Attitudes et émotions Flashcards
1
Q
Quelles sont les moyens pour AMÉLIORER l’AJUSTEMENT ÉMOTIONNEL (6)
A
- Thérapie Cognitivo-Comportementale
- EXPOSITION aux situations anxiogènes
- SFBT (solution-focused brief therapy)
- Gestion des TAQUINERIES
- ACCEPTATION
- DÉSENSIBILISATION
2
Q
Vrai ou faux : L’approche des attitudes et des émotions est très importante pour offrir un traitement efficace et complet.
A
VRAI
3
Q
Quel est le RÔLE de l’orthophoniste ?
A
Offrir du COUNSELING
4
Q
Quel est le RÔLE du psychologue ?
A
Offrir de la psychothérapie
5
Q
Le rôle de quel professionnel ?
« Vise à SOUTENIR le client pour favoriser son plein épanouissement. »
A
ORTHOPHONISTE
6
Q
Le rôle de quel professionnel ?
« Vise à identifier et résoudre le problème sous-jacent. »
A
PSYCHOLOGUE
7
Q
Le rôle de quel professionnel ?
« Se centre sur un problème spécifique »
A
ORTHOPHONISTE
8
Q
Le rôle de quel professionnel ?
« Se centre sur le moment présent. »
A
ORTHOPHONISTE
9
Q
Quand faut-il référer en psychologie ? (4)
A
- Le niveau d’ANXIÉTÉ est SUPÉRIEUR à ce qui est attendu pour le bégaiement
- Le niveau d’ANXIÉTÉ NUIT à la THÉRAPIE
- L’anxiété est GÉNÉRALISÉE à d’autres contextes que la communication
- Un travail doit être effectué sur les expériences DIFFICILES PASSÉES
10
Q
QUAND est-ce que le STRESS est GÉNÉRÉ ?
A
Lorsque le CERVEAU PERÇOIT (!!!) une MENACE
11
Q
Le stress peut être _______ ou _______.
A
Le stress peut être ABSOLU ou RELATIF.
12
Q
Parler devant un groupe est un stress ________
A
Parler devant un groupe est un stress RELATIF
13
Q
Mère qui a une opération est un stress ______
A
Mère qui a une opération est un stress ABSOLU
14
Q
Caractéristiques d’une situation stressante (4)
A
CINÉ
Contrôle faible
Imprévisibilité
Nouveauté
Égo menacé
15
Q
Quels sont les 2 choix liés au stress ?
A
- COMBATTRE
2. FUIR
16
Q
Quand est-ce qu’on devient anxieux ? (4)
A
- On CROIT probable qu’un évènement stressant arrive (likehood)
- On VOIT / PERCOIT comme dangereux ou menaçant (menace physique ou morale) (cost)
- On SOUS-ESTIME notre HABILETÉ à y faire face (coping)
- On perçoit peu ou pas de moyens d’y ÉCHAPPER (rescue)
17
Q
Le stress survient ______ ou _________ de l’évènement, tandis que l’anxiété survient _______.
A
Le stress survient AVANT ou PENDANT l’évènement (moment de l’action), tandis que l’anxiété survient en ANTICIPATION.
18
Q
Que peut-on dire sur l’anxiété des PQB ?
A
- PBQ ont un niveau + élevé d’anxiété, surtout d’anxiété sociale.
19
Q
Vrai ou faux : Les PBQ ne sont pas plus anxieux que les PF.
A
Faux, les PQB ont un plus haut niveau d’anxiété surtout d’anxiété sociale.
20
Q
Caractéristiques de l’anxiété SOCIALE (5)
- C’est …
- Dans …
- Quand …
- PQB …
- Cause/conséquence
A
- C’est une PEUR marquée ou INTENSE
- Dans les situations SOCIALES ou PERFORMANCES
- Quand une ÉVALUATION d’autrui peut être faite
- Les PBQ ont un plus haut niveau d’anxiété sociale (continuum)
- L’anxiété est la CONSÉQUENCE du bégaiement
21
Q
L’anxiété sociale est une ________ marquée ou intense dans les ____________ ou ___________ pour lesquelles une ___________ d’autrui peut avoir lieu.
