200.2 Flashcards

1
Q

Def victime

A

En SSUAP, une victime est une personne présente et concernée par un événement ou un état qu’elle subit :
• soit elle présente des sensations anormales, qu’elle se sache ou non malade.
• soit elle a subi un traumatisme, quelles que soient les circonstances et qu’il soit physique ou psychologique, immédiat ou retardé.
• De ce fait, des personnes initialement considérées comme des impliquées peuvent donc secondairement être prises en charge en tant que victimes psychologiques d’un événement ;
• soit elle est intoxiquée ;
• soit elle est atteinte de maladies mentales. Dans ce cas les secours sont généralement demandés par un tiers et la personne doit être considérée comme une victime, même si elle le réfute ;
• soit c’est une parturiente (femme qui accouche).

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2
Q

Def impliqué

A

personne qui n’a subi aucun dommage physique ou psychique immédiatement apparent, mais est directement liée à l’événement, compte tenu de sa proximité géographique avec des victimes.

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3
Q

Categorisation des victimes

A

Les victimes sont catégorisées selon les critères suivants :
• Victime décédée (DCD) ;
• Si elle nécessite une action de secours urgente (gestes de secourisme, mise sous oxygène …) et une possible
évacuation, elle est catégorisée :
- Victime en urgence absolue (UA) : lorsqu’elle présente un risque vital ou fonctionnel immédiat nécessitant des gestes de sauvegarde, des soins médicaux ou chirurgicaux sans délai ;
- Victime en urgence relative (UR) : lorsqu’elle ne présente pas de risque vital ou fonctionnel immédiat :
◦ qu’elle nécessite des soins et un transport, le plus souvent vers un service d’urgences ;
◦ ou qu’elle puisse être laissée sur place en vue d’une consultation simple à domicile ou en ville, programmée ou non, si besoin avec transport privé ou personnel.

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4
Q

La chaîne des secours

A

❶La sécurité.
❷L’alerte des services de secours.
❸La réalisation des gestes de secours par un témoin.
❹La prise en charge par les sapeurs-pompiers.
❺La médicalisation pré-hospitalière.
❻La prise en charge hospitalière.

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5
Q

Prise en charge par les sp

A

dispenser des soins d’urgence vitale ;
• stabiliser l’état de la victime ;
• assurer une surveillance étroite ;
• transmettre un bilan complet ou de demander un éventuel renfort médicalisé ;
• transporter, si nécessaire, la victime vers une structure hospitalière d’accueil.

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6
Q

Acteur de la chaîne des secours

A

• citoyen ;
• réserves communales de sécurité civile ;
• médecins libéraux et des entreprises de transport sanitaire agréées ;
• associations agréées de sécurité civile ;
• gendarmerie et police nationale ;
• sapeurs-pompiers, civils et militaires ;
• structures d’aide médicale urgente (SAMU) ;
• structures des urgences au niveau des hôpitaux (SU)…

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7
Q

Samu/smur/su

A

• Samu : structure d’aide médicale urgente (au lieu de service d’aide médicale urgente) ;
• SMUR : structure mobile d’urgence et de réanimation (au lieu de service mobile d’urgence et de réanimation) ;
• SU : structure des urgences (au lieu de service d’accueil des urgences (SAU)

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8
Q

Catégorisation des dispositifs prévisionnel de secours

A

• PAPS (point d’alerte et de premiers secours) ;
• DPS-PE (dispositif prévisionnel de secours de petite envergure) ;
• DPS-ME (dispositif prévisionnel de secours de moyenne envergure) ;
• DPS-GE (dispositif prévisionnel de secours de grande envergure).

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9
Q

Le sapeur-pompier de Paris est formé et entraîné pour agir

A

• seul lorsqu’il n’est pas en service ou en cas de nombreuses victimes ou dans le cadre de missions particulières liées au service ;
• en équipe constituée pour effectuer les missions de secours à victimes (SAV) ;
• dans le cadre de plans particuliers.

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10
Q

Le nombre important des interventions pour secours à victimes à la BSPP ne doit pas faire oublier certains grands
principes de base qui imposent :

A

• de respecter les règles d’hygiène et de sécurité individuelles et collectives ;
• d’adopter les règles liées à l’utilisation des véhicules;
• de prendre en compte la dimension psychique des personnes ;
• de savoir gérer ses propres émotions et celles des victimes.

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11
Q

L’importance que revêt l’abord de la victime pour tout le déroulement de l’intervention doit amener le sapeur- pompier à porter une attention particulière :

A

À ses paroles et au ton de sa voix
À son regard
À sa posture physique
Au contact physique

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12
Q

À sa prise de garde le personnel doit:

A

• vérifier et contrôler la présence, l’état et l’hygiène du matériel ;
• vérifier la présence, les dates de péremption et la quantité des consommables ;
• compléter ou remplacer les matériels et consommables, si nécessaire ;
• vérifier l’état et l’hygiène du véhicule et en assurer le bio-nettoyage

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13
Q

Le chef d’agres doit (à la prise de garde)

A

• s’enquérir et tenir compte de l’état de fatigue de ses équipiers ;
• vérifier la tenue et l’hygiène du personnel.

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14
Q

Avec le matériel de secours a victime en reconnaissance

A

• Radio
• Détecteur de monoxyde de
carbone
• Téléphone portable pour les
engins qui en sont munis
• Tablette eFIBI ou écritoire fiches
bilan
• Sac d’oxygénothérapie en fonction
de l’ODE
• Sac modulaire de premiers soins
avec pochettes adaptées à l’ordre
de départ
• DSA, appareil multiparamétrique
• Aspirateur de mucosités fonction
de l’ODE

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15
Q

Avec le matériel de secours à victime sur les voies en reconnaissance

A

• Idem (sav en reco)
• Plan dur
• Projecteur portatif
• Courts-circuiteurs (métro,sauf
VSAV)

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16
Q

Discrétion professionnelle

A

Les sapeurs-pompiers de Paris sont soumis à la discrétion professionnelle et n’ont donc pas le droit de divulguer des informations ou des documents concernant la BSPP sans l’accord de l’autorité hiérarchique sauf sur demande d’un magistrat.

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17
Q

Le secret professionnel

A

Les sapeurs-pompiers de Paris sont également soumis au secret professionnel qui s’applique à tout ce qui a été vu, entendu ou compris durant l’intervention.

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18
Q

Le secret professionnel est général et absolu sauf pour les cas suivants

A

• obligation pour les agents publics de dénoncer les crimes et délits dont ils ont connaissance à l’occasion de l’exercice de leur activité ;
• lorsque l’agent doit révéler une information à caractère confidentiel pour prouver son innocence dans une affaire pour laquelle il est mis en cause.

