Aides auditives II - Examen final Flashcards

1
Q

Quelle est la définition du processus d’orientation, de counseling et de suivi post-appareillage?

Ensemble des services d’[…] et de soutien offerts dans les semaines suivant l’[…] pour aider les clients à s’[…] au port des prothèses auditives et à en […] le plus possible.

A

Ensemble des services d’accompagnement et de soutien offerts dans les semaines suivant l’appareillage pour aider les clients à s’adapter au port des prothèses auditives et à en bénéficier le plus possible.

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2
Q

Dans les étapes techniques de l’appareillage, le focus est mis sur les prothèses. Sur quoi se concentre-t-on plutôt à l’étape de l’orientation, du counseling et du suivi?

A

Sur la personne.

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3
Q

Nommez le plus d’éléments possible à aborder avec le client à la suite de l’appareillage (13 éléments cités dans les notes de cours).

A

1) Comment ça va avec vos appareils?
2) Est-ce que ça change quelque chose?
3) Avez-vous des difficultés particulières avec vos prothèses?
4) Utilisation des piles (format requis, comment les placer, durée de vie)
5) Comment insérer la prothèse dans l’oreille et la retirer (démontrer et pratiquer)
6) Manipulation des fonctions de la prothèse (comment la mettre en marche et la fermer, contrôle du volume, interrupteur de programmes, programmes inclus, capteur magnétique, microphones directionnels, etc.)
7) Utilisation du téléphone (activation du capteur magnétique, placement du combiné, particularité pour le cellulaire)
8) Remarquez-vous beaucoup de feedback? Si oui, quoi faire?
9) Entretien et nettoyage
10) Informations sur la garantie et les assurances
11) Ajustement des attentes (retour sur avantages et limites des prothèses)
12) Période d’ajustement (1-3 mois en général)
13) Stratégies de communication
14) Aides de suppléance à l’audition (si difficultés persistentes avec les prothèses après 1 mois)
15) Les autres ressources disponibles (organismes communautaires comme l’APDA, Audition Québec, Acouphènes Québec, services de réadaptation spécialisée comme l,IRDPQ ou autre CR).

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4
Q

Que peut-on recommander au client de faire s’il perçoit beaucoup de feedback avec sa prothèse?

A

1) Vérifier que la prothèse est bien placée dans l’oreille et la replacer au besoin
2) Vérifier que le volume n’est pas trop fort
3) Si le problème persiste, en parler avec le professionnel, car certains ajustements peuvent réduire le problème.

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5
Q

Vrai ou faux?

Il est déconseillé que le client soit accompagné d’un proche et de lui fournir de la documentation sur ses prothèses à laquelle il pourra se référer, car on veut que le client soit à l’aise de dire réellement comment il se sent sans pression de son entourage. Par ailleurs, la documentation risque de le surcharger d’information.

A

Faux! C’est tout le contraire. Des études ont démontré que la présence d’un proche aux consultations audiologiques favorisait généralement le succès de l’appareillage (meilleure rétention d’information, meilleure persévérance dans l’utilisation, etc.).

Des études ont aussi démontré que les gens oublient jusqu’à 80 % de l’information médicale transmise lors d’un rendez-vous de santé. Il est donc fortement recommandé de fournir de la documentation aux clients. Normalement, les audioprothèsistes le font lors de la livraison des prothèses, mais il est utile de revoir cette documentation avec le client en suivi audiologique pour voir ce qui est bien compris et ce pour quoi le client a besoin d’aide.

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6
Q

Complétez les énoncés suivants :

Un premier suivi avec l’audioprothésiste a normalement lieu __ à __ semaines après la livraison.

Si ça va bien, le suivi subséquent aura lieu __ à __ semaines plus tard, puis les suivis seront espacés aux __ à __ mois (entre-temps selon les besoins).

Si ça va moins bien, les suivis subséquents seront d’abord plus** […]** (ex. : aux 2 semaines), puis ils seront espacés en fonction de l’évolution du client.

A

Un** premier suivi avec l’audioprothésiste** a normalement lieu 1 à 2 semaines après la livraison.

Si ça va bien, le suivi subséquent aura lieu 2 à 4 semaines plus tard, puis les suivis seront espacés aux 3 à 6 mois (entre-temps selon les besoins).

Si ça va moins bien, les suivis subséquents seront d’abord plus** serrés** (ex.: aux 2 semaines), puis ils seront espacés en fonctoin de l’évolution du client.

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7
Q

Quels sont les délais de suivi recommandés en milieu de réadaptation pour les suivis post-appareillage avec un audiologiste en ce qui concerne les étapes suivantes :

1) vérification des prothèses
2) rencontres de suivi pour évaluer si la personne a besoin de services spécifiques pour l’adaptation et l’utilisation des prothèses
3) Validation (vérifier l’atteinte des objectifs) et évaluation des besoins résiduels

A

1) Vérification : 2-4 semaines après la livraison
2) Rencontres aux 2 semaines pour le suivi de l’adaptation et de l’utilisation
3) Validation + évaluation besoins résiduels : 3-6 mois après la livraison

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8
Q

Pour quelles raisons le suivi post-appareillage est-il rarement effectué en clinique de première ligne (CH ou privé)? Quel est le délai de suivi typique dans ces milieux?

A

Public : Listes d’attentes ou directives de l’employeur

Privé : Fait déjà partie des services offerts par l’audioprothésiste OU coûts supplémentaires pour client

Certaines cliniques privées : aucun suivi post-appareillage. D’autres cliniques = à la demande du client.

Délai de suivi typique en CH ou CP : 1-2 ans (ou au besoin).

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9
Q

Vrai ou faux?

Il est recommandé d’effectuer un suivi post-appareillage avec tous les clients, peu importe le milieu de pratique.

A

Vrai

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10
Q

Vrai ou faux? Le suivi post-appareillage doit absolument être fait en personne.

A

Faux. Pas obligé d’être long et peut être fait au téléphone, par vidéoconférence ou par courriel.

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11
Q

Vrai ou faux?

L’audiologiste peut se concentrer sur les ajustements et la vérification lors de son suivi post-appareillage et l’audioprothésiste peut s’occuper de la validation.

A

Faux. C’est l’inverse!
Audiologiste : validation
Audioprothsésite : peut s’occuper des ajustements et de la vérification

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12
Q

En quoi l’étape de la validation est-elle différente de l’étape de la vérification?

A

La vérification vise à s’assurer du bon état et du bon fonctionnement des prothèses (examen visuel, écoute subjective, analyse électroacoustique) et permet de s’assurer que l’amplification qu’elles procurent convient aux besoins du client (mesures d’insertion sur coupleur ou à l’oreille).

La validation vise plutôt à mesurer de façon globale les résultats de l’amplification auditive en lien avec les objectifs de réadaptation audiologique. On veut savoir à quel point la prothèse permet une réduction des limitations et des resctrictions de participation vécues par le client et son entourage.