A
L’anxiété sociale est une PEUR marquée ou intense dans les SITUATIONS SOCIALES ou performances pour lesquelles une ÉVALUATION d’autrui peut avoir lieu.
22
Q
La présence d’anxiété sociale chez les PBQ = ….
A
La présence d’anxiété sociale chez les PBQ = CONTINUUM
23
Q
Vrai ou faux : L’anxiété peut être la cause du bégaiement ?
A
FAUX : L’anxiété est la CONSÉQUENCE du bégaiement, plutôt que la CAUSE.
24
Q
Quels sont les FACTEURS de RISQUE chez les PBQ pour l’ANXIÉTÉ SOCIALE (2)
A
Facteurs cognitifs :
- Interprétation
- Attention
25
____________ : Signaux ambigus perçus comme menaçants, petite réaction perçue comme catastrophique
INTERPRÉTATION : Signaux ambigus perçus comme menaçants, petite réaction perçue comme catastrophique
L'interprétation est un facteur de risque pour l'anxiété sociale chez les PBQ
26
____________ : Se concentrer sur les signaux négatifs, ignorer les signaux positifs.
ATTENTION : Se concentrer sur les signaux négatifs, ignorer les signaux positifs.
L'attention est un facteur de risque pour l'anxiété sociale chez les PBQ.
27
Vrai ou faux : Les AQB regardent autant les interlocuteurs qui offrent des signaux positifs que négatifs.
FAUX : Lorsqu’ils parlent devant un auditoire, les AQB regardent moins les interlocuteurs qui envoient des signaux positifs que ceux qui envoient des signaux neutres ou négatifs p/r
aux adultes contrôles
28
Vrai ou faux : Le client est souvent anxieux face à des situations de communication
VRAI
29
Vrai ou faux : L'anxiété n'augmente pas la quantité de bégaiement.
FAUX : L'anxiété fait souvent AUGMENTER le bégaiement
30
L'anxiété est basée sur ________ ou ________.
L'anxiété est BASÉE sur des expériences VÉCUES ou des PENSÉES erronées.
31
Qu'engendre souvent un niveau trop élevé d'anxiété ?
De l'ÉVITEMENT.
32
Conséquence de l'évitement ?
MAITIEN ou AUGMENTE l'anxiété
33
Aspects psychologiques (3)
1. Pensées et expériences négatives
2. Anxiété
3. Évitement
34
Que faire pour diminuer les aspects psychologiques ? (3)
TCC
Counseling
Anticipation positive
35
La thérapie cognitivo-comportementale permet de comprendre quoi ? (4)
La thérapie cognitivo-comportementale permet de comprendre l'interaction entre les PENSÉES, les ÉMOTIONS, les RÉACTIONS physiologiques et les COMPORTEMENTS dysfonctionnels.
36
La TCC consiste en quoi ?
La TCC consiste à REMPLACER les idées FAUSSES ou IRRATIONNELLES par des PENSÉES + justes et saines.
37
La TCC vise quoi ?
La TCC vise à MODIFIER les PENSÉES et les COMPORTEMENTS DYSFONCTIONNELS.
38
Vrai ou faux : La TCC consiste à remplacer les idées fausses et irrationnelles par des pensées parfaites.
Faux : La TCC consiste à remplacer les idées fausses et irrationnelles par des pensées + saines et + justes.
39
Vrai ou faux : La TCC vise à modifier les ÉMOTIONS et les COMPORTEMENTS dysfonctionnels?
FAUX : La TCC vise à modifier les PENSÉES et les COMPORTEMENTS dysfonctionnels.
40
4 aspects du TCC
1. Pensées
2. Émotions
3. Réactions physiologiques
4. Comportements
41
Les pensées...
- Sont ....
- Associées ...
- Liées ....
- Considérées ...
Les pensées
- Sont MOMENTANÉES ou éphémères
- Associées à un CHANGEMENT D'HUMEUR (les émotions et rxn sont souvent identifiées, mais rarement les pensées sous-jacentes)
- Liées à des CROYANCES PROFONDES acquises au fil des expériences
- CONVAINCANTES et acceptées comme des faits
42
Vrai ou faux : Les pensées durent longtemps
FAUX : Elles sont MOMENTANNÉES et ÉPHÉMÈRES
43
Vrai ou faux : Les pensées sont associées à un changement d'humeur.