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19
Q

Cas police

A

• décès d’une victime :
- sur la voie publique ou dans un lieu public ;
- à domicile en l’absence de la famille.
• décès d’une victime par mort violente, ou suspecte
ou inattendue, quel que soit le lieu, avec ou sans famille sur les lieux
• accident du travail ayant entraîné un décès ou une blessure grave ;
• accident de circulation avec victime ou dégradation d’un bien public ;
• personne victime d’une agression
• victime mineure nécessitant une hospitalisation refusée par le représentant légal ;
• victime mineure ou dans l’impossibilité de pourvoir seule à son autonomie en raison de ses facultés mentales ou corporelles, en l’absence d’un représentant légal;
• victime présentant un danger pour elle-même, un tiers ou l’équipe de secours ;
• victime nécessitant une contrainte physique en particulier en cas d’admission en soins psychiatriques sur demande d’un tiers (SPDT) ainsi qu’en soins psychiatriques sur décision d’un représentant de l’État
(SPDRE) ;
• victime en état d’ébriété sur la voie publique ne faisant pas l’objet d’un transport en milieu hospitalier ;
• découverte d’arme sur ou à proximité immédiate de la victime;
• découverte de stupéfiants sur ou à proximité immédiate de la victime
• personne menaçante, violente ou injurieuse à l’égard des secours.

Par ailleurs, le chef d’agrès peut demander les forces de l’ordre dans tout autre cas où il l’estime nécessaire

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20
Q

Avant de quitter les lieux le personnel s’assure de

A

• la récupération de l’intégralité du matériel ;
• la récupération de tous les déchets de soins ;
• du nettoyage de la zone d’intervention et en particulier des traces de liquides biologiques

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21
Q

Au cours du transport le conducteur doit

A

• respecter le code de la route en particulier le port systématique de la ceinture de sécurité et les limitations
de vitesse ;
• adopter une conduite modérée, éviter toute conduite brutale et rapide, les variations brutales de vitesse, les virages trop serrés, passer doucement ou éviter les nids de poules, les ralentisseurs, les passages à niveau ; toutes situations qui peuvent augmenter une douleur ou
aggraver une détresse
• utiliser les avertisseurs lumineux en permanence pendant toute la durée du transport ;
• utiliser les avertisseurs sonores à la demande de la coordination médicale ou d’une équipe médicale sur les lieux lors du transport des victimes UA

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22
Q

L’état d’une victime peut s’aggraver rapidement pendant le transport. La surveillance consiste donc en une réévaluation de l’état de la victime

A

• en lui parlant pour contrôler l’état de conscience ;
• en contrôlant régulièrement sa respiration et sa circulation ;
• en recherchant une modification de ses plaintes;
• en appréciant l’aspect de sa peau ;
• en surveillant le matériel utilisé et en contrôlant l’efficacité des gestes de secours réalisés

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23
Q

SAED

A

• S = situation ;
• A = antécédents utiles ;
• E = évaluation ;
• D = demande

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24
Q

La responsabilité des secours n’est pas engagée si

A

• la victime est majeure et ne compte pas au nombre des majeurs protégés par mesure de justice à l’instar de la tutelle ;
• elle ne se trouve pas dans un état altérant ses capacités de discernement
• sa décision est éclairée, c’est-à-dire intervient en parfaite connaissance de la situation et des risques réellement encourus.

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25
Q

Def contention

A

La contention physique se définit comme l’utilisation de moyens, méthodes, matériels qui empêchent ou limitent les capacités de mobilisation volontaire de tout ou partie du corps, dans le but d’obtenir la sécurité pour une personne qui présente un comportement estimé dangereux ou mal adapté.

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26
Q

Cas de décès certain

A

• la décapitation (tête séparée du tronc) ;
• la putréfaction (signes de décomposition du cadavre) ;
• la raideur cadavérique (rigidité de l’ensemble des articulations)

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27
Q

Les différents systèmes

A

• le système neurologique
• le système respiratoire
• le système circulatoire
• le système locomoteur
• la peau
• le système digestif
• le système urinaire
• le système immunitaire
• le système endocrinien
• le système reproducteur,

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28
Q

Position anatomique de référence

A

• debout ;
• face à l’observateur ;
• pieds posés au sol ;
• bras légèrement écartés du corps ;
• pouces tournés vers l’extérieur, paumes des mains visibles ;
• tête perpendiculaire à l’axe des épaules ;
• regard horizontal ;
• sexe au repos (chez l’homme

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29
Q

3 plans de coupe

A

• le plan sagittal : il partage le corps ou un organe dans le sens de la longueur en 2 parties, l’une droite et l’autre gauche ;
• le plan frontal : il partage le corps ou un organe en partie antérieure et postérieure ;
• le plan transversal : il partage le corps ou un organe en partie supérieure ou inférieure.

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30
Q

Le corps est divisé en plusieurs parties

A

• la tête :
- crâne ;
- face ;
• le cou ;
• le tronc :
- thorax ;
- abdomen ;
- bassin ;
• les membres supérieurs :
- bras ;
- coude ;
- avant-bras ;
- poignet ;
- main ;
• les membres inférieurs :
- cuisse ;
- genou ;
- jambe ;
- cheville ;
- pied

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31
Q

3 composantes principales du système locomoteur

A

Os
Muscles
Articulations

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32
Q

Types d’os

A

• les os longs, tels que le tibia ;
• les os courts, tels que les os du carpe ou du tarse ;
• les os plats, tels que les côtes, l’omoplate ou la plupart des os du crâne ;
• les os irréguliers, tels que les vertèbres ou certains os du crâne ;
• les os sésamoïdes, comme la rotule (patella

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33
Q

Types d’articulation

A

▪ les articulations fixes, comme les os du crâne ;
▪ les articulations semi-mobiles, comme celles des vertèbres ;
▪ les articulations mobiles, comme l’épaule, le coude, la hanche, le genou…

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34
Q

6 Parties du squelette

A

• la tête ;
• la colonne vertébrale ;
• la cage thoracique ;
• le bassin ;
• les membres supérieurs ;
• les membres inférieurs.