La vérification concerne davantage le côté technique, électroacoustique et audiologique tandis que la validation concerne davantage les effets de l’appareillage sur le fonctionnement et la qualité de vie.

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13
Q

Quelles sont les 2 principales mesures objectives à faire en audiométrie tonale pour la validation de l’appareillage auditif?

A
  • Les seuils appareillés
  • Les mesures d’inconfort
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14
Q

Quelles sont les 2 principales mesures objectives à faire en audiométrie vocale pour la validation de l’appareillage auditif?

A
  • Reconnaissance de la parole avec prothèses
  • Mesures d’inconfort
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15
Q

Nommez les 2 principales catégories de mesures subjectives que l’on peut effectuer dans le cadre de la validation de l’appareillage auditif.

A

1) Questionnaires standardisés (APHAB, GHABP, COSI, SSQ, IOI-HA, SADL, MARS-HA, etc.)
2) Entrevue informelle et révision du plan d’intervention

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16
Q

Quel type de gain un audiogramme appareillé permet-il d’illustrer?

A

Le gain fonctionnel

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17
Q

En quoi consiste la réalisation d’un audiogramme appareillé?

A

À mesurer les seuils auditifs de la personne pendant qu’elle porte ses prothèses auditives.

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18
Q

Complétez les conditions de test suivantes liées à la réalisation d’un audiogramme appareillé (validation de l’appareillage).

  • Transducteurs :
  • Stimulation monaurale ou binaurale?
  • Type de signaux présentés :
  • Type de réponses souhaitées et méthode utilisée (ex. : VRA, conditionnement par le jeu, présentations minimales, recherche de seuils Hughson-Westlake, etc.)
A
  • Transducteurs : champ libre (haut-parleurs)
  • Stimulation monaurale ou binaurale? Une prothèse à la fois ou en binaurale (les 2 sont possibles)
  • Type de signaux présentés : Sons purs hululés
  • Type de réponses souhaitées et méthode utilisée (ex. : VRA, conditionnement par le jeu, présentations minimales, recherche de seuils Hughson-Westlake, etc.) : recherche de seuils Hughson-Westlake
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19
Q

Comment indique-t-on des seuils aparaillés sur un audiogramme (2 méthodes possibles)?

A

A) Avec le symbole A (appareillé) au-dessus des seuils non appareillés.
B) Dans un audiogramme distinct illustrant l’évaluation de l’audition avec aides auditives. On utilise comme symbole une lettre correspond au type d’aide auditive (P = prothèse, I = implant, etc.)

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20
Q

Complétez les énoncés.

L’audiogramme appareillé (gain fonctionnel) permet d’illustrer l’[…] des seuils auditifs avec appareillage ainsi que l’[…] du spectre de la parole.

A

L’audiogramme appareillé (gain fonctionnel) permet d’illustrer l’amélioration des seuils auditifs avec appareillage ainsi que l’audibilité du spectre de la parole.

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21
Q

Quelle est la principale limite d’un audiogramme appareillé?

A

Il illustre seulement le gain pour les sons faibles et ne permet pas de déterminer le gain appliqué à la parole moyenne ou aux sons forts.

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22
Q

Vrai ou faux?

Bien qu’il ait certaines limites, l’audiogramme appareillé est un bon outil de counseling pour faire prendre conscience du bénéfice objectif procuré par des prothèses auditives.

A

VRAI

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23
Q

Quels sont les divers tests possibles pour mesurer la reconnaissance de la parole avec prothèses auditives?

A
  • Monosyllabes (silence)
  • HINT (bruit)
  • FR-Bio (bruit)
  • TMB ou TPB (bruit)
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24
Q

Quelles sont les conditions de passation de l’audiométrie vocale avec prothèses auditives (transducteurs, monaural/binaural, en silence/avec bruit?)

A
  • Champ libre
  • Une prothèse à la fois (monaural) ou les 2 en même temps (binaural)
  • Dans le silence ou dans le bruit
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25
Q

Comment interprète-t-on les résultats de l’audiométrie vocale appareillée?

A

On compare les résultats SANS vs AVEC l’appareillage par rapport aux normes du test effectué.

Si le score non appareillé est hors norme, mais que le score appareillé entre dans la norme (à +/- 2 écarts-types de la moyenne normale), c’est un indicateur du succès de l’appareillage.

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26
Q

Quelles sont les principales limites des tests d’audiométrie vocale appareillée?

A
  • Peu de tests disponibles en français canadien
  • Pas de normes publiées sous haut-parleurs pour TMB et TPB
  • Les normes sous haut-parleurs dépendent de l’environnement de test, ce qui oblige à calculer des normes maison. Ex. FrBio = normes obtenues en cabine avec système Immersion 360, pas nécessairement valides dans une cabine avec système en champ libre normal. Aussi vrai pour le HINT.
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27
Q

Qu’est-ce que le changement minimal détectable en audiométrie vocale appareillée?

A

Le changement de score minimal qui peut être détecté par un test et qui reflète un changement réel dans la condition de la personne sans être dû au hasard ou à une erreur de mesure.

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28
Q

Quelles sont les 2 façons d’estimer le changement minimal détectable d’un test lorsque cette valeur n’est pas explicitée dans les normes du test?

A
  • Estimation à partir de l’erreur-standard de mesure
  • Estimation au moyen du modèle binomial de Thornton et Raffin (1978)
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29
Q

D’après le modèle binomial de Thornton et Raffin (1978), combien de mots devrions-nous utiliser au minimum pour les tests d’audiométrie vocale appareillée?

A

Des listes de 50 mots ou des listes de X phrases totalisant au moins 50 mots.

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30
Q

Autour de quel pourcentage se situe le changement minimal détectable en général pour les tests d’audiométrie vocale appareillée (HINT, TMB, TPB, FrBio, monosyllabes)?

A

Entre 15 et 20 %.
18 % pour les FrBio (selon les auteurs)
HINT (SRPh) = environ 6 dB dans le silence ou environ 2 dB dans le bruit (selon l’erreur standard de mesure)

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31
Q

Quels sont les différents éléments qui peuvent être abordés dans les questionnaires standardisés servant à la validation de l’appareillage auditif?

A
  • Incapacités auditives
  • Limitations d’activités
  • Bénéfices
  • Satisfaction
  • Participation sociale
  • Qualité de vie
  • Degré d’utilisation
  • Capacité à manipuler les prothèses auditives
  • Tolérance des sons ambiants avec l’appareillage
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32
Q

Comment peut-on mesurer les bénéfices de l’appareillage auditif en fonction des incapacités et limitations dans un questionnaire standardisé?

A

En comparant le niveau d’incapacité et de limitation avant et après l’intervention. Si ce niveau a diminué = bénéfice de l’appareillage.

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33
Q

À quoi servent les questionnaires standardisés en lien avec la validation de l’appareillage auditif et la CIF?

