200.XX Flashcards

1
Q

Définition backdraft ?

A

Il s’agit de l’explosion, lors de l’apport d’air, des fumées et des gaz combustibles accumulés dans le volume, si celui-ci est clos.

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2
Q

Définition de comburant ?

A

Corps dont la nature chimique et la présence permettent à un corps de brûler.

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3
Q

Définition combustible ?

A

Corps solide, liquide ou gazeux, susceptible de brûler.

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4
Q

Définition combustion ?

A

Combinaison d’un corps combustible avec un corps comburant en présence d’une énergie d’activation. Elle s’effectue uniquement en phase gazeuse. La combustion s’accompagne d’un dégagement de chaleur accompagné d’une émission de flammes et/ou de fumées.

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5
Q

Définition conduction ?

A

Phénomène de transmission de chaleur au sein même d’un matériau.

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6
Q

Définition convection ?

A

Phénomène de transport de chaleur par le mouvement ascendant d’un fluide.

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7
Q

Définition énergie d’activation ?

A

Source de chaleur nécessaire pour activer une combustion.

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8
Q

Définition Fire Gaz Ignition ?

A

Il s’agit d’un phénomène d’inflammation ou d’explosion de fumées situées dans un volume. Ces fumées sont composées essentiellement de gaz de pyrolyse et de combustion, qui forment avec l’air un mélange inflammable ou explosif.

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9
Q

Définition flammes ?

A

Manifestation visible de la combustion caractérisée par une émission de chaleur et de lumière.

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10
Q

Définition Flash Over ?

A

Il s’agit d’un embrasement généralisé et instantané des matériaux combustibles présents dans le volume, si celui-ci est partiellement ouvert.

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11
Q

Définition des fumées ?

A

Particules visibles solides et/ou liquides, en suspension dans les gaz résultant d’une combustion et/ou d’une pyrolyse. Le plus souvent, les fumées d’incendie comportent des particules de carbone imbrûlées entrainées par les courants de tirage.

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12
Q

Définition incendie ?

A

Feu violent qui échappe au contrôle et à la maîtrise de l’homme dans l’espace et dans le temps.

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13
Q

Définition inertage ?

A

Conséquence de l’action du binôme d’attaque destinée à rendre inoffensif le plafond de fumée.

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14
Q

Définition LIE, LII ?

A

On appelle LII ou LIE d’un mélange, la concentration minimale du combustible dans l’air en dessous de laquelle la combustion ne peut ni s’entretenir ni se propager. Les valeurs des limites s’expriment en % des vapeurs du produit dans l’air.

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15
Q

Définition LSI, LSE ?

A

On appelle LSI ou LSE d’un mélange, la concentration maximale du combustible dans l’air au-dessus de laquelle la combustion ne peut ni s’entretenir ni se propager.

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16
Q

Définition plafond de fumées ?

A

Couches successives de fumées et de gaz potentiellement inflammables, accumulées en partie haute d’un contenant.

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17
Q

Définition plage d’inflammabilité ?

A

Intervalle compris entre la LII et la LSI dans lequel la concentration du mélange gazeux dans l’air ambiant brûle en présence d’une énergie d’activation.

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18
Q

Définition plage d’explosibilité ?

A

Intervalle compris entre la LIE et la LSE dans lequel la concentration du mélange gazeux dans l’air ambiant explose en présence d’une énergie d’activation.

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19
Q

Définition point éclair ?

A

Température minimale à laquelle un matériau combustible émet suffisamment de vapeurs pour former avec l’air un mélange gazeux dont l’inflammation se produit au contact d’une énergie d’activation et s’éteint au retrait de celle-ci.

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20
Q

Définition point feu ?

A

Quelques degrés au-dessus du point éclair les gaz s’enflamment au contact de l’énergie d’activation et se maintiennent au retrait de celle-ci.

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21
Q

Définition point auto-inflammation ?

A

Température à laquelle un mélange gazeux combustible peut s’enflammer spontanément sans la présence de flamme ou d’étincelle. On parle aussi de « point d’auto ignition » ou de « point d’auto-combustion ».

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22
Q

Définition stœchiométrique ?

A

Point de concentration idéale des 3 éléments du triangle du feu correspondant à la réaction chimique qui complète et donne la température la plus élevée.

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23
Q

Définition pyrolyse ?

A

Processus de dégradation irréversible de la matière sous l’effet de la chaleur avec ou sans présence de comburant.

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24
Q

Définition rayonnement ?

A

Phénomène de transmission de chaleur par ondes électromagnétiques émises dans toutes les directions par un corps chauffé.

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25
Q

Définition roll-over ?

A

Langue de feu et/ou rouleau de flammes apparaissant dans le plafond de fumées en partie haute d’un feu de contenant en lien direct avec le foyer d’origine.

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26
Q

Définition suies ?

A

Particules charbonneuses finement divisées, produites et /ou déposées au cours de la combustion de matériaux organiques.

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27
Q

Définition transfert de masse ?

A

Mouvement aéraulique induit par une différence de densité entre 2 matières au moins.

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28
Q

Citer le triangle du feu ?

A
  • L’énergie d’activation.
  • Le combustible.
  • Le comburant.
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29
Q

Quelles sont les origines d’une énergie d’activation ?

A
  • Électrique.
  • Thermique.
  • Chimique.
  • Mécanique.
  • Biochimique.
  • Naturelle.
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30
Q

Quelles sont les origines du combustible ?

A
  • Organique.

- Inorganique.

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31
Q

Citer les classes de feu ?

A
  • Feux de classe A : feux secs
  • Feux de classe B : feux gras
  • Feux de classe C : feux de gaz
  • Feux de classe D : feux de métaux
  • Feux de classe F : feux liés aux auxiliaires de cuisson.
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32
Q

Quels sont les modes de combustion pour un feu de classe A ?

A
  • Combustion vive avec flammes.

- Combustion lente sans flamme visible mais avec formation de braises incandescentes.

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33
Q

Citer les 2 phases d’extinction des feux de classe A ?

A
  • L’arrêt de la combustion vive par l’abattage des flammes.

- L’arrêt de la combustion lente par le noyage des braises.

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34
Q

Quelles sont les particularités des feux de classe B ?

A

Ils présentent la particularité de flamber ou de s’éteindre mais ne couvent pas.

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35
Q

De quoi dépend la capacité de s’enflammer aux feux de classe B ?

A

Leur capacité à s’enflammer dépend du « point-éclair », propre à chaque produit.

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36
Q

Quels sont les différents feux de classe B ?

A
  • Feux de liquides inflammables non miscibles à l’eau.
  • Feux de liquides inflammables miscibles à l’eau.
  • Feux de solides liquéfiables.
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37
Q

Quels sont les agents extincteurs pour les liquides inflammables non miscibles à l’eau ?

A
  • La poudre pour les feux de faible importance.

- La mousse pour les nappes de grande superficie.

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38
Q

Quels sont les agents extincteurs pour les liquides inflammables miscibles à l’eau ?

A
  • Le CO2.

- La poudre.

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39
Q

Quels sont les agents extincteurs pour les solides liquéfiables ?

A

Généralement l’extinction s’obtient à l’eau. Cependant, dans certains cas, son action pourra se révéler insuffisante. L’extinction est alors menée à l’aide de mousse.

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40
Q

Comment se caractérise un feu de classe C ?

A
  • Très fort dégagement calorifique.
  • Danger potentiel d’explosion consécutif à la présence de poches gazeuses.
  • Dégagement de vapeurs toxiques.
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41
Q

Comment se créé le risque d’explosion sur les feux de métaux ?

A

La plupart de ces métaux réagissent violemment à l’eau, en provoquant un dégagement d’hydrogène ce qui crée un risque d’explosion.

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42
Q

Quels sont les types de combustion ?

A
  • La combustion rapide ou vive.

- La combustion lente.

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43
Q

Qu’est-ce qu’une combustion spontanée ?

A

Il existe cependant une réaction exothermique appelée oxydation très lente, plus connue sous le terme « combustion spontanée ».

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44
Q

En cas de combustion très rapide comment est dite l’explosion ?

A

Dans ce cas l’explosion est dite : « déflagrante ».

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45
Q

En cas de combustion spontanée comment est dite l’explosion ?

A

Dans ce cas l’explosion est dite : « détonante ».

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46
Q

Quels sont les différents types de flammes ?

A
  • La flamme de diffusion.

- La flamme de pré-mélange.

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47
Q

Comment se décompose une flamme de diffusion ainsi que leur différente température ?

A
  • Une partie allant du blanc à l’orange, la flamme atteint une température de 1 200° C environ.
  • Une partie bleue, la température y est d’environ 1 500° C
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48
Q

Quand une combustion est dite complète ?

A

La combustion est dite « complète » lorsque le combustible et le comburant se situent dans les bonnes proportions.

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49
Q

Donner la composition des fumées ?

A
  • De vapeur d’eau.
  • D’hydrocarbures.
  • De dioxyde de carbone.
  • De monoxyde de carbone.
  • Des suies.
  • D’autres gaz.
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50
Q

Le danger des fumées réside dans leurs caractères, quels sont-ils ?

A
  • Inflammable et explosif.
  • Toxique.
  • Opaque.
  • Rayonnant.
  • Envahissant et mobile.
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51
Q

Quelles sont les valeurs libérées au cours d’un incendie ?

A
  • Le pouvoir calorifique.
  • La charge calorifique.
  • Le potentiel calorifique.
  • Le débit calorifique.
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52
Q

Comment est définie l’échelle Celsius ?

A
  • L’origine « 0 » correspond à la température de fusion de la glace à la pression atmosphérique.
  • La valeur « 100 » correspond à la température de la vaporisation de l’eau à la pression atmosphérique.
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53
Q

Comment se transmet la chaleur ?

