Bonbons Flashcards

1
Q

Identifier l’énoncé associée à une céphalée secondaire à l’apnée du sommeil:
● La céphalée est bilatérale
● Aucune des réponses
● La céphalée présente moins 15 jours par mois
● Index d’apné-hypopnés plus de 4 épisodes par heure

A

A

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2
Q

A. La douleur chronique est un désordre par soi-même.
B. Une douleur chronique qui persiste depuis plusieurs années est fort probablement associée avec des co-morbidités psychologiques.
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai
● Les deux énoncés sont faux
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux
● Les deux énoncés sont vrais

A

D

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3
Q

Vrai ou faux : une neuropathie associée au quadrant 2 avec le temps peut se propager au quadrant 3

A

VRAI

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4
Q

Patient se présente avec une douleur constante pulsatile sévère à la dent #24 depuis quelques jours. La dent réagit normalement aux tests de vitalité, tu remarques une légère infiltration sous l’ancienne obturation de cette dent. Les radiographies périapicale et BW sont normaux. Tu fais une infiltration au buccal et palatin de la dent et obtient une anesthésie locale profonde, cependant la douleur dentaire est toujours présente. Quel serait le diagnostic probable et la gestion de celui-ci:
● Pulpite réversible due à l’infiltration sous l’obturation défectueuse, remplace l’obturation
● Douleur d’origine non-dentaire réfère à un dentiste qui traite la douleur orofaciale
● Diagnostic incertain réfère à un endodontiste pour un 2ième avis
● Pulpite irréversible due à l’infiltration sous l’obturation défectueuse, faire traitement endodontique

A

B

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5
Q

Choisir l’énoncé correct par rapport à la douleur
● La douleur chronique est nécessaire pour la survie de l’individu
● La douleur aigue peut se présenter sans lésion tissulaire
● La douleur chronique se traite facilement par des analgésiques tels que l’ibuprofen
● La douleur aigue est nécessaire pour la survie de l’individu

A

D

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6
Q

Patient se plaint de douleur décrite comme un élancement ou un choc électrique ressenti au fond de la gorge lorsqu’il avale, et souvent lorsqu’il tourne la tête. Diagnostic probable est la :
● Neuropathie du glossopharyngien ca
● Neuropathie du trijumeau
● Névralgie du trijumeau
● Névralgie du glossopharyngien

A

D

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7
Q

Laquelle des caractéristiques suivantes n’appartient pas à la névralgie du trijumeau classique :
● Douleur unilatérale vrai
● Période réfractaire au stimulus
● Débute à partir de l’âge de 40 ans (âge moyen de 64 ans)
● Douleur s’améliore avec la prise d’opiacée

A

D

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8
Q

Lequel des énoncés suivants est vrai :
● La surconsommation de l’alcool n’affecte pas le métabolisme de certains médicaments
● La surconsommation de la caféine peut réduire la tonicité des muscles
● L’apnée de sommeil peut se manifester comme un trouble d’anxiété
● La carence de fer peut influencer la douleur neuropathique

A

C

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9
Q

A. La gestion de la douleur post-traumatique du trijumeau se fait exclusivement par un neurologue.
B. Si un patient a une névralgie du trijumeau bilatérale on suspecte une pathologie centrale ou d’ordre neurologique.
● Les 2 énoncés sont faux
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai
● Les 2 énoncés sont vrais
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux

A

B

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10
Q

A. Un dentiste peut référer un patient pour une évaluation de sommeil.
B. Un dentiste avec une formation adéquate peut gérer l’apnée du sommeil.
● L’énoncé A est vrai, l’énoncé B est faux
● Les deux énoncés sont vrais
● L’énoncé A est faux, l’énoncé B est vrai
● Les deux énoncés sont faux

A

A

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11
Q

La dysesthésie occlusale :
● A. C’est une dysfonction du système nerveux central avec désorganisation du cortex sensoriel
● B. Elle a une haute incidence de comorbidité de troubles psychologique
● C. Se manifeste secondaire à un trouble psychologique
● D. Réponses A et B
● E. Réponses A et C

A

D

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12
Q

Les signes de la neuropathie post-traumatique du trijumeau incluent:
● Intensité de la douleur associée avec degré de sévérité de la lésion initiale
● Période réfractaire de la douleur durant stimuli continuel
● Dysésthesie avec ou sans douleur
● Soulagée par analgésique anti-inflammatoire non-stéroïdienne