Vrai
44
Vrai ou faux : Les pensées ne sont pas liés à des croyances profondes acquises au fil des expériences.
Faux : les pensées le sont
45
Vrai ou faux : Les pensées sont convaincantes et acceptées comme des faits
Vrai
46
Vrai ou faux : Les pensées négatives sont utiles pour travailler avec les clients qui bégaient.
VRAI : Car ils ont développé de l'anxiété face aux situations de communication (anxiété sociale).
47
Les pensées négatives peuvent être associées à ...(3)
- Au BÉGAIEMENT
- À la RÉACTION des autres
- À la PERCEPTION des autres
48
« Je vais bloquer, je vais bégayer »
Pensée négative associée au bégaiement
49
« Il vont rire de moi »
Pensée négative associée à la réaction des autres
50
« Il vont penser que je suis stupide »
Pensée négative associée à la perception des autres
51
Vrai ou faux : Il est important de déterminer en thérapie à quoi les pensées négatives sont associées.
Vrai
52
Quelles sont les 2 façon d'intervenir en lien avec les pensées ?
1. Identifier les pensées négatives en général et les questionner.
2. Identifier une situation très anxiogène et décortiquer le modèle cognitif avec le client.
53
Étapes de l'identification des pensées négatives.
1. Identifier les pensées négatives (UTBAS)
| 2. Questionner les pensées
54
Étapes de l'identification d'une situation très anxiogène et la décortiquer avec le modèle cognitif.
1. Voir si le modèle cognitif fonctionne
2. Identifier les situations où le modèle cognitif est actif
3. Identifier les pensées (PAN) dans le quotidien
4. Amasser et vérifier l'information en lien avec les pensées (inclut faire l'expérience)
5. Résolution de problème (si nécessaire)
6. Favoriser l'autonomie dans la gestion des pensées.
55
Quelle est l'étape (identifier situation anxiogène + décortiquer)
- Choisir une situation de communication difficile
- Amener le client à identifier les pensées, émotions, réactions physiologiques et les
comportements (5 à 10 pensées)
- Normaliser les réactions
1. Voir si le modèle cognitif fonctionne
56
Quelle est l'étape (identifier situation anxiogène + décortiquer)
- Aider la personne à reconnaître ses pensées automatiques négatives (PAN) et ses émotions
- Identifier les pensées qui reviennent et qui sont chargées émotionnellement
- Utiliser les mots du client
- Demander de mettre en mots
- Questionner pour aller plus loin
2. Identifier les situations où le modèle cognitif est actif
57
Quelle est l'étape (identifier situation anxiogène + décortiquer)
- Le client doit identifier les situations de la vie quotidienne où le cercle est actif pour lui
- L’amener à se demander « Qu’est-ce qui vient de me passer par la tête ? »
- Questions du clinicien : et alors...
3. Identifier les pensées (PAN) dans le quotidien
58
Quelle est l'étape (identifier situation anxiogène + décortiquer)
- Vérifier s’il y a des preuves
- Voir s’il y a une explication alternative
- Explorer jusqu’à quel point il y a des chances que le pire scénario se produise
- Vérifier si ces pensées sont aidantes
- Voir si la personne peut y faire face
- Reconnaître le patron de pensées nuisibles
- Faire l’expérience (Behavioral experiments)
4. Amasser et vérifier l'information en lien avec les pensées
59
Quelle est l'étape (identifier situation anxiogène + décortiquer)
1. Identifier le problème et l’objectif visé
2. Faire un remue-méninge de solutions possibles
3. Évaluer de chaque solution (efficacité, pertinence, faisabilité)
4. Prioriser les solutions
5. Implanter la solution no1 (établir le délai)
6. Revoir l’impact et implanter une autre solution si nécessaire
5. Résolution de problème
60
Quelle est l'étape (identifier situation anxiogène + décortiquer)
- Questionner le client pour qu'il trouve lui-même ce qu'il doit poursuivre et comment.
