121 exam finallll Flashcards

1
Q

étapes de transmission des infections

A
  • agent microbien
  • réservoir
  • porte de sortie
  • mode de transmission
  • porte d’entrée
  • hôte réceptif
  • recommence
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2
Q

bactérie vs virus- lequel nécessite un antibio?

A

bactérie

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3
Q

modes de transmission possible + exemples

A
  • gouttelettes: grosses particules respirables jusqu’à 2m
  • contact direct: peau ou liquide de deux personnes
  • aérienne: fines particules en suspension dans l’air
  • véhicule commun: aliment, fiole, soluté
  • insectes vecteurs: maladie de lyme ou malaria
  • multiple: plusieurs modes (Zika)
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4
Q

exemples pour aider à ne pas spread les virus?

A

PCI
prévention et contrôle des infections
se laver les mains

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5
Q

étapes pré exécutoires générales

A
  1. consulter le plan/PTI
  2. vérifier l’ordonnance
  3. gather le matériel
  4. hygiène des mains
  5. bracelet d’identité
  6. explication au patient
  7. désinfecter surface de travail ( et mains)
  8. environnement propre
  9. assurer l’intimité du patient
  10. ajuster la hauteur du lit
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6
Q

étapes post exécutoires

A
  1. replacer la personne dans le lit confortablement
  2. cloche d’appel à portée de mains
  3. hygiène des mains
  4. consigner méthode de soins dans notes
  5. rédiger les constats
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7
Q

les rôles et responsabilité de l’infirmière (3)

par rapport au meds/prescription

A
  • savoir lire et interpréter les ordonnances médicales avec précision
  • s’assurer que la médication fournie par la pharmacie est conforme à l’ordonnance
  • le principe à l’origine de la responsabilité et son jugement professionnel (utiliser jugement)
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8
Q

objectifs de l’administration de médicaments (pdt)

A
  1. administrer le médicament de façon sécuritaire (éviter les accidents et incidents)
  2. assurer le suivi de la médication de façon sécuritaire (évaluer la réponse au traitement et gérer une erreur de med)
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9
Q

avantages (5) et désavantages des médicaments solides + caractéristiques

A

AV: simple, non douloureux, non anxiogène, dosage facile, auto administration facile

DÉS: plusieurs facteurs peuvent influencer l’absorption

CARCT:
- il passe part le système digestif (il peut être placé sous langue pour fondre avant d’être absorbé par muqueuse, voie sublinguale)
- premier passage hépatique inactive une partie du principe actif
- risque d’effets secondaires négatifs sur le système digestif (nausées, vomissements)
- son début d’action est + long
- odeur et goût désagréables possible
- généralement pas plus que 3 à la fois
- ne pas donner aux 1. enfants de bas âge, 2. comateux, 3. dysphagiques

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10
Q

forme pharmaceutiques de médocs solides (voir p. 2 des notes pour voir avantages/désavantages)

A

comprimé sécable, comprimé non sécable, effervescent, croquable, entérosoluble, libération prolongée, capsule, gélule

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11
Q

médocs liquides-
caractéristiques et formes pharmaceutiques (p. 3 pour avantages/caract)

A

CARACT:
- principalement utilisé chez les enfants
- absorbé plus rapidement que les solides, pas besoin d’être dissous à l’étape de la libération = action plus rapide

FORMES: solution, suspension d’un médicament solide reconstitué, sirop

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12
Q

les dispositifs d’administration, selon dose prescrite

A

compte-gouttes: moins de 1ml
seringue de 1ml sans aiguille: moins de 1ml
seringue de 3 ou de 5 ml sans aiguille: 1-5 ml
seringue de 10 ml sans aiguille: 5-10 ml
seringue de 20 ml sans aiguille: 10-20 ml
cuillère graduée (gradué tous les 0.2ml): 1-10 ml
gobelet gradué de 5 à 30 ml: plus de 10-20ml

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13
Q

principes à respecter pour une préparation et une administration de médocs
*p.4 notes

A
  1. hygiène des mains
  2. nettoyer surface de travail
  3. porter des gants si on doit manipuler un médoc ou s’il est cyto (pas nécessairement pour préparer des meds par voie orale)
  4. broyer les médocs PRN
  5. s’assurer que les médocs qui doivent être sectionnés comportent une rainure
  6. jeter une partie inutilisée d’un médoc dans un contenant biorisque
  7. jeter un comprimer tombé par terre, car il est contaminé, et en utilisé un autre
  8. si sous forme liquide, mesurer la dose avec le dispositif qui offre le plus précis possible
  9. si une date de péremption est dépassée, pas l’administrer, faire une nouvelle demande au département de pharmacie
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14
Q