A

C

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13
Q

Une femme de 55 ans se présente avec une douleur unilatérale de chocs électriques dans la distribution de la troisième branche du nerf trijumeau droite, qui a débuté il y a quelques semaines après l’extraction simple de la dent #18. La douleur est sévère, elle est déclenchée par un simple toucher de la lèvre inférieure droite, avec une durée de quelques secondes seulement. Quel est le diagnostic probable?
● Neuropathie post-traumatique du trijumeau
● Névralgie post-herpétique
● Névralgie cervicogénique
● Névralgie du trijumeau

A

D

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14
Q

Quelle est la définition de la douleur neuropatique :
● Douleur qui survient en conséquence directe d’une lésion ou maladie affectant le système somatosensoriel
● Une douleur qui se manifeste sans lésion organique suite à l’état psychologique du patient
● Aucune de ces réponses
● La douleur qui provient de l’activation des nocicepteurs en réponse d’une lésion physique ou une stimulation avec potentielle de causer un dommage tissulaire

A

A

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15
Q

Laquelle ou lesquelles des conditions suivantes peut (peuvent) causer une douleur d’ordre neuropathique?
● A. La sclérose en plaque
● B. Le virus de l’immunodéficience humaine
● C. Maladie métabolique tel le diabète
● D. Toutes les réponses sont bonnes
● E. Seulement les réponses A et B

A

A

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16
Q

Suite à une obturation profonde de la dent #46 ton patient appelle le bureau en panique car la dent lui fait vraiment mal. Son historique médical est positif pour somatisation et comportement obsessionnel. Lors de l’examen tu remarques une légère surocclusion sur l’obturation de la #46. Quel est le meilleur traitement pour ce patient:
● Tu diagnostiques la dysesthésie occlusale, ajuste l’occlusion et ensuite réfère à un psychologue
● Tu diagnostiques une pulpite irréversible et recommande l’endodontie
● Tu diagnostiques la dentisterie iatrogénique, rassure le patient et ajuste l’occlusion
● Comportement du patient sous-entend condition psychologique; réfère à un psychologue immédiatement

A

C

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17
Q

A. La dysesthésie occlusale est une condition psychologique.
B. La thérapie psychologique fait partie de la gestion de la dysesthésie occlusale.
● Les 2 énoncés sont faux
● Les 2 énoncés sont vrais
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux

A

C

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18
Q

A. Plus une personne a des habitudes parafonctionelles, plus elle est à risque de développer un désordre temporo-mandibulaire.
B. La douleur cervicale est un facteur de risque moins important que la colonne irritable pour qu’une douleur orofaciale aigue devienne une douleur chronique.
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux
● Les 2 énoncés sont faux
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai
● Les 2 énoncés sont vrais

A

A

19
Q

La douleur chez un patient ayant une neuropathie post-traumatique du trijumeau peut-être déclenchée par :
● De forts bruits
● Un changement de la température d’une pièce
● Par le type de nourriture mangée (croustillante versus molle)
● Une lumière intense

A

B

20
Q

Un patient rapporte une augmentation de ces migraines depuis qu’un dentiste lui a prescrit de l’ibuprofen 400 mg quatre fois par jour pris pendant 3 semaines. Tu soupçonne que le patient :
● A développé une céphalée secondaire a l’utilisation excessive d’analgésique
● Essai d’avoir une prescription d’opiacée
● A développé une intolérance a la médication
● Aucune de ces réponses

A

A

21
Q

Laquelle des conditions suivantes en douleur orofaciale peut nécessiter une intervention immédiate :
● Céphalée cervicogène
● Inflammation du ligament stylohyoïdien
● Céphalée attribuée à la surconsommation de médicaments
● Artérite temporale

A

D

22
Q

Un coup de lapin ne peut pas déclencher un désordre temporo-mandibulaire primaire ou secondaire.

A

F

23
Q

Patient, de nature anxieuse, se plaint de douleur dentaire sévère au niveau du quadrant 1, présente depuis quelques jours, surtout lorsqu’il penche la tête par en avant. Lors de l’examen clinique on observe une sensibilité à la percussion des dents #17, #16 et #15, une usure dentaire généralisée de niveau modérée, tests de vitalité normaux dans le quadrant 1 et une douleur localisée à la palpation du masséter gauche. Il est fort probable que ce patient souffre de:
● De douleur temporo-mandibulaire
● Rhinosinusite
● De céphalée attribuée à un désordre de l’homéostasie
● Douleur psychogène

