Atteintes de l'encéphale Flashcards
Etiologie atteintes osseuses du SNC ?
- Traumatisme crânien : fracture osseuse (embarrure)
- Tumeur osseuse (Paget, myélome) = processus occupant de l’espace comprimant le parenchyme cérébral
Symptomes des atteintes osseuses du SNC ?
Atteinte focale initiale : altération d’une fonction neurologique
Hypertension Intra Crânienne et souffrance diffuse : céphalées, flou visuel (œdème pupillaire), vomissements, trouble vigilance
Effet de masse supratentoriel ou infratentoriel
Souffrance des éléments du comportiment
Déplacement des strcures, compression de structures
Qu’évalue l’Echelle de Glasgow
Echelle de Glasgow : évalue le niveau de vigilance après un TC
Comment calculer l’échelle de Glasgow
E (Ouverture des yeux 1-4) + M (réponse motrice 1-6) + V (réponse verbale 1-5)
Intervalles de scores à l’échelle de Glasgow
Score (entre 3 et 15) = E (Ouverture des yeux 1-4) + M (réponse motrice 1-6) + V (réponse verbale 1-5)
Coma ≤ 7 ; Confusion <10/12
TC léger : 13-15 ; TC modéré : 9-12 ; TC grave ≤8
Sous dimensions des 3 scores mesurés dans l’échelle de Glasgow
-E (Ouverture des yeux) 4 = Spontanée 3= Sur stimulation 2 = Sur stimulation douloureuse 1 = Absente -M (réponse motrice) : 6= Sur commande verbale 5= a la douleur, de façon orientée 4= a la douleur, retrait 3= a la douleur, flexion 2= a la douleur, en extension 1= absente -V (réponse verbale) : 5=appropriée 4= confuse 3 = incohérente 2=incompréhensible 1= absente
Atteintes structures osseuses :
Examens à réaliser
-Radiologie
Imagerie cérébrale (exploration de l’os et du parenchyme sous jacent), scanner (os et vaisseaux) ou IRM (parenchyme cérébral)
-Ophtalmique : Fond de l’œil (Hypertension Intra-crânienne et œdème papillaire)
Types de causes associés à une atteinte des méninges
-Hémorragie sous arachnoïdienne
-Méningites
Les tumeurs méningées
Syndrome méningé
Syndrome méningé : céphalées, vomissements, photo-phonophobie, raideur méningée (signe de Brudzinski (flexion des jambes si flexion de la tête), signe de Kernig (position de chien de fusil si flexion des jambes)
Signes de gravité :
Syndrome méningé
Signes de gravité : Purpura extensif : bleus qui s’étendent Défaillance hémodynamique : TAS < 90mm de Hg Fréquence cardiaque > 120/mn Fréquence respiratoire > 30/min Trouble de conscience Fièvre > 41°C ->Si ces signes sont présent, transfert en réanimation médicale en urgence après injection de 2g intraveineuse de Ceftriaxone au plus rapide +++ (domicile)
Dans les autres cas : PL, bactériologie direct + culture et virologie, biochimie du LCR cytologie, lactates
Types de méningites possibles :
Méningite à liquide clair
Méningite purulente
Méningo Encéphalite
Encéphalite d’origine auto-immune
Méningite à liquide clair
-Méningite à liquide clair (majorité de lymphocytes)
Méningite simple : pas de traitement
Atteinte encéphalitique (herpétique la plupart du temps) : il faut traiter HSV ou LISTERIA
Méningite purulente
Méningite purulente (majorité de Polynucléaire neutrophile)
Méningo Encéphalite :
Méningo Encéphalite :
Troubles de conscience, allant de simples troubles de vigilance (confusion) au coma profond ;
Crise convulsives (contraction muscles involontaire et cyclique) focalisées ou généralisées, parfois un état de mal (crises d’épilepsie qui s’enchaînent), signes de focalisation : aphasie…
Mouvement anormaux (tremblement, myoclonies)
Troubles du comportement
Bilan : IRM EEG PL dont PCR HSV (Herpes S.. Virus)++
Germes : Herpès
Tableau Clinique : encéphalite, trouble du comportement ou focalisation fébrile.
LCR : méningite lymphocytaire, normoglycorachie
Encéphalite d’origine auto-immune
Maintenant : Encéphalite d’origine auto-immune (dysimmune) paranéoplasique (cancer gynécologique ou pneumo).
