118.2 Flashcards

1
Q

Feux d’habitation

Caractéristiques:

A
  • Présence de gaz et d’électricité
  • Propagation horizontale possible vers:
    Les autres cellules de l’appartement
    Les appartements voisins, les couloirs et les escaliers lorsque la porte de l’appartement en cause est restée ouverte ou n’a pas résisté.
  • Propagation verticale possible vers les étages par les escaliers, gaines, courettes, façade, balcons
  • dans les immeubles anciens, les appartements ouvrent généralement directement sur l’escalier. Celui-ci sert alors de voie pour le passage des gazs chauds et des fumées, qui s’élèvent vers les étages supérieurs et s’y accumulent.
  • Pour les personnes:
    Risque de ne pas pouvoir évacuer l’appartement
    Tentation de se réfugier sur les toits, balcons et corniche, voire de se jeter dans le vide.
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2
Q

1) Feux d’habitation.
Extinction.
Elle est conduite avec le souci de maintenir le feu dans son volume initial:

A
  • En évitant de le pousser par une action non coordonnée des lances.
  • En coupant les propagations.
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3
Q

1) Feux d’habitation
Extinction / le feu intéresse un local de petit volume.

Outre le strict respect des devoirs généraux sur intervention, il convient de:

A
  • se renseigner sur l’occupation de l’étage concerné notamment auprès du concierge, souvent présent dans ce type d’immeuble.
  • n’engager que le personnel strictement nécessaire à l’attaque, disposant de 500l/min, en ayant préalablement reconnu l’itinéraire de repli.
  • Ne pas stationner dans la circulation horizontale du niveau sinistré, trajectoire fortement probable d’un phénomène thermique.
  • rechercher rapidement les possibilités de création de sortants et mettre en oeuvre la VO d’attaque (escaliers encloisonnés).
  • s’appuyer sur l’existence de plans qui pourraient renseigner la configuration des lieux, toujours différente, des niveaux courants.
  • prendre les plus grandes précautions lors de l’ouverture des portes, afin de ne pas créer des modifications aéraulique brutales.
  • lors de la reconnaissance de locaux enfumés, refermer la porte derrière les explorateurs.
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4
Q

Une fois l’attaque commencée et les risques de phénomènes thermique écartés, ……….., qui sont autant de pièges pour ….., sans négliger les reconnaissances ……., dans les ……et dans les…..

A

Investire rapidement tous les volumes
Les occupants
Les reconnaissances en toiture, dans les courettes et dans les puits de lumière.

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5
Q

Feu d’habitation:

Le feu se limite a une seule pièce de l’habitation:

A
  • extinction menée par l’intérieur en utilisant le volume d’eau strictement nécessaire et après avoir neutralisé le risque d’accident thermique.
  • investissement des locaux ou volumes adjacents.
  • reconnaissances dans la totalité de l’immeuble.
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6
Q

Feu d’habitation.

Le feu s’est propagé à plusieurs pièces:

A

Attaque menée en 3 temps:

1 - Isoler le foyer principal dans son volume.
2 - combattre les propagations dans toutes les directions autour du volume initial
3 - compléter le dispositif à l’intérieur de l’appartement, afin de faciliter la pénétration et d’achever l’extinction.

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7
Q

Feu d’habitation.
Le feu menace de se propager à la façade.
En aucun cas le porte-lance…

A

ne doit diriger son jet directement dans les locaux. Ceci risque en effet d’inverser le tirage et d’occasionner de graves brulures au personnel d’attaque qui manoeuvre à partir des communications existantes.

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8
Q

Lance en protection de façade.

Comment et à quel moment cette manoeuvre doit elle cesser ?

A

Elle doit être de courte durée et cesser dès que le feu baisse d’intensité.