6. Favoriser l'autonomie dans la gestion des pensées
61
Vrai ou faux : La TCC est l’intervention la plus efficace pour traiter l’anxiété sociale
VRAI
62
Vrai ou faux : Les adultes qui rechutent suite à une thérapie seraient ceux ayant reçu une thérapie de fluidité ?
Faux : Les adultes qui rechutent seraient ceux qui ont un trouble d’anxiété non traité.
63
Vrai ou faux : L’adaptation de la TCC pour les personnes qui bégaient date
L’adaptation de la TCC pour les personnes qui bégaient est relativement récente
64
Vrai ou faux : Des études récentes stipulent que 40-60 % des adultes qui bégaient présentent les symptômes d’un trouble d’anxiété sociale.
Vrai
65
Vrai ou faux : D’autres études indiquent qu’environ 2 adultes sur 3 feraient une rechute suite à la thérapie visant à améliorer la fluidité et les adultes qui rechutent seraient ceux qui ont un trouble d’anxiété non traité.
Vrai
66
Prévalence des symptômes d'anxiété sociale chez les AQB
60%
67
Efficacité du façonnement seul
Façonnement seul : peu de changement sur l’anxiété → maintien des symptômes d’anxiété
sociale
68
Efficacité du TCC (restructuration cognitive + exposition aux situations anxiogènes)
TCC : changements importants → ne correspondent plus aux critères d’anxiété sociale
o Moins d’anxiété, moins d’évitement, meilleure participation sociale
69
Efficacité du TCC avant le façonnement
TCC avant façonnement : aucun changement sur la parole malgré la diminution de l’anxiété
70
______ vise a accepter ce qu'on ne peut pas changer et à vivre pleinement le moment présent malgré les éotions et les pensées négatives.
3e vague des thérapies psycho
Méditation, scan corporel, yoga, cohérence cardiaque
Rédiger une carte d’anniversaire à soi-même
- Évaluer le succès de la communication peu importe la présence de bégaiement
- Pep talk
- Défusion cognitive
71
________ dissocier la réponse émotionnelle négative des stimuli qui la provoque et exposer la personne aux stimuli.
DÉSENSIBILISATION dissocier la RÉPONSE ÉMOTIONNELLE NÉGATIVE des stimuli qui la provoque et EXPOSER la personne aux stimuli.
72
Désensibilisation (2)
1. Dissocier la réponse émotionnelle négative des stimuli qui la provoquent
2. Exposer la personne aux stimuli
2. 1 Augmenter graduellement l’intensité et la durée de l’exposition
2. 2 Défaire l’association entre : bégaiement/réactions de l’interlocuteur et anxiété/émotions négatives
73
Comment exposer une personne aux stimuli (2)
1. Augmenter graduellement l’intensité et la durée de l’exposition
2. Défaire l’association entre : bégaiement/réactions de l’interlocuteur et anxiété/émotions
négatives
74
Étapes de la désensibilisation (2)
1. À la parole bégayée
2. Aux stimuli anxiogènes
2. 1 Réactions de l’interlocuteur
2. 2 Situations anxiogènes
2. 2.1 Désensibilisation systématique
2. 2.2. Désensibilisation in vivo = exposition
75
Désensibilisation à la parole bégayée (5)
- Parler ouvertement du bégaiement (dire d’emblée qu’il est possible que du bégaiement survienne et commenter ses MB avec humour)
- Regarder des vidéos où d’autres personnes bégaient – Vidéo de sévérité croissante
- Identifier les MB – chasse aux bosses (sur clinicien et sur un échantillon audio ou vidéo de lui-même)
- Analyser ses propres moments de bégaiement
- Simuler le plus gros MB possible
76
Désensibilisation aux réactions de l'interlocuteur (6)
- Important dans la généralisation de la fluidité
- Amener un visiteur en thérapie
- Poursuivre l’exercice hors du bureau
- Le clinicien fait d’abord les MB pour que le client puisse analyser les réactions de façon objective
- Inverser les rôles
- Classer les réactions / interlocuteurs du moins au plus dérangeant
77
Désensibilisation systématique (2)
- Chercher à affaiblir des stimuli anxiogène en les pairant avec un état de relaxation
- Enseigner la relaxation
78
Désensibilisation _________ :
Parler ouvertement du bégaiement
- Dire d’emblée qu’il est possible que du bégaiement survienne
- Commenter ses MB avec humour
Désensibilisation à la parole bégayée
79
Désensibilisation _________ :
Chercher à affaiblir des stimuli anxiogènes en les pairant avec un état de relaxation
Désensibilisation systématique
80
Désensibilisation _________ :
Important dans la généralisation de la fluidité
Désensibilisation aux réactions de l'interlocuteur
81
Désensibilisation _________ :
| Identifier les MB – chasse aux bosses
Désensibilisation à la parole bégayée
82
Désensibilisation _________ :
Poursuivre l’exercice hors du bureau selon les attitudes des interlocuteurs (Ex. : personne pressée, froide, etc.)