étapes pré exécutoires communes aux méthodes d’administration de meds

A
  1. préparer les meds d’une personne à la fois
  2. vérifier l’ordonnance médicale et la comparer avec la feuille d’administration des meds FADM
  3. prendre les meds de la personne
  4. recalculer la dose PRN
  5. appliquer les 7 bons
    6.vérifier la date d’expiration
  6. s’assurer de connaitre le med
  7. vérifier les antécedents médicaux de la personne
  8. vérifier si la personne prend d’autres meds
  9. lire l’étiquette du contenants à meds et réappliquer les 5 premiers bon**
  10. utiliser un godet à carton
  11. apporter les meds à la personne à l’heure prescrite
  12. vérifier le bracelet d’identité de la personne et DVI
  13. évaluer les connaissances de la personne
  14. enseigner à la personne les effets attendus, l’action et les effets indésirables possible
  15. évaluer les capacités de la personne de s’administrer elle-même les meds
  16. !ne jamais laisser les meds sans serveillance!
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15
Q

étapes exécutoires pour med vaporisation (2 choix)

A

1)
1. positionner la tête de la personne (pencher la tête vers l’arrière)
2. placer un oreiller sous les épaules
3. tourner sur le côté à traiter
4. mettre gants non stériles
5. rouler doucement le contenant de med entre les deux mains ou l’agiter
6. introduire le compte-goutte ou l’embout vaporisateur dans la narine
7. administrer et demander à la personne de maintenir sa position 2-3 min

OU
2)
1. faire asseoir l’usager avec sa tête bien droite
2. mettre gants
3. bloquer une des narines avec l’index
4. placer l’extrémité du vaporisateur à environ 1,5cm dans la narine
5. diriger vers le vaporisateur vers le haut, en direction du coin interne de l’oeil
6. selon le med à administrer, l’usager doit retenir sa respiration ou inhaler ( voir indications qui accompagnent le med)
7. presser fermement et rapidement le vaporisateur suffisamment pour que le med tapisse la muqueuse du nez

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16
Q

étapes exécutoires pour gouttes oreilles

A
  1. réchauffer les meds gardé au froid
  2. mettre gants non stériles
  3. installer des gouttes dans le conduit auditif
  4. pendre position Flower ou décubitus latéral
  5. retirer bouchon du flacon
  6. tirer pavillon de l’oreille avec main dominante (haut et arrière)
  7. installer des gouttes précises
  8. mettre la boule de coton
  9. maintenir position 5-10 min
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17
Q

champ et emballage stérile-
1) étapes pré exé
2) étapes exé

A

1)
- laver les mains
- vérifier la date d’expiration
- nettoyer et désinfecter la surface de travail, qui doit être au dessus des hanches (car en dessous des hanches considéré comme pas stérile)

2)
- si les bras ou les mains passent au dessus du contenant stérile, celui-ci est contaminé
- quand on ouvre des objets stériles, les ouvrir à l’extérieur du champ à 15 cm au dessus

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18
Q

!!!!!!!!!!!!! étapes complètes- gants et champs stériles !!!!!!!!!!!!!

A
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19
Q

les 7 bons (détaillés)

A
  1. bonne personne
    - nom, prénom, ddn
    - comparaison avec FADM et bracelet
    -à chaque début de quart et chaque prestation de soins
    * si la personne a de la dysphagie (s’étouffe svt, risque d’aspiration), administrer le med quand la personne est assise avec la tête penchée vers l’avant. avoir recours à des liquides épaissis. écraser le méd et l’ajouter à de la purée

*si la personne a xérostomie (sécheresse buccale), petite quantité de liquide avant Rx. 1/2 à 1 verre d’eau avec Rx. attention aux restrictions liquidiennes!

*si la personne est désorientée ou confuse, favoriser un climat calme et sécurisant. phrases courtes et langage simple. vérifier la bouche après

  1. bon médicament
    - date d’expiration?
  2. bonne dose
    -calculer la dose
  3. bonne voie d’administration
    - IR, PO, IM, etc.
    - on choisit selon l’ordonnance et l’évaluation de l’état de la personne soignée
  4. bon moment
    - délai de 1h, ou 30 min pour les antibiotiques MAX
  5. bonne documentation
    - enregistrement sur FADM
    - notes d’évolution si PRN ou refus
    - au besoin, faire un PTI
    - recherche sur le méd
  6. bonne surveillance (des effets attendus et secondaires)
    - vérification de l’état de la personne, ne pas administrer si contre-indications
    - surveillance lors de l’administration de médicaments ayant un effet dépresseur sur le SNC
    - voir chapitre 12.2, particulièrement personnes âgées
    - notes d’évolution et PTI
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20
Q

quoi faire si erreur de médoc

A
  1. aviser la personne soignée
  2. aviser le supérieur immédiat STAT
  3. entamer les mesures nécessaires pour corriger l’erreur PRN
  4. remplir le rapport de déclaration d’incident et d’accident - AH 223

+ DVI :
- double vérification indépendante (DVI) si calculer ou risque élevé
- on surveiller les narcotiques à causes des vols, de la mort et des erreurs. ,pas nécessaire de faire une DVI des narcotiques quand on administre une pilule complète, seulement quand on coupe la pilule

*méthode de soins: jugement clinique, réfléchir dans l’action, principes à respecter, mais aucune recette!