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9
Q

1) Feu d’habitation.
Devant l’impossibilité d’ouvrir la porte d’entrée de l’appartement sinistré dans des délais raisonnables (porte blindée, etc.) Et afin d’éviter que le feu ne sorte de son volume initial ou ne se propage à la totalité de l’appartement (propagation), le temps de forcer la porte, il y a possibilité d’attaquer le feu par l’extérieur (échelle, balcon, etc.) Sans investir les locaux et en respectant scrupuleusement les mesures suivantes:

A
  • Etablir une lance en eau en attente devant la porte d’entrée
  • mettre la VO en manoeuvre (surpression au niveau de la porte d’entrée)
  • localiser tous les sortants par lesquels le feu est susceptible de se propager (fenêtre située à l’arrière, courette, en puits de lumière)
  • ne pas se trouver face à la fenêtre (effet thermique)
  • ne pas pénétrer à l’intérieur de l’appartement pendant l’attaque par l’extérieur.
  • s’il y a plusieurs fenêtres, créer un ouvrant afin de permettre l’expulsion des gazs chauds.
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10
Q

1) Feu d’habitation.

Quand faut il cesser toute attaque par l’extérieur ?

A

Cesser toute attaque par l’extérieur dès que la porte d’entrée est forcée (liaison radio).

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11
Q

1) Feu d’habitation

Le feu se propage à l’ensemble de l’immeuble ?

A
  • Secourir au plus tôt les personnes les plus menacées par les manifestations du sinistre (gazs chaud et fumées)
  • Découvrir rapidement les éventuelles victimes, au besoin en employant la caméra thermique dans les zones enfumées, mais encore froide.
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12
Q

1) Feu d’habitation.
Le feu se propage à l’ensemble de l’immeuble.
Les reconnaissances, comment ? Avec quels personnels ?

A

Il y à lieu, dans ce cas de visiter en priorité les appartements du dernier étage et de redescendre étage par étage jusqu’au niveau le plus bas par le cheminement le plus adéquat. Ces missions de reconnaissances sont confiées aux équipes organiques des EP sur la base d’une à deux équipes par niveau.

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13
Q

1) Feu d’habitation.

Les moyens du “renfort habitation” permettent d’entreprendre rapidement et simultanément:

A
  • Les missions de reconnaissances.
  • La prise en charge des victimes et des personnes impliqués.
  • Les opérations d’extinction.
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14
Q

1) Feu d’habitation.
Déblai et dégarnissage.
Ils sont entrepris systématiquement pour éviter les reprises de feu. Pour cette raison, les rondes peuvent être plus fréquentes. Le déblai et le dégarnissage sont conduits avec précaution. De surcroît, il faut qu’il soient minimisé au strict nécessaire dans certains cas afin:

A
  • d’éviter la détérioration des objets, dont certains sont précieux ou ont une valeur affective et irremplaçable pour leur propriétaire (photos, bibelots, livres anciens…).
  • d’optimiser les investigations, dans les meilleures conditions, de la garde RCCI et de la CIAI (GRCCI + LCPP)
  • de préserver les scènes soumises à une éventuelle enquête (Retex, Police Judiciaire, etc.)
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15
Q

1) Feu d’habitation.
Que veut dire CIAI ?
Composition de la CIAI ?

A

Cellules d’Investigation Après Incendie.

LCPP (Laboratoire Central de la Préfecture de Police)
+
GRCCI (Groupe de Recherches des Causes et des Circonstances des Incendies)

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16
Q

2) ERP
Le caractère essentiel d’un ERP est la présence de public, qui méconnaît les lieux dont la composition, l’effectif et la vulnérabilité varient en fonction du type et de la catégorie de l’établissement:

A
  • Public de passage dans les magasins, les centres commerciaux, salles d’expositions, etc.
  • Enfants dans les établissements d’enseignement.
  • Personnes dependantes dans les établissements sanitaires.
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17
Q

2) ERP.
Public
Cette vulnérabilité s’accroît …..

A

la nuit et en dehors des heures ouvrables notamment dans les établissements où il existe des locaux à sommeil (hopitaux, hôtels, internats).

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18
Q

2) ERP.

Le risque principal en cas de feu est…

A

La Panique.

