BSP 118 PEC Flashcards
TITRE 1 - L’ORGANISATION GÉNÉRALE DES SECOURS
MISSIONS DE COMPÉTENCE EXCLUSIVE
La BSPP est chargée de :
- la prévention et l’évaluation des risques de sécurité civile ;
- la préparation des mesures de sauvegarde et l’organisation des moyens de secours ;
- la protection des personnes, des biens et de l’environnement ;
- l’assistance et les secours d’urgence aux personnes en détresse ou victimes d’accidents, de sinistres ou de catastrophes ainsi que leur évacuation.
TITRE 1 - L’ORGANISATION GÉNÉRALE DES SECOURS
MISSIONS DE COMPÉTENCE PARTAGÉE
La BSPP concourt à :
- la protection et la lutte contre les autres accidents, sinistres et catastrophes ;
- l’évaluation et la prévention des risques technologiques ou naturels ;
- aux secours d’urgence.
- LES MISSIONS NE RELEVANT PAS DE LA BRIGADE
Quelles sont les INTERVENTIONS DONT L’OBJET RELÈVE DE SOCIÉTÉS DU SECTEUR PRIVÉ :
-brancardage au profit de sociétés privées de
transport sanitaire ;
-mise à l’arrêt des sonneries d’alarme intrusion ;
-transport de patient par carence de moyens
sanitaires privés ;
-distribution d’eau potable auprès des populations;
-divagation des chiens et des chats ;
-débouchage d’égout ou de canalisation ;
-personne bloquée dans une cabine d’ascenseur
(sauf enfant, malaise, personne vulnérable) ;
-destruction d’hyménoptères (sauf VP, lieu
public et certains établissements publics) ;
-ouverture de portes sans risque à l’intérieur ;
-fuite d’eau ;
-panne d’origine électrique ;
-assèchement et nettoyage de locaux ;
-enlèvement de banderole ou d’emblème ;
-écobuage.
- LES MISSIONS NE RELEVANT PAS DE LA BRIGADE
Quelles sont les INTERVENTIONS DONT L’OBJET RELÈVE DE SERVICES PUBLICS SPÉCIALISÉS
-accident matériel de la circulation ;
-alerte à la bombe ;
-engin explosif ;
-objet, colis ou enveloppe suspect ;
-ramassage de carcasses ou d’animaux morts
(volatiles, etc…) ;
-dégagement des véhicules et matériaux
encombrant la voie publique ou les voies
navigables ;
-opération de sablage, de déneigement ou
de balisage des routes ;
-reconnaissance de coques ou d’hélices de
moyens nautiques ;
-recherche d’objets ;
-recherche sous l’eau d’épaves ou d’objets
divers ;
-personne égarée ou disparue (y compris en
carrière et en catacombe) ;
-transport de patient d’un établissement de
santé vers un autre (transports secondaires).
- LES MISSIONS NE RELEVANT PAS DE LA BRIGADE.
Quelles sont les INTERVENTIONS D’ASSISTANCE À LA POPULATION EN L’ABSENCE DE RÉQUISITION DES AUTORITÉS COMPÉTENTES ?
-transport ou déplacement de personnes
décédées ;
-maîtrise d’un forcené, différend, rixe ou
bagarre ;
-mise en place et surveillance de pédiluve, de
bûchers et de réserves d’eau (plan épizootie) ;
-brumisation de la population lors des
dispositifs prévisionnels de secours ;
-services de surveillance ou dispositifs prévisionnels
de secours (DPS) à l’occasion de
spectacles, manifestations sportives, culturelles
ou autres : ils sont normalement assurés par des moyens associatifs conformément à la réglementation en vigueur.
- LE TERRITOIRE DE COMPÉTENCE
Combien de communes défend la BSPP, sur quelle superficie et pour combien d’habitants, de franciliens et personnes en transit ?
La brigade de sapeurs-pompiers de Paris défend les 124 communes des départements de Paris (75), des Hauts-de-Seine (92), de la Seine-Saint-Denis (93) et du Val-de-Marne (94). Ce territoire de compétence unique en France concentre, sur une petite superficie de
800 km², une forte densité de population de 6,5 millions d’habitants, à laquelle viennent s’ajouter 2 millions de franciliens et 10 millions de personnes en transit.
Que veut dire SIDACR ?
schéma interdépartemental d’analyse et de couverture des risques (SIDACR).
Nombre de militaire à la BSPP ?
