu, s’en rendre maître, en achever l’extinction.

Définition Feu éteint :

A
  1. LES PHASES ACTIVES DE L’EXTINCTION DES INCENDIES
    L’extinction régulière d’un incendie est caractérisée par trois phases actives : circonscrire le feu, s’en rendre maître, en achever l’extinction.

 Feu éteint
Le feu est éteint lorsque le foyer principal ne produit plus de flamme et que seuls quelques débris ou foyers résiduels subsistent. L’extinction est achevée en dégarnissant et/ou en déblayant, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de matières en combustion.

61
Q

La marche générale des opérations (MGO) « incendie » comprend :

A

La marche générale des opérations (MGO) « incendie » comprend 8 phases :

  • les reconnaissances ;
  • les sauvetages et mises en sécurité ;
  • les établissements ;
  • la ventilation ;
  • l’attaque ;
  • la protection ;
  • le déblai et le dégarnissage ;
  • la surveillance.
62
Q
  1. LES RECONNAISSANCES
    Les reconnaissances :
    Actions qui …
A
  1. LES RECONNAISSANCES
    Les reconnaissances :
    Actions qui consistent à explorer tous les endroits exposés au sinistre, de manière à :
     procéder sans délai aux sauvetages ;
     rechercher le renseignement auprès des requérants ou personnes présentes sur les lieux ;
     rechercher d’éventuelles victimes ;
     cerner les limites du sinistre ;
     déterminer la nature des matières en combustion ;
     déterminer le mode d’extinction approprié ;
     définir les points d’attaque et les cheminements pour y parvenir.
63
Q

PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA RECONNAISSANCE
ªªLes reconnaissances sont menées tout au long des opérations jusqu’au message « ………………………………….. » ;

ªªle COS doit avoir une connaissance précise des locaux qui ont été visités (…………. et ………………………….) ;

ªªles reconnaissances peuvent être confiées par le COS à des chefs de détachement ou de secteur, qui affectent des binômes à cette mission afin de mener de front plusieurs reconnaissances partielles ;

ªªseule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser justifie l’engagement immédiat d’un binôme de reconnaissance sur ordre, sans …………………………………., du ……………… et de ……………………………………. ;

ªªaucune face du sinistre ne doit être négligée (reconnaissances ……………….., puis …………………..) et tous les locaux menacés doivent être évacués ;

ªªles reconnaissances sous ARI doivent toujours s’effectuer dans le sens …………………., hormis dans le cas ……………………………………….;

ªªun binôme engagé en reconnaissance est indissociable et l’utilisation d’un tableau de gestion des reconnaissances (TGR) est obligatoire, ainsi que la présence d’une équipe de sécurité (les reconnaissances à vue ne nécessitent pas d’équipe de sécurité) ;

ªªen présence d’ascenseur et/ou de monte-charge, ceux-ci doivent être……………………………………………… .

A

PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA RECONNAISSANCE
ªªLes reconnaissances sont menées tout au long des opérations jusqu’au message « reconnaissances terminées » ;

ªªle COS doit avoir une connaissance précise des locaux qui ont été visités (marquage et compte rendu) ;

ªªles reconnaissances peuvent être confiées par le COS à des chefs de détachement ou de secteur, qui affectent des binômes à cette mission afin de mener de front plusieurs reconnaissances partielles ;

ªªseule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser justifie l’engagement immédiat d’un binôme de reconnaissance sur ordre, sans la mise en place préalable d’un « binôme de sécurité», du TGR et de l’établissement d’un moyen hydraulique ;

ªªaucune face du sinistre ne doit être négligée (reconnaissances cubiques, puis concentriques) et tous les locaux menacés doivent être évacués ;

ªªles reconnaissances sous ARI doivent toujours s’effectuer dans le sens du tirage, hormis dans le cas express d’un sauvetage ;

ªªun binôme engagé en reconnaissance est indissociable et l’utilisation d’un tableau de gestion des reconnaissances (TGR) est obligatoire, ainsi que la présence d’une équipe de sécurité (les reconnaissances à vue ne nécessitent pas d’équipe de sécurité) ;

ªªen présence d’ascenseur et/ou de monte-charge, ceux-ci doivent être ramenés au niveau d’accès des secours et bloqués en position ouverte.

64
Q

Reconnaissances d’attaque :

A

Reconnaissances d’attaque :
Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement sont pénibles, laborieuses ou menaçantes, de par la proximité immédiate du sinistre, de ses effets directs ou de conditions de progression particulièrement éprouvantes.

65
Q

Reconnaissances périphériques :

A

Reconnaissances périphériques :
Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement supportables n’entament que modérément ses capacités de résistance et d’endurance physique.