A
  • Conduction.
  • Convection.
  • Rayonnement.
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54
Q

Expliquer la notion de conduction ?

A

C’est le mode de transmission de la chaleur dans la masse du matériau.

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55
Q

Expliquer la notion de convection ?

A

La convection est le transport de chaleur par le mouvement ascendant d’un fluide.

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56
Q

Expliquer la notion de rayonnement ?

A

Le rayonnement est le phénomène de transmission de chaleur par ondes électromagnétiques émises dans toutes les directions par un corps chauffé.

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57
Q

Quelle est l’unité de transfert d’énergie ?

A

L’unité de ce transfert d’énergie est le kilowatt par mètre carré.

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58
Q

Si la température est multipliée par 2, par combien est multiplié le rayonnement ?

A

Lorsque la température est multipliée par 2, le rayonnement est multiplié par 16.

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59
Q

Définition d’escarbille ?

A

Petites particules incandescentes dont le danger de propagation de la combustion se limite à quelques mètres.

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60
Q

Définition de brandon ?

A

Fragments de solides en ignition pouvant franchir d’importantes distances suivant la force du vent.

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61
Q

Définir la notion de pertes et de gains ?

A

On appelle « gains » tous les éléments permettant au feu d’augmenter sa puissance et son énergie. À l’inverse, les « pertes » regroupent tous les phénomènes qui concourent à en diminuer sa puissance.

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62
Q

En fonction de quels paramètres peuvent-ils varier ?

A
  • Accroissement de la ventilation.
  • Diminution des pertes aux parois.
  • Accroissement de l’aire du feu.
  • Accroissement des radiations émises par le plafond de fumées.
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63
Q

Quelles sont les étapes du développement du feu ?

A
  • Naissance.
  • Croissance.
  • Plein développement.
  • Décroissance.
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64
Q

Qu’est-ce qui affecte la vitesse de combustion ?

A
  • État de division de la matière.
  • Disposition de la matière et des matériaux.
  • Température.
  • Autres facteurs.
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65
Q

Quels sont les types de situation générique pour les phénomènes thermiques ?

A
  • Développement normal du feu, qui, à partir d’un certain moment, peut générer de lui-même un phénomène thermique (plein développement de l’incendie : FLASH OVER.
  • Rupture brutale des conditions de développement du feu (apport de comburant/O2) ou d’énergie d’activation.
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66
Q

Quels sont les types de phénomènes thermiques ?

A
  • Le flash over.
  • Le backdraft.
  • Le fire gas ignition.
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67
Q

Le FGI se décompose en sous-parties, quelles sont-elles ?

A
  • Le flash fire.

- Le smoke explosion.

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68
Q

Quelles sont les étapes de l’Embrasement Généralisé ?

A
  • Stratification des fumées et rayonnement initial.
  • Apparition d’anges danseurs.
  • Apparition des roll-over.
  • Amplification du rayonnement.
  • Apparition de pyrolyse en partie basse.
  • Flash over.
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69
Q

À partir de quelle température s’installe l’EG ?

A

En moyenne, un EG se produit à une température de 600° C.

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70
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’EG ?

A
  • Le volume se retrouve entièrement embrasé pendant un très long moment.
  • La température « ambiante » atteint environ 1 000° C.
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71
Q

Quels sont les risques d’un brasier considérable ?

A
  • Piéger mortellement les intervenants et les victimes.
  • Déstabiliser le dispositif de lutte et de secours.
  • Propager l’incendie
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72
Q

Quelle est la puissance minimale d’une EG et quelle est sa charge calorifique ?

A

La puissance minimale d’un EG est estimée à 3 MW. Il développe une charge calorifique d’environ 7 MW.

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73
Q

Quelle est la condition pour qu’un accident thermique apparaisse ?

A
  • Volume clos en surpression.
  • Combustion incomplète.
  • Chaleur importante.
  • Rupture du confinement.
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74
Q

Quelles sont les étapes de l’Explosion de Fumée ?

A
  • Développement du feu dans un volume clos.
  • Diminution progressive du comburant.
  • Surpression du volume.
  • Backdraft.
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75
Q

Quels sont les signes annonciateurs de l’EF ?

A
  • Aucune flamme nette ou lumière n’est visible.
  • Les vitres, couvertes de suie, noire et opaque.
  • Les fumées, grasses et foncées, de couleur inhabituelle.
  • Les sons sont amortis et aucun crépitement habituel.
  • Les huisseries, les portes et leurs poignées sont très chaudes.
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76
Q

Quelle est la conduite à tenir pour une EF ?

A
  • Sécuriser la zone d’intervention.
  • Rester à l’extérieur du volume sinistré.
  • Se tenir à l’écart des ouvrants et du cône d’expansion d’une éventuelle explosion pouvant s’échapper des portes et fenêtres.
  • Interdire toute ouverture des portes et des fenêtres sans ordre.
  • Rester attentif à une possible rupture naturelle du confinement.
  • Établir un dispositif hydraulique adapté au volume sinistré et au niveau de danger.
     Interdire toute utilisation de la VO.
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77
Q

Lors d’une EF si un sortant est impossible à réaliser comment sont inertées les fumées ?

A
  • L’entrouverture de la porte.

- La réalisation d’une trouée d’extinction en partie haute.

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78
Q

Conduite à tenir face au FGI : que faut-il faire pour reconnaitre les volumes autour du foyer ?

A
  • Limiter autant que faire se peut la propagation horizontale et verticale des fumées.
  • Isoler au mieux le foyer initial en fermant les portes.
  • Attaquer les fumées pour les inerter puis les ventiler.
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79
Q

Conduite à tenir face au FGI : que faut-il éviter ?

A
  • La dispersion de braises.
  • La mise à l’air libre de foyer couvant, à noyer avant réactivation, en alternant le noyage par jet droit faible débit ou la position purge.
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80
Q

Conduite à tenir face au FGI : à quoi faut-il faut prendre garde lors d’un mouvement d’air ?

A
  • Mise en œuvre de la VO.
  • Effondrement de faux plafond, cloisons, toitures.
  • Façade exposée à un vent rentrant.
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81
Q

Définition de sauvetage ?

A

Action visant à soustraire d’un péril immédiat une personne qui, sans aide extérieure, serait vouée à une mort certaine.

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82
Q

Définition de mise en sécurité ?

A

Action visant à extraire, en l’accompagnant, une personne menacée par un danger auquel elle ne peut se soustraire d’elle-même.

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83
Q

Définition de confinement ?

A

Opération visant à ordonner à des personnes de se maintenir à l’abri d’un danger ambiant, en se calfeutrant à l’intérieur des locaux dans lesquels elles se trouvent.

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84
Q

Définition d’évacuation ?

A

Opération visant à ordonner préventivement à des personnes de se déplacer hors des limites d’un périmètre de sécurité, au besoin en les accompagnant, afin qu’elles ne se trouvent pas exposées aux effets d’un danger évolutif.

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85
Q

Quels sont les différents types d’établissement ?

A
  • D’alimentation.
  • De manœuvre.
  • D’attaque.
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86
Q

Comment peut-être réalisé l’alimentation ?

A

L’alimentation peut être réalisée par :

  • Poteau d’incendie.
  • Bouche d’incendie.
  • Aspiration.
  • Relais.
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87
Q

Quelle est la valeur de la perte de charge pour la POCKETWYE ?

A

Perte de charge due à la division poket wye : 1 bar.

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88
Q

Quel est le matériel de base de la sacoche ope ?

A
  • Bons de prise en charge provisoire de matériel ST 25.
  • Bons de mouvement ST 30 bis.
  • Carnet de messages BOPE 8.
  • Fiches bilan.
  • Fiches accouchement.
  • Liste intermédiaire SINUS.
  • Cahier d’observation DSA.
  • Fiche informations patient BOPE 23.
  • Fiche informations famille de DCD.
  • Décharge de responsabilité - Refus de transport.
  • Avis de passage des SP BOPE 13.
  • Fin d’intervention RATP-SNCF BOPE 12.
  • Transfert de responsabilité BSPP/GrDF.
  • Autorisation pénétrer dans une ambassade.
  • Étiquettes et plaquettes « Gaz barré ».
  • Croisillon de barrage de gaz sur palier.
  • Crochet métallique pour regard.
  • Crochet voleur.
  • Colliers rislan jaune.
  • Plaquette aimantée « intervention ascenseur ».
  • TGR* (tableau, montre, crayon).
  • Corne de brune.
  • Obturateurs velcro.
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89
Q

Quel est le matériel de base pour un chef d’équipe ?

A
  • ARI.
  • Liaison personnelle.
  • Lampe portative.
  • Courroie(s) d’amarre.
  • Radio + Porte-radio.
  • Cagoule d’évacuation.
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90
Q

Quel est le matériel de base pour un chef d’agrès MEA ?

A
  • ARI.
  • Liaison personnelle.
  • Courroie(s) d’amarre.
  • Radio + Porte-radio.
  • Cagoule d’évacuation.
  • OFD.
  • Ceinturon échelier avec sa sangle d’amarre.
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91
Q

Qu’est-il bon à savoir sur l’ARI ?

A

La plaque patronymique du porteur sera accrochée sur la clé du détecteur d’immobilité dans l’engin.
La clé sera systématiquement retirée du détecteur dès la descente de l’engin.
Le porteur garde la clé (avec la plaque patronymique) sur lui.
Avant tout engagement, il remettra la clé, avec la plaque patronymique accrochée, au responsable du TGR.

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92
Q

Que permet la ligne d’attaque ?