Forte d’environ 8 800 militaires dont plus
de 500 en détachement, la BSPP engage ses
moyens (incendie, secours à victime, médicaux
et spéciaux) à partir de bases opérationnelles ou
lieux de stationnement judicieusement répartis
sur son territoire de compétence. Chaque jour,
elle compte près de 2 100 militaires de garde
ou d’astreinte.
- L’ARTICULATION EN SECTEURS
2 grands types de secteurs sont différenciables :
Le secteur administratif et le secteur opérationnel
- L’ARTICULATION EN SECTEURS
2 grands types de secteurs sont différenciables :
Le secteur administratif détermine les responsabilités organiques des autorités compétentes dans les domaines de gestion suivants :
- commandement ;
- gestion du personnel ;
- établissements répertoriés ;
- hydrants ;
- cartographie ;
- commissions de sécurité.
Que veut dire :
LSO :
LSS :
- lieu de stationnement opérationnel (LSO) : localisation des moyens sapeurs-pompiers ;
- lieu de stationnement santé (LSS) : localisation des moyens médicaux et para médicaux ;
Combien de lieux de staionnement peuvent être gérés par un seul PVO ?
Un ou plusieurs lieux de stationnement peuvent être gérés par un seul PVO.
- LES NIVEAUX DE RÉPONSE
En combien de niveaux la Brigade organise-t-elle sa réponse opérationnelle ? A quels types de risques correspondent ces niveaux ?
En 3 réponses :
- La réponse de niveau 1 : Risque courant
- La réponse de niveau 2 : Risque particulier
- La réponse de niveau 3 : Risque majeur
Les capacités opérationnelles de la BSPP sont organisées en fonctions opérationnelles réparties
en 3 familles :
1/ les fonctions intégrantes il s’agit des fonctions incontournables pour assurer la capacité opérationnelle de la BSPP : -- -- -- --
2/ les fonctions d’engagement il s’agit des fonctions nominales pour intervenir : -- -- -- -- --
3/ les fonctions d’environnement il s’agit des fonctions complémentaires et de spécialités: -- -- -- -- -- -- -- --
1/ les fonctions intégrantes
il s’agit des fonctions incontournables pour assurer la capacité opérationnelle de la BSPP :
–CDT (commandement) ;
–SIC (système d’informations et de commandement) ;
–LOG (logistique) : RAV, MAINT, SH, SAN ;
–SIO (soutien infrastructure opérationnelle).
2/ les fonctions d’engagement
il s’agit des fonctions nominales pour intervenir :
–INC / EXT (incendie/extinction) ;
–SAUV (sauvetage) ;
–RECO / ELD (reconnaissance/exploration longue durée);
–SAP/AMU/SR (secours à personne/aide médicale urgente/secours routier) ;
–VENT (ventilation).
3/ les fonctions d’environnement
il s’agit des fonctions complémentaires et de spécialités :
–NRBC (nucléaire radiologique biologique chimique/antipollution) ;
–RSMU (recherche et sauvetage en milieu urbain) ;
–NAUT (nautique) ;
–IMP (intervention milieu périlleux) ;
–CYNO (cynotechnique) ;
–PROTEC (protection) ;
–ECL (éclairage) ;
–COM (communication).
Que veut dire :
DPS :
DRUFF :
–Dispositifs prévisionnels de secours
(DPS)
–Détachement de Renfort Urbain à l’occasion
des Feux de Forêts (DRUFF) ;
AU NIVEAU DU CENTRE DE SECOURS
La garde comprend :
–1 officier de garde compagnie (OGC) dans les PC de compagnie, officier ou major de l’unité,
titulaire de la qualification correspondante et habilité par le commandant de groupement ;
–1 chef de garde, titulaire du certificat de chef de garde d’incendie, officier ou sous-officier dans les PC de compagnie, sous-officier dans les autres centres de secours ; (ce tiret comprend le modif)
–le personnel équipant les engins en service ;
–le personnel du poste de veille opérationnelle (PVO) ;
–le service de jour.
AU NIVEAU DU GROUPEMENT
La garde comprend :
- -1 officier supérieur de garde groupement (OSG), titulaire de la qualification « officier supérieur de garde » et habilité par le Général sur proposition du sous-chef emploi ;
- -1 officier poste de commandement (OPC), titulaire de la qualification « officier poste de commandement » ;
- -le personnel du poste de commandement tactique (PC TAC2) qui accompagne systématiquement l’OPC en intervention ;
- -le sous-officier « statique » et le personnel du centre de suivi opérationnel (CSO) ;
- -les conducteurs.