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35
Q

2 parties de la têtes

A

Crâne
Face

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36
Q

Os du crâne

A

-frontal, formant le front et le haut des orbites ;
- l’os occipital, formant l’arrière du crâne ;
- les 2 os pariétaux, formant les parties latérales du haut du crâne ;
- les 2 os temporaux, situés sous les pariétaux ;
- l’os sphénoïde situé à la base du crâne, percé d’orifices au travers desquels passent les nerfs crâniens

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37
Q

Os de la face

A
  • la mandibules (ou maxillaire inferieur) ‘-le maxillaire supérieur
    ‘ -les deux malaires qui forment les pomettes
    ‘- les os propres du nez, auquels s’ajoute une partie de l’os frontal
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38
Q

Parties du Rachis

A
  • le rachis cervical : 7 vertèbres ;
  • le rachis thoracique (dorsal) : 12 vertèbres ;
  • le rachis lombaire: 5 vertèbres ;
  • le rachis sacré (ou sacrum) : 5 vertèbres soudées ;
  • le rachis coccygien (ou coccyx) : 4 ou 5 vertèbres soudées.
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39
Q

La cage thoracique est constitué de

A
  • le rachis thoracique (ou dorsal) en arrière ;
  • le sternum en avant ;
  • les côtes, au nombre de 24 (12 paires), en forme d’arc, relient le rachis et le sternum ;
  • les clavicules ;
  • les scapula (ou omoplates)
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40
Q

Le bassin

A
  • le sacrum et le coccyx en arrière ;
  • les deux os iliaques, de chaque côté, qui se réunissent en avant par une articulation fixe : le pubis
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41
Q

Membre sup

A
  • le bras, composé d’un os unique : l’humérus ;
  • l’avant-bras, composé du cubitus (interne) et du radius (externe) ;
  • la main, constituée des os du carpe, des métacarpiens et des phalanges.
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42
Q

Membre inf

A

• la cuisse, composée d’un os unique : le fémur ;
• la jambe, composée du tibia (interne) et de la fibula;
• le pied, constitué des os du tarse, des métatarsiens et des phalanges.

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43
Q

Les 4 cavités

A

• la cavité crânienne ;
• la cavité thoracique ;
• la cavité abdominale ;
• la cavité pelvienne.

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44
Q

La cavité thoracique contient

A

▪ les 2 poumons, latéralement ;
▪ le médiastin, espace situé entre les poumons et contenant, entre autres, le cœur, l’œsophage, la trachée, une partie de l’aorte, des nerfs.

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45
Q

La cavité abdominale contient

A
  • les organes de la digestion : estomac, intestin grêle,
    côlon (ou gros intestin), foie (et sa vésicule biliaire), pancréas ;
  • un organe du système immunitaire : la rate ;
  • les organes du système urinaire : les reins et les uretères. Les reins sont situés à l’arrière dans deux zones appelées les fosses lombaires.
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46
Q

La cavité pelvienne contient

A
  • le rectum et l’anus ;
  • la vessie ;
  • les organes génitaux internes.
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47
Q

La fonction nerveuse est constitué

A

Elle est constituée par des centres de commande, le cerveau et la moelle épinière, et des nerfs périphériques.

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48
Q

La fonction respiratoire a pour but

A

La fonction respiratoire a pour but d’amener l’O2 de l’air jusqu’aux poumons, où se font les échanges avec le sang, et de rejeter certains des déchets de l’organisme comme le dioxyde de carbone (CO2).

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49
Q

Phases du cycle respiratoire

A

Inspiratoire
Expiratoire

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50
Q

L’appareil respiratoire est composé

A

Voies aériennes supérieures
Voies aériennes inférieur
Poumons et plèvre

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51
Q

Les voies aériennes supérieures sont composées de

A

Nez bouche
Pharynx
Larynx

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52
Q

Les voies aériennes inférieures son composé de

A

Trachée
Bronches
Alvéoles pulmonaires

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53
Q

Rôle de la fonction circulatoire

A

• assure le transport de l’O2 des poumons vers tout l’organisme,
• participe à l’élimination des déchets produits par le travail des cellules (CO2, urée…),
• participe au bon fonctionnement de l’organisme en transportant des protéines, glucides, lipides, hormones, facteurs de coagulation…

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54
Q

3 éléments du système circulatoire

A

Cœur
vaisseaux sanguins
Sang

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55
Q

2 types de circulation

A

la petite circulation (circulation pulmonaire) entre le cœur et les poumons qui permet l’oxygénation du sang ;

la grande circulation entre le cœur et les organes.

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56
Q

3 types de vaisseaux sanguins

A
  • les artères qui partent du cœur et conduisent le sang vers tous les organes avec une pression élevée. Leur diamètre diminue à mesure que l’on s’éloigne du cœur ;
  • les capillaires, qui font suite aux petites artères dans les organes et constituent un réseau de distribution et d’échange des éléments transportés par le sang ;
  • les veines qui ramènent le sang des capillaires vers le cœur
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57
Q

Le sang est composé de

A

Globules rouges
Globules blancs
Plaquettes
Plasma

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58
Q

La survenue d’un trouble de la conscience entraîne chez un individu allongé

A

• une chute de la langue en arrière, par forte diminution du tonus musculaire, qui peut provoquer une obstruction des voies aériennes ;
• une diminution des réflexes, en particulier de déglutition, qui entraîne un encombrement des voies aériennes par l’écoulement, dans les voies respiratoires et les poumons, des liquides présents dans le pharynx (salive, sang, liquide gastrique). Cet encombrement
crée de graves dommages aux poumons

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59
Q

5 doigts de la main

A

• pouce ;
• index ;
• majeur ;
• annulaire ;
• auriculaire

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60
Q

Les os de la main

A
  • le carpe constitué de petits os, dont le scaphoïde organisés sur deux rangées ;
  • le métacarpe constitué de 5 os ou métacarpiens (un pour chaque doigt) ; il relie le poignet aux doigts et se trouve au niveau de la paume ;
  • les phalanges qui forment les doigts.
  • la phalange proximale ou 1re phalange (P1);
  • la phalange moyenne ou 2e phalange (P2) ;
  • la phalange distale ou 3e phalange (P3),
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61
Q

Le genoux est composé de

A

Fémur
Rotules ou patella
Tibia

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62
Q

La jambe est composé de

A
  • le tibia, qui s’articule dans sa partie supérieure au fémur par l’intermédiaire des plateaux tibiaux ;
  • la fibula ou péroné
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63
Q

Les os du pied

A
  • les os du tarse, dont le calcanéum qui est l’os du talon ;
  • les 5 os du métatarse (numérotés de 1 à 5 de l’intérieur vers l’extérieur) ;

▪ la phalange proximale ou 1re phalange (P1), qui relie l’orteil au métatarse ;
▪ la phalange moyenne ou 2e phalange (P2) (le 1er orteil n’en a pas) ;
▪ la phalange distale ou 3e phalange, qui porte l’ongle (P3).
▪ La plante du pied est la face inférieure du pied

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64
Q

2 systèmes travaillent simultanément pour assurer le fonctionnement global du système nerveux :

A

• le système nerveux central ;
• le système nerveux périphérique

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65
Q

Le système nerveux central est composé de

A

• du cerveau ;
• du tronc cérébral ;
• du cervelet ;
• de la moelle épinière

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66
Q

3 parties de l’encéphale

A

• le cerveau ;
• le tronc cérébral ;
• le cervelet

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67
Q

3 couches des méninges

A

• la dure-mère qui est la plus externe ;
• l’arachnoïde qui est au milieu ;
• la pie-mère qui est au contact du cerveau et de la moelle

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68
Q

Le système nerveux central est protégé par

A

• les os du crâne pour l’encéphale ;
• les vertèbres pour la moelle épinière ;
• les méninges et le liquide céphalo-rachidien pour l’ensemble.