A

À évaluer les résultats de l’intervention d’appareillage auditif selon différentes perspectives, notamment des composantes de la CIF comme les limitations d’activité, les restrictions à la participation, la qualité de vie, les facteurs environnementaux et les facteurs personnels.

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34
Q

Nommer des questionnaires standardisés pertinents et disponibles en français dans le cadre de l’appareillage auditif.

A
  • APHAB (Abbreviated Profile of Hearing Aid Benefit ou *Profil abrégé des bienfaits d’un appareil auditif - APHAB-FC *en français)
  • GHABP (Glasgow Hearing Aid Benefit Profile)
  • COSI (Client-Oriented Scale of Improvement)
  • IOI-HA (International Outcome Inventory for Hearing Aids)
  • SSQ (Speech Spatial Qualities of Hearing Scale)
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35
Q

Quel questionnaire suis-je?

  • 5 situations difficiles au choix du client + ordre de priorité
  • Pour chaque situation, 2 questions à répondre **après ** l’appareillage : degré de changement et capacité finale
  • Score moyen calculé pour chaque question (sur 5)
  • On compare avec la norme (4/5)

a) APHAB
b) GHABP
c) COSI
d) IOI-HA
e) SSQ

A

c) COSI (Client-Oriented Scale of Improvement)

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36
Q

Quel questionnaire suis-je?

  • 49 questions divisées en 3 sous-échelles (audition de la parole, audition spatiale, qualité d’audition)
  • Particularités : questions sur la localisation auditive + différence entre appareillage unilatéral et bilatéral
  • Réponse sur une échelle de 0 à 10
  • Score moyen calculé pour chaque sous-échelle
  • On compare les résultats aux normes

a) APHAB
b) GHABP
c) COSI
d) IOI-HA
e) SSQ

A

e) SSQ (Speech Spatial Qualities of Hearing Scale)

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37
Q

Quel questionnaire suis-je?

  • 4 situations prédéterminées + 4 situations choisies par la personne
  • Pour chaque situation, 2 questions pré (degré de difficulté initial, niveau de dérangement) + 4 questions post-appareillage (utilisation PA, bénéfice perçu, degré de difficulté final, satisfaction envers les PA)
  • Réponse sur une échelle de 1 à 5
  • Score total sur 5 calculé pour chacune des 6 questions
  • Scores convertis en % (score -1 x 25 = score en %)
  • Scores comparés à des normes
  • Un changement de +/- 1 (sur 5) entre la difficulté initiale et la difficulté finale = significatif.

a) APHAB
b) GHABP
c) COSI
d) IOI-HA
e) SSQ

A

b) GHABP (Glasgow Hearing Aid Benefit Profile)

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38
Q

Quel questionnaire suis-je?

  • 24 questions réparties en 4 sous-échelle (EC - Ease of Communication; BN - Background Noise; RV - Reverberation; AV - Aversiveness)
  • Choix de réponse sous forme de lettres (A à G) correspondant à des fréquences et des pourcentages (toujours = 99 %, presque toujours = 87 %, généralement = 75 %, la moitié du temps = 50 % , à l’occasion = %, rarement = 12 %, jamais = 1 %)
  • Scores par sous-échelle
  • Un 1er score sans prothèse et un 2e score AVEC prothèse
  • Possibilité de comparer deux appareillages différents
  • Comparaison des scores obtenus aux valeurs critiques (normes) pour déterminer si le changement pré-post est significatif

a) APHAB
b) GHABP
c) COSI
d) IOI-HA
e) SSQ

A

a) APHAB (Abbreviated Profile of Hearing Aid Benefit ou *Profil abrégé des bienfaits d’un appareil auditif - APHAB-FC *en français)

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39
Q

Quel questionnaire suis-je?

  • 7 questions portant sur 7 domaines différents : 1) bénéfice; 2) utilisation quotidienne; 3) satisfaction; 4) impact sur les proches; 5) limitations d’activités résiduelles; 6) restrictions de participation résiduelles; 7) qualité de vie
  • Choix de 5 réponses pour chaque question (valeur de 1 à 5)
  • On compare les réponses de la personne avec les normes correspondant à son degré de surdité
  • Score de 3/5 ou moins généralement considéré anormal

a) APHAB
b) GHABP
c) COSI
d) IOI-HA
e) SSQ

A

d) IOI-HA (International Outcome Inventory for Hearing Aids)

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40
Q

Avec quelles autres sources d’informations sur le cheminement du client est-il pertinent de mettre en lien les informations recueillies au moyen des questionnaires standardisés de validation?

A
  • L’entrevue
  • Les données enregistrées dans les prothèses (datalogging)
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41
Q

Quelles sont les 2 principales critiques souvent faites envers les questionnaires standardisés et les solutions pour pallier ce qu’on leur reproche?

A

1) Impossible d’avoir un questionnaire qui correspond à 100 % à la réalité de tous les individus (toujours des items non applicables pour certains clients)

Solution : questionnaires ouverts ou semi-ouverts comme le COSI et le GHABP

2) Longs et compliqués à administrer en clinique (plus difficile avec certaines clientèles particulières, ex. : problèmes cognitifs)

Solution : Versions abrégées de certaines questionnaires disponibles

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42
Q

Quelle serait une alternative pertinente aux questionnaires standardisés pour savoir si l’appareillage est un succès?

A

Le demander directement à la personne en faisant une entrevue semi-dirigée. Cela peut être en personne, au téléphone, par courriel, par Zoom, etc.

43
Q

Si l’on décide de faire une entrevue semi-dirigée plutôt qu’un questionnaire standardisé pour valider l’appareillage auditif d’une personne, sur quoi devrait-on questionner la personne?

4 éléments

A
  • Les améliorations ressenties
  • Les difficultés qui persistent
  • Si l’appareillage répond à ses besoins
  • Si la personne a d’autres besoins
44
Q

En quoi le plan d’intervention est-il un outil utile dans le cadre de la validation de l’appareillage auditif? Choisissez toutes les réponses qui s’appliquent.

a) Il permet plus de rigueur dans la mesure des résultats
b) Il donne une direction aux conclusions
c) Il permet de confronter le client en lui rappelant ses objectifs initiaux et en lui disant que c’est de sa faute si la validation a révélé qu’il n’avait atteint aucun de ses objectifs.
d) Il donne une direction aux interventions
e) Il permet d’identifier s’il reste du travail à accomplir et de déterminer si le suivi doit être poursuivi ou non
f) Il oriente l’évaluation des besoins résiduels et la formulation de nouvelles recommandations, le cas échéant.

A

À propos du plan d’intervention…

a) Il permet plus de rigueur dans la mesure des résultats
d) Il donne une direction aux interventions
e) Il permet d’identifier s’il reste du travail à accomplir et de déterminer si le suivi doit être poursuivi ou non
**f) **Il oriente l’évaluation des besoins résiduels et la formulation de nouvelles recommandations, le cas échéant.

45
Q

Vrai ou faux?