Encéphalite dysimmune à anticorps anti-NMDA (associée à des cancers testiculaires ou ovariens)
Patients qui viennent avec des tableaux psychiatriques (tableau bipolaire maniaque) puis trouble vigilance, fièvre, mouvements anormaux dysplénie et dyskinésie + mouvements péribuccaux de mâchonnement.
Hémorragie sous arachnoïdienne
Symptômes :
-Hémorragie sous arachnoïdienne Céphalée ictale (brutale) = décrite en coup de tonnerre d’emblée maximale en intensité (l’intensité de la céphalée va durer plusieurs heures et va sen s’atténuant les jours suivants) Perte de conscience brutale Crise convulsive Coma
Examens à réaliser pour rechercher une hémorragie méningée
- > Bilan par tomodensitométrie (TDM=scanner) cérébrale sans puis avec injection encéphalique
- > Ponction lombaire avec recherche de sang
Causes de l’hémorragie méningée
HM anévrismale dans 85% des cas
HM idiopathique ou HM sans cause reconnue dans 12% des cas
HM d’autre origine dans 3% des cas
Malformation artério-veineuse. Tumeur cérébrale. Hémopathie
Anticoagulants
Les tumeurs méningées
Le méningiome
Circonstance de découverte : déficits neurologiques focaux plus ou moins rapidement progressifs, crises d’épilepsie, syndrome hypertension intracrânienne et trouble de l’humeur atypique.
La cause principale fonctionnelle d’atteinte du cortex ?
Le cortex
L’épilepsie ou les épilepsies…
Epilepsie : définition
Ensemble de manifestations cliniques brutales, imprévisibles, transitoires qui résultent de l’hyperactivité paroxystique (début et fin rapides ou brutaux, durée brève) d’un réseau de neurones corticaux ou cortico-sous-corticaux hyperexcitables et de son éventuelle propagation.
L’épilepsie ou les épilepsies…
Deux types de crises :
Deux types de crises :
- Généralisée : hyperactivité d’un réseau de neurones cortico-sous-corticaux étendu, bilatéral
- Focale /partielle : hyperactivité d’un réseau de neurones corticaux focalisé, unilatéral.
EEG et épilepsie
L’EEG est le seul examen complémentaire utile au diagnostic positif de crise épileptique et d’épilepsie mais un EEG normal n’écarte pas le diagnostic
Distinction de 2 types d’épilepsies
On distingue :
-L’épilepsie maladie : maladie chronique
Survenue d’au moins une crise épileptique, une prédisposition cérébrale durable à générer des crises
-Les crises d’épilepsie symptomatique (agression cérébrale par OH, crise secondaire à une origine toxique, traumatique…)
Crise généralisée d’épilepsie
La crise généralisée tonico-clonique :
Phase tonique (10 à 20 secondes)
Phase clonique (20 à 30 secondes)
Phase résolutive (ou postcritique) stertoreuse
Crise partielle d’épilepsie :2 évolutions possibles
Crise partielle
Sans généralisation
Avec généralisation
Diagnostiques différentiels
Diagnostiques différentiels : syncope (malaise brusque, bas débit, cardiaque) et crise non épileptique psychogène (EEG normal alors qu’il y a une crise)
Comment faciliter expérimentalement la survenue d’une crise d’épilepsie
Stimulations lumineuses et restriction de sommeil facilitent les épilepsies.
Syndromes topographiques vastes superficiels / externes des crises d’épilepsies focales/partielles
Fronto-latéral
-Fronto-latéral
Illusions ou hallucinations visuelles
Etat d’agitation
Pensée forcée
Syndromes topographiques vastes superficiels / externes des crises d’épilepsie
Fronto-polaire
-Fronto-polaire
Pensée forcée
Acte forcé
Syndromes topographiques vastes superficiels / externes des crises d’épilepsie
Orbito-frontale
-Orbito-frontale
Illusions ou hallucinations olfactives
Signes végétatifs
Envie d’uriner
Syndromes topographiques vastes superficiels / externes des crises d’épilepsie
Temporal
Temporal
Illusions ou hallucinations auditives
Pseudo-vertiges
Syndromes topographiques vastes superficiels / externes des crises d’épilepsie
Occipital
-Occipital
Hallucinations visuelles simples
Clonies palpébales
Déviation toniques des yeux