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69
Q

Le système nerveux périphérique est composé de

A

Nerf rachidien
Nerf crânien

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70
Q

3 types de nerf

A

• les nerfs moteurs, qui prennent naissance dans le cerveau, la moelle épinière ou les ganglions du système
nerveux, et transmettent des influx aux organes ;
• les nerfs sensitifs, qui transmettent des informations de la périphérie vers les centres de la sensibilité du cerveau ;
• les nerfs mixtes qui acheminent des informations sensitives ou motrices. Ils ont un trajet particulier au niveau de la moelle.

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71
Q

Les organes de l’appareil respiratoire qui permettent d’assurer cette distribution sont

A

les voies aériennes supérieures, composées de la bouche, du nez et des fosses nasales, du pharynx et du larynx ;
• les voies aériennes inférieures, composées de la trachée, des bronches et bronchioles, et des poumons ;
• la cage thoracique et les muscles respiratoires.

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72
Q

le bon fonctionnement des échanges gazeux nécessite :

A

• un libre passage de l’air de l’extérieur jusqu’aux alvéoles pulmonaires ;
• une mécanique respiratoire correcte ;
• une intégrité des alvéoles pulmonaires ;
• un fonctionnement correct de la pompe cardiaque ;
• une intégrité du réseau vasculaire ;
• une quantité de sang circulant suffisante ;
• une quantité de globules rouges suffisante dans le sang

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73
Q

Le système cardio-vasculaire est divisé en 2 parties principales

A

• le système circulatoire, comprenant le cœur, agissant comme une pompe, et les vaisseaux sanguins, où circule le sang
• le système lymphatique

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74
Q

La fonction circu assure

A

• assure la distribution de l’O2 des poumons à tout l’organisme ;
• participe à l’élimination des déchets produits par le travail des cellules
• participe au bon fonctionnement de l’organisme en transportant des protéines, glucides, lipides, hormones,
facteurs de coagulation…

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75
Q

système circulatoire soit efficace, il faut

A

• une pompe avec une fréquence et une force d’éjection adaptée ;
• des vaisseaux capables de se contracter et se dilater ;
• un liquide circulant en quantité suffisante et de qualité (nombre de globules rouges qui transportent l’O2).

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76
Q

Le cœur est formé par 3 couches

A

Péricarde
Myocarde
Endocarde

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77
Q

La compréhension de l’organisation de la circulation sanguine repose sur le principe fondamental suivant :

A

• les artères quittent le cœur à partir des ventricules ;
• les veines reviennent au cœur au niveau des oreillettes ;
• la circulation est en sens unique

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78
Q

Composition du sang

A

Globules
Globules blancs
Plaquettes

79
Q

3 couches de la peau

A

Épiderme
Derme
Hypoderme

80
Q

Le derme contient

A
  • des vaisseaux sanguins ;
  • des vaisseaux lymphatiques ;
  • des terminaisons nerveuses sensitives ;
  • des glandes sudoripares et leurs canaux (sueur) ;
  • des poils et des glandes sébacées.B97
81
Q

Fonction de la peau

A

• protéger ;
• réguler la température ;
• informer l’organisme ;
• constituer un réservoir sanguin.

82
Q

La peau constitue une barrière contre

A

• l’invasion de germes (bactéries, virus champignons) ;
• les produits chimiques ;
• les agents physiques (traumatismes légers), les rayons ultraviolets ;
• la déshydratation.

83
Q

Composition du système urinaire

A

• les reins ;
• les uretères ;
• la vessie ;
• l’urètre.

84
Q

Composition du tube digestif

A

•la bouche ;
• le pharynx ;
• l’œsophage ;
• l’estomac ;
• l’intestin grêle ;
• le côlon ;
• le rectum ;
• le canal anal et l’anus.

85
Q

3 partie de l’intestin grêle

A

• le duodénum qui fait suite à l’estomac en entourant la tête du pancréas et mesure 25 cm ;
• le jéjunum ;
• l’iléon

86
Q

Système sensoriel

A

• l’ouïe ;
• la vue ;
• l’odorat ;
• le goût ;
• le toucher

87
Q

3 parties de l’oreille

A

• l’oreille externe ;
• l’oreille moyenne ;
• l’oreille interne.

88
Q

3 parties de l’œil

A

• le cristallin ;
• le corps vitré ;
• la rétine.

89
Q

Pour chaque plainte exprimée, et particulièrement pour la douleur, le sapeur-pompier doit demander à la victime de préciser

A

• Provoqué par… : les circonstances de survenue et le ou les facteurs déclenchants ;
• Qualités : ses caractéristiques : brûlures, oppression… ;
• Région du corps atteinte : sa localisation précise ;
• Sévérité : son intensité, qui doit être évaluée au moyen d’une échelle quand il s’agit d’une douleur, et son évolution ;
• Temps de la plainte (la durée et l’évolution dans le temps) : depuis combien de temps dure la plainte, en précisant si possible l’heure du début de la plainte ou de la douleur et son évolution (disparition, atténuation),
en précisant les facteurs aggravant ou calmant celle-ci.
Analyser une plainte revient dont à rechercher son « PQRST »

90
Q

La recherche de la sensibilité et de la motricité doit être effectuée lorsque l’on suspecte :

A

Traumatisme membre
Traumatisme du rachis
Atteinte cérébral

91
Q

Pour la motricité on chercher

A

• parésie une diminution de la force motrice ;
• paralysie une absence de mouvement

92
Q

Pour la sensibilité on cherche

A

• des fourmillements ;
• des sensations de décharge électrique ;
• une diminution ou une abolition de la sensibilité
(une anesthésie).

93
Q

Cas pupilles

A

• des troubles neurologiques ;
• une intoxication (médicaments, drogues, toxiques de guerre) ;
• un traumatisme de l’œil
• trauma crânien

94
Q

Les pupilles peuvent être

A

Intérmediaire
Myosis
Mydriase

95
Q

On effectue une palpation de l’abdomen lorsque

A

• en cas de douleur spontanée ;
• en l’absence de douleur spontanée s’il y a :
- une suspicion de traumatisme abdominal ;
- une détresse circulatoire sans origine évidente.

96
Q

La palpation de l’abdomen permet

A

• de préciser la localisation ;
• d’évaluer l’intensité de la douleur ;
• d’apprécier la souplesse et son évolution dans le temps, par des examens répétés

97
Q

L’abdomen peut être :

A

• indolore ou non ;
• être souple ;
• se défendre : contraction musculaire à l’endroit palpé ;
• présenter une contracture généralisée : c’est le « ventre de bois » qui ne se laisse pas déprimer.

98
Q

Le bilan circonstanciel permet de répondre aux questions suivantes

A

• que s’est-il passé avant l’appel des secours ?
• pour quelle raison avez-vous appelé ?
• existe-t-il un danger ?
• les secours sont-ils suffisants pour le moment ?
• les informations initiales en ma possession sont-elles correctes ?

