BB Flashcards

1
Q

La pente condylienne a une valeur moyenne de :
- 30,4 degrés
- 20 degrés
- 7,5 degrés
- 22 degrés
- 34 degrés

A

30,4 degrés

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2
Q

Les paramètres qui appartiennent aux déterminants antérieurs de l’occlusion sont :
- L’angle de Bennett
- Le recouvrement vertical
- l’angle cuspidien des prémolaires
- l’angle cuspidien des molaires
- Le surplomb horizontal

A

Recouvrement vertical et le surplomb horizontal

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3
Q

V/F : Lorsqu’on augmente le surplomb horizontal, on augmente la guidance antérieure

A

Faux

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4
Q

V/F : Lorsqu’on augmente le recouvrement vertical, on augmente la guidance antérieure

A

Vrai

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5
Q

Donner une raison qui justifie l’utilisation de la RC comme position de référence dans le cadre d’une restauration prothétique complexe
- Plus esthétique
- Cela permet d’avoir une position de référence reproductible au cours des séances cliniques lorsqu’aucune référence occlusale fiable n’est présente lorsque le patient vous consulte
- Cela permet de ne pas changer la forme des faces occlusales de toute une arcade
- Cela évite de changer la DVO
- Nous n’utilisons jamais l’OIM comme position de référence pour les restaurations complexes

A
  • Cela permet d’avoir une position de référence reproductible au cours des séances cliniques lorsqu’aucune référence occlusale fiable n’est présente lorsque le patient vous consulte
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6
Q

V/F : 90% de la population présence une coincidence en OIM et la relation inter-dentaire lorsque la mandibule est en RC. C’est pour cette raison qu’il faut systématiquement effectuer une équilibration occlusale ou une réhabilitation prothétique pour traiter ce décalage

A

Faux (10%)

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7
Q

L’occlusion pathologique
a. Correspond à tout schéma qui ne souscrit pas aux critères de l’occlusion idéale
b. Correspond à tout schéma occlusal qui ne souscrit pas aux critères de l’occlusion mutuellement protégée
c. Correspond à tout schéma occlusal qui ne souscrit pas aux critères de l’occlusion mutuellement protégée et qui est associé à une destruction active des structures dentaires ou articulaires
d. Nécessite une intervention pour modifier les schémas occlusaux du patient avant d’effectuer la restauration prothétique planifiée

A

C : correspond à tout schéma occlusal qui ne souscrit pas aux critères de l’occlusion mutuellement protégée et qui est associé à une destruction active des structures dentaires ou articulaires
D : Nécessite une intervention pour modifier les schémas occlusaux du patient avant d’effectuer la restauration prothétique planifiée

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8
Q

L’occlusion physiologique :
a. On dit que le patient présente une occlusion physiologique uniquement lorsque son schèma occlusal souscrit aux critères de l’occlusion idéale
b. On dit que le patient présente une occlusion physiologique uniquement lorsque son schèma occlusal souscrit aux critères de l’occlusion
mutuellement protégée
c. On dit que le patient présente une occlusion physiologique lorsque son schéma occlusal actuel n’entraîne aucune destruction active des
structures dentaires et articulaires
d. Ne nécessite aucune intervention pour modifier les schémas occlusaux du patient avant d’effectuer la restauration prothétique planifiée

A

C : On dit que le patient présente une occlusion physiologique lorsque son schéma occlusal actuel n’entraîne aucune destruction active des structures dentaires et articulaires
D : Ne nécessite aucune intervention pour modifier les schémas occlusaux du patient avant d’effectuer la restauration prothétique planifiée

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9
Q

Dans le cadre de l’occlusion mutuellement protégée :
a. En OIM, les incisives centrales présentent des contacts moins intenses que les molaires avec leurs dents antagonistes
b. En OIM, les incisives centrales présentent des contacts plus intenses que les molaires avec leurs dents antagonistes
c. En protrusion, ce sont les deuxièmes prémolaires qui guident le mouvement de la mandibule
d. En protrusion, ce sont les incisives centrales qui guident le mouvement de la mandibule, sans contact sur les dents postérieures
e. Dans les mouvements de latéralité, les molaires touchent les dents antagonistes à un moment donné
f. Dans les mouvements de latéralité, aucune dent postérieure ne rentre en contact avec les dents antagonistes
g. Dans les mouvements de latéralité, ce sont les canines du côté travaillant qui guident le mouvement de la mandibule
h. Dans les mouvements de latéralité, ce sont les canines du côté non travaillant qui guident le mouvement de la mandibule