66
Q

Reconnaissances à vue :

A

Reconnaissances à vue :
Lorsqu’un binôme, porteur de l’ARI, remplit une mission de reconnaissance dans un périmètre éloigné du sinistre afin de concourir au tour du feu effectué par le chef de garde, dans des conditions d’engagement n’entamant pas ses capacités de résistance et d’endurance physique.

67
Q

Le confinement :

A

Le confinement :
Opération visant à ordonner à des personnes de se maintenir à l’abri d’un danger ambiant, en se calfeutrant à l’intérieur des locaux dans lesquels elles se trouvent.

68
Q

L’évacuation :

A

L’évacuation :
Opération visant à ordonner préventivement à des personnes de se déplacer hors des limites d’un périmètre de sécurité, au besoin en les accompagnant, afin qu’elles ne se trouvent pas exposées aux effets d’un danger évolutif.

69
Q

L’évacuation :
Dans les établissements hospitaliers ou les structures
d’accueil pour les personnes âgées, on cherchera à privilégier si possible et par ordre de priorité :

A

Dans les établissements hospitaliers ou les structures
d’accueil pour les personnes âgées, on cherchera à privilégier si possible et par ordre de priorité :
ªªle confinement ;
ªªle transfert horizontal ;
ªªle transfert in-situ.

70
Q

Le sauvetage :

A

Le sauvetage :

Action visant à soustraire d’un péril immédiat une personne qui, sans aide extérieure, serait vouée à une mort certaine.

71
Q

La mise en sécurité :

A

La mise en sécurité :
Action visant à extraire, en l’accompagnant, une personne menacée par un danger auquel elle ne peut se soustraire d’elle-même.

72
Q
  1. LA VENTILATION
    Par son caractère opérationnel, elle ne peut être dissociée de l’attaque.
    Ventilation :
    Action qui consiste à :
A
  1. LA VENTILATION
    Par son caractère opérationnel, elle ne peut être dissociée de l’attaque.
    Ventilation :
    Action qui consiste à :
     mettre en oeuvre les moyens de désenfumage existants ou s’assurer de leur déclenchement automatique ;
     mettre en place si nécessaire un dispositif de ventilation adapté à la configuration des lieux et au type de sinistre ;
     maîtriser le sens du tirage.
73
Q

2 principes de ventilation :

A

2 principes de ventilation
La ventilation naturelle :
Courant d’air obtenu sans moyen mécanique. Elle consiste en un balayage de l’air.
La ventilation mécanique :
Courant d’air obtenu avec des moyens mécaniques. Elle consiste à créer une surpression ou une dépression. Elle regroupe le désenfumage mécanique (moyens mécaniques de l’établissement) et la ventilation opérationnelle (moyens mécaniques des sapeurs-pompiers).

74
Q

Deux tactiques de ventilation :

A

Deux tactiques de ventilation :
La ventilation de protection :
Elle consiste à mettre un compartiment en surpression, afin de le protéger des fumées et des gaz chauds.
La ventilation d’attaque :
Elle consiste à créer un tirage favorable pour les porte-lances. Elle contribue également à réduire le risque d’embrasement généralisé éclair, à améliorer la visibilité, à réduire la chaleur ambiante et à protéger les voies de communication.

75
Q

2 techniques de ventilation mécanique :

A

2 techniques de ventilation mécanique :

ªªpar dépression (aspiration) ; ªªpar surpression (injection).

76
Q

OBJECTIFS DE LA VENTILATION

Les objectif de la ventilation sont de :

A

OBJECTIFS DE LA VENTILATION
Les objectif de la ventilation sont de :

ªªfavoriser les sauvetages, les mises en sécurité et les évacuations ;
ªªsécuriser la progression des intervenants en prévenant la survenue de phénomènes thermiques ;
ªªfaciliter l’engagement des intervenants en préservant certains locaux, soit en évacuant les fumées, soit en les mettant à l’abri des fumées ;
ªªfavoriser l’extinction du sinistre en contrôlant les propagations du feu.

77
Q

Le COS définit l’effet majeur qu’il veut obtenir, afin d’en déduire le mode de ventilation le plus adapté, qu’il soit naturel ou opérationnel. Mais, dans tous les cas, il devra conserver à l’esprit que … .

A

Le COS définit l’effet majeur qu’il veut obtenir, afin d’en déduire le mode de ventilation le plus adapté, qu’il soit naturel ou opérationnel. Mais, dans tous les cas, il devra conserver à l’esprit que même si celui qui contrôle l’air contrôle le feu, mieux vaut ne pas ventiler plutôt que de
procéder à une ventilation hasardeuse.