99
Q

Selon l’état de la victime, Le bilan primaire détecte cinq situations principales

A

• la victime est consciente ;
• la victime est inconsciente, respire et :
- ne présente pas de signe de traumatisme ;
- présente des signes de traumatisme ;
• la victime est inconsciente et ne respire pas ;
• la victime est inconsciente, ne respire pas et ne présente pas de signe de circulation

100
Q

La partie systématique doit comporter la recherche des éléments suivants

A

• interrogatoire de la victime :
- analyse de la plainte de la victime (PQRST) ;
- recherche des antécédents de la victime (MHTA) ;
• éléments neurologiques :
- score de Glasgow ;
- les pertes de connaissance initiale et secondaire ;
• éléments respiratoires :
- la présence ou l’absence de dyspnée ;
- fréquence, amplitude et régularité sur une minute ;
- saturation en oxygène ;
• éléments circulatoires :
- fréquence et régularité sur une minute ;
- pression artérielle d’un côté, contrôlée du même coté 3 à 5 minutes après la première mesure.
• éléments communs à toutes les détresses :
- la présence ou l’absence de pâleur ;
- la présence ou l’absence de sueurs
• éléments lésionnels (victime blessée);
• éléments divers :
- température corporelle

101
Q

Les causes les plus fréquentes des pertes de connaissance sont :

A

Traumatique
Non traumatique

102
Q

Signe généraux des trouble et détresse neurologique

A

• perte de connaissance ;
• troubles de la conscience ;
• coma ;
• convulsions ;
• diminution ou perte de sensibilité ;
• diminution ou perte de motricité ;
• anomalie des réactions pupillaires ;
• altération de la parole ;
• troubles du comportement ;
• céphalées inhabituelles ;
• troubles de l’équilibre ;
• vertiges

103
Q

Les syncope sont consécutive à

A

• des réflexes neurologiques comme le syncope vagale ;
• une hypotension orthostatique comme dans la détresse circulatoire ;
• une pathologie cardiaque

104
Q

Coma

A

Il s’agit d’une altération de la conscience qui dure depuis plus de 5 minutes et qui peut être légère ou profonde.

105
Q

Un coma profond est souvent associé à

A

une chute de la langue, qui obstrue les voies aériennes
si la personne est sur le dos ;
• une perte du réflexe de déglutition et de toux avec possibilité de passage dans les bronches de vomissements, de sang, de salive, entraînant un état asphyxique aigu ;
• une détresse respiratoire par dépression des centres de la respiration (intoxication par drogue, par médicaments, traumatismes cérébraux, AVC, tumeurs…) ;
• une hypothermie grave

106
Q

Le transport non médicalisé
de certains types de comas

A

la phase comateuse qui suit la crise d’épilepsie.

107
Q

Les avc

A

Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) correspondent à un arrêt brutal de la circulation sanguine dans une partie du cerveau. Ils peuvent entraîner des séquelles irréversibles ou le décès de la victime. Les causes des AVC sont l’obstruction d’un vaisseau sanguin ou l’hémorragie

108
Q

Facteur de risque avc

A

• l’âge, qui fragilise les vaisseaux sanguins ;
• l’hypertension artérielle ;
• le diabète ;
• le cholestérol ;
• le tabagisme, l’alcoolisme ;
• les efforts (rupture d’anévrisme) ;
• certains traitements (anticoagulant, aspirine, pilule contraceptive) ;
• l’arythmie cardiaque

109
Q

2 types d’AVC

A

Type ischémique (85 %) - Type hémorragique (15 %)

110
Q

Contre indications à la réalisation d’un irm

A
  • pacemaker ou défibrillateur automatique implantable (DAI) ;
  • corps étrangers métalliques intraoculaires ou intracrâniens ;
  • certaines valves cardiaques de remplacement.
111
Q

UNV-USINV

A

unités neuro-vasculaires (UNV)
ou unités de soins intensifs
neuro-vaculaires (USINV)

112
Q

Cause de la crise convulsive

A

• causes cérébrales :
- maladie épileptique ;
- traumatisme crânien grave ;
- tumeur cérébrale ;
- malformations cérébrales ;
- maladies infectieuses (méningites, encéphalites…) ;
- séquelles d’AVC ou de chirurgie cérébrale.
• causes non cérébrales :
- hypoglycémie ;
- intoxications (médicaments, alcool, CO…) ;
- hyperthermie grave chez l’adulte et surtout chez l’enfant ;
- hypoxies ou anoxies ;
- baisse brutale de la pression artérielle y compris au début de l’arrêt cardiaque

113
Q

Phase de crise convulsive

A

Phase de début
Phase tonique
Phase clonique
Phase de récupération

114
Q

Facteur favorisant la crise convulsive chez un épileptique connu

A

• le manque de sommeil ;
• l’alcool ;
• la rupture du traitement (volontaire, par oubli, ou par
manque de médicament) ;
• les stimulations lumineuses intermittentes (stroboscope, jeux vidéo…).

115
Q

État de mal convulsif

A

• continue pendant plus de 5 minutes ;
• discontinue avec ou sans reprise de la conscience entre les crises, avec au moins deux crises.

116
Q

2 causes des méningites

A

Bactérienne et virale

117
Q

Signe méningite

A

• Les signes généraux d’un trouble ou d’une détresse neurologique :
- des signes neurologiques particuliers :
- une raideur de la nuque (douleur importante lors de la flexion de la tête) ou flexion impossible ;
- des céphalées violentes ;
- des nausées et, souvent, des vomissements en jet ,
- une photophobie ;
- une position en chien de fusil ;
• des signes infectieux :
- une fièvre ;
- un purpura (taches rouges ne disparaissant pas à la pression) ;
• des signes de détresse circulatoire ou respiratoire

118
Q

Ces situations peuvent entraîner des détresse respiratoire

A

• une insuffisance d’O2 dans l’air inspiré -
• une insuffisance du débit d’air dans les poumons -
• une perturbation des échanges gazeux alvéolaires - une perturbation des échanges gazeux cellulaires - une atteinte des commandes nerveuses de la respiration

119
Q

Signes d’une obva

A

• ne peut plus parler ou fait un signe « oui » de la tête lorsqu’on lui demande si elle s’étouffe ;
• ne peut pas crier ou pleurer s’il s’agit d’un enfant ;
• aucun son n’est audible hormis, parfois, le bruit de l’effort respiratoire (obstruction quasi totale) ;
• garde la bouche ouverte ;
• ne peut pas tousser ;
• ne peut pas respirer ou fait des efforts respiratoires sans que l’air ne sorte ou ne rentre.