Il est recommandé d’utiliser un seul moyen de validation pour ne pas étirer trop longtemps les consultations avec les clients et favoriser la réduction des listes d’attente.

A

Faux.

Il est généralement recommandé de ne pas se contenter d’un seul moyen de validation, mais plutôt d’utiliser différents moyens en combinaison.

46
Q

Quelle combinaison de moyens de validation recommande-t-on d’utiliser généralement?

A
  • Au moins une mesure de reconnaissance de la parole (idéalement dans le bruit)
  • Un questionnaire standardisé
  • Une entrevue incluant la révision du plan d’intervention
47
Q

Quel est le principal avantage à combiner plusieurs moyens de validation?

A
  • Avoir une vue d’ensemble plus juste des résultats par une mise en commun des différents types de données.
  • Éviter les biais de désirabilité sociale (ex. : la personne se dit satisfaite par crainte de ne plus recevoir de services dans le futur)
48
Q

Complétez les énoncés.

L’étape de la validation :

  • permet de porter un regard critique sur nos […] et sur les succès obtenus lors de l’appareillage.
  • permet de savoir si l’évaluation des besoins effectuée était […] et si les recommandations formulées étaient […].
  • permet l’amélioration continue des […] professionnelles.
  • démontre l’[…] de votre travail aux clients et aux […] […].
A

L’étape de la validation :

  • permet de porter un regard critique sur nos** [interventions]** et sur les succès obtenus lors de l’appareillage.
  • permet de savoir si l’évaluation des besoins effectuée était [juste] et si les recommandations formulées étaient [appropriées].
  • permet l’amélioration continue des [pratiques] professionnelles.
  • démontre l’[utilité] de votre travail aux clients et aux [organismes payeurs].
49
Q

Expliquer ce que sont l’effet d’occlusion et la rétroaction acoustique (feedback)

A
50
Q

Parmi les choix suivants, quels sont les 5 problèmes les plus courants rapportés en lien avec des prothèses auditives?

a) Donnent des chocs électriques
b) Sons trop forts
c) Les gens se mettent à entendre les couleurs
d) Feedback
e) Le son coupe de façon intermittente
f) Effet d’occlusion
g) Difficultés persistantes à comprendre dans le bruit
h) Les voix d’hommes sonnent aigues et les voix de femmes sonnent graves. TOUT EST À L’ENVERS.
i) Portée d’amplification trop grande (les porteurs d’appareils entendent la conversation des voisins pendant le souper)
j) Difficultés au téléphone

A

B) Sons trop forts
D) Feedback
F) Effet d’occlusion
G) Difficultés persistantes à comprendre dans le bruit
J) Difficultés au téléphone

51
Q

Comment décririez-vous la sensation de l’effet d’occlusion?
Quand cette sensation se produit-elle et qu’est-ce qui la cause?

A

Sensation : écho, tête dans un baril, la personne dit entendre trop fort sa voix et les sons de mastication
- Se produit quand la personne parle ou mâche
- Cause : entrée en vibration de la portion cartilagineuse du CAE quand la personne parle ou mâche, ce qui crée un bruit en BF qui s’échappe normalement vers l’extérieur du CAE. Le port de la prothèse occlut le CAE; ce bruit ne peut donc pas s’échapper et est plutôt transmis à la chaîne tympano-ossiculaire.

52
Q

Quelles sont les 2 façons de régler un problème d’effet d’occlusion?

A

1) Augmenter la taille de l’évent ou utiliser un dôme plus ouvert pour permettre au bruit de BF de fuir.

2) Changer l’embout ou la coquille de la prothèse pour aller chercher une insertion plus profonde jusqu’à la portion osseuse du CAE (au moins après la 2e courbe)

53
Q

En augmentant la taille de l’évent ou en utilisant un dôme plus ouvert pour éliminer l’effet d’occlusion, quelle conséquence indésirable risque-t-on de provoquer?

A

On risque d’augmenter la propension de la prothèse à entrer en feedback. Cette solution n’est donc pas toujours possible.

54
Q

Avec quoi l’effet d’occlusion pourrait-il être confondu par le client? Quel test objectif peut-on faire pour s’assurer qu’il s’agit bel et bien d’un effet d’occlusion?

A

Avec une trop grande amplification des basses fréquences. On peut faire un test d’occlusion avec l’analyseur de prothèses auditives pour s’assurer que le problème est bien un problème d’occlusion.

55
Q

Comment fonctionne le test d’effet d’occlusion dans le Verifit 2?

A

Le test d’effet d’occlusion avec le Verifit 2 permet de comparer le volume perçu par un micro/sonde dans l’oreille et le volume d’un micro de référence à l’extérieur de l’oreille.

Pour le faire, on installe la sonde dans l’oreille, on met la prothèse par-dessus et on demande à la personne de faire «aaa» puis on prend la mesure.

En haut de 10 dB de différence entre le niveau dans l’oreille et le niveau du micro de référence, on conclue à un effet d’occlusion significatif.

56
Q

Quelles sont les 2 vérifications que l’on devrait faire avec les prothèses auditives et l’analyseur de prothèses après avoir réglé le problème d’occlusion?

A

1) Refaire les mesures d’insertion pour s’assurer que les cibles sont atteintes
2) Vérifier si la prothèse a tendance à siffler (feedback)

57
Q

Expliquez ce qu’est l’effet Larsen (feedback ou rétroaction acoustique) et nommez 2 situations qui peuvent causer du feedback.

A
  • Le son amplifié sortant de l’écouteur peut finir par être capté par le micro de la prothèse.
  • Ce son sera alors amplifié. Il s’ensuit une boucle d’amplification sans fin qui mène à la saturation du système et à la production d’un sifflement aigu par la prothèse

Situation 1 : manque d’étanchéité de la prothèse par rapport au CAE

Situation 2 : objet à proximité de la PA

58
Q

Quelles sont les 3 principales solutions au feedback? Deux de ces solutions comportent un risque. Quels sont ces risques?

A

1)** Réduire la taille de l’évent **ou utiliser un dôme plus fermé pour empêcher le son amplifié de fuir.

Risque : causer un problème d’occlusion.

2) Traitement de signal numérique pour annuler le feedback, soit en activant ou en optimisant le réducteur de feedback ou en augmentant la force du réducteur de feedback.
Risque : réduire le gain disponible.

3) Réduire le gain à la fréquence du feedback (le feedback se produit pas mal toujours autour de la même fréquence, en HF)

59
Q

Lorsqu’une personne se plaint que les sons forts captés par ses prothèses auditives sont trop forts une fois amplifiés, quels sont les 2 éléments que l’on devrait d’abord vérifier en questionnant le client? Quel test peut-on faire pour vérifier cela?

A

1) Est-ce que ça touche TOUS les sons forts ou seulement des sons spécifiques?
2) Est-ce vraiment inconfortable ou seulement un peu trop fort, mais tolérable?

On peut faire des mesures d’inconfort avec appareils pour répondre à ces questions.