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21
Q

1) quand porter les gants stériles?
2) doit-on couvrir un emballage contenant du matériel stérile au dessus du champ stérile?
3) que doit-on faire si une petite surface de l’enveloppe de gants stériles est déposée sur une surface mouillée?

A

1) pour laver le visage d’un patient
2) non, car l’emballage n’est pas stérile et pourrait contaminer le champ
3) recommence!

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22
Q

étapes exécutoires pour crèmes et onguents

A
  1. évaluer l’état de la plaie
  2. utiliser un abaisse langue pour prendre la quantité nécessaire
  3. avec un gant ganté, étendre sur la région à traiter
  4. si écrit sur ordonnance, appliquer compresse ou pellicule transparente
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23
Q

étapes exécutoires pour timbre transdermique

A
  1. retirer le timbre précédent et noter son emplacement
  2. inscrire ses initiales, date et heure sur ruban adhésif et mettre sur le rebord du nouveau timbre appliqué (* ne pas écrire directement sur le timbre pour ne pas le percer/modifier la libération du médoc)
  3. site d’application facilement accessible, propre et sec, pas où tatouage et non gras, exempt de lésions ou de poils (rasés à tondeuse électrique ou ciseaux)
  4. retirer la oitié de la pellicule et coller sur la peau, puis coller l’autre moitié
  5. appuyer 30 sec
    ** ne pas couvrir un timbre transdermique d’un pansement occlusif transparent, car pourrait pas causer vasodilatation des tissus et augmenter la V d’absorption du médoc
    ** risques:
    - type de réservoir: doit pas être coupé, car mode de libération qui peut occasionner une toxicité.
    - type de matriciel: vérifier si le produit peut être coupé, sinon on ne colle pas tout le timbre (réduit dose)
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24
Q

noter deux principes qui sous-entendent les étapes pré et post exécutoires générales

A
  1. sécurité
  2. respect
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25
Q

définition pharmacologie?

A

étude des médicaments et regroupe le médicament lui même

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26
Q

définition pharmacocinétique?

A

trajet du médoc dans l’organsime

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27
Q

définition pharmacodynamie?

A

mécanisme d’action, effets du médoc et interactions possible

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28
Q

les types d’ordonnances médicales

A
  • ordo individuelle: une seule fois, dose unique, STAT.
  • ordo verbale ou téléphonique: transmis en cas d’urgence. 24 à 48h suivant l’ordonnance
  • ordo collective: standardisé pour tout unité. décision d’individualiser une collective est compétence inf
  • ordo pré établie
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29
Q

info qu’on doit trouver sur une ordonnace

A

Date
Heure
Nom patient
Allergie
Poids
Année de naissance
Numéro de dossier
Prescription (nom med, qtt, cmb de fois par jour, voie, duré)
Nom du dr.
Numéro de permis dr.

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30
Q

une erreur pour chaque étape des 7 bons

A

bonne personne: allergies
bon médoc: mauvais medoc a mauvaise personne
bonne dose: dose trop grosse
bonne voie:
bon moment: mauvais moment de la journée
bonne documentation: donner med qui a été cassé
bonne surveillance: pas voir effets secondaires

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31
Q

pourquoi comprendre les renseignements inscrits sur les étiquettes? (2)

A
  • car L’inf va devoir utiliser des médoc présentés dans leur contenant d’origine
  • elle aura a s’y référer lorsqu’elle devra transférer l’info exacte au patient
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32
Q

FADM, c’est quoi

A
  • Feuille d’Administration Des Médocs
  • Contient les infos relatif au med à donner selon l’ordonnance et les infos sur la personne soignée
  • préparée tous les 24h par la pharmacie
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33
Q

5 règles pour la FADM

A
  • encre bleue ou noire
  • médoc régulier= voir heure dans FAADM
  • mettre initiale après administration
  • écrire heure si donné 30 min + tôt ou + tard
  • écrire CESSÉ ou MODIFIÉ en cas de cessation
  • nouvelle ordo: écrire a la main+ initiale
  • inscrire raison de refus/retard dans note évolution
  • médicament PRN= inscrire heure d’admin
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34
Q

effets de:
1) lisinopril
2) novo-gesic
3) gravol
4) nitro-dur

A

1) abaissement de la PA
2) effet analgésiques, antipyrétiques
3) diminution de la stimulation vestibulaire, ce qui peut prévenir le mal des transports/ maux de coeur
4) soulagement ou prévention des crises d’angines