A

a : en OIM, les incisives centrales présentent des contacts moins intenses que les molaires avec leurs dents antagonistes
d : en protrusion, ce sont les incisives centrales qui guident le mouvement de la mandibule
f : Dans les mouvements de latéralité, aucune dent postérieure ne rentre en contact avec les dents antagonistes
g : Dans les mouvements de latéralité, ce son les canines du côté travaillant qui guident le mouvement de la mandibule

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10
Q

Lorsque vous évaluez le pronostic d’une dent avant d’envisager sa restauration, vous effectuez la séquence suivante :
a. Évaluation parodontale, endodontique, prothétique
b. Évaluation prothétique, endodontique, parodontale
c. Évaluation endodontique, parodontale, prothétique
d. Évaluation endodontique, prothétique, parodontale
e. Évaluation parodontale, prothétique, endodontique

A

e : Évaluation paro, proth et endo

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11
Q

Dans le contexte d’une dent traitée endodontiquement, citer le paramètre principal impliqué dans la perte de résistance mécanique
a. Le dessèchement et donc la fragilité de la dentine résiduelle
b. La perte de structure dentaire coronaire
c. La perte de proprioception due au traitement canalaire
d. Le type de matériau d’obturation canalaire utilisé

A

b : la perte de structure dentaire coronaire

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12
Q

Vous souhaitez respecter l’espace biologique pour assurer un sertissage périphérique satisfaisant pour une couronne. Sur une radio la hauteur entre la surface la plus coronaire de la préparation et la crête osseuse doit être de :
a. 2 mm
b. 1 mm
c. 6 mm
d. 4,5 mm (3 mm espace biologique + 1,5 mm effet virole)

A

d : 4,5 mm

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13
Q

Si cette longueur n’est pas suffisante, quelles sont les deux procédures qui permettent de rétablir une mesure idéale
a. Le placement d’un pivot
b. La réalisation d’un traitement de canal
c. La réalisation d’un allongement de couronne clinique
d. La réalisation d’une gingivectomie
e. La réalisation d’une traction orthodontique
f. L’enfouissement de la limite de votre chanfrein en direction plus apicale

A

c : réalisation d’un allongement de couronne clinique
e : réalisation d’une traction orthodontique

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14
Q

Les 4 paramètres fondamentaux de la préparation canalaire commun aux deux types de pivots sont :
a. Laisser suffisamment de matériel d’obturation dans la région apicale afin d’assurer l’herméticité du traitement : 1 mm
b. Laisser suffisamment de matériel d’obturation dans la région apicale afin d’assurer l’herméticité du traitement : 5 mm
c. La longueur du pivot doit être environ équivalente à la hauteur de structure dentaire coronale au niveau osseux ; en général > 5 mm
d. La longueur du pivot doit être environ équivalente à la hauteur de structure dentaire coronale au niveau osseux ; en général > 8 mm
e. La structure dentaire doit être préservée au maximum peu importe la situation
f. La structure dentaire doit être préservée au maximum sauf dans le contexte d’un canal large ou d’une molaire
g. Le contact entre le pivot et la surface canalaire doit être le plus intime possible. Cependant, l’insertion du pivot doit être passive
h. Le contact entre le pivot et la surface canalaire doit être le plus intime possible, même au détriment de la passivité

A

b : Laisser suffisamment de matériel d’obturation dans la région apicale afin d’assurer l’hermécité du traitement : 5 mm
d : La longueur du pivot doit être environ équivalent à la hauteur de la structure dentaire coronale au niveau osseux ; en général > 8 mm
e : La structure dentaire doit être préservée au maximum peu importe la situation
g : Le contact entre le pivot et la surface canalaire doit être le plus intime possible. Cependant l’insertion du pivot doit être passive