60
Q

Quelles sont les principales solutions à notre portée lorsqu’un client se plaint que les sons forts sont trop forts (après avoir vérifié si cela touchait tous les sons forts et s’il s’agit vraiment d’un inconfort intolérable)? Précisez les risques/limites des solutions, le cas échéant.

A
  • Diminuer la sortie maximale (MPO) par pas de 2 dB jusqu’à obtenir un jugement du client de niveau “fort, mais OK”
  • Diminuer le gain des sons forts (risque : peut affecter le gain pour les sons moyens et faibles)
  • En dernier recours, diminuer le gain général de la prothèse

**Si ce ne sont pas seulement les sons forts qui sont trop forts, on peut :
- Valider l’atteinte des cibles
- Offrir du counseling sur l’adaptation au port des prothèses auditives
- En dernier recours, diminuer le gain pour les sons moyens et faibles

61
Q

Quelles sont les solutions possibles lorsqu’un client a des difficultés persistantes à comprendre dans le bruit avec ses prothèses auditives?

3 éléments

A
  • Vérifier l’atteinte des cibles
  • Counseling sur l’adaptation au port des prothèses auditives
  • Envisager l’ajout d’accessoires (ex. : micro auxiliaire) ou d’aides de suppléance à l’audition (ex. : système MF)
62
Q

Quelles sont les solutions possibles lorsqu’un usager appareillé a des difficultés au téléphone?

4 éléments

A

1) Vérifier comment la prothèse est programmée pour l’écoute au téléphone (capteur T activé? dans quel programme? connexion avec cellulaire activée?)

2) Vérifier comment la personne utilise sa prothèse auditive au téléphone (placement très important avec le capteur T)

3) Enseignement sur l’utilisation des prothèses au téléphone

4) Si nécessaire, envisager un changement de téléphone (téléphone résidentiel amplifié pour malentendants ou cellulaire pleinement compatible avec la connectivité)

63
Q

Quelles sont les principales indications cliniques pour la prothèse auditive?

A

**1. Atteinte au fonctionnement : **Toute personne qui présente une perte auditive suffisamment importante pour induire des difficultés fonctionnelles significatives. La personne doit ressentir, par elle-même, qu’elle vit des difficultés en raison de sa perte auditive.

2. MOTIVATION de la personne à améliorer sa condition; Spécifique pour le port de prothèses auditives.
L’idéal, c’est que la personne ait une motivation intrinsèque, c’est-à-dire que sa motivation lui vienne d’elle (re.
en lien avec les difficultés perçues), plutôt qu’une motivation externe (ex. pour faire plaisir à sa conjointe ou à ses enfants).

3. La perte auditive doit être « appareillable » - PAS DE CONTRE-INDICATION MÉDICALE

64
Q

Quoi faire en présence d’une condition otopathologique active à l’OE ou à l’OM dans un contexte d’appareillage?

A

Si présence d’une condition otopathologique active à l’OE ou à l’OM, demander l’opinion ou l’intervention du médecin avant de procéder à l’appareillage. La surdité du patient pourrait s’améliorer après une intervention médicale et rendre le port de prothèses auditives inapproprié. Il est important de donner entre-temps à votre patient des stratégies et des moyens d’assistance temporaires pour l’aider à pallier ses dfficultés

65
Q

Nommez trois avantages au port de prothèses auditives.

A

Mieux entendre les voix
Comprendre les conversations plus facilement
Participer davantage dans les conversations
Les autres ont moins besoin de répéter
Moins d’effort à fournir pour écouter, moins de fatigue
Souvent aidant pour écouter la TV et le téléphone
Mieux entendre les sons présents dans l’environnement
Masquage des acouphènes

De fait, la plupart des personnes qui présentent une perte auditive apportant des difficultés fonctionnelles significatives (à leurs yeux) vont ressentir un certain bénéfice du port des prothèses auditives. Les bénéfices peuvent être variables d’une personne à l’autre, selon les capacités auditives (ex. reconnaissance de la parole dans le bruit, tolérance face au bruit ambiant, seuils d’inconfort), les habitudes de vie de la personne, l’environnement dans lequel elle évolue et les attentes avant l’appareillage.

Ces bénéfices apparaissent habituellement dans les 1 à 3 mois suivant l’appareillage, donc il est important que la personne soit patiente, qu’elle porte ses appareils régulièrement dès le début pour que l’adaptation se mette en place correctement et que les bénéfices émergent.

66
Q

À quoi sert l’évaluation pré-appareillage?

A

Vise à :

Confirmer que la personne est candidate à l’appareillage auditif.

Identifier les facteurs (facilitateurs et obstacles) susceptibles d’influencer le succès de l’appareillage et le pronostic avec le port des prothèses

Préparer le client à ce qui s’en vient et choisir avec lui les principales caractéristiques des prothèses (information et counseling).

Convenir d’un plan de match (objectifs, suivi, échéancier), ajuster les attentes de l’usager et obtenir son adhésion.

Effectuer des épreuves pré-appareillage qui permettront la sélection, l’ajustement, la vérification et la mesure des résultats (validation).

67
Q

Quoi faire en présence d’une surdité neurosensorielle asymétrique en contexte d’appareillage?

A

Demander l’opinion/intervention du médecin avant de procéder à l’appareillage.
La surdité du patient pourrait s’améliorer après une intervention médicale et rendre le port de prothèses auditives inappropriées.
Il est important de donner entre-temps à votre patient des stratégies et des moyens d’assistance temporaires pour l’aider à pallier ses difficultés.

68
Q

Nommez trois limites aux prothèses auditives.

A
  1. Ne restaurent pas l’audition normale. De fait, l’appareil ne répare pas les dommages présents dans l’oreille interne et leurs conséquences perceptuelles (i.e., sélectivité fréquentielle, résolution temporelle, etc.). L’appareil amplifie le son, ce qui améliore la détection, mais le son amplifié est tout de même dirigé dans une oreille qui, elle, est endommagée.
  2. Efficacité optimale à 2 m ou moins, dans un petit groupe, dans un endroit calme.
  3. Demande une gestion (entretien, nettoyage, remplacement des piles, réparations, etc.)
  4. Ne peuvent être toujours portées. Habituellement, la personne enlève ses prothèses pour dormir, se laver, se baigner. Il existe un modèle à port continu sur le marché (Phonak Lyric), mais ce produit est somme toute peu répandu.
  5. Demande une période d’adaptation (jusqu’à 3 mois pour la plupart des personnes; celles qui rencontrent des problèmes d’adaptation particuliers peuvent voir cette période se prolonger). Patience ! Constance !
  6. Demande de l’effort et de l’énergie (devoir les porter souvent), surtout au début. Quand l’adaptation initiale est passée et que la personne est constante dans l’utilisation de ses appareils, cet effet s’atténue généralement.
69
Q

Nommez les 6 étapes de l’évaluation pré-appareillage.