A
  • L’établissement d’une division au plus près du sinistre.
  • L’établissement rapide d’une 2de lance sur la division.
  • La coupure de l’alimentation à la division pour remplacer ou prolonger l’établissement.
  • L’établissement rapide d’une ligne de 70 mm en cas d’indisponibilité d’une colonne sèche ou humide.
  • De porter la puissance hydraulique à 1 000 l/min par l’établissement d’une division 50/2 x 50.
  • De diminuer les pertes de charges et les « coups de bélier ».
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93
Q

Quelle est l’autonomie d’un bidon d’émulseur de 20L ?

A

Avec un bidon de 20 l d’émulseur, vous aurez une autonomie de 1 min et 20 s environ (injecteur réglé à 3 %) avec une seule lance.

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94
Q

Quelle est la pression à l’entrée de l’injecteur ?

A

Le conducteur doit envoyer l’eau progressivement. La pression à l’injecteur doit être au minimum de 10 bars.

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95
Q

Quelle est la définition du Point de Manœuvre Préalable ?

A

C’est le lieu situé entre le point d’attaque et le point d’eau, où est déposé le matériel jugé nécessaire par le chef de garde.

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96
Q

Quel est l’objet des reconnaissances ?

A
  • Réaliser immédiatement les sauvetages, les mises en sécurité, l’évacuation ou le confinement.
  • S’approcher le plus près possible du foyer principal pour juger de son emplacement, de son étendue, de sa nature et surtout des risques d’extension dans les plans verticaux et horizontaux.
  • Déterminer le mode d’extinction approprié, les points d’attaque et les cheminements à suivre pour y parvenir.
  • Apprécier la configuration du bâtiment, des communications intérieures, des murs, des toits, et des dispositifs de sécurité.
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97
Q

Définition d’une reconnaissance d’attaque ?

A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement sont pénibles, laborieuses ou menaçantes, de par la proximité immédiate du sinistre, de ses effets directs ou de conditions de progression particulièrement éprouvantes, il s’agit d’une « reconnaissance d’attaque ».

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98
Q

Définition d’une reconnaissance périphérique ?

A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement supportables n’entament que modérément ses capacités de résistance et d’endurance physique, il s’agit d’une « reconnaissance périphérique ».

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99
Q

Définition d’une reconnaissance à vue ?

A

Lorsqu’un binôme, porteur de l’ARI, remplit une mission de reconnaissance dans un périmètre éloigné du sinistre afin de concourir au tour du feu effectué par le chef de garde, dans des conditions d’engagement n’entamant pas ses capacités de résistance et d’endurance physique il s’agit d’une « reconnaissance à vue ».

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100
Q

Quelles sont les méthodes pour porter l’ARI ?

A
  • Binôme sous ARI
  • Binôme porteur de l’ARI
  • ARI en position d’attente.
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101
Q

Quel est le temps nécessaire pour effectuer une alerte repli avec les moyens sonores ?

A

Mise en œuvre de l’ensemble des moyens sonores disponibles sur le site de l’intervention pendant la durée de 1 min.

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102
Q

Définition de la zone de soutien ?

A

Interdite au public de manière à ne pas entraver l’action des secours, il s’agit d’une zone qui ne nécessite cependant pas de protection particulière. S’y trouvent toutes les structures de soutien nécessaires au bon déroulement de l’intervention.

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103
Q

Définition de la ligne de vie ?

A

Composée de la ligne guide et de la liaison personnelle, elle permet au binôme engagé en « reconnaissance d’attaque » et éventuellement en « reconnaissance périphérique » de rester indissociable, de s’orienter en direction, et de conserver un lien avec l’extérieur.

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104
Q

Dans quel sens est effectuer une reconnaissance hormis dans quel cas ?

A

Les reconnaissances sous ARI doivent toujours s’effectuer dans le sens du tirage hormis dans le cas express d’un sauvetage.

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105
Q

Quelles sont les phases en reconnaissance d’attaque ?

A
  • Un engagement initial.

- Un engagement ultérieur

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106
Q

Quel est le temps d’engagement pour une reconnaissance d’attaque ?

A

Limitée à 25 minutes maximum en engagement initial et engagement ultérieur compris.

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107
Q

Quelles sont les mesures générales pour une reconnaissance d’attaque ?

A
  • Utilisation de l’ARI.
  • Utilisation de la ligne de vie.
  • Aucun engagement initial si l’ARI présente une pression inférieure à 280 bars.
  • Aucun rengagement ultérieur si l’ARI présente une pression inférieure à 200 bars.
  • Chaque accès doit être contrôlé par un responsable muni d’un TGR avec la mise en place d’un binôme de sécurité.
  • Dans tous les cas après une absence de 25 min de l’équipe partie en « reconnaissance d’attaque », le responsable du TGR donne l’ordre au binôme de sécurité de s’engager pour partir à sa recherche et rend compte au COS.
  • Établissement d’un moyen hydraulique de 500 l/min. au point d’accès.
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108
Q

Quelles sont les mesures particulières avant de partir en reconnaissance d’attaque ?

A
  • Établir un moyen hydraulique délivrant 500 l/min. au point d’accès.
  • Répertorier les dangers potentiels et les neutraliser si nécessaire.
  • Réaliser un contrôle croisé des EPI.
  • Rappelez les codes de compte-rendu et d’alerte.
  • Désigner un binôme de sécurité équipé.
  • Renseigner le TGR.
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109
Q

Quelles sont les mesures particulières au cours d’une reconnaissance d’attaque ?

A
  • Le chef progresse en tête, suivi du servant.
  • Le binôme reste solidaire au moyen de la liaison personnelle.
  • Le servant déroule la ligne guide au cours de sa progression.
  • Afin d’améliorer sa sécurité, le binôme progresse au plus près du sol.
  • Lorsque le foyer est découvert ou la mission de reconnaissance remplie, le chef amarre la ligne guide à un point fixe. Le binôme rejoint le point d’accès après l’avoir indiqué au moyen de sa radio.
  • Lorsqu’un signal de détresse retentit, le responsable du point d’accès engage alors immédiatement le binôme de sécurité pour retrouver les sapeurs-pompiers en difficulté.
  • Si la ligne guide est trop courte, le chef l’amarre à un point fixe. Le binôme rejoint le point d’accès après l’avoir signalé au moyen de sa radio. Il se munit d’une seconde ligne guide et procède à son prolongement à partir d’un point fixe s’il remplit les conditions d’engagement ultérieur. Dans la négative, le COS engage un autre binôme de « reconnaissance d’attaque ».
  • Le binôme se replie immédiatement dès que le manomètre mécanique de l’ARI de l’un des 2 sapeurs-pompiers affiche une pression de 90 bars.
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110
Q

À l’issue d’une reconnaissance en quel mode doit-on passer la Soupape à la demande ?

A

Une fois sorti, le binôme de « reconnaissance d’attaque » passe la SAD en “mode veille”.

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111
Q

Quel est le compte rendu type pour une reconnaissance ?

A
  • J’ai vu !
  • J’ai fait !
  • Je redoute !
  • Je propose !
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112
Q

Combien de temps doit-on rester en Remise en Condition du Personnel pour une reconnaissance d’attaque ?

A

35 minutes.

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113
Q

Combien de temps dure une reconnaissance périphérique ?

A

Limitée à 30 min maximum en engagement initial et engagement ultérieur compris.

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114
Q

En quoi consiste une reconnaissance périphérique ?

A
  • Localiser, évacuer ou confiner les personnes menacées par le sinistre.
  • Mener des investigations dans un périmètre proche ou éloigné du sinistre.
  • Rechercher d’autres accès au sinistre.
  • Contrôler les courettes intérieures et rechercher les éventuelles victimes.
  • Vérifier la vacuité des ascenseurs et des monte-charges, les bloquer en position ouverte au niveau d’accès des secours.
  • Vérifier la mise en œuvre effective et le bon fonctionnement des moyens de secours.
  • Vérifier l’absence ou la présence de fumée ou de points chauds dans les bâtiments contigus au sinistre.
  • Inspecter les faces arrière du bâtiment sinistré.
  • Conduire toutes les actions définies comme telles par le COS.
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115
Q

Quelles sont les mesures générales pour une reconnaissance périphérique ?

A
  • Utilisation de l’ARI.
  • Aucun engagement initial si l’ARI présente une pression inférieure à 280 bars.
  • Aucun rengagement ultérieur si l’ARI présente une pression inférieure à 200 bars.
  • Utilisation des liaisons personnelles.
  • Chaque accès d’engagement doit être contrôlé par un responsable muni d’un TGR avec un binôme de sécurité.
  • Dans tous les cas après une absence de 30 minutes de l’équipe partie en « reconnaissance périphérique », le responsable du TGR donne l’ordre au binôme de sécurité de s’engager pour partir à sa recherche et rend compte au COS.
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116
Q

Qui contrôle un point d’accès ?

A

Chaque point d’accès doit être contrôlé par un responsable muni d’un TGR. Un CCH titulaire CT1SP à minima.

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117
Q

Combien de temps doit-on rester en Remise en Condition du Personnel pour une reconnaissance périphérique ?

A

Il n’y a pas de temps imposer en zone de remise en condition du personnel.

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118
Q

Quelles sont les annotations à indiquer sur les portes lorsqu’elles sont reconnues ?

A
  • « Vu ».
  • « Fonction ».
  • « Engin d’appartenance ».
  • « X CONF » s’il y a des confiner.
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119
Q

Que doit-on faire à l’issue d’une reconnaissance périphérique ?

A
  • Signaler les locaux visités en inscrivant à la craie ou par tout autre moyen.
  • Aucune inscription ne doit être apposée si la reconnaissance est impossible ou incomplète.
  • Rendre compte de l’état des reconnaissances et préciser les difficultés rencontrées.
  • Maintenir fermées les portes et les fenêtres des locaux reconnus hormis ceux devant être ventilés.
  • Faire un compte-rendu type « reconnaissance ».
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120
Q

Quelles sont les mesures générales pour une reconnaissance à vue ?