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19
Q

2) ERP.
Pour ce qui concerne les boutiques, le risque réside également dans leur implantation. Généralement installées au RDC d’immeubles:

A
  • Elle disposent d’une devanture donnant sur la rue et d’une arrière boutique contiguë, dont les ouvertures peuvent donner sur une cour. On y trouve fréquemment le logement du commerçant, au-dessus ou au même niveau que la boutique et en communication avec elle.
  • Les réserves, servant au stockage de la marchandise et disposant le plus souvent d’accès distincts, présentant un potentiel calorifique élevé et son également en communication avec la surface de vente.
  • associés à l’isolement avec les tiers, qui est souvent insuffisant, tous ces éléments concourent à favoriser les propagations et le développement du feu, horizontalement vers les zones de l’établissement et verticalement, vers les habitations.
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20
Q

2) ERP.
Extinction.
L’engagement doit être conduit selon les règles habituelles, avec le souci de ne pas pousser le feu vers les locaux contigus et en tenant compte des dispositifs techniques de prévention existants:

A
  • implantation d’accès des secours.
  • dégagements pour les évacuation de personnes.
  • cloisonnement pour la lutte contre les propagations.
  • désenfumage pour l’évacuation des fumées.
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21
Q

2) ERP.
Extinction.
Le Cos doit systématiquement rechercher les victimes potentielles et les personnes isolées par le feu, en particulier:

A
  • Dans les locaux attenants.
  • Dans le voisinage immédiat, en élargissant les reconnaissances à toutes les parties de l’immeuble où des personnes pourraient s’être retranchées.
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22
Q

2) ERP.
L’attaque se fait avec le souci de préserver les dégagements, en complétant le dispositif éventuellement mis en place par le service de sécurité. Elle est conduite simultanément:

A
  • de façon direct sur les développements visibles du feu.
  • de façon indirecte sur les parties arrières et cachées des locaux, pour couper les propagations et rechercher les zones envahies par la fumée et les gazs chauds (cage d’escaliers, ascenseurs, gaines, combles, sous-sols).
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23
Q

2) ERP.

Si aucun indice ne révèle le feu:

A

Il faut éviter de déclencher la panique par des actes intempestifs, ne pas utiliser la corne de feu à proximité de l’établissement et se déplacer le casque à la main.

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24
Q

2) ERP.

Qui est-il recommandé de faire venir au plus vite ?

A

Il est recommandé de faire venir au plus vite l’officier prévention dont les conseils seront utiles au COS.

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25
Q

3) Feux d’espace Clos.

Espace clos: Définition.

A

Il s’agit d’un volume fermé, aux accès rares ou complexes, naturellement obscur, qui se trouve généralement situé en partie basse des immeubles (caves, sous-sols, psc, chaufferie, réserves, locaux techniques etc.). Cependant, dans certains immeubles modernes, il peut se trouver en étage.

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26
Q

2) Feux d’espace clos.

Suivant les cas, cet espace peut:

A
  • être indépendant ou non des structures de la construction.
  • déboucher sur des communications empruntées par les public.
  • comporter des cages d’escaliers ou des gaines pouvant propager le feu et les fumées.
  • receler des charges calorifiques importantes, des produits toxiques, inflammables, voire explosifs.
  • permettre le passage de conduits ou canalisations de fluides: gaz, hydrocarbures, électricité etc.
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27
Q

3) Feux d’espace clos.
La pénétration à l’intérieur des locaux et la localisation des foyers sont ….. en raison de ….., de la …. et de la …….. . C’est pourquoi l’emploi de la ……. est obligatoire dès le début des reconnaissances si au mois un des engins présent sur l’intervention en est doté.

A

Difficiles

La chaleur ambiante, de la visibilité très réduite et de la complexité des cheminements.

Caméra thermique

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28
Q

3) Feux d’espace Clos.

L’intervention en espace clos impose l’emploi simultané et coordonné des moyens

A

D’Exploration, d’Extinction, de Ventilation et d’Eclairage.

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29
Q

3) Feux d’espace clos.

Lutte contre les propagations.

A
  • Rechercher tous les accès, conduits et éléments de construction qui pourrait faciliter e transport du feu, parfois jusqu’en partie haute.
  • fermer les portes.
  • barrer toutes les conduites de fluides (gaz, électricité, hydrocarbures).
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30
Q

3) Feux d’espace clos.

