autochtone Flashcards
20e siècle autochtone
20e siècle est de résurgence ou les autochtones demandent une reconnaissance. Fin d’un siècle au le Québec est simplement pour les Québécois et l’idée qu’il faut partager les ressources et la souveraineté avec les Autochtones vues comme la cohabitation. Environs 20% des autochtones habitent à Montréal.
pointe bleue~ forestier
À pointe-bleue le travail forestier avait été une alternative aux mauvaises récoltes de 1914 et 1915. Il peint tout de même une bonne image
agent fédéral
Légalement les Innus sont des mineurs donc l’agent comme Armand Tessier qui prend le rôle de tuteur\ père face à eux. L’agent son influence est strictement sur le territoire, il ne contrôle pas les individus mais le territoire et la politique de la réserve. La communauté de sainte-anne est une dissidence, car ils sont en dehors de la réserve.
territoire autochtone
Le territoire du Québec est surtout centré autour du Saint-Laurent qui est l’écoumène. L’arrivée dans les territoires nordique va se faire tard au 20e siècle. Puis, quand l’état fédéral cède les territoires du nord celui-ci dit que c’est conditionnel à ce que les autochtones les cèdent à leur tour quand ils leur appartiennent.
première moitié du 20e siècle: Deux formes de travail
Deux formes de travail qui se distinguent pour les autochtones ceux qui sont dans l’écoumène qui s’intègre dans la communauté et vendent leurs produits, ils sont producteurs à un niveau presque industriel. Intégration aussi comme des autochtones qui sont employés, ils vendent leur force de travail. Au 20e siècle ce qui se développe réellement est le travail industriel. Par exemple, la communauté Ristigouche il y a un boom pour l’industrie forestière dû à la forte demande pour pate et papier. Les frères vont établir un moulin à scie sur une réserve et engager des mic mac sur la réserve. Pour cela, ils ont dû faire affaires avec le conseil de bande, la négociation est faite avec le chef mic mac qui décide de louer le terrain pour 100$ ou 5% va au conseil de banque et le reste comme compensation à ceux qui habitait la terre. Ensuite, ils seront obligés d’engager des Autochtones. Toutefois, le département va intervenir, car les Autochtones sont mineures. Le département va demander plus chère pour louer la terre. Le moulin va arrêter ses activités en 1930 où des membres voient cette période comme prospère, mais pour d’autre cette industrie à amener des tensions. Tensions aussi raciales, car des Blancs s’installent dans la communauté pour venir travailler créant même une ségrégation dans la réserve (banc d’église).1929 crise économique donc moins d’emplois disponible et les patrons vont prioriser les Blancs dans l’offre d’emplois. Cet évènement va amener une révolte d’autochtones qui vont bloquer l’accès à la scierie en 1929. Finalement, les tensions et la diminution de la demande amène la fermeture de la scierie, les propriétaires ne veulent pas faire la police. La compagnie à polariser la communauté, tension raciale.
travail de Mohawk en Acier
Le travail de Mohawk comme moteur d’acier, ceux-ci vont se spécialiser. Elle commence avec la construction du point St-Louis. En 1907 environs 20% des hommes de la communauté qui se définissent comme moteur d’acier et en 1914 c’est 90%. Ils se spécialisent dans ce domaine, car il est dangereux et peu convoité, donc mieux payée. D’ailleurs, une trentaine de travailleurs Mohawk meurt lors de l’effondrement du pont de Québec, toutefois malgré la tragédie dans la communauté. Elle engendre une plus grande attirance, c’est vu comme un métier dangereux donc virile, masculin et l’autre chose les femmes vont demander aux hommes de ne pas travailler sur le même chantier au cas d’une autre tragédie.
Le rapport face au travail industriel n’est pas négatif vue comme une manière de s’intégrer. Les travailleurs mohawks ont été eux aussi affectée par la crise économique, mais moins car le milieu recommence plus rapidement.
début des années 1900 travail
Les communautés qui chassent sont impactée par la crise, car la demande est nettement réduite. Les gens ne chassaient plus pour manger mais vendre, donc avec la crise grande paupérisation des chasseurs de fourrures.
Il a une certaine prospérité certaine au début des années 1900 qui engendre même de la jalousie. Certaines familles autochtones gagnent beaucoup plus que des familles québécoises pour le même domaine par exemple manufacturier.
La crise va amener une disparition des petites entreprises, une baisse des revenus. La crise transforme le portrait économique. Toutefois, certaine opportunité reviennent lors de la deuxième guerre mondiale des hommes partent combattre et il y a un appel de main d’œuvre. La DGM amène une rareté de la main d’œuvre. Il va y avoir des mouvements de migration vers les centres minier. Ils vont être des lieux de mixité. Il y aussi la construction du barrage aux Passes-Dangereuses où des autochtones se rendent pour travailler sur la construction de celui-ci.
Avant les années 1930 il y a eu une forme de prospérité et ce développement économique amène une plus grande fréquentation entre Autochtone et Blanc. Il va aussi y avoir la naissance du racisme ordinaire dans lieux de rencontre, dans le travail. Crise économique importante facteur de dépossession de l’intégration des Autochtones par le milieu économique. À partir de 1960 le gouvernement investissent massivement dans le système scolaire pour rattraper le retard, mais les Autochtones n’auront pas cet investissement.
grand nord et soin
Avant la révolution tranquille il y a une volonté de contrôler les autochtones du nord. Importance que ces communautés soient touchées par le français et le catholicisme.