A
  • La reconnaissance à vue n’est pas limitée dans le temps.
  • Port de l’ARI.
  • Tout binôme engagé en « reconnaissance à vue » doit être inscrit sur un TGR.
  • Le chef d’équipe n’est pas amarré à son servant toutefois, le binôme ne doit jamais se séparer.
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121
Q

Quelle est la conduite à tenir lorsqu’une équipe partie en reconnaissance à vue passe dans un cas défavorable ?

A
  • Soit poursuivre sa mission et rendre compte au COS sur canal tactique.
  • Soit abandonner sa mission, rejoindre le COS et lui rendre compte de vive voix.
122
Q

Quelles sont les règles de sécurité pour une reconnaissance d’attaque et périphérique ?

A
  • Contrôler la pression affichée par l’ICS. Pas d’engagement initial avec une pression inférieure à 280 bars.
  • Respecter une pression minimale de 200 bars pour tout engagement ultérieur.
  • Contrôler régulièrement la pression affichée par l’ICS en cours de reconnaissance.
  • Rejoindre immédiatement le point d’accès dès que le manomètre mécanique de l’ICS indique une pression de 90 bars.
  • Ne jamais se séparer.
  • Rester en contact permanent par le biais de la liaison personnelle.
  • Ne jamais se décrocher de la liaison personnelle.
  • Rejoindre le point d’accès dès que la mission est remplie ou compromise en amarrant la ligne guide à un point fixe.
  • Se replier immédiatement en binôme dès que l’un des deux sapeurs-pompiers n’est plus en mesure de remplir sa mission, dès la réception du « signal d’alerte », dès la perception du signal d’un ICS d’un autre binôme.
  • Respecter les codes conventionnels d’alerte moyen de l’ICS et de compte-rendu transmis au moyen de tout autre moyen de communication.
123
Q

Que doit-on retrouver au point d’accès ?

A
  • Disposer un moyen hydraulique délivrant 500 l/min lors d’une « reconnaissance d’attaque ».
  • Effectuer un contrôle croisé des EPI avant chaque engagement.
  • Disposer d’un moyen radio pour rendre compte au COS ou au chef de secteur de tout fait nouveau.
  • Interdire tout engagement initial dès qu’un porteur d’ARI présente une pression inférieure à 280 bars.
  • Interdire tout rengagement ultérieur dès qu’un porteur d’ARI présente une pression inférieure à 200 bars.
  • Renseigner le TGR et disposer d’un binôme de sécurité aux ordres du responsable du point d’accès positionné à proximité, de façon à pouvoir intervenir très rapidement tout en restant protégé des effets de l’incendie, d’une explosion et/ou d’éventuelles projections.
  • Engager le « binôme de sécurité » en cas de déclenchement de l’alarme d’un ICS.
  • Remplacer ce dernier par un 2nd binôme en cas d’engagement du 1er.
  • Faire respecter la discipline.
  • Relever dès que possible un « binôme de sécurité » de circonstance par un « binôme de sécurité » organique.
  • Mettre en place un moyen d’éclairage à l’intérieur pour orienter la sortie des équipes engagées.
  • Laisser la priorité au passage des binômes sortants.
  • Transmettre, sur ordre du COS, le « signal d’alerte » en cas d’évolution défavorable.
  • Si au bout de 25 min. le binôme de « reconnaissance d’attaque » n’est pas de retour, le responsable du point d’accès engage le binôme de sécurité sur une nouvelle ligne de vie en suivant la ligne guide du binôme à secourir.
  • Si au bout de 30 min. le binôme de « reconnaissance périphérique » n’est pas de retour, le responsable du point d’accès engage le binôme de sécurité.
124
Q

Quelle est la conduite à tenir en zone de remise en condition du personnel ?

A
  • Récupération obligatoire d’une durée d’au moins 35 min. pour tout binôme de « reconnaissance d’attaque » engagé 25 min.
  • Remise en condition du personnel : ARI et casque déposés, veste enlevée, surpantalon baissé sur les bottes, réhydratation et alimentation.
  • Remise en condition du matériel : ARI reconditionné avec une bouteille pleine.
125
Q

Combien de binômes par point d’accès un chef de point d’accès peut-il gérer ?

A

En plus du binôme de sécurité, le responsable du point d’accès ne peut superviser simultanément la reconnaissance que de 4 binômes maximum engagés pour des « reconnaissances d’attaque » ou « périphériques ».

126
Q

Quels sont les cadres de communication ?

A
  • Communication au sein du binôme.
  • Communication de l’équipe de reconnaissance vers le point d’accès.
  • Communication du point d’accès vers l’équipe de reconnaissance.
127
Q

Quels sont les points de contrôle croisés ?

A
  • Casque et cagoule.
  • Masque de l’ARI.
  • ARI.
  • Gants.
  • Tenue textile.
  • Contrôles divers.
128
Q

Quel est le débit de la cagoule d’évacuation et quelle est sa longueur ?

A

Elle est reliée au dossard du sauveteur par un flexible de 1,5 m et permet de délivrer un débit de 50 l/min.

129
Q

Quelle est la longueur de la ligne guide ?

A

D’une longueur de 50 m, la ligne guide est équipée de plusieurs groupes d’olives luminescentes.

130
Q

Quelle est la longueur de la liaison personnelle ?

A

La liaison personnelle est constituée d’une sangle de 1.25 m de long.

131
Q

Quelle est la composition du TGR ?

A
  • Du numéro du point d’accès.
  • Du nom du responsable du point d’accès.
  • Identité des binômes.
  • Durée d’engagement.
  • Règles de sécurité.
  • Types de reconnaissances engagées.
  • Mission.
132
Q

Quelles sont les parties du TGR ?

A
  • L’entête.

- La partie centrale.

133
Q

Définition assèchement ?

A

Opération qui consiste à rendre un sol dans son état initial en enlevant un liquide par un moyen manuel ou mécanique.

134
Q

Définition épuisement ?

A

Opération qui consiste à évacuer par un moyen mécanique une quantité importante de liquide répandue accidentellement ou pas.

135
Q

Définition dégarnissage ?

A

Opération qui consiste à gratter les éléments de construction, murs, poutres et planchers pour en retirer la couche de résidus de combustion afin de s’assurer de l’extinction au cœur du matériau et de prévenir une reprise de feu.

136
Q

Définition balisage ?

A

Ensemble des mesures prises pour marquer et repérer un itinéraire ou une zone.

137
Q

Définition déblai ?

A

Opération qui consiste à déplacer les décombres et les objets qui pourraient cacher des foyers pour en achever l’extinction et écarter tout risque de reprise de feu. Le déblai peut être mené conjointement à l’attaque pour faciliter l’extinction.

138
Q

Définition étaiement ?

A

Opération qui consiste à soutenir un bâtiment ou certains de ses éléments au moyen d’étais, pour empêcher son effondrement.

139
Q

Définition surveillance ?

A

Opération qui consiste à empêcher tout risque de reprise de feu par la mise en place d’un détachement de sapeurs-pompiers une fois le message « feu éteint » transmis.

140
Q

Définition fuite d’eau ?

A

Écoulement important d’eau envahissant plusieurs locaux ou étages, suite à une cause naturelle ou accidentelle.

141
Q

Définition protection ?

A

Opération qui consiste à limiter le plus possible les dégâts occasionnés par les eaux d’extinction, la chaleur et les fumées lors d’un incendie puis à protéger les biens d’intempéries extérieures. Pour être efficace, la protection est mise en œuvre le plus tôt possible.

142
Q

Définition trouée ?

A

Ouverture pratiquée dans un mur ou un plancher au cours d’une intervention, destinée selon les cas à atteindre directement le foyer, à évacuer les fumées et les gaz chauds.

143
Q

Définition relève ?

A

Remplacement d’un détachement engagé dans l’accomplissement d’une mission depuis un certain temps par un autre détachement apte à poursuivre la même mission.

144
Q

Définition ronde ?

A

Opération programmée qui consiste à poursuivre par intermittence le service de surveillance, à chaque fois que le COS le juge nécessaire, notamment à l’issue de grands feux, d’opérations délicates ou en présence de lieux complexes et imbriqués.

145
Q

Comment effectuer une ventilation avec une lance ?

A

Le réglage du jet s’effectue à partir du jet bâton pour s’ouvrir progressivement en jet diffusé d’attaque en s’adaptant au format de la baie utilisée sans en couvrir totalement la surface.

146
Q

Sur quoi informer le personnel pendant une surveillance ?

A
  • À la chute de matériau.
  • Aux cheminements, qui peuvent dans certains cas être longs et complexes.
  • À l’effondrement des structures.
147
Q

Que doit faire le personnel pour concourir à la mission de surveillance ?

A
  • Se conformer aux ordres du chef.
  • Observer les zones brûlées.
  • Écouter tout sifflement ou crépitement suspect.
  • Détecter toute signature de chaleur à l’aide de la caméra thermique.
  • Porter une attention particulière aux matériaux isolants qui peuvent se consumer pendant de longues périodes, aux lueurs et émissions de fumée.
  • Utiliser les moyens à sa disposition.
148
Q

Quel matériel est indispensable pour les phases de dégarnissage, de surveillance et de ronde ?

A

L’emploi de la caméra thermique est systématique pour le contrôle des points chauds lors des phases de dégarnissage, de surveillance et de rondes.

149
Q

A quoi doit veiller le personnel durant ces phases ?

A
  • Conserver le port des EPI notamment le port des lunettes de protection du casque.
  • Ne jamais s’engager seul.
  • Éviter de s’exposer au risque de chute de matériaux instables ou menaçant ruine en privilégiant la progression le long des parois.
  • Éviter de se regrouper en tous lieux où une surcharge.
  • Se méfier des embûches mineures.
  • Reconnaître et baliser les accès, les cheminements et les zones à risque.
150
Q

Quels sont les principes de la ventilation ?

