2 - La mémoire Flashcards

1
Q

Pourquoi le concept de mémoire et fondamentale ?

A

Car la mémoire intervient dans toutes les activités quotidiennes, elle est la clef de voute de nos activités

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2
Q

Quelles sont les aptitudes de la mémoire ?

A

La mémoire permet le souvenir et donc de discerner le temps.

Et permet également de réactiver partiellement ou totalement, erroné ou non les évènements du passé

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3
Q

Qui a fait la première description de différentes mémoire et quelles étaient ces description ?

A

Les premiers à décrire différents mémoires sont Atkinson et Shiffrin (1968), Ils parlèrent de magasins(mémoire) sensorieldont une partie accéderait à la MCT et ensuite une partie de la MCT accèderait à la MLT.

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4
Q

Combien de temps dure la mémoire à court terme ?

A

Entre 10 et 20 secondes

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5
Q

Pour une ligne de chiffre stockée dans la mémoire à court terme qu’elle est la moyenne de chiffres retenus ?

A

7±2

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6
Q

Définir la notion de chunks.

A

Les regroupements aident à la mémorisation, ce n’est pas le nombre d’éléments purs qui limitent la mémoire, c’est le nombre d’éléments significatifs(chunks).

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7
Q

Donner un exemple démontrant la notion de chunks.

A

Un mot à 2,3 ou 4 syllabes est aussi bien retenu qu’une phrase de 2,3 ou 4 mots.

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8
Q

Quel est l’argument principal ayant conduit les chercheurs a penser que qu’il existait la MCT et la MLT ?

A

C’est l’effet de position, indiquant que quand on retient un suite de mots les premiers et les derniers sont mieux retenus qui indiquant aux chercheurs la possible existence de deux mémoires.

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9
Q

Selon quoi se ferait le transfert de la MCT à la MLT ?

A

Selon la durée de stockage en MCT et de la durée de révision mentale

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10
Q

Qui créa la théorie de la mémoire de travail ?

A

Baddeley et Hitch en 1974

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11
Q

Quel est le modèle basique de la mémoire de travail ?

A

Un système de contrôle de l’attention “administrateur central” supervise et coordonne deux systèmes ‘esclaves’ auxiliaires (boucle phonologique et le calepin visuo-spatiale)

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12
Q

Quelles sont les deux composantes de la boucle phonologique ?

A
  • Une unité de stockage contenant les informations provenant du langage(retenant 2 secondes)
  • Un processus de contrôle articulatoire basé sur le langage interne(rafraichissement des 2 secondes)
  • > répétition sub-vocale
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13
Q

Quelles sont les effets que cette boucle phonologique explique ?

A

-l’effet de similarité phonologique
Les mots se ressemblant sont plus difficiles à retenir en même temps
-l’effet d’écoute inattentive
Les éléments externe même si non écoutés on tout de même un accès à l’unité de stockage phonologique
-l’effet de longueur des mots
Les mots plus long sont plus difficiles à être rappelé (facteur est durée de prononciation)
-les effets de suppression articulatoire
Ce sont les effets que l’on obtient en bloquant le mécanisme d’auto-répétition sub-vocale
Ils sont la disparition de l’effet de longueur des mots, la disparition de l’effet de similarité phonologique.

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14
Q

Qu’est-ce que le calepin visuo-spatiale ?

A

C’est un système parallèle à la boucle phono, mais pas concurrent,
il est responsable de l’établissement et de la manipulation des images mentales

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15
Q

Comment met-on en mémoire ?

A

L’étape d’encodage consiste en la transformation d’informations en trace mnésique.
L’important n’est pas avoir l’intention d’apprendre, mais bien le traitement réalisé à l’encodage.

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16
Q

Quel rôle joue la motivation dans les apprentissages ?

A

La motivation apporte de la positivité, donc on est plus disposé à apprendre, et on va y passer plus de temps.
Mais la motivation n’améliore pas la performance d’apprentissage.

17
Q

Qu’est-ce que proposent Craik et Lockart en 1972 ?

