Auteurs Flashcards
Gilbert
Les trois C
- catégorisations
- caractérisations
- corrections
Asch
- se soumettre à la pression sociale vs rester indépendants
- Nos impressions correspondraient à la somme des traits de personnalité que nous attribuons à une personne
fiske
2 questions essentielles préoccupent les gens dans leurs interactions avec
autrui :
- La personne est-elle bienveillante ? => Évaluation de la chaleur. Se divise en sociabilité et
moralité.
- La personnes disposent-elle de moyens pour atteindre son but ? => compétence. Se divise en
capacité et assertivité.
lind et tyler
la perception de légitimité des décisions de justice dépend peu du contrôle que les justiciables ont sur la décision.
On voit ici poindre le concept d’identité sociale : à travers le comportement des autorités, c’est l’identité sociale des individus qui est influencée et qui conditionne leur implication au service de ce groupe.
festinger
l’etude ennuyeuse
greenwald
réponse cognitive
darley et cross
expérience sur la petite fille en photo (aucun impacte) et en vidéo (impact socioculturelle et économique)
leyens
estiment que les humains se distinguent par 3 traits :
- L’intelligence.
- Le langage.
- Les émotions sophistiquées.
Milgram
obéissance
volonté d’autrui / manipulation
état agentique = éxécutant
pour changer il faut qqn qui ose dire le contraire, marque la fin d’une obeissance
moscovici
- Les attitudes post-consensus se révèlent plus extrêmes que les attitudespré-consensus, un phénomène que ces auteurs qualifient de polarisation de groupe
- influence minoritaire (percevoir la réalité d’une manière différente)
echterhoff
réalité partagée (motivation de la part des membres, motivation relationnelle et épistémique : vouloir relation avec d’autre membre, vouloir être valider)
dire c’est croire
Tajfel
la discrimination qui découle de la catégorisation s’expliquerait par une volonté de
pouvoir tabler sur une « identité sociale positive »: un fois catégorisés, les individus compareraient
leur groupe à l’exogroupe et veilleraient à ce que les comparaisons soient à leur avantage.
jones et davis
Pour s’assurer du véritable mobile qui se situe au coeur du comportement de quelqu’un, il convient de cerner ce que ce comportement produit comme conséquence et que d’autres comportements ne produisent pas.
zimbardo
suggère que les membres d’un groupe, sous l’effet de l’excitation générée par celui-ci et de l’anonymat, perdent leur individualité.
Les individus choisissent de se frotter à certaines situations et sont amenés, de façon
individuelle ou collective, à les transformer.
Johnson et Downing
ils suggèrent que la désindividualisation peut rendre plus et non moins sensibles aux indices extérieurs
stoner
a montré que les gens avaient tendance à prendre des décisions plus risquées lorsqu’ils étaient en groupe que lorsqu’ils étaient seuls.
lewin
Lewin dit que le leader fait partie du groupe, il est intrinsèquement lié au groupe. Selon le contexte, l’organisation et la structure du groupe, des individus différents sont susceptibles de s’ériger en leaders. Ce n’est pas tant la personnalité du leader qui compte mais sa position au sein du groupe.
illustre de façon magistrale à quel point l’implication consensuelle des membres du groupe exerce un impact profond sur le cours des choses. Que ce soit pour l’émergence de nouvelles façons de faire ou pour le changement de pratiques anciennes, l’influence
du groupe ne fait aucun doute. Pour autant, cela ne signifie pas que tous les membres du groupe
exercent un impact équivalent.
shérif
chercher opinion d’autrui , cadre de référence
résultat sans hierarchie
gens peuvent compter sur autrui faire face à une situations ambiguë
lerner
dit que les individus ont besoin de croire qu’ils « méritent » ce qui leur arrive