A

B

24
Q

Un patient de 70 ans se présente avec une douleur soudaine et constante dans la tempe côté droit depuis 3 jours sans identifier l’élément déclencheur. Il a aussi remarqué qu’il a parfois de la difficulté à mastiquer la nourriture. Lors de l’examen, tu remarques des vaisseaux sanguins proéminents qui sont douloureux à la palpation au niveau de la tempe droite qui reproduit la plainte principale. Quelle est le diagnostic probable :
● Aucune de ces réponses
● Artérite temporale
● Céphalée associée désordre temporo-mandibulaire
● Arthrite de l’articulation temporo-mandibulaire

A

B

25
Q

A. La somatisation est responsable de manifestations physiques sans origine organique, une cause lésionnelle, ou un mécanisme physiopathologique formellement reconnu.
B. La présence de la douleur déclenchée par la somatisation ne cause pas de souffrance auprès de l’individu.
● L’énoncé A est faux, l’énoncé B est vrai
● Les deux énoncés sont vrais
● Les deux énoncés sont faux
● L’énoncé A est vrai, l’énoncé B est faux

A

D

26
Q

Tous ces gestes peuvent aider dans la prévention ou aggravation d’une douleur neuropathique dentaire sauf une, laquelle?
● Prescription d’analgésique adéquate pour minimiser la douleur post-opératoire
● Anesthésie profonde lors d’un nettoyage dentaire
● Gestion rapide d’une pathologie dentaire dans le même quadrant
● La fabrication d’une plaque occlusale
● L’ajustement de la médication juste avant une intervention douloureuse

A

C

27
Q

Patient de 45 ans se plaint d’une douleur sourde intermittente à l’oreille gauche. Lors de la palpation du masséter la plainte principale est déclenchée. Le diagnostic pour ce patient serait :
● Névralgie du trijumeau
● Otite
● Neuropathie du trijumeau
● Trouble temporo-mandibulaire musculaire

A

D

28
Q

A. La douleur somatique est dépendante d’un dommage tissulaire ou d’un stimulus douloureux.
B. Une dysfonction du système nerveux donne lieu à une douleur neuropathique
● Les 2 énoncés sont vrais
● Les 2 énoncés sont faux
● L’énoncé A est vrai et l’énoncé B est faux
● L’énoncé A est faux et l’énoncé B est vrai

A

D

29
Q

Vrai ou faux; un traitement dentaire de routine sans complication peut déclencher une neuropathie du trijumeau.

A

F

30
Q

La douleur référée par la palpation des muscles cervicales peut mimiquer:
● Un désordre temporo-mandibulaire
● Une otite
● Toutes les réponses
● Une céphalée frontale
● Aucune de ces réponses

A

C

31
Q

Le modèle biopsychosocial de la douleur chronique inclut les aspects suivants sauf :
● A. La douleur chronique qui déclenche un ou plusieurs troubles psychologiques
● B. L’état psychologique du patient peut influencer le niveau de la douleur ressenti
● C. La présence de comorbidités douloureuses augmente le risque d’une douleur oro faciale aiguë de devenir chronique
● D. Seulement les réponses A et C
● E. Toutes les réponses sont bonnes

A

E

32
Q

Une femme de 55 ans, avec historique médicale d’hypertension et reflux gastrique se présente avec une douleur pulsatile sévère au visage gauche depuis ce matin, qui augmente par l’effort physique et associée avec la nausée. L’examen intra oral et extraoral est normal, le diagnostic probable est :
● Une céphalée d’hypertension
● Une céphalée associée au désordre temporo-mandibulaire
● Une céphalée secondaire au reflux gastrique
● Une céphalalgie cardiaque
● Possible que ce soit un dx erroné de reflux gastrique

A

D

33
Q

Une patiente de 35 ans se présente avec une douleur à la mâchoire qui persiste depuis 5 ans, associée à une douleur sévère au niveau des molaires. Elle a consulté plusieurs professionnelles de la santé tel son dentiste habituel, un endodontiste, un chirurgien maxillo facial, son médecin de famille et personne ne trouve la source de la douleur! La patiente est découragée, elle a les larmes aux yeux car elle ne peut plus endurer ce mal. Comment gères-tu cette situation :
● Si personne n’a trouvé une lésion pathologique pour la douleur est évidemment psychosomatique, alors tu la préfères en psychothérapie ou psychiatrie
● Tu procèdes à un examen dentaire et remarque des dents de sagesse inférieures semi- incluses et procède avec l’extraction de celles-ci au cas où elles seraient la cause de ces douleurs
● Tu la réfères à une clinique de douleur pour une évaluation et gestion multidisciplinaire pour la gestion de la douleur
● Tu la réfères à nouveau à son médecin de famille pour investiguer davantage et trouver la cause de la douleur
● Tu la réfères à un autre collègue dentiste pour un deuxième avis au cas où tu n’as pas réussi à identifier la pathologie responsable pour sa douleur