Extinction par pénétration:

A
  • Attaquer le foyer dans le sens du tirage

- Si besoin modifier favorablement le sens du tirage

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31
Q

3) Feux d’espaces clos.

CAT Extinction par l’extérieur ?

A
  • si pénétration impossible à cause de la chaleur, menée une attaque de l’extérieur par les trémies d’attaque et remplir totalement les locaux de mousse.
  • avant l’introduction de la mousse introduire une ou plusieurs lances à eau en jet diffusé d’attaque afin d’éviter la destruction trop rapide de la mousse.
  • 1er temps, tapis de mousse BF.
  • introduire la mousse par un accès situé en partie haute.
  • surveiller les gaines et les autres accès, car la pénétration de la mousse provoque l’expulsion des fumées et gaz chauds.
  • pénétrer dans la mousse avec l’ARI et achever l’extinction avec des moyens classique
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32
Q

4) Feux verticaux.

CAT Feux de cage d’escaliers ?

A
  • Rassurer à la voix et mettre en sécurité les occupants paniqués.
  • barrer immédiatement la conduite de gaz montante de l’immeuble.
  • ramener dès que possible les cabines d’ascenseurs au niveau d’accès des secours et les bloquer en position ouverte.
  • si la cage d’escalier dispose d’un jour, précéder si nécessaire l’attaque d’un jet bref de lance verticalement dans la cage, pour abattre les flammes, refroidir et préparer la progression des porte-lance.
  • progresser du niveau inférieur du feu vers le haut avec 2 lances, l’une en avant, abattant les flammes et l’autre immédiatement derrière, en protection, pour combattre les réinflammations et terminer l’extinction.
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33
Q

4) Feux verticaux.
Feux de cheminée.
Définition ?

A

Tout feu existant dans un conduit d’évacuation desservant un foyer est dénommé feu de cheminée.

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34
Q

4) Feux verticaux.
Feux de cheminée.
Que peut-il se passer sous l’effet de la chaleur ?

A

Sous l’effet de la chaleur, les conduits peuvent se fissurer. La propagation des fumées par les interstices ainsi formés constitue un risque d’intoxication pour les occupants des locaux voisins (monoxyde de carbonne)

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35
Q

4) Feux verticaux.
Feux de cheminée.
Extinction CAT ?

A
  • Éteindre tout d’abord le foyer situé dans l’âtre. La vapeur dégagée par l’extinction peut, dans certains cas, suffire à éteindre le foyer à l’intérieur du conduit. (Vérifier à l’aide d’un miroir)
    Si pas suffisant procéder à l’extinction complète sur toute la hauteur du conduit en déversant de l eau par petites quantités (ldt, seau pompes).
  • s’il persiste un point de chaleur anormale et inaccessible depuis une trappe de ramonage, il est parfois nécessaire de pratiquer une trouée de degagement. Cette trouée qui doit permettre l’enlèvement aisé des matières en ignition doit être réalisée légèrement en dessous du point ou la chaleur est la plus intense.
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36
Q

4) Feux verticaux.

CAT Feux de façade ?

A
  • Rassurer à la voix et mettre en sécurité les occupants paniqués.
  • Barrer le gaz sur rue.
  • Ramener dès que possible les cabines dascenseur au niveau d’accès des secours et les bloquer en position ouverte.
  • l’attaque est réalisé par l’intérieur selon les règles habituelles, mais aussi de plain-pied et au moyen d’échelles afin d’éviter la propagation rapide.
  • Reconnaître tous les locaux
  • Porter une attention particulière au dégarnissage des parties de façades non brûlées. L’utilisation de la CTHE est fortement conseillé.
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37
Q
5) Feux en toitures.
Feux de combles.
Origine des feux ? 
Découverte ? 
Dangerosité ? 
Propagations ?
A

Origine: Le plus souvent une défectuosité de l’installation électrique.

Découverte : découverts que tardivement.

Dangerosité: menacent les pièces maîtresses de la charpente.