A
  • La ventilation naturelle.

- La ventilation mécanique.

151
Q

Que comprend la ventilation naturelle ?

A
  • Le désenfumage naturel.

- La ventilation de circonstance.

152
Q

Que comprend la ventilation mécanique ?

A
  • Le désenfumage mécanique.

- La ventilation opérationnelle.

153
Q

Que comprend la ventilation opérationnelle ?

A
Elle comprend :
- La ventilation par surpression.
- La ventilation par dépression :
o L’aspiration.
o L’extraction immersive
154
Q

Quelles sont les techniques de ventilation ?

A
  • Par surpression.

- Par dépression.

155
Q

Que permet la technique par surpression ?

A
  • Commander une ventilation d’attaque.
  • Commander une ventilation de protection.
  • Combiner les 2 modes d’action.
156
Q

Quelles sont les tactiques de ventilation ?

A
  • Ventilation d’attaque.

- Ventilation de protection.

157
Q

Que permet la ventilation opérationnelle associée à l’eau ?

A
  • Réduire le risque de FLASH OVER.
  • Améliorer la visibilité.
  • Réduire la chaleur ambiante.
  • Protéger les voies de communication, notamment la cage d’escalier.
  • Créer un tirage favorable aux porte-lances, idéalement jusqu’au sortant.
158
Q

Que facilite la ventilation d’attaque ?

A
  • Les reconnaissances.
  • Les sauvetages et les mises en sécurité par l’intérieur.
  • L’attaque.
159
Q

Que permet la ventilation de protection ?

A
  • Protéger les locaux non atteints par le feu et les fumées.
  • Protéger les voies de communication.
  • Limiter les propagations du feu et des gaz chauds.
160
Q

Que facilite la ventilation de protection ?

A
  • Les reconnaissances.
  • La protection.
  • Le déblai.
161
Q

Que comprend le volume de la ventilation opérationnelle électrique dans les MEA ?

A
  • Ventilateur principal électrique d’environ 41 500 m3 /h dit « ventilateur maitre.
  • Ventilateur secondaire électrique d’environ 13 000 m3/h dit « ventilateur auxiliaire de relais.
  • Groupe électrogène solidaire.
  • 2 rallonges électriques de 50 et 100 m.
162
Q

Avant de mettre la VO en place que doit faire le COS ?

A
  • Déterminer l’effet à obtenir.
  • Définir la tactique de ventilation.
  • Définir le cheminement de la veine gazeuse.
163
Q

Que doit faire le personnel du MEA durant la phase préparatoire ?

A
  • Descendre les ventilateurs et les câbles du MEA.

- Positionner le VM à l’emplacement désigné par le COS et le raccorder.

164
Q

Que doit faire le personnel de l’EP durant la phase préparatoire ?

A
  • Raccorder et positionner le VAR sur ordre du COS à l’emplacement désigné.
  • Le VAR se place idéalement dans la cage d’escalier, de manière à relayer efficacement la veine d’air du VM.
165
Q

Quelle doit être la taille du sortant en phase d’attaque ?

A

Le sortant doit être adapté à l’entrant, en général sa surface sera d’environ 1 m². En cas de fort vent de façade une surface trop grande est susceptible de contrarier l’efficacité de la VO.

166
Q

Comment se place un ventilateur ?

A

Le ventilateur se place :

  • Face à l’entrant.
  • À une distance de 1 à 6 m, 5 m étant la distance optimale.
  • Démarrer le groupe électrogène.
167
Q

Quelle doit être la taille du sortant en phase de déblai et dégarnissage ?

A

La taille du sortant peut être largement augmentée, l’ensemble des ouvrants situés dans le volume peut être réalisé. On privilégiera ici la sortie massive des fumées plutôt que leur vitesse d’expulsion.

168
Q

Comment la permanence de la veine d’air doit-elle être recherchée ?

A

Cette permanence doit être recherchée en :

  • Évitant les pertes.
  • Calant les portes qui doivent rester ouvertes.
  • S’assurant du bon fonctionnement du ou des ventilateurs.
  • S’assurant de la bonne position du ventilateur par rapport à l’entrant.
169
Q

Que doit faire le personnel réalisant un sortant durant la phase active ?

A
  • Être porteur de l’ARI coiffé.
  • Se positionner en dehors du cône d’expansion.
  • Utiliser le matériel adapté.
  • Commencer par briser la partie haute de la fenêtre, baie vitrée.
170
Q

Au-delà de quel étage la ventilation opérationnelle est moins importante ?

A

Au-delà de 10 étages, l’effet de la VO est moins important sans pour autant être nul.
Dans les 4e famille et les IGH, la mise en place de ventilateurs relai au-delà du 10e étage peut être envisagée.

171
Q

Quels sont les différents ventilateurs existants dans les engins spéciaux ainsi que leur débit ?

A
  • Ventilateurs grand débit (VGD), 2 modèles :
    o Modèle Sabo : 85 000 m3 /h.
    o Modèle Hydr’am : 100 000 m3 /h.
  • Ventilateur hydraulique antidéflagrant (VHA ou VEA) : de 500 à 21 000 m3 /h.
  • Ventilateur éjecteur hydraulique ANETI : 64 000 m3 /h.
  • Générateur TURBEX : 17 000 m3 /h.
  • Turbo ventilateur : 3 429 m3 /h.
172
Q

Définition du départ normal ?

A

Le DN est gabarisé pour répondre à un feu d’appartement de 70 m² situé en étage, accessible aux moyens élévateurs aériens et restant dans son volume.

173
Q

Quelles sont les missions des Engins Pompes ?

A
  • Réaliser des sauvetages.
  • Combattre les feux.
  • Secourir les victimes.
  • Effectuer des opérations diverses.
174
Q

Quelle est la composition d’un EP ?

A

Chaque engin-pompe dispose de :

  • Matériels de sauvetage et d’exploration.
  • Citerne d’eau.
  • Ligne d’attaque.
  • Matériels divers.
  • Matériels SUAP.
  • Moyen mouillant / moussant.
  • Réserve d’émulseur.
  • Tuyaux de différents diamètres.
  • 2 dévidoirs mobiles à panier.
  • Pompe.
  • Dévidoir tournant muni d’un tuyau semi-rigide de 35 mm et de tuyaux 45 mm équipés d’une lance.
  • Lances.
175
Q

Quelle est la composition d’un Camion d’Accompagnement ?

A
  • Lance canon à eau/mousse.
  • 6 tuyaux 110 mm x 40 m roulés sur eux-mêmes.
  • 2 x 1 600 m de tuyaux de 110 mm pliés en écheveaux.
  • 2 divisions 100 / 100 X 2 x 50.
  • 90 obturateurs.
176
Q

Quelles sont les missions d’un Moyen Elévateur Aérien ?

A
  • Réaliser les sauvetages et mises en sécurité.
  • Faciliter les reconnaissances.
  • Participer aux opérations de ventilation.
  • Établir des lances.
  • Effectuer des opérations diverses.
177
Q

Quelle est la composition d’un MEA ?

A
  • 2 lances de 500 l/min.
  • Tuyaux.
  • Matériels divers.
  • ARI + cagoule d’évacuation.
  • LSPCC équipé d’une corde de 60 m.
  • Module ventilateurs électriques opérationnels.
178
Q

Quand a lieu la vérification du matériel ?

A
  • Tous les matins à la prise de garde à l’issue du rassemblement.
  • Dans la journée à chaque changement de piquet d’incendie notamment pour vérifier l’état de l’ARI et de l’appareil de protection respiratoire filtrant (APRF).
  • Après une phase de réarmement et/ou au retour d’une intervention importante.
179
Q

Quel est l’engagement tactique du MEA ?

A
  • Se positionner à l’adresse, ou sur la façade nécessitant des sauvetages.
  • Laisser la place à la mise en station éventuelle d’un second MEA.
  • S’engager conformément aux principes de la manœuvre et aux règles de sécurité associés aux types de MEA.
180
Q

Quels sont les devoirs généraux du MEA sur intervention ?

A

À son arrivée sur intervention le chef d’agrès du MEA doit :
- Transmettre un message de présentation (statuts et phonie) et afficher un canal tactique.
Faire développer son agrès sur ordre du COS ou à son initiative en cas de sauvetage imminent et/ou de mise en sécurité.
- S’équiper de l’ARI et se munir de la cagoule d’évacuation.
- Positionner le ventilateur conformément au BSP 200.14.
- Rendre compte au COS.

181
Q

De quoi doit se munir le Chef d’Agrès pour effectuer un sauvetage ?

A

Dès lors qu’il doit s’engager pour réaliser un sauvetage, le chef d’agrès du MEA doit se munir du harnais du LSPCC avant d’aborder la victime.

182
Q

Quels sont les devoirs généraux de l’équipe ?

A
  • Réaliser les missions ordonnées par leur chef d’agrès.
  • Rendre compte de l’exécution de leurs missions et/ou des difficultés rencontrées.
  • Prévoir un itinéraire de repli pour toutes missions entreprises.
  • Se tenir obligatoirement, à la disposition de leur chef d’agrès, dans leurs engins d’affectation s’ils n’ont pas reçu de mission.
  • Le 2e servant recueille les renseignements nécessaires à l’établissement du rapport d’intervention.
183
Q

Quelles sont les différentes couleurs des poteaux incendie ?

A
  • Rouge.
  • Jaune.
  • Bleu.
184
Q

Quels sont les différents barrages de gaz ?

A
  • Organe de coupure générale (OGC) coffret sous trottoir.
  • Branchement immeuble individuel.
  • Branchement immeuble collectif.
  • Robinet de compteur.
185
Q

Quels sont les points clés pour effectuer un barrage de gaz ?