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15
Q

V/F : un pivot permet de renforcer la racine

A

Faux

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16
Q

Le pivot coulé est indiqué dans les situation suivantes :
a. Lorsqu’une racine est courte
b. Lorsque le canal est très large
c. Lorsque la section horizontale de la racine est étroite sur une vue occlusale
d : Lorsque la hauteur prothétique pour la future couronne est réduite
e. Lorsque le long axe de la racine et celui de la couronne est divergent
f. Pour restaurer une molaire

A

a. Lorsqu’une racine est très courte
b. Lorsque le canal est très large
c. Lorsque la section horizontale de la racine est étroite sur une vue occlusale
e. Lorsque le long axe de la racine et celui de la couronne est divergent

17
Q

Le paramètre le plus important qui influence le taux de succès d’une dent qui reçoit un pivot est:
a. L’utilisation d’un système de collage performant
b. L’utilisation d’un pivot en fibre de verre
c. La bonne utilisation de l’adhésif
d. La présence d’un effet virole préalable
e. La longueur de la racine

A

d. La présence d’un effet virole préalable

18
Q

Une molaire maxillaire doit recevoir un traitement de canal. Lors de votre évaluation au cours de l’exploration de pilier, vous constatez qu’il reste les parois vestibulaires, palatine et mésiale. L’épaisseur de la paroi vestibulaire est de 3 mm et celles des parois mésiales et palatine est de 1 mm. Cependant, vous constatez que vous avez beaucoup d’émail disponible et que la partie la plus apicale de votre future préparation peut être placé coronairement à la ligne de jonction amélo-cémentaire. Quel type de restauration proposez-vous, en ayant à l’esprit une philosophie de traitement conservateur pour la structure dentaire résiduelle tout en assurant une longévité optimale du traitement?
a. Couronne CCM avec un pivot
b. Incrustation disto-occlusale en disilicathe de lithium
c. Incrustation avec recouvrement cuspidien complet en disilicathe de lithium

A

Incrustation avec recouvrement cuspidien complet en disilicathe de litium

19
Q

Une molaire mandibulaire doit recevoir un traitement canalaire. Lors de votre exploration de pilier, vous constatez que l’amalgame actuellement présent se trouve 1 mm sous-gingival au niveau des parois mésiales et palatines. Les parois vestibulaires et distales font 2 mm de haut et présentent une épaisseur de 3 mm. Quel type de restauration proposez-vous?
a. Une incrustation en disilicathe de lithium avec un recouvrement cuspidien complet
b. Une couronne CCM avec un pivot
c. Une couronne CCM sans pivot

A

CCM avec pivot

20
Q

Lors de la préparation d’une cavité pour une incrustation vous planifiez un recouvrement cuspidien dans les situation suivantes :
a. La base de la cuspide fait moins de 3mm d’épaisseur
b. La jonction entre la céramique et l’émail se fait au niveau de la pointe cuspidienne
c. La base de la cuspide fait moins de 2mm d’épaisseur
d. Un point de contact occlusal en OIM se fait au niveau de la jonction entre la céramique et l’émail et il n’est pas possible de repositionner cette jonction dans une zone sans contact occlusal

A

b. La jonction entre la céramique et l’émail se fait au niveau de la pointe cuspidienne
c. La base de la cuspide fait moins de 2 mm d’épaisseur
d. Un point de contact occlusal en OIM se fait au niveau de la jonction entre la céramique et l’émail et il n’est pas possible de repossitionner cette jonction dans une zone sans contact

21
Q

Pour la préparation d’un logement d’ailette de pont papillon en disilicate de lithium sur une canine maxillaire pour remplacer une incisive latérale :
a. La hauteur du connecteur doit être de 6 mm
b. La limite apicale de la préparation d’ailette doit être 1 mm supra-gingival
c. La profondeur de la préparation doit être de 0,5 mm afin de préserver l’émail. Ceci signifie que l’ailette sera en sur-épaisseur par rapport à la face palatine de la canine et que vous devez prévoir cela lors de l’analyse occlusale
d. La profondeur vestibulo-palatine du connecteur doit être d’environ 2 mm