A

Étape 1 : Réaliser les mesures audiométriques supplémentaires nécessaires en vue de l’appareillage

Étape 2 : Compléter/approfondir l’évaluation globale des besoins

Étape 3 : Information et counseling pré-appareillage

Étape 4 : Amorcer l’étape de la sélection avec l’usager

Étape 5 : Produire la recommandation de prothèses auditives

Étape 6 : Effectuer la prise d’empreintes de l’oreille

70
Q

Qu’est-ce que l’effet “trompette” (horn effect)?

A

Le tube et l’embout d’une prothèse de format contour permettent d’acheminer le son de la prothèse dans le conduit auditif externe de la personne. Ils doivent être étanches afin de limiter les effets de feedback.

Étant donné leur forme, ils ont aussi comme effet de limiter l’amplification des hautes fréquences.

En utilisant un tube plus élargi à son extrémité (en forme de pavillon de trompette), on peut produire un gain supplémentaire (jusqu’à 10 dB) sur les hautes fréquences sans devoir changer les paramètres de programmation de
l’appareil.

71
Q

À quoi sert un évent?

A
  • Diminuer la sensation de pression dans l’oreille
  • Réduire l’effet d’occlusion
  • Augmenter l’aération du conduit auditif externe
  • Laisser passer naturellement les basses fréquences sans les amplifier
  • Diminuer l’amplification des basses fréquences
72
Q

Nommez les problèmes qui pourraient être causés par un évent (trop) large.

A

Apporte une susceptibilité plus grande au feedback

Limite le gain pouvant être fourni par la prothèse auditive

Réduit l’amplification des basses fréquences

73
Q

Nommez les étapes pour effectuer une prise d’empreinte de l’oreille.

A
  1. Expliquer la procédure au client
  2. Visualiser le CAE
  3. Placer la mousse bloquante
  4. Réaliser le mélange du matériel d’impression
  5. Injecter le matériel d’impression
  6. Retirer l’impression
  7. Inspecter le CAE et l’impression
  8. Recommencer dans l’autre oreille

Il est important d’attendre entre 5 et 10 minutes avant de retirer l’empreinte de l’oreille, car le matériau d’impression doit avoir bien durci avant d’être sorti de l’oreille.

Vous pouvez gratter légèrement le dessus de la prise d’empreinte avec votre ongle pour voir s’il est suffisamment durci pour le retirer. Après l’avoir retiré, inspecter l’empreinte pour détecter les défauts. Au besoin, reprendre l’empreinte.

74
Q

Nommez le matériel requis pour une prise d’empreinte. (7 éléments)

A
  1. Otoscope
  2. Lampe frontale
  3. Bâton lumineux (« penlight »)
  4. Mousses auriculaires bloquantes (« ear blocks »)
  5. Matériel d’impression
  6. Seringue
  7. « Bite-blocks »
75
Q

À quoi servent les différentes viscosités des matériaux d’impression ?

A

Les viscosités plus faibles (donc les matériaux plus liquides) permettent une meilleure reproduction, plus fine, du CAE.

Les viscosités plus élevées (donc les matériaux plus épais) sont utiles pour les empreintes effectuées dans des CAE plus larges et/ou contenant une grande quantité de poils.

Ils sont aussi utiles pour les prises d’empreintes avec la bouche ouverte (avec “bite blocks”).

76
Q

Nommez les 4 différents types d’embouts.

A
  1. Type pleine conque : pour les pertes sévère à profonde + pour les enfants
  2. Type squelette : pour les pertes de degré modéré à modérément sévère.
  3. Type canal : pour les pertes légères à modérées
  4. Type ouvert (“custom open”) : surtout pour les pertes spécifiques en hautes fréquences.
77
Q

Nommez les différents matériaux d’embouts et leur utilité.

A
  1. Acrylique : Très dur. Pour les pertes légères à sévères. Plus appropriés pour les personnes avec difficultés au niveau de la dextérité, car il est plus facile à insérer et à entretenir.
  2. Silicone : Semi-mou - Pour les perte légère à sévère. C’est un entre-deux.
  3. Silicone mou : pertes allant jusqu’à
    profondes, meilleure étanchéité pour pertes profondes, meilleure adaptation aux mouvements CAE et mâchoire, bon
    pour sports et enfants

Les embouts en silicone permettent une plus grande variété de couleurs.

78
Q

Nommez les étapes (3) de la sélection de la prothèse auditive que l’audiologiste fait au Québec.

A

En se basant sur l’évaluation des besoins et sur l’évaluation préappareillage, l’audiologiste amorce la sélection avec le client. Il déterminera trois principaux éléments :

  1. Choix entre un appareillage bilatéral ou unilatéral
  2. Choix du format de la prothèse (contour, intra…)
  3. Choix des options et des caractéristiques avancées nécessaires

Au Québec, puisque l’audiologiste ne vend pas de prothèses auditives, il ne spécifiera pas une marque ou un modèle d’appareils. C’est plutôt l’audioprothésiste qui effectuera ce choix

79
Q

Nommez trois avantages de l’appareillage bilatéral.

A

Quand les deux oreilles de la personne présentent une perte auditive pouvant être appareillée, il est généralement recommandé de procéder à un appareillage bilatéral. Cela est habituellement préférable pour plusieurs raisons :

  1. Effet de sommation: la sonie peut être améliorée de 2 à 8 dB quand on porte deux appareils au lieu d’un seul, ce qui permet de régler l’amplification fournie par les prothèses à un niveau moins élevé. Il en résulte un
    appareillage plus sécuritaire pour l’audition résiduelle de la personne.
  2. Amélioration de la reconnaissance de la parole dans le bruit : Le ratio signal/bruit (RSB) peut être amélioré de 2 à 3 dB, ce qui permet à la personne de suivre plus facilement les conversations en ambiance bruyante.
  3. Réduction de l’effet d’ombrage de la tête et Amélioration de la localisation : en portant deux appareils, la personne peut plus facilement savoir d’où provient le son et cela évite qu’une personne qui se trouverait du
    côté non appareillé ne soit pas entendue.
  4. Meilleure qualité sonore : Perceptuellement, la qualité sonore devient habituellement plus riche et plus naturelle quand on porte deux appareils au lieu d’un seul.

5.Prévention de la privation sensorielle : Avec un appareillage bilatéral, on s’assure de stimuler les voies auditives des deux oreilles, ce qui évite qu’une oreille qui ne serait pas appareillée soit “délaissée” par le cerveau.

  1. Meilleur masquage des acouphènes : Souvent, les acouphènes sont présents aux deux oreilles. En portant deux appareils, cela cache mieux les acouphènes, on réduit donc la perception des acouphènes plus efficacement.
  2. Accès au traitement de signal bilatéral: Les prothèses d’aujourd’hui comportent plusieurs fonctions bilatérales. Elles échangent beaucoup d’informations entre elles pour se synchroniser, ce qui améliore les bénéfices et facilite l’utilisation. Exemples : ajustement du volume et changement de programme synchronisés, enclenchement de la compression, streaming bilatéral…
80
Q

Dans le cas d’un appareillage unilatéral, quelle oreille choisir ?