A
  • La fermeture d’un barrage s’effectue généralement par 1/4 de tour dans le sens des aiguilles d’une montre.
  • Ne pas forcer sur un barrage.
  • Ne jamais revenir en arrière.
  • Après fermeture d’un barrage sous trottoir, refermer le couvercle.
186
Q

Quels types de réseaux n’est pas barrer par un SP ?

A

Les branchements identifiés par une plaque rectangulaire sur lesquels figure l’indication « RÉSEAU », ne sont pas manœuvrables par les sapeurs-pompiers.

187
Q

Où retrouve-t-on des CCR ?

A
  • En façade.
  • Dans les halls d’entrée.
  • Dans les sous-sols exceptionnellement.
188
Q

Est-on sûr que l’électricité est coupée si un CCR est retiré ?

A

Elle entraine une coupure de l’alimentation électrique de tout l’immeuble y compris des machineries d’ascenseurs, des dispositifs d’assistance médicale à domicile, des organes de sécurité et du désenfumage mécanique.

189
Q

Quelle est la conduite à tenir pour la pose d’un court-circuiteur ?

A
  • Retirer le ceinturon ainsi que tout objet métallique.
  • Baisser l’écran facial du casque.
  • Poser la partie inférieure du court-circuiteur sur le rail de roulement.
  • Ne pas se positionner dans l’axe du court-circuiteur.
  • Approcher la partie supérieure du rail conducteur et tourner la tête à l’opposé.
  • Plaquer fermement le court-circuiteur sur le rail conducteur sans le lâcher, la tête toujours tournée à l’opposé
190
Q

Où ne pose-t-on pas de court-circuiteur ?

A

Sur les coupons de protection situés au niveau des sectionnements automatiques, et des sous-sectionnements.

191
Q

Qu’est-ce qu’un GOLDORAK ?

A

Utilisé uniquement par les agents de la RATP, cet appareil n’est pas un court-circuiteur mais un détecteur d’absence de tension.

192
Q

Quelles sont les règles pour l’établissement de tuyaux ?

A
  • Faire une grande réserve en boucle au point d’attaque ou à la division pour les gros tuyaux et au point d’attaque pour les petits tuyaux.
  • Dérouler le premier tuyau et successivement tous les autres en serrant le plus près possible la bordure du trottoir ou du mur.
  • Éviter de couper les rues, si cela est indispensable, disposer les tuyaux perpendiculairement à l’axe de la chaussée. Cette opération doit se faire le plus près possible du point d’attaque.
  • Employer le moins possible de tuyaux en leur faisant prendre le chemin le plus court et en évitant leur enchevêtrement.
  • Éviter de leur faire subir des torsions, des plis ou des coudes brusques surtout aux angles des murs.
  • Ne pas les laisser reposer sur des décombres brûlants.
  • Les mettre à l’abri de la chute des matériaux.
193
Q

Quelles sont les précautions pour éviter la détérioration des tuyaux ?

A
  • Faire reposer les tuyaux de manière à éviter un pli brusque s’ils risquent de porter sur une partie angulaire.
  • S’ils doivent être déplacés ou hissés, veiller à ce qu’ils ne puissent se détériorer près des coudes, notamment aux angles des murs.
  • Ne pas marcher dessus, même pour les rouler.
  • Ne pas les laisser franchir par des véhicules sans avoir placé au préalable des dispositifs de franchissement de tuyaux (DFT).
  • Les rouler et les mettre à l’abri dès qu’ils ne sont plus utilisés en évitant de les traîner à terre au cours de ces opérations.
  • Ne pas heurter les demi-raccords sur des objets durs.
  • Manœuvrer doucement les robinets des lances, des divisions et des retenues pour éviter les coups de bélier.
  • Ne pas les plier ni les rouler quand ils sont gelés.
  • Les protéger au cours du transport.
194
Q

Comment pose-t-on un DFT ?

A
  • Disposer les tuyaux perpendiculairement à l’axe de la chaussée.
  • Placer les éléments et régler leur écartement en fonction de la nature des véhicules.
195
Q

Définition d’un point fixe ?

A

Tout objet d’une certaine masse ou d’une structure convenablement ancrée dans le sol ou dans les murs, sur lequel il est possible de s’amarrer constitue un point fixe.

196
Q

Que doit faire un point fixe ?

A

Il doit :

  • Résister aux forces exercées lors des amarrages.
  • Résister au choc produit par une chute éventuelle du sapeur-pompier.
197
Q

Quelle est la composition du frein de descente ?

A

Il est constitué par la corde engagée dans le descendeur « type 8 ».

198
Q

Quels sont les différents dispositifs du LSPCC et leur constitution ?

A
  • Dispositif d’amarrage : Le dispositif d’amarrage est constitué au moyen de 2 anneaux de sangle sur 1 ou 2 points fixes reliés entre eux à 1 mousqueton à virole à vis.
  • Dispositif de descente : Le dispositif de descente est constitué d’un dispositif d’amarrage auquel est ajouté un frein de descente.
  • Dispositif de renvoi : Le dispositif de renvoi est réalisé avec les mêmes matériels que le dispositif d’amarrage auquel on ajoute éventuellement une poulie.
  • Dispositif de préhension : il est réalisé avec 1 anneau de sangle.
  • Dispositif de remontée : Il est constitué d’un dispositif de descente, d’un dispositif de préhension et d’un ou de plusieurs dispositif(s) de renvoi si nécessaire.
199
Q

Qu’est-ce qu’il ne faut pas oublier pour éviter que la victime ne sorte du harnais ?

A

Afin d’éviter que la victime ne sorte du harnais, un anneau de sangle ROUGE complémentaire sera disposé sur celle-ci en « harnais torse » de réchappe.

200
Q

Que permet le dispositif de renvoi ?

A

Il permet de :

  • Dévier la corde d’une trajectoire où elle pourrait subir des dommages.
  • Placer la corde à l’aplomb de la victime.Quelle est la hauteur maximum pour effectuer un sauvetage en excavation avec les LSPCC des EP ?
201
Q

Quelle est la hauteur maximum pour effectuer un sauvetage en excavation avec les LSPCC des EP ?

A

Compte tenu de la longueur de la corde de sécurité du LSPCC il est impossible de réaliser un mouflage si la hauteur entre la victime et le dispositif de descente est supérieure à 12 m.

202
Q

Quelles sont les règles de progression des SP en hauteur ?

A
  • Éprouver avec le pied la solidité de la toiture avant de s’engager.
  • Observer la toiture et repérer les châssis vitrés qui peuvent avoir l’apparence du zinc.
  • Se déplacer, autant que possible, à cheval sur le faîtage.
  • Éviter de marcher sur les plaques de fibrociment. Si besoin, progresser sur les vis de fixation de ces plaques.
  • Se méfier des dispositifs métalliques fixes placés à l’air libre1 dont les points d’attache peuvent être affaiblis par la corrosion.
  • Faire reposer le pied à cheval sur 2 tuiles ou 2 ardoises pour éviter les détériorations et leur chute.
  • Amarrer les outils emportés en utilisant leur dragonne.
  • Se déplacer avec un ARI ou une charge qui déséquilibre, qu’en cas d’absolue nécessité.
203
Q

Quels sont les ordres pour manœuvrer les échelles ?

A
  • Porter l’échelle.
  • Dresser l’échelle.
  • Développer l’échelle.
  • Abaisser l’échelle.
  • Poser l’échelle
204
Q

Quels sont les ordres pour manœuvrer les échelles à crochet ?

A
  • Porter l’échelle.
  • Dresser l’échelle.
  • Accrocher l’échelle.
  • Tourner l’échelle.
  • Abaisser l’échelle.
  • Poser l’échelle.
  • Monter à l’échelle à crochets.
  • Descendre à l’échelle à crochets.
205
Q

Comment est déterminé le pied d’échelle ?

A

Pour être stable le pied de l’échelle doit être éloigné du mur d’1/3 de la longueur déployée. On nomme cette opération « donner du pied à l’échelle ».

206
Q

Quelles sont les différentes dimensions des échelles à crochets ?

A
  • ABA 1 plan : 4.25m et 8 kg.

- ABA et AUDINNOV pliable : 2.40m reployée, 4.25m déployée et 9 kg.

207
Q

Quelles sont les différentes dimensions des échelles petits modèles ?

A
  • ABA : 3.60m reployée, 5.60m déployée et 23 kg.

- AUDINNOV : 3.30m reployée, 5.60m déployée et 20 kg.

208
Q

Quelles sont les différentes dimensions des échelles petits modèles ?

A
  • ABA : 5m reployée, 9m déployée et 34 kg.

- AUDINNOV : 4.90m reployée, 9m déployée et 34 kg.

209
Q

Quelles sont les différentes dimensions des échelles 3 plans ?

A
  • ABA : 6m reployée, 15m déployée et 90 kg.

- AUDINNOV : 6m reployée, 14.50m déployée et 90 kg.

210
Q

Définition binôme d’attaque ?

A

Équipe de 2 sapeurs-pompiers composée d’un chef et d’un servant ayant les fonctions de porte-lance et de double porte-lance.

211
Q

Définition double porte lance ?

A

Second élément du binôme d’attaque désigné pour faciliter et aider le porte-lance à la manœuvre de la lance et à la progression de l’établissement.

212
Q

Définition eau dopée ?

A

L’eau dopée est de l’eau à laquelle a été ajouté du produit mouillant dans différentes concentrations.

213
Q

Définition émulseur ?

A

Additif qui mélangé à l’eau est capable de former un prémélange appeler aussi solution moussante.

214
Q

Définition de feu de contenant ?

A

Feu de locaux, ou d’éléments constitutifs de bâtiment.

215
Q

Définition inertage ?

A

Conséquence d’une action du binôme d’attaque destinée à rendre inoffensif le plafond de fumées par impulsion ou par la technique du crayonnage.