120
Q

2 types d obva

A

• complète (ou quasi complète) : le passage de l’air dans les voies aériennes (VA) est interrompu, ou quasiment interrompu ;
• partielle : le passage de l’air dans les VA est perturbé mais n’est pas interrompu. Elle peut évoluer vers une obstruction totale et avoir les mêmes conséquences

121
Q

Les facteurs de gravité de la crise d’asthme sont

A

la sévérité des signes de détresse respiratoire ;
• les antécédents de réanimation et d’intubation ;
• la résistance au traitement entrepris ;
• la survenue très rapide de la crise suite au contact avec une substance connue pour provoquer une allergie ;
• l’âge (en pédiatrie, le diamètre des bronchioles est plus petit et l’obstruction plus importante)

122
Q

Les différents types de choc

A

• choc cardiogénique quand l’origine est une défaillance cardiaque ;
• choc hypovolémique quand il n’y a pas assez de volume sanguin ; le choc hémorragique est un choc
hypovolémique ;
• choc allergique ou anaphylactique quand l’origine est une allergie aiguë. Il existe un choc qui associe les 3 mécanismes et qui est la conséquence d’une infection sévère : le choc septique

123
Q

Signes généraux des troubles et des
détresses circulatoires

A

• signes circulatoires (exprimant la défaillance de l’appareil circulatoire) :
- tachycardie, bradycardie, arythmie ;
- pouls mal frappé, voire imperceptible, niveau radial puis au niveau carotidien
- pression artérielle basse ;
- temps de recoloration cutanée (TRC) allongé ;
- sensation de soif.
• aspect de la peau (évocateur d’une vasoconstriction) :
- pâleur cutanée, signe commun à toutes les détresses, accentué en cas d’hémorragie ;
- conjonctives décolorées ;
- froideur cutanée en particulier des extrémités ;
- impossibilité de mesurer la SPO2 ;
- marbrures ;
- sueurs, signe commun à toutes les détresses.
• autres signes dus à l’interaction des grandes fonctions vitales :
- signes respiratoires associés : respiration rapide et superficielle;
- signes de souffrance cérébrale :
▪ vertiges en position assise ou debout, angoisse, agitation ;
▪ troubles de la conscience, coma
- impossibilité de se tenir assis, debout ou de se déplacer : personne gisante

124
Q

Def arrêt cardiaque

A

L’arrêt cardiaque se caractérise par la cessation de toute activité mécanique efficace du cœur, confirmée par l’absence de conscience, de ventilation et de pouls carotidien

125
Q

La rcp permet de

A

• de suppléer l’arrêt de la circulation sanguine par des compressions thoraciques régulières ;
• de normaliser éventuellement un fonctionnement anarchique du cœur grâce à un choc électrique délivré par un DAE ;
• de suppléer la respiration défaillante par une respiration
artificielle

126
Q

Hémorragie interne extérioriser

A
  • le nez : épistaxis ;
  • les oreilles : otorragie ;
  • la bouche :
    ▪ vomissements : hématémèse ;
    ▪ toux : hémoptysie, crachats rosés ;
  • le vagin :
    ▪ en dehors des règles : métrorragie ;
    ▪ règles abondantes ou augmentation de la durée des
    règles : ménorragie ;
  • l’anus :
    ▪ sang rouge non digéré : rectorragie ;
    ▪ sang noir, digéré d’odeur fétide : melæna ;
  • l’urètre : hématurie.
127
Q

Douleur thoracique typique

A

• médio-thoracique;
• rétro-sternale;
• constrictive (sensation d’avoir le cœur serré dans un étau, écrasé) ;
• parfois irradiante dans le membre supérieur gauche, le cou, la mâchoire, le dos, voire le membre supérieur droit ;
• le plus souvent non modifiée par l’inspiration profonde, les mouvements spontanés de la victime, une palpation du thorax

128
Q

Les agents infectieux

A

• les bactéries ;
• les virus;
• les champignons
• les parasites ;
• les prions

129
Q

Traitement contre les maladies infectieuses

A

• les antibiotiques contre les bactéries ;
• les antiparasitaires contre les parasites ;
• les antifongiques contre les champignons ;
• les antiviraux contre les virus. Pour les maladies à prions, il n’existe pas de traitement :
• la vaccination ;
• la protection contre la contamination

130
Q

Sida/vih

A

syndrome d’immunodéficience acquise

virus de l’immunodéficience humaine,

131
Q

Les hépatites virales se transmettent par

A

• par voie digestive pour l’hépatite A ;
• par voie sanguine ou sexuelle pour l’hépatite B et C.

132
Q

Signes du syndrome respiratoire aiguë

A
  • une fièvre supérieure à 38°C ;
  • des signes respiratoires (toux et dyspnée) ;
  • des douleurs musculaires ;
  • des céphalées ;
  • des diarrhées
133
Q

Valeur de la glycémie

A

Unités g/l mg/dl mmol/l
Normales à jeun 0,8 à 1,2 80 à 120 4,6 à 6,6
Hypoglycémie < 0,6 < 60 < 3,3

134
Q

Signes spécifiques d’une hypoglycémie

A
  • liés au manque de glucose au niveau cérébral :
    ▪ fatigue ;
    ▪ troubles de la vue ;
    ▪ idées lentes, parole lente et confuse ;
    ▪ troubles psychiatriques ;
    ▪ agitation, agressivité ;
    ▪ état ébrieux sans prise d’alcool ;
    ▪ convulsions ou coma.
  • liés à des réponses réflexes du corps (par sécrétion d’adrénaline) :
    ▪ pâleur ;
    ▪ sueurs ;
    ▪ faim ;
    ▪ tremblements ;
    ▪ tachycardie
135
Q

Signe à rechercher pour une cirrhose

A

un ictère dû à l’insuffisance hépatique ;
• un gonflement de l’abdomen (ascite) ;
• une hématémèse, parfois importante par rupture de varices œsophagiennes ;
• un état de choc hémorragique.

136
Q

Signe de la drepanocytose

A

des douleurs musculaires, thoraciques, abdominales ou osseuses, parfois intolérables ;
• les signes d’un AVC ;
• de la fièvre ;
• une pâleur ou un ictère ;
• une tachycardie ;
• un essoufflement ;
• un priapisme (érection prolongée et douloureuse

137
Q

3 types de stress

A

• le stress adaptatif
•le stress différé
• le stress dépassé

139
Q

Les comportements inhabituels les plus fréquents

A

• l’angoisse ;
• l’agitation ;
• l’état de stupeur (sidération du stress dépassé) ;
• l’agressivité ou la violence.

140
Q

Dsi

A

Dose supposé ingéré

141
Q

Les intoxications peuvent se faire par

A

• digestive par ingestion ;
• respiratoire par inhalation de gaz ou d’aérosols ;
• cutanéo-muqueuse

142
Q

Intoxication à l’alcool

A

provoque
‘-dans un premier temps des troubles du comportement :
excitation psychomotrice, désinhibition, euphorie ;
• puis une désadaptation avec des propos incohérents
et des troubles neurologiques : incoordination motrice
(démarche ébrieuse), émoussement des réflexes,
altération de la vision, parole difficile. Cette phase est
la plus dangereuse car elle est responsable de chutes,
d’accidents de circulation, de rixes

143
Q

Intoxication au co

A

• des signes généraux de détresse ou de trouble neurologique, respiratoire ou circulatoire notamment un trouble de la conscience pouvant aller jusqu’au
coma ;
• des céphalées ;
• des nausées ou des vomissements
• des vertiges ;
• une sensation de faiblesse ou de fatigue ;
• des convulsions ;
• des douleurs musculaires ;
• une incapacité à se déplacer.