A

Quand la condition générale de la personne requiert un appareillage unilatéral, si la personne ne souhaite avoir qu’un seul appareil ou si elle n’a accès qu’à une seule prothèse assurée (ex. RAMQ), il faut choisir dans quelle oreille la placer. Il faut alors considérer l’ensemble du cas, car il n’y a pas une seule réponse valable pour tous. En discuter avec le client et ses proches, puis utiliser votre jugement clinique pour prendre la décision.

Éléments à prendre en compte lors de cette décision :

Selon le degré de surdité et les habiletés auditives :
- Quelle est l’oreille qui est la “meilleure”?Appareiller la meilleure oreille peut parfois permettre de maximiser les bénéfices parce que l’oreille est moins atteinte et possiblement plus à même de traiter
le signal amplifié.

  • Quelle est la “pire” oreille ? On souhaite parfois appareiller la pire oreille pour atteindre un meilleure équilibre entre les deux oreilles.

Selon l’état de santé des oreilles de la personne

  • Est-ce qu’il y a une oreille qui présente une contre-indication médicale à l’appareillage? Est-ce qu’il y a une oreille qui présente une malformation (ex. microtie, anotie, sténose du CAE…) rendant l’insertion de l’appareil dans l’oreille trop difficile ? Dans ces cas, appareiller l’autre oreille.

Selon la dominance manuelle et la dextérité

  • Est-ce que la personne est droitière ou gauchère ? On peut parfois choisir la main dominante, ce qui peut être facilitant pour la manipulation et l’insertion de la prothèse dans l’oreille.
  • Est-ce que la personne présente des problèmes de dextérité dans un main en particulier (ex. hémiparésie, paralysie, amputation…) ? Si oui, choisir l’autre côté.

Selon la préférence de la personne
Dans quelle oreille la personne voudrait avoir son appareil ? Certainement à considérer puisque l’idée première de l’appareillage, c’est que la personne porte sa prothèse !

81
Q

Nommez trois facteurs à considérer dans le choix du format de la prothèse auditive.

A
  1. Le gain et le niveau de sortie requis. On choisit une prothèse qui permet d’atteindre les cibles de gain et de sortie, en se gardant une marge de manœuvre (ex. 15-20 dB).
  2. La taille et la forme de l’oreille externe et particulièrement du CAE. Si le conduit est trop petit, on évite généralement les péritympaniques et les intracanal.
  3. La motricité fine du client. Une prothèse plus grosse, qui a une pile plus grosse, qui a un embout dur, est généralement plus facile à manipuler.
  4. La sensibilité de la peau. Quand la personne présente une sensibilité particulière, il est généralement approprié de choisir un modèle contour, qui permettra de maximiser la ventilation du CAE, ce qui peut réduire les symptômes de démangeaisons et limiter le risque d’otite externe.

5.** Le besoin de caractéristiques et de technologies spécifiques**. Les prothèses plus grosses offrent généralement plus d’options et d’accessoires. Ex. la bobine téléphonique n’est pas disponible dans les plus petits appareils.

  1. L’esthétique. Les clients trouvent généralement les prothèses plus petites plus esthétiques. Il faut souvent rechercher un compromis entre efficacité et esthétisme.
  2. L’expérience passée avec l’appareillage. “If it ain’t broke, don’t fix it!” On ne change pas une recette gagnante.
82
Q

Qu’est-ce qu’une méthode prescriptive et quelle est son utilité?

A

Formule mathématique qui prédit le gain et la sortie maximale nécessaires pour un individu qui porte des prothèses auditives.

Elle permet de déterminer combien de gain doit fournir la prothèse en fonction de la fréquence, de « prescrire » le gain requis et de s’assurer que la prothèse choisie convient bien du point de vue de la performance électroacoustique attendue (FOG et OSPL90).

Aussi utile lors de l’ajustement et de la vérification parce que les cibles calculées grâce à la méthode prescriptive nous donnent un point de référence auquel comparer l’appareillage pour déterminer s’il est adéquat ou non.

83
Q

Quelle est la principale différence entre les méthodes prescriptives DSL et NAL?

A

Les méthodes DSL et NAL sont fondamentalement différentes dans leur approche de l’amplification : est-ce que l’amplification doit d’abord servir à rendre les sons de la parole bien audibles ou est-ce que l’amplification doit viser la reconnaissance de la parole et le confort d’écoute?

Maximiser l’audibilité de la parole –> la méthode DSL: Développée en premier lieu pour répondre aux besoins
d’amplification des enfants.

Maximiser l’intelligibilité de la parole –> la méthode NAL: surtout utilisée auprès d’adulte. Vise à maximiser l’intelligibilité de la parole et le confort d’écoute.

84
Q

Qu’est-ce qu’une mesure d’insertion ? En nommer les deux types.

A

Méthode de vérification qui permet de mesurer le gain et la sortie maximale fournis par une prothèse auditive alors qu’elle se trouve dans l’oreille du porteur.

Peut se faire à l’oreille réelle ou sur coupleur (mesures d’insertion simulées).

Permet de s’assurer que le gain et la sortie maximale fournis à la personne correspond aux cibles prescrites par DSL ou NAL.

Si les cibles n’étaient pas atteintes, permet de cibler les ajustements à modifier.

85
Q

Quel coupleur doit-on utiliser pour effectuer la mesure du (W)RECD ?

A

Avec le Verifit2, utiliser le coupleur 0,4 cc pour effectuer la mesure du WRECD.

Avec un analyseur de prothèses d’une autre marque, habituellement on utilisera un coupleur 2,0 cc pour mesurer le RECD conventionnel.

86
Q

Complétez l’énoncé suivant : Les méthodes prescriptives fournissent des cibles en dB […] qui sont calculées à partir des seuils auditifs et des seuils d’inconfort mesurés en dB […].

A

Les méthodes prescriptives fournissent des cibles en dB SPL au tympan qui sont calculées à partir des seuils auditifs et des seuils d’inconfort mesurés en dB HL sous écouteurs (utiliser des écouteurs insérés de préférence dans le contexte de l’appareillage)

87
Q

Quelle est la différence entre le RECD conventionnel et le WRECD.

A

RECD conventionnel : utilise un coupleur 2,0 cc HA-1 ou HA-2 et permet de vérifier le rendement jusqu’à 8000
Hz.

Le WRECD : utilise un coupleur 4,0 cc. “W” pour “wideband”. Permet de vérifier le rendement des prothèses auditives jusqu’à 12 500 Hz.
La réponse en fréquence de ce coupleur serait plus fidèle à la vraie réponse de l’oreille humaine en hautes fréquences.

88
Q

À quoi servent les mesures d’insertion ?