A

C

34
Q

Patient a une plainte principale de céphalée au réveil qui dure quelques heures dans la région temporale. Il rapporte aussi un ronflement ainsi qu’une sensitivité dentaire au réveil. Le diagnostic différentiel inclut toutes les réponses suivantes sauf :
● Désordre temporo-mandibulaire
● Apnée obstructive du sommeil
● Bruxisme du sommeil
● Hypertension

A

D

35
Q

La douleur somatique profonde :
● On peut utiliser l’anesthésie locale pour confirmer la source
● Peut parvenir de la muqueuse, des organes ou des muscles
● C’est une douleur vive et stimulante
● Facile à localiser subjectivement

A

A

36
Q

Patient hypertensif se présente avec une céphalée pulsatile bilatérale quasi-constante depuis 3 jours. Un examen intra oral dentaire, musculaire et articulation temporomandibulaire s’avère normal, les mouvements de la mâchoire sont normaux sans effet sur la douleur. Quelle est la prochaine étape :
● Référer patient à un dentiste en douleur orofaciale
● Prise d’une radiographie panoramique
● Prise des signes vitaux
● Aucune de ces réponses
● Inviter patient à prendre un rendez-vous chez son médecin

A

C

37
Q

Patient se présente avec un élancement intermittent ressenti à la dentition maxillaire sur le côté droit depuis quelques semaines. La douleur augmente lorsqu’il penche la tête par en avant et elle est non affectée par la mastication. La douleur est soulagée par la prise de 500 mg d’acétaminophène. Quel est le diagnostic le plus probable et ton plan de traitement?
● Aucune de ces réponses
● Suspecte rhinosinusite, tu prescris un décongestant et 10 jours d’antibiothérapie (amoxicilline 500 mg 1 co trois fois par jour)
● Suspecte rhinosinusite, référer à un médecin pour confirmation du diagnostic et gestion de la pathologie
● Suspecte artérite temporale et réfère le patient immédiatement à une clinique d’urgence

A

C

38
Q

L’approche d’un psychologue pour la douleur chronique inclut tout sauf :
● Gestion de l’insomnie par relaxation
● Prise en charge du patient de la gestion de sa douleur
● La prescription de médicaments psychiatriques
● Acceptation de la douleur par le patient

A

C

39
Q

L’impact social de la douleur chronique inclut :
● La perte des revenus secondaires manque de journées de travail ou perte de l’emploi
● Toutes les réponses sont bonnes
● Le support moral et/ou physique accordé par l’entourage du patient
● La difficulté pour la société de comprendre et accepter la souffrance associée

A

B

40
Q

Un patient qui se présente avec une neuropathie post-traumatique du trijumeau (NPTT):
A. Un risque plus accru que la population générale pour développer la NPTT dans un autre quadrant suite à un traitement dentaire invasif.
B. Risque une augmentation de sa douleur neuropathique suite à un traitement dentaire dans la même branche affectée.
● L’énoncé A est vrai, l’énoncé B est faux
● Les deux énoncés sont faux
● L’énoncé A est faux, l’énoncé B est vrai
● Les deux énoncés sont vrais

A

C

41
Q

La dépression comprend le (les) facteur(s) suivant(s) :
A. Idées suicidaires
B. Tristesse depuis au moins une semaine
C. Palpitations et pression à la poitrine
D. Trouble de sommeil
● Aucune de ses réponses
● Seulement A et D
● Seulement A et B
● Toutes les réponses sont vraies
● Seulement B et D

A

B

42
Q

Laquelle des situations suivantes augmenterait le risque de développer une douleur chronique
● L’anxiété
● Insomnie
● Apnée du sommeil
● Somatisation

A

D

43
Q

A. Une bonne mise en forme physique peut réduire la sensation des douleurs chroniques.
B. Celle-ci peut aussi augmenter le degré d’activité d’un individu souffrant avec la douleur chronique.
● Les deux énoncés sont faux
● L’énoncé A est vrai, l’énoncé B est faux
● L’énoncé A est faux, l’énoncé B est vrai
● Les deux énoncés sont vrais

A

D

44
Q

Si une patiente de 33 ans se présente avec des signes et symptômes bilatéralement de la névralgie du trijumeau on suspecte:
● La démyélinisation secondaire à une compression du nerf trijumeau par un vaisseau sanguin
● Une tumeur au cerveau
● Un traumatisme crânien et/ou cervical
● La sclérose en plaque
● Le diabète

A

D