AU NIVEAU DE LA BRIGADE
La garde comprend :
–le commandant opérationnel Brigade ;
–le colonel de garde, chef d’état-major opérationnel (CEMO) ;
–le médecin-chef Brigade de garde ;
–le chef CO, l’officier de garde CO, le médecin coordinateur chef et le personnel du centre opérationnel (CO) jusqu’au niveau 3 inclus ;
–le directeur des secours médicaux (DSM) et la garde des secours médicaux constituée d’un vétérinaire, d’un pharmacien, d’un psychologue, du médecin d’astreinte et des équipages des ambulances de réanimation
(AR), du véhicule poste de commandement médical (VPCM) et du véhicule d’accompagnement santé (VAS) ;
–les officiers ou sous-officiers « environnement poste de commandement tactique » : prévention, sécurité et dessinateur opérationnel ;
–l’officier communication opération ;
–les officiers ou sous-officiers « experts de niveau tactique et opératif » : officiers NRBC, NAUTIQUE, chef de section RSMU, chefs de groupes IMP, CYNO, représentant des cultes, investigateurs RCCI ;
–les officiers de liaison Brigade :
–CCZ1 ;
–CIC DOPC1/ renfort CCZ ;
–COPP/SIC DSPAP2 ;
–le personnel du GSS, et du GFIS armant certains moyens spéciaux, d’aide au commandement ou d’appui à la couverture opérationnelle ;
–le sous-officier du service général ;
–les conducteurs de la section transport ;
–le personnel de garde et d’astreinte technique ou administrative.
Il existe 6 types d’équipage pour l’armement des engins Brigade :
Donnez en plus du type un exemple pour chacun. Abréviation non tolérée
ªªéquipage à 1 : moto d’intervention rapide (MIR) ;
- -équipage à 2 : véhicule d’interventions diverses (VID), véhicule de liaison radio (VLR), échelle pivotante automatique (EPA), bras élévateur articulé (BEA), camion d’accompagnement (CA), véhicule de détection d’identification et de prélèvement (VDIP), etc. ;
- -équipage à 3 : véhicule de secours et d’assistance aux victimes (VSAV), ambulance de réanimation (AR), véhicule d’intervention grande intempérie (VIGI), berce unité mobile de décontamination (BUMD), etc. ;
- -équipage à 4 : véhicule d’intervention voie publique (VIVP), véhicule poste de commandement (VPC), véhicule de reconnaissance chimique (VRCH), etc. ;
- -équipage à 5 : véhicule d’intervention en milieu périlleux (VIMP), etc. ;
- -équipage à 6 : premier-secours (PS), camion-citerne rural (CCR), fourgon pompe tonne (FPT), etc.
la dénomination réglementaire des premiers secours est complétée par une lettre en fonction de la compétence du chef d’agrès :
A le chef d’agrès est un sous-officier ou un caporal-chef titulaire du CT1SP ;
B le chef d’agrès est titulaire du CCGI;
C le chef d’agrès est le chef de garde du centre de secours.
–
–
–
–
Un PC TAC de niveau 2 est systématiquement associé aux départs dans […………].
Hormis pour les tunnels de plus de 300 m et les sites soumis à un plan d’opération interne (POI), le volume de moyens « premier départ » pour les motifs d’alerte « feu ou explosion » dans un ÉTARÉ, quel que soit son niveau, est constitué de :
– 1 OGC
– 3 EP dont 1 F
– 1 MEA
– 1 ventilateur opérationnel
– 1 VSAV
Un PC TAC de niveau 2 est systématiquement associé aux départs dans un ÉTARÉ 3 et pour tous les IGH et ITGH.
LE COMPLÉMENT PAR ANTICIPATION
En fonction des informations recueillies lors de l’instruction des demandes de secours laissant
présager un sinistre grave ou d’ampleur, le CO peut compléter le premier départ par un complément
par anticipation :
–
–
–
–
–
Il peut également adapter le premier départ par l’engagement d’un groupe, de moyens spéciaux
(CD, AR, etc.) ou de moyens génériques (EP, MEA, etc.) dans la limite d’un volume équivalent à un complément par anticipation.