216
Q

Définition mousse ?

A

Solution moussante + air.

217
Q

Définition phase d’attaque ?

A

Moment à partir duquel un binôme muni du moyen d’extinction adapté procède à l’attaque du sinistre.

218
Q

Définition phonème thermique ?

A
  • BACKDRAFT : Il s’agit de l’explosion, lors de l’apport d’air, des fumées et des gaz combustibles accumulés dans le volume, si celui-ci est clos.
  • FLASH OVER : Il s’agit d’un embrasement généralisé et instantané des matériaux combustibles présents dans le volume, si celui-ci est partiellement ouvert.
219
Q

Définition plafond de fumées ?

A

Couches successives de fumées et de gaz potentiellement inflammables, accumulées en partie haute d’un contenant.

220
Q

Définition point d’attaque ?

A

Désigné initialement par le chef d’agrès, le point d’attaque est l’emplacement du porte-lance à partir duquel il procède à l’attaque du sinistre. Le point d’attaque, qui peut varier au cours du sinistre, est choisi de manière à pouvoir attaquer le foyer principal et/ou couper les propagations.

221
Q

Définition porte lance ?

A

Premier élément du binôme d’attaque désigné pour manœuvrer la lance.

222
Q

Définition relève d’attaque ?

A

Phase au cours de laquelle un binôme est désigné pour relever un binôme engagé en phase d’attaque afin de poursuivre la mission.

223
Q

Définition taux d’application ?

A

Exprimé en litre de solution moussante par mètre carré et par minute, ce taux correspond au débit minimum indispensable pour que le déversement de mousse sur les produits en feu soit efficace.

224
Q

Définition taux de concentration ?

A

C’est un pourcentage qui exprime le volume d’émulseur par rapport au volume de solution moussante.

225
Q

Définition taux de foisonnement ?

A

Rapport du volume de mousse sur le volume de solution moussante.

226
Q

Définition lecture du feu ?

A

Avant de s’engager et au cours de l’opération, le binôme d’attaque doit observer le feu et son environnement, afin d’adopter une attitude appropriée à la situation.

227
Q

Comment agit l’eau sur le feu ?

A
  • Production de vapeur d’eau.
  • Dispersion.
  • Refroidissement.
228
Q

Comment agit la vapeur d’eau sur le feu ?

A
  • Inertage.

- Étouffement : la vapeur d’eau produite limite l’apport d’air.

229
Q

Combien de litres de vapeur génère 1L d’eau liquide à une température de 100°C ?

A

1 700 litres de vapeur.

230
Q

Combien de litres de vapeur génère 1L d’eau liquide à une température de 500°C ?

A

4 200 litres de vapeur.

231
Q

Quels sont les risques et les inconvénients de l’eau ?

A
  • Conductivité de l’électricité.
  • Gel en cas de température négative.
  • Risques de pollution plus particulièrement par les écoulements.
  • Dégâts supplémentaires et surcharge des structures bâtimentaires.
  • Brûlures par production excessive de vapeur d’eau.
  • Réactions dangereuses sur certaines substances.
232
Q

Quelles sont les conséquences de l’eau dopée et combien de fois est-elle plus efficace que l’eau ?

A
  • Réduction du temps d’extinction.
  • Réduction de consommation d’eau.
  • Réduction du risque de pollution lié aux eaux d’écoulement.
  • Retard de la ré-inflammation.
233
Q

Quelles sont les différentes concentrations et leurs correspondances ?

A
  • 0.2 % pour le bois, la végétation, le papier, le carton.
  • 0.3 % pour les matières en caoutchouc, pneus.
  • 0.4 % pour les textiles ou habitation.
  • 0.5 % pour les véhicules, sièges, matières plastiques.
234
Q

Comment obtient-on de la mousse ?

A

La mousse est un mélange hétérogène d’air, d’eau et d’émulseur.

235
Q

Quels sont les différents types de foisonnement ?

A
  • Le bas foisonnement.
  • Le moyen foisonnement.
  • Le haut foisonnement.
236
Q

Comment agit la mousse ?

A
  • Étouffement

- Refroidissement

237
Q

Quels sont les taux de foisonnement ?

A
  • Bas foisonnement : inférieur à 20.
  • Moyen foisonnement : de 20 à 200.
  • Haut foisonnement : supérieur à 200.
238
Q

Quels sont les taux de concentration ?

A
  • 3 % pour les feux d’hydrocarbures.

- 6 % pour les feux de solvants, alcools et produits polaires.

239
Q

Comment agit la poudre sur le feu ?

A

Elles agissent par étouffement et inhibition.

240
Q

Comment agit le CO2 sur le feu ?

A

Le CO2 agit sur le feu par étouffement, soufflage et refroidissement.

241
Q

Quels agents extincteurs utilise-t-on pour un feu de métaux ?

A

Sable sec, ciment, terre sèche.

242
Q

Que doit faire le binôme d’attaque lors de manœuvre de sa lance ?

A
  • Se placer au point d’attaque désigné par son chef d’agrès.
  • N’utiliser que l’eau strictement nécessaire.
  • Employer le jet et le débit les plus adaptés au sinistre.
  • Éviter une action prolongée sur les vitres et objets que l’eau peut dégrader.
  • Se replier et rendre compte dès qu’il constate une baisse anormale d’arrivée de l’eau.
  • Chercher à enrayer les propagations.
  • S’avancer prudemment, en se tenant le plus près possible du sol.
  • Adapter l’attaque en fonction des risques.
243
Q

Donner les 4D ?

A
  • Diffusion.
  • Débit.
  • Direction.
  • Durée.
244
Q

Que doit pouvoir faire le porte lance durant la phase d’attaque

A
  • Atteindre un foyer avec une portée efficace.
  • Absorber la chaleur par une répartition convenable de l’eau.
  • Se protéger ou préserver une structure par la création d’un écran d’eau.
245
Q

Que permet le jet droit ?

A
  • D’obtenir une grande portée limitant l’exposition du binôme.
  • D’atteindre des foyers éloignés.
  • D’abattre les éléments de construction menaçant ruine par un effet mécanique précis.
246
Q

Quels sont les inconvénients du jet droit ?

A
  • L’absorption de chaleur par l’eau projetée par un jet droit est inférieure à celle réalisée par les jets diffusés.
  • Compte tenu de sa puissance, le jet droit peut occasionner des dégâts aux objets et aux structures et propager le feu par projection de matières en ignition.
  • L’eau en s’échappant en pression de la lance provoque un effet de recul, plus ou moins important en fonction du type de lance, pouvant déstabiliser le porte-lance et rendre la manipulation difficile.
  • Il permet le passage facile de l’électricité.
247
Q

Que permet d’obtenir le jet diffusé ?

A
  • Une action efficace par l’absorption de chaleur.
  • Le refroidissement et la protection de matériaux et des structures.
  • La protection des porte-lance face à un phénomène thermique.
248
Q

Quels sont les inconvénients du jet diffusé ?

A
  • De par leur composition, les jets diffusés sont plus sensibles au frottement de l’air, au vent et au tirage dû à l’incendie.
  • Ils ont une portée inférieure à celle d’un jet droit.
  • Ils peuvent, en cas de mauvaise utilisation de la lance :
    o Propager l’incendie en favorisant le déplacement du feu, des fumées, de la chaleur.
    o Entraîner la production de vapeurs brûlantes dangereuses pour le personnel d’attaque.
249
Q

Quels sont les différents jets diffusés ?

A
  • Jet diffusé d’attaque.

- Jet diffusé de protection.

250
Q

Définition du jet de diffusé d’attaque ?

A

Plus couramment utilisé, le jet diffusé d’attaque possède un cône d’ouverture de 15 à 45° et permet de lutter contre l’incendie en protégeant partiellement le binôme contre le rayonnement thermique.

251
Q

Définition du jet de diffusé de protection ?

A

Il correspond à la plus grande ouverture du jet en débit maximum. Il permet la protection du binôme d’attaque.

252
Q

Quelles sont les différentes positions d’attaque ?

A
  • Debout.
  • À genoux.
  • De survie.
253
Q

Que doit faire le binôme en position de survie ?

A
  • S’allonger au sol face contre terre de part et d’autre du tuyau.
  • Maintenir la lance au-dessus des casques en jet diffusé de protection.
254
Q

Citer les techniques de crayonnage ?

A
  • La technique du « 8 ».

- La technique des lettres « TZO ».

255
Q

Quels sont les points essentiels à respecter pour les attaques d’atténuation ?

A
  • La coordination intérieur/extérieur.
  • L’angle d’attaque (D).
  • La qualité du jet de lance.
  • Le temps d’application.
256
Q

Quels sont les critères d’efficacité de l’attaque d’atténuation ?

A
  • Disparition des flammes.

- Production de vapeur.

257
Q

Qu’est-ce qui est indispensable pour une attaque d’atténuation ?

A

Coordination SP indispensable intérieur/extérieur.

258
Q

Donner les 4C ?

A
  • Chef à la lance.
  • Coordination.
  • Contrôle de l’ouvrant.
  • Cône d’expansion servant en dehors du cône.
259
Q

Quand doit être effectué le test du plafond de fumée ?

A
  • Pas de victime visible.
  • Pas de foyer visible.
  • Pas de phénomène thermique visible.
  • Pas de chaleur inacceptable.
260
Q

Quand doit-on appliquer la technique du O.T.O.O.T.EM ?

A
  • Avant toute pénétration dans un volume.
  • Lors des progressions.
  • À intervalle de temps régulier.
  • À chaque changement de local.
261
Q

Citer le O.T.O.O.T. EM et l’expliquer ?