144
Q

Les 4 types de blast

A

• le blast primaire qui entraîne des lésions provoquées par la surpression due à l’onde de choc. Il peut se produire à l’air libre, dans l’eau ou au contact de surfaces solides ;
• le blast secondaire qui entraîne des lésions par la projection de matériaux sur la victime, en raison du déplacement d’air généré par l’explosion (souffle) ;
• le blast tertiaire qui donne des lésions par projection de l’individu lui-même si le souffle est très puissant ;
• le blast quaternaire est représenté par les brûlures externes ou des voies aériennes, par les intoxications dues aux fumées ou aux produits industriels, par des lésions dues à un ensevelissement ou à une incarcération

145
Q

Le crush syndrome peut entraîner

A

une détresse circulatoire ;
• un arrêt cardiaque, juste après le dégagement ;
• une insuffisance rénale plus tardive, qui sans dialyse, peut entraîner la mort

146
Q

Phase de la noyade

A

• stade 1 : l’aquastress.
• stade 2 : le petit hypoxique.
• stade 3 : le grand hypoxique.
• stade 4 : l’anoxique.

147
Q

Les critères permettant d’évaluer la gravité d’une plaie sont

A

• le mécanisme de formation ;
• le type et la profondeur ;
• la localisation et les complications possibles.

148
Q

Différent type de plaie

A

• l’écorchure ou éraflure
- la coupure
- la plaie punctiforme
- la plaie délabrante, ou lacération

149
Q

La plaie simple

A

Une plaie est considérée comme simple lorsqu’il s’agit d’une écorchure, d’une éraflure ou d’une coupure unique, peu profonde, non hémorragique.

150
Q

Les plaies sérieuses

A

• qu’elle présente un saignement abondant mais contrôlable par une compression manuelle et un
pansement compressif ;
• qu’elle est pénétrante au niveau :
- de la face ;
- de la main ;
- du pied ;
- d’une articulation ;
- de l’œil ;
- d’un orifice naturel.
• qu’il existe un corps étranger dans la plaie ou qu’elle est
en regard d’un foyer de fracture.

151
Q

Plaie grave

A

• qu’elle est pénétrante au niveau :
- du cou ;
- du thorax ;
- de l’abdomen.
• qu’elle est associée à un délabrement des masses musculaires ;
• qu’elle s’accompagne d’une hémorragie artérielle

152
Q

La brûlure est une lésion qui peut toucher

A

• la peau de façon plus ou moins étendue et plus ou moins profonde ;
• les masses musculaires ;
• les voies aériennes ;
• le tube digestif ;
• les yeux.

153
Q

Critères de gravité de la brûlure

A

• la cause ;
• la profondeur ;
• l’étendue ;
• la localisation ;
• l’âge et les antécédents.

154
Q

Origine des brûlures

A

• thermique (chaleur, froid) ;
• électrique (électrisation ou électrocution, foudre) ;
• chimique (acides, bases) ;
• mécanique (frottements) ;
• radiante ou irradiante (soleil, radioactivité)

155
Q

Règles des 9 de. Wallace

A

chaque membre supérieur représente 9 % ;
• chaque membre inférieur représente 18 % ;
• le tronc (thorax et l’abdomen) représente 18 % par face
soit 36 % ;
• la tête représente 9 % ;
• les parties génitales représentent 1 %

156
Q

Brûlure simple

A

une brûlure du premier degré d’origine thermique ou par rayonnement solaire, sauf si elle est très étendue particulièrement chez l’enfant et le nourrisson ;
• une brûlure du deuxième degré d’origine thermique dont la surface totale représente moins de la moitié de la face palmaire de la main de la victime (0,5 %) et qui ne présente pas les critères de gravité suivants :
- brûlure du visage ;
- brûlure du cou ;
- brûlure de l’œil ;
- brûlure des mains ;
- brûlure des plis de flexion ;
- brûlure à proximité d’un orifice naturel ;
- brûlure localisée au niveau des voies aériennes
supérieures.

157
Q

Brûlure sérieuse

A

• une brûlure du premier degré d’origine thermique ou par rayonnement solaire très étendue particulièrement
chez l’enfant et le nourrisson ;
• une brûlure du 2e degré d’origine thermique dont la surface totale est supérieure à 0,5 % et inférieure à :
- 5 % chez le nourrisson ;
- 10 % chez l’enfant ou l’adulte de plus de 60 ans ;
- 15 % chez l’adulte.
Une brûlure thermique du second degré qui se situe :
- au visage ;
- au cou ;
- à l’œil ;
- aux mains ;
- aux plis de flexion ;
- à proximité d’un orifice naturel.

158
Q

Brûlure grave

A

• une brûlure du 2e degré :
- dont la surface totale est supérieure à :
▪ 5 % chez le nourrisson ;
▪ 10 % chez l’enfant ou l’adulte de plus de 60 ans ;
▪ 15 % chez l’adulte.
ou qui présente les critères de gravité suivants :
▪ brûlure circulaire ;
▪ brûlure localisée au niveau des voies aériennes supérieures ;
• une brûlure du 3e degré quelle que soit sa surface ou sa localisation.

159
Q

Grossesse et parité

A

On parle de « parité » pour le nombre d’enfants mis au monde et de « gestité » pour le nombre de grossesses en comptant les interruptions volontaires de grossesse (IVG) et les fausses couches

160
Q

Extrême prématuré

A

lorsque la naissance a lieu
avant 28 semaines SA ;

161
Q

Grande prématurée

A

lorsque la naissance à lieu
entre 28 et 33 semaines SA.

162
Q

2 façons d’évaluer l’âge de la grossesse

A

• le nombre de semaines de grossesse (SG) ;
• le nombre de semaines d’aménorrhée (SA).

163
Q

Localisation des GEU

A

GEU abdominal - GEU tubaire - GEU ovarienne

164
Q

GEU rechercher ou apprécier

A

• les signes d’une détresse circulatoire ;
• une extrême faiblesse ;
• la présence d’un saignement vaginal ;
• une PCI.

165
Q

L éclampsie

A

L’éclampsie se manifeste par l’apparition de convulsions chez une femme enceinte épileptique ou non. C’est une complication possible de la pré-éclampsie (hypertension artérielle de la femme enceinte accompagnée, entre autres, de la présence de protéines dans les urines). Elle se manifeste au 3 e trimestre de la grossesse mais peut également se manifester lors de l’accouchement voire après et menace la vie de la mère et du fœtus

166
Q

Expulsion du placenta

A

dans un délai de 30 minutes
maximum après l’accouchement.