Prévenu par le CO, le CSO territorialement compétent demande [………………………………………….] et engage manuellement un module commandement constitué de :
–
–
LE COMPLÉMENT PAR ANTICIPATION
En fonction des informations recueillies lors de l’instruction des demandes de secours laissant
présager un sinistre grave ou d’ampleur, le CO peut compléter le premier départ par un complément
par anticipation :
– 1 EP
– 1 MEA
– 1 CRAC
– 1 VSAV
– 1 AR
Il peut également adapter le premier départ par l’engagement d’un groupe, de moyens spéciaux
(CD, AR, etc.) ou de moyens génériques (EP, MEA, etc.) dans la limite d’un volume équivalent à un complément par anticipation.
Prévenu par le CO, le CSO territorialement compétent demande l’intervention d’ErDF - GrDF et engage manuellement un module commandement constitué de :
– 1 OGC
– 1 PC TAC de niveau 2
Dès lors qu’un renfort est engagé sur une intervention,
la présence du […], d’une […] et d’un […] est requise.
Dès lors qu’un renfort est engagé sur une intervention, la présence du VE2I, d’une DEP et d’un module commandement est requise.
Engagé manuellement, le module commandement est constitué a minima de :
Engagé manuellement, le module commandement est constitué a minima de : 1 OSG 1 OGC 1 OGC officier ZDI 1 PC TAC de niveau 2 le dessinateur opérationnel
lors d’une demande de renfort après un complément de départ normal, un complément par anticipation ou un départ dans un établissement répertorié, les moyens en […………………………….] sont honorés dans leur intégralité mais les autres moyens ne sont pas doublés (exemple : pas de […….]dans le GRCP du RI ou du RH après un complément
d’anticipation.
lors d’une demande de renfort après un complément de départ normal, un complément par anticipation ou un départ dans un établissement répertorié, les moyens
en EP, VSAV, MEA sont honorés dans leur intégralité mais les autres moyens ne sont pas doublés (exemple : pas de CRAC dans le GRCP du RI ou du RH après un complément
LE RENFORT INCENDIE (RI)
Il est demandé par le COS sous la forme :
« Je demande renfort incendie telle adresse ».
Prévu pour les incendies nécessitant la mise en oeuvre d’un dispositif hydraulique important, il est composé de :
Le renfort incendie peut être modulé en fonction des besoins spécifiques de l’intervention :
–renfort incendie sans ………….. (les ………… sont défalqués) ;
–renfort incendie sans ………….(les ………… sont défalqués, sauf……………..).
LE RENFORT INCENDIE (RI)
Il est demandé par le COS sous la forme :
« Je demande renfort incendie telle adresse ».
Prévu pour les incendies nécessitant la mise en oeuvre d’un dispositif hydraulique important, il est composé de :
2 EP les + proches, dt au moins 1F
2 FACA
3 MEA (dt au moins 1 de 30m et 1 BEA)
1 VSAV
1 AR
1 PEV
1 CD
1 GRCP
Le renfort incendie peut être modulé en fonction des besoins spécifiques de l’intervention :
–renfort incendie sans FACA (les FACA et le BEA sont défalqués) ;
–renfort incendie sans échelle (les MEA sont défalqués, sauf le BEA).
LE RENFORT HABITATION (RH) Il est demandé par le COS sous la forme : « Je demande renfort habitation telle adresse » Prévu pour conduire simultanément les opérations de ................, de ................, ainsi que de ................... . Il est non modulable et composé de :
LE RENFORT HABITATION (RH)
Il est demandé par le COS sous la forme :
« Je demande renfort habitation telle adresse »
Prévu pour conduire simultanément les opérations de reconnaissances, de prise en charge des
victimes et des personnes impliquées, ainsi que de l’extinction.
Il est non modulable et composé de :
5 EP, dont au moins 2 F
2 MEA, dont au moins un de 30 m
2 VSAV
2 AR
1 PEV
1 CD
1 GRCP
Le renfort poste de commandement est composé de :
Le renfort poste de commandement est composé de :
3 OGC (officier MANFUT, RENS/SYNT et CTRZ)
1 VLR cdg (adjoint fonction MOYENS)
1 VSTI
la garde environnement PC TAC
Le renfort secours est un volume de moyens destiné à .... , au ... et à ... . Il est composé de : Le départ normal de substitution permet ... .