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35
Q

dispositifs d’oxygénothérapie- lunette nasale

A
  • concentration d’O2 max: 40%, 5L/min
  • risque dessèchement des muqueuses si taux dépasse 5L/min
  • risque de lésion de la peau aux narines et oreilles. Se déplace facilement. Peut être laissé en place durant les repas
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36
Q

nébuliseur à large volume

A
  • concentration d’o2 varie entre 28% à 98%
  • utilisé avec un régulateur de style Venturi et bouteille d’eau stérile
  • administration d’un taux élevé d’humidité
  • retirer pendant les repas
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37
Q

bouteille d’eau stérile avec adaptateur de style Venturi

A
  • concentration d’O2 entre 28 et 98%
  • administration d’un taux d’humidité à 50%
  • ne pas utiliser avec les lunettes nasales
  • utiliser chez l’adulte si le débit d’O2 est supérieur à 4L/min. Peut s’utiliser en tout temps chez l’enfant
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38
Q

masque à entraînement d’air Venturi

A
  • concentration d’air précise entre 24 à 50% selon embout choisi
  • le nombre de L/min de l’oxygène mural réglé selon la bague précalibrée choisie. Retirer pendant les repas
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39
Q

masque à réinspiration partielle ou sans réinspiration

A

RÉINSPI PARTIELLE:
- concentration d’O2 variant de 60 à 80%
- réglage du débit entre 10 et 15L/min. Retirer durant les repas

SANS RÉINSPI:
- concentration d’O2 entre 60 et 95%
- réglage du débit entre 10 et 15L/min

40
Q

tente faciale

A
  • concentration d’)2 imprécise, pouvant varier de 28 à 98%
  • administrer un taux d’humidité élevé, car toujours adapté à une bouteille d’eau stérile. Peut servir de substitut au masque, se déplace facilement
41
Q

collier trachéal

A
  • utilisé avec un nébuliseur à large volume avec adaptateur de style Venturi et une bouteille d’eau stérile
  • concentration d’O2 entre 28 et 98%
  • administration d’un taux élevé d’humidité
  • risque d’écoulement de l’eau de condensation tu tube annelé vers la trachéostomie. Risque d’infection au site de la trachéostomie par les sécrétions accumulées dans le masque
42
Q

détail/caractéristiques pour masque à oxygène à haute concentration?

A
  • pour graves détresse respiratoire
  • nécessite valves de sécurité
43
Q

détail/caractéristiques pour dispositif à concentration Venturi

A
  • délivre O2 de façon précise, des concentrations prédéterminées d’O2
  • pour concentration + haute que 40%, même si le débit augmente, le % ne bougera pas.
44
Q

détail/caractéristiques
pour dispositif pour humidification

A
  • ajoute de l’eau à l’état moléculaire du gaz
  • humidification va dépendre de débit gaz, T eau, contenance du flacon et du vol d’eau dans flacon
  • Valve de surpression pour bloquer si trop de pression en cas d’obstruction par exemple
  • EAU STÉRILE
45
Q

détail/caractéristiques pour humidificateur nébuliseur

A
  • produit aérosol ou suspension de particules dans gaz
  • principe Venturi
  • EAU STÉRILE absorbée par le tube et transformée en un aérosol de fines gouttelettes en contact avec l’oxygène
46
Q

le corticostéroïde devrait être administré quand par rapport au bronchodilatateur?

A

pour faire une différence, le cosrtico doit être administré au pic d’action du bronchodilatateur, soit 10-20 min après

47
Q

quel med en aérosol-doseur? : “Sont les médicaments d’urgence chez les personnes atteintes d’un trouble ou d’une maladie respiratoire et peuvent être utilisés au besoin entre les doses régulières”

A

bronchodilatateurs bêta-2-agonistes à courte durée d’action (BACA)

48
Q

manifestations de la crise hypertensive?

A

céphalée
étourdissement
anxiété
dyspnée
palpitations

49
Q

conséquences de HTA sur autres systèmes?
Cardiovasculaire
Vasculaire périphérique
Vasculaire Cérébral
Urinaire
Visuel

A

Cardiovasculaire : Lésions, puis AVC.
Vasculaire périphérique : Oedèmes.
Vasculaire Cérébral : AVC.
Urinaire : Rupture tissu du glomérule, puis il meurt.
Visuel: pression sur nerfs optique

50
Q

1) facteurs de risques non-modifiables HTA

2) facteurs de risques modifiables de HTA

A

1)
-âge
-hérédité (antécédents familiaux)
-sexe
-ethnie
-statu économique

2)
-tabagisme
-alcool
-sédentarité
-stress
-obésité

51
Q

complications possibles de HTA

A

Coronopathie *
Hypertrophie vasculaire gauche
Insuffisance cardiaque
Lésion rétinienne
Maladie vasculaire cérébrale*
Néphropatie*
Problème urinaire

52
Q

pourquoi traiter mon HTA si je n’ai pas de symptômes?