A
  • O= observer
    o La nature de l’ouvrant.
    o La présence de signes d’alarme significatifs d’un phénomène thermique, et s’ils sont perceptibles, ne pas ouvrir le local et rendre compte immédiatement à son chef d’agrès.
  • T= tester
    o Évaluer la chaleur radiante de l’ouvrant en projetant un minimum d’eau sur le haut de la porte, son cantonnement et le mur.
  • O= observer
    o La réaction du test.
  • O= ouvrir
    o La porte sous couvert du chef d’agrès
  • T= tester le plafond de fumée
    o Évaluer l’ambiance thermique de la couche de fumées en projetant l’eau dans celle-ci.
  • EM= engagement minimum
    o Des personnels d’attaque dans le volume concerné par le sinistre.
262
Q

Quelles sont les différentes parties de l’ARI ?

A
  • Dossard.
  • Instrument de contrôle et de sécurité.
  • Bouteille.
  • Masque de protection respiratoire.
  • Soupape à la demande.
  • Cagoule d’évacuation.
263
Q

Citer les parties du dossard de l’ARI ?

A
  • Une plaque dorsale.
  • Un harnais.
  • Un système pneumatique de détente.
264
Q

Quelles sont les indications de l’ICS ?

A
  • Pression de la bouteille.
  • Autonomie restante.
  • Température interne du boitier.
  • Capacité de la pile.
265
Q

Quel comprend l’ICS ?

A
  • Clé d’activation.
  • Bouton vert de défilement et de rétro-éclairage.
  • Bouton rouge de déclenchement manuel de l’alarme.
  • Bouton jaune de réinitialisation et d’acquittement des alarmes.
  • Manomètre mécanique.
266
Q

Quel est le volume, la pression et l’autonomie de l’ARI ?

A

Avec un volume de 6,8 l, une pression maximale de service de 300 bars et la bouteille a une autonomie supérieure à 40 min.

267
Q

Quelles sont les différentes parties du masque ?

A
  • Kit de liaison F1.
  • Bouton rouge de mise en veille.
  • Sangle d’attente.
  • Oculaire.
  • Membrane phonique.
  • Bouton by-pass.
268
Q

Quelles sont les différentes parties de la SAD ?

A
  • Joint à lèvre d’étanchéité.
  • Témoin de contrôle annuel.
  • Flexible moyenne pression.
269
Q

Quelle est la composition de la cagoule ?

A
  • Enveloppe.
  • Oculaire.
  • Cordon d’étanchéité.
  • Flexible moyenne pression.
270
Q

Quand l’ICS permet-il d’alerter le Binôme de Sécurité ou le responsable de l’intervention ?

A
  • Le porteur de l’appareil est en détresse.

- Lors de l’immobilité prolongée de celui-ci.

271
Q

Quels temps doit-on attendre pour avoir son temps de consommation restant au niveau de l’ICS ?

A

Après 3 min 30 de consommation.

272
Q

Quelles est la pression pour entendre le sifflet de fin de charge ?

A

Réglé à 90 bars, il donne l’indication au binôme de se désengager.

273
Q

Quels sont les temps du pré alarme et de l’alarme d’immobilité ?

A

Dès que le porteur reste immobile pendant 40 s environ, l’ICS émet 3 pré-alarmes d’une durée de 5 s.

274
Q

À partir de quelle pression l’ARI est-il dépressurisé ?

A

L’ICS est considéré comme dépressurisé quand la pression mesurée est inférieure à 10 bars.

275
Q

Que permet la Rhinoevac ?

A
  • Réaliser le sauvetage d’une personne inconsciente.

- Faciliter les nombreuses techniques de sauvetage de sauveteur.

276
Q

Quel est la valeur de surpression de l’air dans le masque ?

A

Une surpression est assurée en permanence dans le masque par la SAD de 2.9 mbar environ en plus de la pression atmosphérique.

277
Q

Quel est sa composition, sa longueur et la tension max de la Rhinoevac ?

A
  • Poignée de traction.
  • Mousqueton.
  • Came à griffe.
  • L = 1,65 m.
  • Tension maximale d’utilisation : 250 kg.
278
Q

Quels sont les différents ventilateurs opérationnels ?

A
  • Le ventilateur opérationnel thermique type « TEMPEST® ».

- Les ventilateurs opérationnels électriques.

279
Q

Quels sont le débit, l’autonomie et les inclinaisons de la VO thermique ?

A
  • Débit : 43 000 M3 /h.
  • Inclinaison : - 7°, 0°, + 7 ° + 12°.
  • 1 h 30 d’autonomie.
280
Q

Quels sont le débit et l’inclinaison du Ventilateurs Maitre ?

A
  • De 0 à 41 500 M3 /h.

- Entre 10 et 20° d’inclinaison.

281
Q

Quels sont le débit et l’inclinaison du Ventilateurs Auxiliaire Relais ?

A
  • 13 000 M3 /h.

- 360° d’inclinaison.

282
Q

Quelles sont les longueurs des rallonges du module de la ventilation ?

A
  • 50m pour le VM.

- 100m pour le VAR.

283
Q

Quel est le positionnement du VM ?

A
  • Incliné à 10° :
    o Distance optimale est comprise entre 4 m et 5 m.
  • Incliné à 20° :
    o De 4 m à 6 m de l’ouvrant.
284
Q

Quel est le positionnement du VAR ?

A

A une distance de 1 m à 4 m du sortant.

285
Q

Quel sont le poids, la pression, la localisation et la composition du Dispositif d’Ouverture de Porte ?

A
  • Poids 29 kg.
  • Pression d’utilisation 500 bars.
  • En dotation dans tous les MEA.
286
Q

Quelle est la longueur de la rallonge et des flexibles du DOP ?

A
  • Rallonge : 43, 5 cm.

- Double flexible haute pression : 5 m.

287
Q

Quelle est la composition du Halligan Tool ?

A
  • Herminette ou plat ou semelle.
  • Pointeau.
  • Sangle de portage.
  • Liseré noir symbolisant le fait qu’il s’agit d’un manche plein.
  • Fourche.
  • Manche en fibre de verre, isolant et anti-vibrations.
288
Q

Quels sont la taille et le poids du Halligan Tool ?

A
  • Poids 4.3 kg.

- Taille 91 cm.

289
Q

Quels sont les modes et les sensibilités de la caméra thermique ?

A
  • Recherche = Sensibilité plus fine : - 20 à 150° C.

- Feu = Sensibilité haute : 0 à 650° C.

290
Q

Quelles sont les prescriptions liées au rayonnement infra-rouge de la caméra thermique ?

A

Le rayonnement Infra-Rouge ne traverse pas :

  • Le verre : on ne voit pas derrière une vitre.
  • L’eau : on ne voit pas un corps au fond d’un lac ou sous la neige.
  • Le béton.
291
Q

De quoi dispose le détecteur CO ?

A
  • D’une alarme basse.
  • D’une alarme haute.
  • D’une alarme OL.
  • D’une touche « test ».
  • D’une horloge de durée de vie.
  • D’un rétro éclairage de l’écran d’affichage.
  • D’une pince d’accroche type « crocodile ».
292
Q

Quels sont les seuils d’alarme du détecteur CO ?

A
  • 50 PPM : déclenchement de l’alarme basse.
  • 100 PPM : déclenchement de l’alarme haute.
  • 300 PPM : déclenchement de l’alarme OL.
293
Q

Quelles sont la LIE, LSE, la densité/air du CO ?

A
  • Densité/air : 0, 96.
  • LIE : 12, 5 %.
  • LSE : 74, 2 %.
294
Q

Donner la composition du LSPCC des EP ?

A
  • Sac de transport.
  • 30 m Corde Ø 12. 5 mm résistance à la rupture = 3 000 kg.
  • 2 Harnais bicolores (rouge & bleu) dont 1 “XL”.
  • Protection de corde.
  • 2 Connecteurs de sécurité « demi-lune ».
  • Mousqueton à verrouillage automatique double sécurité.
  • Descendeur type « huit ».
  • Poulie aluminium Ø 13 mm.
  • 6 Mousquetons à virole à vis.
  • 3 Anneaux de sangle bleue de 0,80 m.
  • 3 Anneaux de sangle rouge de 1,50 m.
  • Housse pour harnais XL.
295
Q

Citer les cas de réforme de la corde du LSPCC ?

A
  • Arrêt d’une chute d’une hauteur supérieure à 5 m.
  • Emploi exceptionnel au voisinage de la limite élastique.
  • Parties brûlées ou fondues sur la corde et les anneaux de sangle.
  • Contact avec des produits caustiques ou avec des hydrocarbures.
  • Gaine coupée ou usée et laissant apparaître l’âme de la corde.
  • Réduction de diamètre ou perte de souplesse localisée.
  • Allongement permanent à partir de 1 %.
296
Q

Quelle est la composition de la poulie ?

A
  • 2 flasques percées.
  • 1 réa.
  • Un espace interdit à la corde ou aux mousquetons.
  • 1 entretoise.
297
Q

Citer les différents éléments de la LDMR ?

A
  • Raccord.
  • Poignée ouverture/fermeture.
  • Sélecteur de jet.
  • Sélecteur de débit.
  • Poignée de préhension.
298
Q

Quelles sont les sortes de tuyaux existant ?

A
  • Tuyaux refoulement.
  • Tuyaux d’alimentation.
  • Tuyaux d’aspiration.
299
Q

Quels sont les différents types de raccord ?

A
  • Symétriques.
  • Aspiration – Refoulement.
  • Non symétriques.
  • À vis.
  • Intermédiaires et de réduction.
  • Raccord Y.
300
Q

Quels sont le poids, la longueur déployée et reployée du fléau ?

A
  • Longueur reployée 1,22 m.
  • Longueur déployée 1,71 m.
  • Poids 3,1 kg.
301
Q

Quelles sont les pièces de jonction ?

A
  • Raccord.
  • Coude d’alimentation.
  • Injecteur.
  • Division.
  • Retenue.