A

Méthode de vérification qui permet de mesurer le gain et la sortie maximale fournis par une prothèse auditive alors qu’elle se trouve dans l’oreille du porteur.

2 méthodes : soit à l’oreille lorsque le patient est présent, soit simulée sur coupleur lorsqu’on est dans l’impossibilité de tester à l’oreille (ou pour certaines clientèles comme les enfants).

Permettent aussi de déterminer si les cibles d’amplification prescrites par une méthode prescriptive comme NAL-NL2 ou DSL 5.0 sont atteintes et si non, quels ajustements devraient être effectués pour y arriver.

89
Q

Quels sont les principaux facteurs qui pourraient influencer les niveaux de gain et de sortie maximale au tympan
de l’individu ?

A
  1. les caractéristiques de son oreille externe et de son conduit auditif externe
  2. les propriétés de l’embout et du tube (ex. longueur et diamètre du tube) ainsi que l’emplacement du microphone de la prothèse (par rapport à l’oreille de la personne)
    dB SPL au tympan = dB SPL prothèse + effet CAE/pavillon + effet embout/tube/mic
90
Q

Que signifie le terme RECD et quel coupleur est utilisé pour effectuer cette mesure?

A
  • Real-ear to coupler difference (RECD). Il s’agit de la différence entre le niveau de sortie d’un signal dans l’oreille réelle versus le niveau de sortie du même signal dans un coupleur 2,0 cc.
  • Coupleur 2 cc HA-1 ou HA-2.

Se rappeler qu’il existe aussi le WRECD (W pour “wideband”). Ce RECD spécial est effectué à l’aide d’un coupleur 0,4 cc. Le Verifit 2 utilise cette mesure au lieu du RECD conventionnel afin que le RECD mesuré aux
fréquences supérieures à 8000 Hz soit plus représentatif de la réalité. Le coupleur 2 cc est reconnu comme étant peu fidèle au-dessus de 8000 Hz.

91
Q

Nommez les étapes à suivre pour mesurer le WRECD.

A
  1. Calibrer le dispositif de mesures d’insertion (sonde intra-auriculaire et microphone de coupleur)
  2. Mesurer la réponse du transducteur dans le coupleur 0,4 cc
  3. Placer la sonde intra-auriculaire dans le conduit auditif du client.
  4. Placer l’écouteur intra-auriculaire dans le conduit auditif du client, par-dessus la sonde.
  5. Mesurer la réponse du transducteur dans l’oreille du client.
92
Q

Complétez la phrase suivante :

Lors de la réalisation des mesures d’insertion, la procédure consiste à mesurer l’amplification fournie par la prothèse auditive à l’aide de signaux…

A

… de parole réelle présentés à 55, 65 et 75 dB SPL ainsi qu’avec un balayage de sons purs présentés à 85 ou 90
dB SPL.

Pour la mesure de la sortie maximale de l’appareil, quand on effectue la mesure sur coupleur, on utilisera un signal de 90 dB SPL, alors qu’on utilisera un signal de 85 dB SPL quand on travaille à l’oreille du client.
C’est pour éviter de causer un inconfort trop important au client au cours du test à l’oreille

93
Q

Pourquoi doit-on privilégier la réalisation des mesures d’insertion à l’oreille (quand c’est possible) plutôt que sur coupleur ?

A

Les mesures d’insertion réalisées à l’oreille sont généralement plus précises que les mesures effectuées sur
coupleur.

Quand on travaille sur coupleur, le Verifit doit procéder à plusieurs estimations pour pouvoir prédire le rendement de l’appareil dans l’oreille du client et ces estimations peuvent parfois s’avérer pas tout à fait justes. En travaillant directement à l’oreille, on évite ce biais potentiel.

On utilise les mesures sur coupleur uniquement à des fins préparatoires (ex. lors d’un premier ajustement des prothèses auditives réalisé en l’absence du client) ou dans un contexte où il n’est pas possible de travailler à l’oreille (ex. jeunes enfants, adultes avec troubles cognitifs).

94
Q

Nommez le principal inconvénient des mesures d’insertion réalisées à l’oreille et dont les résultats sont exprimés
en niveaux de sortie au tympan (en dB SPL).

A

Le placement de la sonde est critique et il peut être difficile de savoir si la sonde est bien placée.
La sonde doit se trouver à 5 mm ou moins du tympan pour que les mesures soient valides.

95
Q

Que signifie REAR et REAG?

A

REAR : Real-ear aided response. C’est la pression sonore (en dB SPL) dans le conduit auditif en fonction des fréquences avec le port d’une prothèse auditive, en champ libre.

REAG : Real-ear aided gain. C’est la différence entre le REAR et le REUR (real-ear unaided response), qui est exprimée en gain.

96
Q

Que représente le 65 et le 85 dans le REAR-65 et le REAR-85?

A

Les nombres correspondent à l’intensité des signaux de parole utilisés lors du test, dans ces cas, 65 et 85 dB SPL.

97
Q

Que signifie le REOR et le REOG?

A

REOR: Real-ear occluded response ou REOG si exprimé en gain.

C’est la pression sonore (en dB SPL) dans le conduit auditif en fonction des fréquences avec prothèse FERMÉE, en champ libre.

La mesure permet de visualier l’atténuation causée par le placement de l’embout (effet d’occlusion).

98
Q

À quelle distance doit être placée la personne de toute surface réfléchissante lors de la réalisation des mesures d’insertion ?

A

1,5 à 2 mètres, afin d’éviter la réflexion d’ondes sonores et la réverbération qui pourrait fausser les résultats.

99
Q

À quelle distance doit-on asseoir la personne face au haut-parleur de l’analyseur lors de la réalisation des mesures d’insertion ?

A

Le client doit être placé à 1 mètre ou moins du haut-parleur de l’analyseur de prothèses auditives, à 0 degré azimut.

100
Q

À quelle longueur de la sonde intra-auriculaire doit-on placer le repère visuel (petite bague noire) qui se trouve sur la sonde ?

A
  1. 30 mm homme
  2. 28 mm femme
  3. 20 à 25 mm enfant

Ce repère visuel sert à estimer à quelle profondeur dans le conduit auditif se trouve le bout de la sonde. On le place à l’entrée du conduit auditif, vis-à-vis de la fente intertragale.

101
Q

Définir le SII.

A

Speech intelligibility Index : C’est un indicateur de l’audibilité des indices acoustiques de la parole, exprimé en %.

102
Q

Définir le RMSE.

A

RMSE : Root Mean Square Error

C’est un indicateur de l’atteinte des cibles d’amplification prescrites par DSL ou NAL. Représente l’écart moyen entre le spectre de la parole amplifiée et les cibles d’amplification
prescrites. Il est exprimé en dB.

103
Q

Combien de temps recommande-t-on généralement d’attendre avant de commencer à parler d’aides de suppléance à l’audition après l’appareillage quand les difficultés du client persistent même avec les prothèses?

A

Au moins 1 mois.