A

Peut engendrer le développement de problèmes de santé au niveau du cœur, cerveau, vaisseaux périphériques, yeux et reins.
L’hypertension non traitée peut créer des cardiopathies. De plus, une HTA peut provoquer une hypertrophie du ventricule gauche.
→ peut tout de même apporter complications

53
Q

1) Pourquoi certaines personnes ne veulent pas faire la thérapie antihypertensive? + quoi faire pour la “convaincre”?

2) Quels seraient les renseignements généraux et ceux reliés aux médicaments à transmettre à la personne soignée concernant sa condition de santé?

A

1)
Malentendus au sujet des traitements, l’absence des symptômes associés à l’hypertension, effets secondaires de la médication ou les préoccupations au sujet de ces effets, les posologies complexes, les contraintes financières, l’oubli et la dépression.
+
expliquer effets/conséquences *pires) si pas pris en charg

2)
- Parler des effets secondaires des antihypertenseurs et de quelle manière les prévenir
- Mentionner que certains effets secondaires peuvent survenir en début de traitement mais peuvent s’estomper après
- Mentionner à la personne soignée de parler l’importance de parler de l’apparition des symptômes à un professionnel de la santé.
- Parler de l’hypotension orthostatique (effet secondaire très courant) et comment faire attention lorsque ceci arrive.
- Parler du possible dysfonctionnement sexuel qui est possible et de l’option de consulter avec un professionnel de la santé
- Parler des possibilités de sécheresse buccale et comment y remédier.

54
Q

explique moi l’HO
+ moment où plus de symptômes?
+ cmt la traiter?

A

→ Le sang reste en bas quand la personne se lève et que le cerveau ne reçoit pas le sang assez vite (retour sanguin lent).
→ Activation des vaisseaux sanguins pour se rendre au cerveau est plus faible.
Cause : pas assez de liquide dans le corps (manque d’eau), diurétique font perdre de l’eau, tonus musculaire (sédentaire), âge.
→ Avec la gravité, jusqu’à 1L de sang est dirigé dans les veines des membres inférieurs et du tronc. Enclenche plein de réactions dans le corps, augmente force et fréquences des contractions cardiaques et une vasoconstriction des VS. Le système nerveux parasympathique qui a comme but de conserver l’énergie (matin, digestion pire) entraîne diminution FC et pression.
+
-le matin en se levant
-en mangeant
-en se levant
-au toilette
-pdt activation du SNP
+
-lever tête à 20 degrés dans lit (corps à moins de compensation à faire quand tu te lèves).
-manger salé
-changer de position lentement
-boire eau avant de se lever
-croiser jambes avant de se lever
-pas forcer défécation

55
Q

CHUTE:
1) facteurs prédisposants
2) facteurs précipitants

A

1)
-âge
-trainer pieds par terre
-vision
-proprioception
-appareil vestibulaire

2)
-changement de meds
-contention physique
-facteurs environnementaux (qqchose (tapis) qui traine)

56
Q

quels sont les deux paliers de la prévention des infections?

A

1-pratiques de base tenant compte du risque de transmission par contact avec des personnes asymptomatiques et avec des éléments contaminés de l’environnement. S’appliquent en tout temps, à toutes les personnes soignées et à toutes les techniques de travail. (lavage mains, gants, masque, désinfecter matériel, ongles courts)

2-précautions additionnelles fondées sur les modes de transmission connus ou présumés, et sur les caractéristiques de la personne. Elles visent des infections particulières et s’ajoutent aux précautions de base. (chambre d’isolement)

57
Q

comment expliquer la procédure de prélèvement d’urine (analyse et culture)?

A

Demander à la personne de boire 250-500 ml d’eau 30 minutes avant le prélèvements
Demande à la personne de nettoyer sa région génitale de l’avant vers l’arrière
Garder les petites lèvres ouvertes tout au long de la procédure.
Faire quelques gouttes d’urine dans la toilette et ensuite, prendre le contenant pour uriner.
Remplir la moitié ou plus.
Mentionner que l’intérieur du contenant ou du couvercle doit demeurer stérile.
Mentionner si la personne a des menstruations au moment du prélèvement.
stérile= analyse/culture microbiologique
non-stérile= analyse biochimique

58
Q

1) prélèvement des selles pour C. Diff et transfert A/C

2) prélèvement de selles pour ERV

A
  • Prendre à l’aide d’une tige les selles et les mettre dans le contenant adéquat
  • Utiliser des gants
  • Se laver les mains après.

2)
-entrer un écouvillon dans l’anus et faire des mouvements de rotation
-mettre l’écouvillon dans tube

59
Q

étapes post-exécutoires pour C. Diff et A/C

A
  • Vérifier les étiquettes et s’assurer qu’elles correspondent au bon échantillon
  • Mettre étiquette sur la longueur
  • Mettre les échantillons dans le sac de transport pour l’envoi au laboratoire
  • Valider les échantillons au système à l’aide des codes-barres avant de l’envoyer au laboratoire.
60
Q

pour INJECTIONS- quoi faire avant de commencer?