A

Ils propose que la perception d’un stimulus implique une analyse à différents niveaux de profondeur:

  • Le niveau superficiel, caractéristiques physique, visuelle
  • Les niveaux profonds font référence à la reconnaissance de forme et à l’extraction de signification.
18
Q

Qu’est-ce qui détermine la rétention en mémoire de quelque chose ?

A

La qualité de l’apprentissage et non pas la quantité de traitement effectué.

19
Q

Ce qui est stockée en mémoire est une combinaison …

A

…d’informations entre le matériel et le contexte.

20
Q

Quel est le nom de la pathologie ou l’on ne peut pas oublier ?

A

L’hyperthymestie.

21
Q

Quels sont les facteurs de l’oubli ?

A

-L’estompage ou oubli passif, par passage du temps,
-Les interférences, oubli par l’interférence de l’info déjà en mémoire ou de l’info nouvelle :
Deux types d’interférences ont été étudiées:
-proactive(interférence a été apprise avant X) et
-rétroactive (l’interférence a été apprise après X)
L’interférence proactive est celle qui semble être vrai
-L’Oubli selon variation de contexte (ex plongeur-> si apprentissage sous l’eau, oubli à terre et inversement).

22
Q

Est-ce que la congruence du contexte interne et des émotions entre l’apprentissage et la récupération peuvent faciliter la récupération ?

A

Oui

23
Q

Donner les 5 façons d’améliorer sa mémorisation :

A

-Procédés mnémotechniques:
Soit basés sur l’imagerie visuelle soit sur le langage, (ex:trajet dans la maison, 500 avJC)
-Récupérer de façon répétées
Des actions de récupération de façon répétés sont beaucoup plus efficace que des apprentissages supplémentaires
-La variation des contextes de récupération
Le rappel est alors plus compliqué mais le rappel à long terme est considérablement amélioré
-Importance d’une auto-évaluation correct
connaissances des différentes actions réalisés au cours des processus d’apprentissage (stratégies, allocation de temps, décision pour améliorer l’encodage)
-Fragmenter les apprentissage
Apprendre peu mais souvent.

24
Q

Décrire la différence entre mémoire déclarative et procédurale :

A

-La mémoire procédurale est la mémoire du “knowing how” et contient les infos sur de nombreux “skills” perceptivo-motrices et cognitives
La mémorisation nécessite ici une pratique prolongée procédures qui se font généralement sans contexte verbale et sont même difficile à décrire verbalement
-La mémoire déclarative ou propositionnelle fait références aux connaissance sur des faits “knowing that” et il est courant de la subdiviser en 2 parties
mémoire sémantique et mémoire épisodique.

25
Q

Que définissent les subdivisons de la mémoire déclarative que sont les mémoire sémantiques et épisodique ?

A
  • La mémoire sémantique qui possède une grande stabilité et est peu modifié par les contextes de récupération, et est constitué par des concepts ou connaissances générales
  • La mémoire épisodique est beaucoup plus flexible et sensible aux variations contextuelles, elle est constitué d’évènements.
26
Q

Expliquer ce que sont les mémoires explicites et implicites.

A
  • La mémoire implicite se manifeste dans des tâche qui ne requièrent pas une récupération consciente
  • La mémoire explicite recouvre les tâches de mémoire direct ds laquelle la récupération d’infos antérieur est consciente et même prescrite
27
Q

Quels sont les détails concernant la mémoire autobiographique ?

A

Elle concerne les souvenirs personnelles, est difficile à étudier car il faut trier ce qui relève de modifications et des reconstructions de la réalité.
Et elle varie énormément en fonction de l’âge dont date les souvenirs (on se souvient beaucoup plus de ses 21-30 ans et à partir de 61 que vers 40-50 ans).

28
Q

Est-ce que des informations introduites à posteriori peuvent modifier le rappel d’un souvenir ?

A

Oui

29
Q

Qu’est-ce que la mémoire flash ?

A

Cette mémoire recouvre la mémorisation avec détails d’un évènement surprenant très important (mort de Kennedy)
Bien que précise cette mémoire ne soit pas forcément correct.

30
Q

Qu’est-ce que la mémoire prospective ?

A

La mémoire des actions à réaliser ultérieurement.