78
Q

Avant de pénétrer dans un local, le porte-lance doit :

A

Avant de pénétrer dans un local, le porte-lance doit :
ªªse placer dans la position la plus basse possible, à l’écart des effets d’une éventuelle explosion et en dehors de l’axe de l’ouvrant ;
ªªsi l’accès est fermé, ne l’ouvrir que lorsqu’il a de l’eau à sa lance ;
ªªprocéder au test de la porte au moyen de sa lance (le test avec la main n’est pas systématique);
ªªrechercher les signes d’alarme significatifs des accidents thermiques ;
-s’ils sont perceptibles, en rendre compte immédiatement à son chef d’agrès ;
-tant que le risque d’accident thermique ne peut être écarté avec certitude, il devra systématiquement disposer d’une lance pouvant fournir un débit de 500 l/min, réglée en jet diffusé d’attaque ;
ªªprévoir un chemin de repli jusqu’à une zone en sécurité
ªªaprès avoir ouvert l’accès, tester le plafond de fumées par une courte impulsion dans sa direction :

Si l’eau est transformée en vapeur, il y a danger. Le porte-lance poursuit le refroidissement :
• par courtes impulsions « ouvrir/fermer », en dirigeant le jet dans le plafond de fumée (environ une demi-seconde)
• puis par crayonnage, si nécessaire, sur une zone plus large en traçant l’une des lettres ou chiffre suivants « T, Z, O, 8 » ;
• il ne pénètre et progresse dans le volume sinistré que lorsque ce danger a disparu, conformément à l’alinéa suivant ;
Si l’eau retombe en gouttelettes, le porte-lance peut débuter sa progression.

79
Q

Lorsqu’il pénètre dans un local, le porte-lance doit :

A

Lorsqu’il pénètre dans un local, le porte-lance doit :

ªªexplorer le local dans la position la plus basse possible, par avancées successives de 1 à 2 mètres, en évitant de rester dans l’axe porte/fenêtre et en testant le plafond à chaque avancée, selon les modalités décrites précédemment ;

ªªapercevant les signes d’un phénomène thermique imminent, le porte-lance doit, suivant sa position :

  • sortir du local ;
  • se protéger derrière tout écran (mur, paroi, meuble ou porte …), tout en refroidissant le local sinistré par impulsion ou crayonnage ;
  • se mettre en position de survie en se jetant au sol, tout en actionnant un jet diffusé de protection au dessus des casques des intervenants, si le phénomène thermique se déclenche tandis que du personnel est encore présent dans le local concerné.
80
Q

Lors de la manoeuvre de sa lance, le porte-lance doit :

A

Lors de la manoeuvre de sa lance, le porte-lance doit :

ªªse placer au point d’attaque désigné par son chef d’agrès, en se protégeant du rayonnement et d’éventuels retours de flammes ;
ªªemployer le jet le plus adapté au sinistre, en respectant le débit commandé ;
ªªdès qu’il constate une baisse anormale d’arrivée de l’eau à la lance, se replier, rendre compte et remédier à l’anomalie ;
ªªchercher à arrêter la propagation, si possible du côté le plus menacé, puis manoeuvrer sur le foyer principal et les foyers secondaires qui auraient pu prendre naissance à proximité ;
ªªs’avancer prudemment, en se tenant le plus près possible du sol, dès lors que le jet de sa lance n’atteint plus la base des flammes ;
ªªn’utiliser que l’eau strictement nécessaire à l’extinction.
Pour cela, il doit :
ÂÂfermer sa lance lors de ses déplacements ;
ÂÂattaquer directement le foyer proprement dit, seulement après avoir neutralisé le risque majeur des effets thermiques ;
ÂÂprendre soin de ne pas diriger le jet constamment sur le même point, de ne pas atteindre les vitres et objets que l’eau peut dégrader.

81
Q

En présence d’un risque électrique :

A

En présence d’un risque électrique :
ªªne pas diriger le jet de sa lance vers les installations électriques, porter attention aux eaux de ruissellement et aux fils qui pendent ;
ªªmanoeuvrer en jet diffusé d’attaque exclusivement ;
ªªse mettre en sécurité à la moindre sensation de picotement.

82
Q

Dans tous les cas, le porte-lance doit :

A

Dans tous les cas, le porte-lance doit :
ªªse maintenir en liaison permanente avec son équipier et son chef d’agrès et, autant que possible, avec un binôme voisin ;
ªªrendre immédiatement compte de tout changement de situation.

83
Q

Définition de la Protection :

A

Protection :
Opération qui consiste à limiter le plus possible les dégâts occasionnés par les eaux d’extinction, la chaleur et les fumées lors d’un incendie, puis à protéger les biens d’intempéries extérieures. Pour être efficace, la protection est mise en oeuvre le plus tôt possible.