A

Faire l’étiquette du vaccin et de la personne

61
Q

pour VACCINS
1) conserver à quelle T
2) effets secondaires possibles

A

1) 2 et 8 degrés
2) anaphylaxie, vasovagale, crise anxiété, spasme du sanglot

62
Q

détails/ caractéristiques AMPOULE

A
  • frotter sur le comptoir pour faire descendre le liquide
  • désinfecter le col de l’ampoule
  • pour ampoule de plus de 4 ml: ne pas tourner pour remplir aiguille
  • JAMAIS injecter de l’air dans l’ampoule
63
Q

étapes pour AMPOULE

A

→ mettre la qtt de la dose du med en air au début
1. désinfecter le col de l’ampoule pdt 15 sec avec un tampon d’alcool
2. laisser sécher complètement à l’air libre pdt 30 sec (sans essuyer, souffler ni ventiler de la main)
3. déposer l’ampoule à plat sur la surface de travail
4. prendre la languette de préhension de l’ampoule entre le pouce et l’index
5. tourner la languette jusqu’à ce qu’elle se détache du col
6. visser de façon aseptique la seringue avec embout de Luer Lock à l’adaptateur de Luer Lock de l’ampoule (éviter de comprimer l’ampoule afin de prévenir la perte de med)
7. placer l’ampoule et la seringue en position verticale inversée
8. tirer le piston de la seringue pour aspirer le volume de med requis
9. aspirer une qtt supp de med si un système avec aiguille doit être utilisé pour administration *ou pour être safe (permet de combler l’espace mort de l’aiguille
10. tenir la seringue à la verticale à la hauteur des yeux
11. vérifier le vol de med présent dans la seringue et l’ajuster au besoin (ajuster au besoin)
12. retourner l’ampoule et la replacer à plat sur surface de travail
13. dévisser la reingue de l’ampoule
14. jeter ampoule dans contenant de biorisque (ou procédure établissement)
15. visser une aiguille régulière avec biseau de façon aseptique (1. si un système avec aiguille doit être utilisé, sélectionner aiguille longueur et diamètre approprié 2. si système sans aiguille est nécessaire pour administrer, sélectionner n’importe quelle. *L’aiguille sert seulement à conserver le système fermé durant le transport.)
16. coller l’étiquette d’identification sur le cylindre de la seringue sans obstruer les informations importantes (doit contenir les infos de l’usager et du médicament)
17. procéder aux étapes post exécutoires

64
Q

étapes pour FIOLE

A

→ mettre la qtt de la dose du med en air au début

65
Q

pourquoi injecter de l’air dans une fiole?

A

l’alternance entre l’injection d’air et le prélèvement de liquide permet d’équilibrer la pression à l’intérieur et éviter une expulsion trop rapide de la solution (air est injecté dans fiole avant de retirer le médoc

66
Q

Est-il recommandé d’utiliser le site dorso glutéal pour faire une injection IM ?

A

Non, car dorso glutéal est trop proche est trop proche des grandes artères et du nerf sciatique et la forte quantité de tissu sous-cutanés

67
Q

Quelles sont les distinctions entre la technique traditionnelle et la technique en Z ?

A

La méthode en z permet aux tissus de refermer le site d’injection et évite ainsi le retour d’une partie du médicament (surtout dans le cas d’un médicament huileux)

68
Q

Doit-on faire l’aspiration (tirer le piston avant l’injection) lors des IM ?

A
  • Oui, car il peut être dangereux d’administrer dans la circulation sanguine les médicaments destinés aux injections I.M.
  • Aspire quand c’est un médicament, mais lorsque c’est un vaccin, on n’aspire pas.
69
Q

pour choisir le site d’injection

A
  • éviter les sites, masses, atteinte à l’intégrité de la peau
  • Important d’alterner les sites d’injections (assurer une bonne intégrité des tissus et diminue le risque d’induration ou de lipodystrophie
  • selon qtt/besoins patients
70
Q

technique pour injection intradermique

A
  • Tendre la peau avec la main le pouce ou l’index de la main non dominante
  • Tenir l’aiguille, biseau vers le haut, tout près de la peau et l’introduire lentement à un angle de 10-15 degrés jusqu’à ce qu’une résistance se fasse sentir.
  • Injecter lentement le médicament jusqu’à ce qu’une résistance se fasse sentir (absence de résistance indique que l’aiguille est trop enfoncée profondément, dans le cas, retirer et recommencer.)
  • S’assurer qu’une petite bulle d’environ 6 mm se forme au site d’injection
71
Q

installation d’un microperfuseur à ailettes sous-cutané intermittent

A
  1. De la main dominante, tenir le microperfuseur par les ailettes et introduire l’aiguille, biseau vers le bas, à un angle de 20 à 30° dans le sens de la circulation lymphatique.
    *Si du sang apparaît dans la tubulure du microperfuseur, retirer ce dernier et reprendre la manœuvre en choisissant un autre site.
  2. Fixer le microperfuseur à l’aide de la pellicule transparente adhésive en laissant le bouchon d’injection à découvert.
  3. Inscrire sur un ruban adhésif (ou sur l’étiquette fournie dans l’emballage de la pellicule transparente) la date et l’heure de l’installation du microperfuseur, le nom du médicament ainsi que ses initiales. Coller le ruban sur la bande de la pellicule transparente.
72
Q

cours 11 injections

73
Q

les 6 composantes de la douleur?