Propagation: etg inférieurs par les gaines qui débouchent directement dans les combles, ainsi qu’aux constructions mitoyennes.

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38
Q

5) Feux en toitures.
Feux de combles.
Pourquoi les dômes et clochers doivent faire l’objet d’une surveillance attentive ?

A

Risque de survenue de phénomènes thermiques et/ou effondrement de structures, notamment lorsqu’ils sont situés au droit des escaliers.

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39
Q

5) Feux en toitures.
Feux de combles.
L’attaque est conduite ?
Quel lance et comment ?

A

Selon les règles habituelles, si possible par l’intérieur.

Lance type belier dans le PRM. Trouées dans la toiture largement en amont du feu.

Faire la part du feu. Constituer une ligne d’arrêt.

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40
Q
5) Feux en toitures.
Feux de combles.
Progression des porte-lance ? 
Important de repérées ? 
Afin d'éviter les chutes ? 
Dans un second temps ?
A

Le long des murs, ou au moins près des points d’appui des charpentes.

Repérées les chassis vitrées.

Afin d’éviter les chutes, recouvrir les plancher vitrées de planches ou d’échelles.

Dans un second temps, minimum d’eau + mousse ou produit mouillant + déblai dans les meilleurs délais.

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41
Q
4) Feux en toitures. 
Feux de terrasse.
Le principal danger ? 
Attaque ? 
Extinction ? 
Demande ?
A

Le principal danger réside en la présence de bouteilles de gaz (butanes, acetylene, etc.)

Prioritairement par les communications existances.

Lextinction se fait à l’eau en jet diffusé d’attaque ou éventuellement à la mousse.
Le refroidissement des bouteilles de gaz fait parie intégrante de l’attaque. Entrepris dès leur découverte, il est poursuivi jusqu’au refroidissement complet.

Demande de LCPP d’urgence pour feu impliquant des bouteilles d’acetylene.

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42
Q

6) Feux d’éléments de construction.

Les habitations modernes comprennent de plus en plus souvent de:

A
  • Matériaux synthétique pour l’isolation acoustique et thermique.
  • des cloisons en préfabriqué, à pose rapide et en matériaux légers.
  • des faux-plafonds, qui cachent le passage de canalisations et de fils et masquent les défauts de recoupement entre locaux ou étages.
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43
Q

6) Feux d’éléments de construction.
Feux de plancher, de cloison, de mur.
A l’issue de l’extinction,

A

Des rondes sont systématiquement prévues.

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44
Q

6) Feux d’éléments de construction.
Feux de joint de dilatation.
Cat ?

A

Réalisé des séries de trouées largement autour de la zone chaude pour devancer le feu.

Injecter de l’eau additivée en produit mouillant à l’aide du DML.

Avant les trouées, s’assurer de l’absence de conducteurs électriques ou canalisations.

Reco + contrôles atmosphériques fréquents.

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45
Q

7) Feux de PSC.
Avec l’évolution des nouvelles technologies, la Brigade doit prendre en compte l’apparition des véhicules électriques dans les PSC:

A
  • soit en station de charges, pouvant regrouper jusqu’à 10 véhicules.
  • soit isolés à tous les emplacements, tous niveaux et dans tous les PSC.
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46
Q

7) Feux de PSC.

La situation à l’arrivée des secours peut être particulièrement défavorable, avec notamment:

A
  • 1 voire plusieurs niveaux entièrement enfumés.
  • 1 voire plusieurs niveaux entièrement embrasé.
  • un effet “four” rendant difficile et/ou dangereuse l’attaque au niveau sinistré.
  • une température élevée entrainant une fragilisation de la structure allant jusqu’à l’effondrement partiel le cas échéant.
  • éventuellement une notion de victimes à l’intérieur du parc.
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47
Q

7) Feux de PSC.

La lutte contre le sinistre doit répondre à 2 impératifs:

A

L’engagement des moyens le plus rapidement possible.

La sécurité du personnel (conformément au 200.11).

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48
Q

7) Feux de PSC.

Si la situation évolue défavorablement le cos doit également en fonctions des risques identifiés ou pressentis ?