Les jeunes sont coupés de leur famille pour leur soin, mais c’est aussi une façon de leur imposer la culture québécoise.
À l’époque, il y a une idée que les corps autochtones n’ont pas leur place dans les hôpitaux « blanc » et que les soins fournit sont des actes de charité.
On peut séparer en deux phase avant les années 1940 et après. Au 19e siècle on se limite de vacciner les premières nations contre la variole. Les médecins sont là juste pour vacciner et ils reçoivent leur salaire selon le nombre de patient vacciner, donc leur but est de vacciner le plus possible. L’état canadien est désengagé envers les soins, il fait le strict minimum.
Nouvelle idéologie tournant hygiéniste,
Nouvelle idéologie tournant hygiéniste, il faut conserver sa santé grâce à un environnement propre, un mode de vie sain. On tient les gens responsables de leur santé, pour les autochtones on les considère irresponsable. Dans ce contexte, le département des Indiens va accepter de construire un hôpital à pointe bleue sur la réserve, les Autochtones sont vues comme un danger pour la santé des colons. Dans cet hôpital on veut isoler les malades, il y a un seul médecin et des infirmières, certaines vont être innus. La fréquentation des innus dans l’hôpital va augmenter avec l’arrivée des infirmières de la communauté.
On ferme l’hôpital pour faire des économies et que les communautés sont rendues au même niveau de responsabilité au niveau social. Ils peuvent eux même assurer leur santé.
Au début, du 20e siècle on laisse les soins de santé aux communautés religieuses.
Au début, du 20e siècle on laisse les soins de santé aux communautés religieuses. Le gouvernement paie juste pour le bâtiment et on laisse les religieux administrer, car ça ne coute rien. Toutefois, ca bloque la présence de personnel autochtone.
Après la fermeture de l’hôpital pointe bleue, on demande à quatre sœurs de Nicolet d’aller dans l’ouest. L’hôpital est vu comme un outil pour les guérir et leur permettent de travailler, s’intégrer dans la société blanche. Dans l’ouest les religieuses vont continuer à éduquer le catholicisme.
Il va y avoir un réseau le « indian health service ». Les principaux hôpitaux autochtones sont dans l’ouest, il n’y en a pas au Québec. On considère dans les hôpitaux québécois les autochtones comme des personnes difficiles que l’on ne comprend pas.
médicale dans les années 30
À partir des années 1930 la plus grande cause d’hospitalisation des autochtones est la tuberculose.
Dans les années 20-30 la professionnalisation des soins médicaux amène une volonté d’investir dans la santé des autochtones comme méthode d’Assimilation. Idée de faiblesse physique qui est une barrière à l’assimilation canadienne. S’ils sont en santé ils vont pouvoir s’intégrer sur le marché du travail. Puis, on craint aussi les autochtones qui sont vue comme un vecteur de maladie.
DGM : médicale
Dans la deuxième guerre mondiale beaucoup passe sous les yeux de médecins et on réalise à quel point ils sont en mauvaise santé. Ainsi, il va y avoir une volonté de remédier à la situation, mais ça va amener des expérimentations sur le peuple. On veut tester sur des races moins évoluées, beaucoup de ces tests sont sur les enfants, car on peut contrôler les variables comme l’alimentation.
1940-1950, on fait encore des tests sur les enfants cette fois-ci sur la nutrition, on test comment la nutrition impacte la santé.
40-60 médicale
1940-1960 expérimentation dans sur les autochtones, on fait des tests comme résection pulmonaire. Idée qu’ils ne sont pas responsable de leur santé. Puis, idéologie que les corps autochtones qui sont « inutile » pour les blancs et qui sont une charge peuvent maintenant être utiliser pour faire des expérimentations et avoir une valeur.
Au Québec pas vraiment d’hôpitaux autochtones, mais plutôt mise en place d’hôpitaux de brousse.
Les médecins et infirmières de colonisation
Les médecins et infirmières de colonisation focus sur les soins dentaire de base, distribuer des antibiotiques et dépister la tuberculose. Ce sont des soins qui sont saisonniers, on monte des tentes durant la saison estivale.
Il va aussi y avoir un navire hôpital le c.d Howe mis en place par le fédéral pour les communautés éloignée dans le grand nord. Celui-ci fait du dépistage et embarque tous ceux qui sont positif. Quand le navire arrivaient les gens s’enfouillaient pour ne pas être arrachés de leur communauté. Les communautés ne comprennent pas nécessairement pourquoi ils sont enlevés.
Au Québec c’est un réseau de Sanatoriums qui se mettent en place. Ils sont faits pour le soin à long terme des gens qui ont la tuberculose. Ce système va être en opération jusqu’en 1970 où le Québec reprend les soins où il va y avoir une plus grande collaboration dans les hôpitaux provinciaux. Ceux-ci vont utiliser ces institutions pour leur mission d’assimilation.
rafle des années 60
Rafe des années 60 qui dure de 1950 à 1980 où des enfants autochtones sont placé dans des familles non-autochtones dans l’objectif de poursuivre la mission des pensionnats. On comprend que ces familles vont être meilleures pour celles-ci. Au Québec le système hospitalier a collaboré au transfert d’enfants autochtones vers des familles blanches, car on considérait leur famille non-adéquate.
Les autochtones sont hostiles face au système social de protection dû à ces évènements. Le fédéral met en place le loi c-92 qui leur permet de gérer leurs propres services sociaux de protection de enfants.
Stérilisation forcée et non consentant des femmes des pratiques qui ont longtemps persisté.