A
  • socio-culturelle
  • comportementales
  • spirituelle
  • cognitif
  • affectif
  • physique
74
Q

quel est le principal obstacle de la douleur?

A

interprétation et perception

75
Q

quelles sont les conséquences d’une douleur non-traitée?

A
  • souffrance inutile
    -dysfonctionnement physiques/psychologiques
    -troubles du sommeil
    -rétablissement inadéquat
    -immunosupression
    -augmentation FC
    -dysfonctionnelle respiratoire
    -surcharge cardiaque
    -contraction/spasme musculaire
    -diminution de réserve d’énergie
    -diminue motilité/transit gastro-intestinal
76
Q

quelles-sont les raison d’un sous-traitement de la douleur?

A

-connaissance inadéquate de l’évaluation de la dlr
-méfiance des faits rapportés par patient
-information inadéquate de la toxicomanie/dépendance/tolérance au pt donc veut pas dire ses douleurs
-effets indésirables rends craintif les parents
-patients veulent être des “bons patients”

77
Q

comment fait-on un dépistage efficace de la douleur?

A

-demander si douleur
-faire PQRSTUI
-faire quotidienne
-faire journal de dlr
-observations régulières/attentives de résultats analgésiques
-vérifier que score de douleur diminue

78
Q

comment notre percpetion de la douleur pt i fluencer la facon dont on la gère?

A

si notre douleur est associée à évenement heureux (accouchement)

79
Q

obstacles de l’évaluation de la douleur

A

-mal entendante
-a une déficience
-dans coma
-échelle de douleur mal comprise

80
Q

enseignement pour prise en charge de la douleur et obstacles à surmonter

A

-Développer des méthodes pour bien comprendre et communiquer ses émotions, pour savoir ce dont elle a besoin.

-Enseigner les répercussions négatives biologiques, psychologiques et sociales associées à la douleur non soulagée. Les interventions pharmacologiques et non-pharmacologiques qui font partie du plan de soins, les bienfaits, ses risques et les effets indésirables possibles.

-Enseigner comment tenir un registre pour indiquer l’intensité de la douleur et l’efficacité du traitement.

-Être conscient que les posologies devront être ajustées ou que la médication peut être modifiée si les médicaments cessent d’être efficaces après une certaine période.

-Enseigner quand et comment communiquer la douleur ressentie. Leur expliquer que la communication de leur douleur n’est pas considérée comme une plainte de la part du patient.

-S’ils aient peur de développer une dépendance : enseigner et expliquer les définitions de la toxicomanie, de la tolérance etc.

-S’ils ont peur d’oublier de les prendre : proposer des méthodes de suivi de la consommation de leurs médicaments.

-S’ils sont préoccupés des aux effets secondaires indésirables : expliquer que certains symptômes se dissipent avec le temps et nommer les symptômes pour lesquels on doit être attentif. Enseigner les méthodes de prévention et de traitements des effets indésirables, renseigner sur les traitements non pharmacologiques possibles, etc.

-S’ils ont peur des injections : expliquer pourquoi les médocs oraux sont préférables.
S’ils ne veulent pas démontrer leur douleur : expliquer que ceci peut donner lieu à un traitement sous-optimal et mène à une grave douleur non soulagée.

81
Q

comment on choisit l’outil d’évaluation de la dlr approprié à condition du patient

A

-observer manifestations possibles de la dlr et en tenir compte
-tenir compte du niveau cognitif de la personne et de ses aptitudes à évaluer sa dlr
-considérer les déficits auditifs et visuels
-autoévaluation doit tjrs être privilégiée
-considérer la maladie potentiellement douloureuse
-considérer la prise d’analgésiques
-tenir compte des manifestations suggestives de la douleur de la part de la famille et du personnel
→ Le soignant doit donc utiliser des outils d’évaluations appropriés aux caractéristiques physiques et cognitives de chaque personne à évaluer et s’assurer d’en connaître les modalités et les limites d’utilisation

82
Q

différence entre
1) tolérance
2) dépendance
2) toxicomanie

83
Q

quels autres moyens peuvent être utilisés pour diminuer la dlr, autre que med

A

-traitement thermique
-massothérapie
-mobilisation, manipulation, ex. physique
-thérapie comportementale/cognitivo-comportementale