Désensibilisation aux réactions de l'interlocuteur
83
Désensibilisation _________ :
Analyser ses propres moments de bégaiement
Désensibilisation à la parole bégayée
84
Désensibilisation _________ :
Enseigner la relaxation au client
o Ex. : Méthode de relaxation progressive (Jacobson, 1938)
o Lorsque maîtrisée, demander aux clients d’imaginer la situation qui lui fait peur durant
l’état de relaxation
o Avec suffisamment de répétitions, la situation perd son pouvoir de générer l’anxiété (en pensée et dans la réalité)
Désensibilisation systématique
85
Désensibilisation _________ :
Regarder des vidéos où d’autres personnes bégaient – Vidéo de sévérité croissante
Désensibilisation à la parole bégayée
86
Désensibilisation _________ :
Amener un visiteur en thérapie
Demander au visiteur d’avoir une attitude dérangeante (Sourire, regarder par terre, être impatient...)
Demander au client d’observer attentivement les réactions du visiteur sans en être perturbé (Maintenir le contact visuel)
Demander au client de faire volontairement des MB pour voir la réaction du visiteur
(MB subtils puis plus sévères)
Désensibilisation aux réactions de l'interlocuteur
87
Désensibilisation _________ :
Le clinicien fait d’abord les MB pour que le client puisse analyser les réactions de façon objective (quantifier les rxn sur une échelle de 1 à 10)
Désensibilisation aux réactions de l'interlocuteur
88
Désensibilisation _________ :
Identifier les MB – chasse aux bosses
- Sur clinicien
- Sur un échantillon audio ou vidéo de lui-même
Désensibilisation à la parole bégayée
89
Désensibilisation _________ :
Classer les réactions / interlocuteurs du moins au plus dérangeant
Désensibilisation aux réactions de l'interlocuteur
90
Désensibilisation _________ :
- Inverser les rôles
Désensibilisation aux réactions de l'interlocuteur
91
Que permet l'évitement ?
Une diminution rapide de l'anxiété
92
Que fait l'évitement à long terme ?
Augmente l'anxiété
93
Qu'est-ce qui arrive si le client s'expose au lieu d'éviter ?
L'anxiété diminue à long terme
94
Vrai ou faux : L'évitement permet une diminution graduelle de l'anxiété ?
FAUX : L'ÉVITEMENT permet une diminution RAPIDE de L'ANXIÉTÉ
95
Vrai ou faux : L'anxiété diminue à court terme lorsqu'on s'expose (au lieu d'éviter)
FAUX : L'anxiété diminue à LONG terme lorsqu'on s'expose (au lieu d'éviter)
96
L'exposition in vivo vise à ...
Vise à DIMINUER les PENSÉES NÉGATIVES par un cumul d’expériences positives.
Donc aide à diminuer le bégaiement et facilite le contrôle de la fluidité.
97
ÉTAPES POUR L’EXPOSITION IN VIVO
1. Identifier et analyser les situations anxiogènes
- Identifier les points communs entre les situations
2. Préparer le défi
- Contenu
- Pratiques qui augmentent en difficulté
(Considérer la situation mais aussi l’acte de langage)
3. Relever le défi
- Noter ES et niveau d’anxiété avant et après