A

a, b, c, d

22
Q

Citer le principal paramètre qui différencie une situation clinique standard d’une situation clinique complexe lorsqu’un traitement incluant des facettes en céramique sur des incisives centrales maxillaires est planifié
a. Lorsqu’une béance antérieure est présente
b. Lorsqu’il faut modifier les points de contacts proximaux
c. Lorsque la teinte initiale des dents naturelle est A3 sur le teintier VITA classique
d. Lorsqu’un surplomb horizontal de 3 mm est présent
e. Lorsque la guidance en protrusion est assurée par les incisives centrales simultanément

A

b. Lorsqu’il faut modifier les points de contacts proximaux

23
Q

Lorsque nous considérons les différences entre le disilicate de lithium et l’oxyde de zirconium :
a. Le disilicate de lithium est moins translucide que le zircone
b. Le zircone peut être collé au même titre que le disilicate de lithium
c. La résistance à la fracture du zircone monolithique est largement supérieure à celle du disilicate de lithium monolithique
d. Une couronne en disilicate de Lithium peut être ajustée au niveau de la surface occlusale sans risquer d’induire une propagation dramatique d’une fracture dans cette dernière. Ceci n’est pas le cas avec le zircone.

24
Q

Lorsque vous prenez une empreinte avec la technique du double cordonnet :
a. Le cordonnet 000 est imprégné de chlorure d’Aluminium
b. Le cordonnet 000 est imprégné d’eau
c. Le cordonnet 000 doit être placé juste avant de prendre l’empreinte, car ile ne peut pas rester plus de 15 min dans le sulcus
d. Le deuxième cordonnet doit rester minimum 4 min dans le sulcus afin que son effet soit efficace
e. Le deuxième cordonnet permet d’obtenir une déflexion horizontale de la gencive marginale

A

b. Le cordonnet 000 est impregné d’eau
d. Le deuxième cordonnet doit rester une minimum de 4 minutes dans le sulcus afin que son effet soit efficace
e. Le deuxième cordonnet permet d’obtenir une déflexion horizontale de la gencive marginale

25
La longueur moyenne d'une incisive centrale maxillaire est :
10 mm
26
La séquence des étapes dans l'analyse esthétique globale est : a. Analyse faciale, dento-labiale, dento-gingivale b. Analyse dento-gingivale, faciale, dento-labiale c. Analyse dento-labiale, dento-gingivale, faciale d. Analyse faciale, dento-gingivale, dento-labiale
a. Analyse faciale, dento-labiale, dento-gingivale
27
En clinique pour une restauration fixe indirecte, l'espace prothétique occlusale minimale requis sur une molaire est : a. 1,5 mm pour une couronne en métal b. 1,5 mm pour CCM c. 1,5 mm pour une couronne monolithique en zircone d. 1,5 mm pour une monolithique en disilicate de lithium e. 0,5 mm pour une couronne en métal
b. 1,5 mm pour une CCM d. 1,5 mm pour une couronne monolithique en disilicate de lithium e. 0,5 mm pour une couronne en métal
28
Selon les paramètres idéaux décrits dans le cours, le sourire comporte les caractéristiques suivantes : a. La ligne incisive est en harmonie avec la lèvre supérieure. b. La ligne incisive est en harmonie avec la lèvre inférieure. c. Au maxillaire, les incisives centrale/les incisives latérales/les canines ont respectivement une mesure mésio-distale de 8.5/6.5/7.5 mm. d. Au maxillaire, les incisives centrale/les incisives latérales/les canines ont respectivement une mesure mésio-distale de 9.5/7.5/8.5 mm. e. Les incisives centrales sont toujours parfaitement symétriques. f. Le zénith des dents antérieures est en général en position légèrement distalée.
b. la ligne incisive est en harmonie avec la lèvre inférieure c. Au maxillaire, les incisives centrales/les incisives latérale/les canines ont respectivement une mesure MD de 8,5/6,5/7,5 mm e. les incisives centrales sont toujours parfaitement symétriques f. Le zénith des dents antérieures est en général positionné distalée