84
Q

douleur 1) aiguë vs 2) chronique

A

1)
-dure moins de 3 mois
-apparait suite à un traumatisme/maladie
-s’estompe lorsque la cause de la dlr est guérie
-signal est une atteinte à l’intégrité physique pour qu’une réaction de protection de l’organisme s’enclenche
-permet de suivre évolution du traumatisme à l’origine de la dlr (ex. dlr post opératoire)

2)
-dure généralement + que 3 mois
-habituellement considérée comme une maladie à part entière, en raison de sa persistance au-delà de la guérison de la maladie à l’origine de la dlr
-pt accompagner une maladie dégénérative ou inflammatoire
-touche généralement +sieur sphères de la vie quotidienne

85
Q

la dlr nociceptive somatique

A

touche les muqueuse, le diaphragme, plèvre, os, peau, muscles et articulations (ex. arthrite, fractures et déchirures ligamentaires)

86
Q

la dlr nociceptive viscérale

A

touche les organes des cavités abdominales et thoraciques (coeur, poumons, pancréas, foie, reins, utérus, prostate, intestins, estomac, vessie et seins. Ex: cholécystite, embolie pulmonaire et infarctus du myocarde)

87
Q

la dlr neuropathique (ou neurogène)

A
  • causée par une lésion ou dysfonctionnement du SNC ou SNP (nerfs, moëlle épinière ou cerveau)
  • l’atteinte neurologique se situe au niveau des voies sensitives ou motrices, et il peut n’y avoir aucune lésion physique
    -une dlr comme ca peut rapidement devenir chronique si elle n’est pas traitée dans les 4 à 6 semaines suivant son apparition
    Ex: zona, fibromyalgie, hernie discale
88
Q

les opioïdes
1) font parti de quelle famille
2) signes normaux d’utilisation chronique d’opioïdes

A

1) analgésiques
2) tolérance et dépendance physique

89
Q

quelles sont les manifestations de sevrage des opioïdes?

A
  • précoce:
    anxiété
    sécrétions
    écoulement de larmes
    diaphorèse*
    frisson
    pupilles dilatées
    anorexie
    tremblement
  • tardive:
    excitation
    diarrhée
    agitation
    fièvre
    insomnie
    crampes abdominales
    nausées, vomissement
    HTA
    tachycardie
90
Q

qu’est-ce qu’un analgésique?

A
  • med qui diminue ou supprime la douleur
    -existe deux sous classes: 1) les analgésiques non opioïdes (acétaminophène et anti infla non stéroïdiens). 2) analgésiques opioïdes
91
Q

qu’est-ce qu’un ipioïde

A

une substance qui agit sur les récepteurs du système digestif et sur les récepteurs nociceptifs du SNC. Contient morphine, hydromorphone, mépéridine, codéine et oxycodone

92
Q

les opioïdes sont indiqués dans quelle situation?

A

en présence de douleur d’une intensité allant de
-modérée à grave
-aiguë ou chronique
-associée à une intervention chirurgicale, affection telle que cancer/infarctus du myocarde, ou traumatisme

93
Q

Comment fonctionne l’administration d’opioïde par les patients à risque de subir une dépression du SNC?

A

on donne 50% de la dose habituelle au début du traitement, car patient est naïf

94
Q

signes de surdose

A
  • somnolence (niveau de sédation de 3 = somnolent, s’éveille à l’appel, s’endort durant conversation)
  • dépression respiratoire (8 resp/min ou moins)
    -diminution fréquence, rythme et amplitude respiratoire
    *signe tardif: dénaturation en O2 (moins de90%), ronflement, diminution du pouls et PA)
95
Q

pic d’action et durée de la morphine (selon voie administration)

A
  1. PO: 1-2h → avant admin, pic action
  2. SC ou IM: 50-90 min → avant admin, pic action, q 1-2h pdt durée
    3.IV: 20 min → avant admin, q5min jusqu’à pic action, q 15 min pdt durée
    Durée= 4-5h
    + surveillance!
96
Q

les opioïdes à courte action sont utilisé quand?

A

présence de douleur aiguë. ils agissent rapidement et sont utilisés sur une courte durée

97
Q

3 éléments de la pharmacocinétique importants à considérer avant d’administrer un opioïde?

A
  1. ils se distribuent dans l’ensemble des tissus. Traversent la barrière placentaire et peuvent se retrouver dans le lait maternel. Doivent donc être utilisés avec précaution chez la femme enceinte/qui allaite pour ne pas nuire au foetus/nourrisson
  2. ils sont métabolisés par le foie. Plusieurs molécules d’opioïdes doivent être activées afin de pouvoir faire effet au site d’action. C’est le cas de la codéine, qui doit être métabolisé (activé) en morphine pour gagner un potentiel analgésique important
  3. les opioïdes sont éliminés par les reins. Tout comme c’est le cas pour le foie, la capacité de filtration et d’élimination des médoc par les reins diminue avec l’âge