Le renfort secours est un volume de moyens destiné à la recherche, au sauvetage et à la prise en charge médicale des militaires du corps qui se trouveraient en difficulté à la suite d’un accident. Il est composé de : 1 OGC 1 F 1 DN de substitution 1 GELD 1 section RSMU 1 groupe CYNO 1 AR Le départ normal de substitution permet d’assurer le remplacement des équipes devenues indisponibles.
TITRE 9 - LES DOCUMENTS DU
SERVICE INCENDIE
Ce chapitre comprend 9 sous titres qui correspondent aux diffférents docs. Quels sont ils ?
- Liste de service
- Cahier de départ des secours
- -Listing voies et ETARE du secteur
- -Fiches de départ des secours
- -Cahier de main courante opérationnelle
- -Carnet de messages et de renseignements
- -Plan tryptique
- -Autres docs devant se trouver à bord des engins.
- Imprimés BOPE
La liste de service est arrêtée et affichée au moins ….. heures à l’avance.
La liste de service est arrêtée et affichée au moins 48 heures à l’avance.
Le cahier de main courante opérationnelle doit faire mention, chronologiquement et de manière exhaustive, aux actes et événements opérationnels qui ponctuent la journée. Doivent y figurer :
- -la date complète, inscrite à chaque changement de journée ;
- -les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct) ;
- -les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels ;
- -les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaires, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement ;
- -les changements de garde non programmées ;
- -les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes ;
- -les contacts avec les stations directrices associées.
Le cahier de main courante opérationnelle doit faire mention, chronologiquement et de manière exhaustive, aux actes et événements opérationnels qui ponctuent la journée. Doivent y figurer :
- -la date complète, inscrite à chaque changement de journée ;
- -les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct) ;
- -les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels ;
- -les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaires, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement ;
- -les changements de garde non programmées ;
- -les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes ;
- -les contacts avec les stations directrices associées.
Combien de temps sont archivés :
Fiche bilan :
Main courante opé :
Combien de temps sont archivés :
Fiche bilan : 30 ans
Main courante opé : 5 ans
Le commandement opérationnel de la Brigade s’articule autour de l’échelon (……………..) au niveau des groupements et de l’échelon (……………….) à l’état-major Brigade, subordonné à la préfecture de zone, échelon (…………………).
3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention :
Le commandement opérationnel de la Brigade s’articule autour de l’échelon tactique au niveau des groupements et de l’échelon opératif à l’état-major Brigade, subordonné à la préfecture de zone, échelon stratégique.
La (……………………………………………………………..(……….)) appartient au préfet de police ou, le
cas échéant, à l’autorité déléguée (préfet des départements 92, 93 et 94). Dans l’exercice de ses pouvoirs, il met en oeuvre les moyens de la BSPP dans les conditions prévues par le règlement opérationnel Brigade ou les règlements opérationnels spécifiques aux emprises des aérodromes.
3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention
La direction des opérations de secours
(DOS) appartient au préfet de police ou, le
cas échéant, à l’autorité déléguée (préfet des départements 92, 93 et 94). Dans l’exercice de ses pouvoirs, il met en oeuvre les moyens de la BSPP dans les conditions prévues par le règlement opérationnel Brigade ou les règlements opérationnels spécifiques aux emprises des aérodromes.
Le (……………………………………………………(………..)) désigné est chargé, sous l’autorité du (………), de la mise en oeuvre de tous les moyens publics et privés mobilisés pour l’accomplissement des opérations de secours.
3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention
Le commandant des opérations de secours
(COS) désigné est chargé, sous l’autorité du DOS, de la mise en oeuvre de tous les moyens publics et privés mobilisés pour l’accomplissement des opérations de secours.
Nota : en cas d’attentats, dès le déclenchement du premier plan rouge alpha (PRA), le (……………………………………………………………) prend automatiquement le COS et le médecin chef Brigade prend automatiquement la fonction de DSM de l’ensemble du dispositif. A l’échelon tactique, les responsables de site deviennent des « chefs de site » conseillés
par des « DSM de site ».
3e partie l’organisation des secours sur intervention :
- titre 1 : les devoirs généraux en intervention
Nota : en cas d’attentats, dès le déclenchement du premier plan rouge alpha (PRA), le commandant opérationnel Brigade prend automatiquement le COS et le médecin chef Brigade prend utomatiquement la fonction de DSM de l’ensemble du dispositif. A l’échelon tactique, les responsables de site deviennent des « chefs de site » conseillés par des « DSM de site ».