167
Q

L’évalua du nouveau née montre

A

• une respiration ample, sans blocage ni pause ;
• un cri vigoureux ;
• un tonus vif.

168
Q

Les différents types de traumatismes

A
  • Traumatisme pénétrant
  • Traumatisme contondant par compression
  • Traumatisme contondant par cisaillement
169
Q

2 types d’entorse

A

• l’entorse simple qui correspond à un étirement modéré
des ligaments ;
• l’entorse grave qui correspond à une rupture partielle
ou totale des ligaments, voire à un arrachement osseux

170
Q

2 types de fractures

A

• la fracture simple : l’os est cassé et il n’existe pas de lésion associée visible, ni de déformation importante ;
• la fracture compliquée, s’il existe :
- une angulation importante;
- une plaie en regard du foyer de fracture ou un délabrement des parties musculaires;
- des lésions des structures adjacentes
- des fractures multiples

171
Q

Trois types de mécanismes sont à l’origine d’une fracture :

A

•mécanisme direct
• mécanisme indirect
• mécanisme par torsion.

172
Q

Les différents types de fractures du crâne

A
  • Trait de fracture simple
  • Embarrure
  • Embarrure avec issue de matière cérébrale
173
Q

Les hématomes intracrâniens

A

Hématome extra-dural
Hématome sous-dural
Hématome intracérébral

174
Q

Les atteintes du rachis

A

-Fracture de vertèbre avec -compression de la moelle épinière
Section de la moelle épinière

175
Q

Différent types de fracture du bassin

A

Fracture simple
Fracture complexe

176
Q

l’air bag n’est pas déclenché, il faut respecter la distance de sécurité :

A

• 60 cm pour l’air bag conducteur ;
• 30 cm pour l’air bag rideau ;
• 90 cm pour l’air bag passager.

177
Q

En secours routier, Lorsqu’il est au contact de la victime il doit obligatoirement être porteur :

A

• de la veste SPF1 ou de la parka ;
• du gilet de sécurité haute visibilité ;
• de gants à usage unique ;
• du casque si les risques l’imposent.

178
Q

Lorsqu’il intervient sur le véhicule, il doit obligatoirement être porteur

A

• de la veste SPF1 ou de la parka ;
• du gilet de sécurité haute visibilité ;
• des gants de déblai ;
• du casque

179
Q

Tous les moyens de relevage

A

Le brancard pliant à compas sans têtière
Le brancard pliant - Le brancard principal - Le brancard catastrophe - Le brancard pour aéronefs - La chaise de transport - Le brancard cuillère - La planche d’immobilisation synthétique normalisée - Le matelas immobilisateur à dépression - L’alèse portoir - Le brancard souple - Le brancard « Piguillem » - La barquette - civières pour hélicoptères

180
Q

Les techniques de relevage

A

Pont néerlandais à 3 équipiers - Pont simple - Pont néerlandais à 4 équipiers - Pont amélioré - Relevage au moyen du brancard cuillère - Transfert d’une victime du lit au brancard à 3 avec la technique de la cuillère - Relevage d’une victime à l’aide d’une alèse portoir - Relevage d’une victime en position particulière

181
Q

Pour l’immo du rachis et du bassin (matériel)

A
  • le collier cervical ;
  • la planche d’immobilisation synthétique normalisée avec immobilisateur de tête plan dur
  • l’attelle cervico-thoracique ;
  • le matelas immobilisateur à dépression.
182
Q

Pour l’immo des membres (matériel)

A
  • les écharpes ;
  • les attelles à dépression ;
  • les attelles en traction (uniquement dans les AR).
183
Q

La contamination se fait

A

• par contact :
- direct : par les mains ou par l’intermédiaire de liquides
biologiques ;
- indirect : par le biais de matériels, des surfaces du véhicule, des
déchets d’activité de soins à risque infectieux (DASRI) ;
• par voie aéroportée :
- par de fines gouttes d’eau produites par la parole, la toux, l’éternuement, et qui contiennent les
micro-organismes présents dans les voies aériennes et digestives supérieures ;
- par de petites particules en suspension dans l’air
• par ingestion : l’eau, les aliments, les médicaments périmés… ;
• par vecteurs : mouches, moustiques, parasites…

184
Q

DAOM/DASRI

A

les déchets assimilables à des ordures ménagères

déchets d’activité de soins à risques infectieux

185
Q

Dès qu’ils sont en présence d’une victime porteuse d’ectoparasites, ils doivent :

A

• renforcer le lavage des mains ;
• s’équiper de surtenues à usage unique type casaque et charlotte, en plus des gants ;
• limiter les contacts avec la victime, en particulier avec la peau et les vêtements ;
• isoler, dès que possible, la victime de son environnement en l’emballant dans une couverture isothermique et en la coiffant d’une charlotte

186
Q

Pour les situations d’attentat présentant de nombreuses victimes, l’État élargit la notion de victimes qui inclut alors :

A
  • les personnes décédées ;
  • les personnes blessées dont l’état nécessite la prise en charge immédiate par les secours ;
  • les impliqués dont certains nécessiteront éventuellement une prise en charge médico-psychologique
187
Q

D’autres facteurs peuvent aggraver l’état des victimes et perturber le travail des sapeurs-pompiers:

A

• les conditions météorologiques : pluie, froid, neige ou chaleur excessive ;
• la nuit ;
• la fumée, des émanations toxiques ;
• les mouvements de panique, les mouvements ou l’agressivité de la foule

188
Q

Chez le petit enfant qui ne parle pas encore, le nourrisson et le nouveau-né, la douleur s’estime par l’observation. Sont pris en compte :

A

• l’agitation ;
• les pleurs ;
• les grimaces ;
• la prise d’une attitude antalgique ;
• la prostration ;
• le refus d’être touché

189
Q

Chez le petit enfant qui parle, on évalue la réponse verbale à la stimulation comme suit

A
  • V5 : parle comme d’habitude ;
  • V4 : mots ;
  • V3 : sons ;
  • V2 : cris, gémissements ;
  • V1 : rien
190
Q

Chez le tout-petit, devant toute difficulté à respirer, il faut rechercher, en plus des signes classiques

A
  • encombrement nasal ;
  • battement des ailes du nez (car respire par le nez exclusivement les premiers mois) ;
  • balancement thoraco-abdominal ;
  • tirage des muscles du cou ;
  • tirage intercostal
191
Q

éléments témoignant d’une infection grave :

A

• les signes de détresse circulatoire (choc septique) ;
• un purpura ;
• l’altération de l’état général ;
• l’incapacité de l’enfant à boire ;
• une hypotonie ;
• les frissons ;

192
Q

MIN

A

La mort inattendue du nourrisson