84
Q

La protection nécessite généralement :

A
Elle nécessite généralement :
ªªle bâchage ;
ªªl’évacuation de l’eau ;
ªªl’assèchement ;
ªªle déménagement (exceptionnel) ;
ªªl’aération ;
ªªl’étaiement léger.
85
Q

Déblai :

A

Déblai :
Opération qui consiste à déplacer les décombres et les objets qui pourraient cacher des foyers pour en achever l’extinction et écarter tout risque de reprise de feu. Le déblai peut être mené conjointement à l’attaque pour faciliter l’extinction.

86
Q

Dégarnissage :

A

Dégarnissage :
Opération qui consiste à gratter les éléments de construction, murs, poutres et planchers pour en retirer la couche de résidus de combustion, afin de s’assurer de l’extinction au coeur du matériau et de prévenir une reprise de feu.

87
Q

Surveillance :

A

Surveillance :
Opération qui consiste à empêcher tout risque de reprise de feu par la mise en place d’un détachement de sapeurs-pompiers une fois le message « feu éteint » transmis.

88
Q

Programmées par le COS, les rondes contrôlent la bonne exécution du service de surveillance. Chaque ronde fait l’objet d’un ordre de départ (renfort à l’ordre de départ initial de l’intervention en cours) émis par le CSO. Un rapport secondaire est donc rédigé à chaque ronde.
La première ronde est effectuée environ………. heures après la mise en place du service de surveillance, puis environ toutes les …………….. heures.

A

Programmées par le COS, les rondes contrôlent la bonne exécution du service de surveillance. Chaque ronde fait l’objet d’un ordre de départ (renfort à l’ordre de départ initial de l’intervention en cours) émis par le CSO. Un rapport secondaire est donc rédigé à chaque ronde.
La première ronde est effectuée environ 2 heures après la mise en place du service de surveillance, puis environ toutes les 4 heures.

89
Q
  1. LES GRADÉS ET SAPEURS DISPONIBLES

Lorsqu’ils sont relevés après une phase d’attaque, les équipes disponibles … .

A
  1. LES GRADÉS ET SAPEURS DISPONIBLES
    Lorsqu’ils sont relevés après une phase d’attaque, les équipes disponibles procèdent à l’échange de leur bouteille d’ARI et se regroupent dans la zone de remise en condition du personnel désignée par le COS, à l’écart de l’intervention.
90
Q

L’EXPLOSION DE FUMÉE
Ce phénomène est également connu sous le terme de « ……………. ».
Il s’agit de… .

A

L’EXPLOSION DE FUMÉE
Ce phénomène est également connu sous le terme de « BACKDRAFT ».
Il s’agit de l’explosion, lors de l’apport d’air, des fumées et des gaz combustibles accumulés dans le volume, si celui-ci est clos.

91
Q

L’EMBRASEMENT GÉNÉRALISÉ ECLAIR
Ce phénomène est également connu sous le terme de « … ».
Il s’agit … .

A

L’EMBRASEMENT GÉNÉRALISÉ ECLAIR
Ce phénomène est également connu sous le terme de « FLASH OVER ».
Il s’agit d’un embrasement généralisé et instantané des matériaux combustibles présents dans le volume, si celui-ci est partiellement ouvert.

92
Q

Seul un agent GrDF est habilité :

A

Seul un agent GrDF est habilité :
ªªà manoeuvrer un barrage où l’indication « RÉSEAU » apparaît ;
ªªà manoeuvrer un barrage déjà fermé.

93
Q

TITRE 1 - GÉNÉRALITÉS SUR LE
SECOURS À PERSONNE 1
Le dispositif médical et de secours français repose sur 3 piliers :

A

TITRE 1 - GÉNÉRALITÉS SUR LE
SECOURS À PERSONNE 1
Le dispositif médical et de secours français repose sur 3 piliers :
ªªla permanence des soins ;
ªªle secours à personne (SAP) ;
ªªles structures hospitalières de médecine d’urgence.

94
Q

TITRE 1 - GÉNÉRALITÉS SUR LE
SECOURS À PERSONNE 1
LES ÉTAPES DE LA PRISE EN CHARGE D’UNE VICTIME
La chaîne du secours à victime est composée de plusieurs maillons interdépendants et indispensables :

A

TITRE 1 - GÉNÉRALITÉS SUR LE
SECOURS À PERSONNE 1
LES ÉTAPES DE LA PRISE EN CHARGE D’UNE VICTIME
La chaîne du secours à victime est composée de plusieurs maillons interdépendants et indispensables :
ªªla sécurité ;
ªªl’alerte des services de secours ;
ªªla réalisation des gestes de secours par un témoin ;
ªª la prise en charge par les sapeurs-pompiers ;
ªªla médicalisation pré-hospitalière ;
ªªla prise en charge hospitalière.