A

Ne pas hésiter à reconsidérer le dispositif et à extraire son personnel du niveau si la situation évolue défavorablement.

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49
Q

7) Feux de PSC.
Caractéristiques constructives.
Certains éléments d ordre général méritent d’être pris en compte par le COS:

A
  • la stabilité au feu des dalles (30min, 1h30 voire 4h en IGH).
  • CS et/ou SEAE.
    • de 1niveau, possibilité de désenfumage mécanique avec commandes manuelles généralement au niveau de la rampe d’accès.
  • la coupure de l’alimentation générale doit rester exceptionnelle afin de ne pas mettre à l’arrêt le désenfumage mécanique du PSC.
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50
Q

7) Feu de PSC.
Plusieurs éléments, de nature constructive principalement, peuvent favoriser un developpement rapide du feu en PSC. Dès leur arrivée, les secours peuvent donc être confrontés à:

A
  • Une propagation horizontale rapide, du fait de la proximité des véhicules, présence de cloisons métalliques(box), voire de stockage anarchique.
  • une propagation verticale par les joints de dilatation et/ou les gaine techniques (absence de recoupement)
  • une propagation descendante par les écoulements d’hydrocarbures au travers d la dalle fissurée ou déstructurée.
  • un risque d’envahissement par les fumées des niveaux supérieur et des escaliers.
  • La présence d’éventuelles victimes
  • différents types de motorisation des véhicules (essence, diesel, GPL, GNV, ou elec et très prochainement H2)
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51
Q

7) Feux de PSC.

Le cos doit donc axer son idée de manoeuvre sur la maitrise de 6 éléments primordiaux:

A
  • une prise en compte des moyens de secours propres à l’établissement.
  • des reconnaissances approfondies dans l’ensemble du PSC et batiments attenants.
  • une localisation rapide du foyer (CTHE).
  • une attaque massive du foyer (produit mouillant)
  • l’utilisation du désenfumage mécanique ou de nos moyens de ventilations propres.
  • une utilisation de la mousse qui peut s’avérer judicieuse dans certains cas: niveau le plus bas, attaque “classique” impossible (demande de GMV).
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52
Q
7) Feux de PSC.
Risques dus au véhicules électriques:
Emballement des batteries ? 
Solution ? 
Les stations de charge en dessous du 1er ss sol doivent ?
A

Survient approximativement 45min après le début du sinistre.

Refroidir de façon très précoce ces véhicules.

Doivent être protégées par un SEAE.

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53
Q

7) Feux de PSC.

Utilisation de la ventilation lors d’un feu de PSC ?

A

La mettre en oeuvre même si foyer non decouvert.
La mise en oeuvre doit être progressive PV ouis GV.

Ouvrir les rampes + mise en place de VGD.

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54
Q

7) Feux de PSC.

Afin d’obtenir le maximum de renseignements sur la localisation du sinistre, il doit:

A
  • S’appuyer sur poste de surveillance, gardien, résident ayant une bonne connaissances des lieux.
  • se munir de plans
  • couper l’alimentation électrique des éventuelles stations de charges de véhicules électriques.
  • barrer le gaz si les canalisations traversent le niveau sinistré.
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55
Q

7) Feux de PSC.
Rappels concernant l’utilisation de la mousse.
La mousse agit par:

A

Isolement,
Etouffement,
Refroidissement et
Diminution du rayonnement.

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56
Q

Feux de classe A.
Les feux de classe A sont dits feux “secs”. Ils intéressent les matériaux solides (cellulose, boks, papier, tissu,fourage, coton etc.) Particulièrement inflammables. Il présentes 2 modes de combustion:

A
  • combustion vive avec flammes,

- combustion lente, sans flammes visible, mais avec formation de braises incandescentes.

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57
Q

Feu de classe A- feux secs.
Les feux couvants.
L’extinction complète, qui s’effectue généralement à l’eau, comprend en général 2 phases:

A
  • La cessation de la combustion vive (abattage des flammes).

- La cessation de la combustion lente (noyage des braises).

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58
Q
8) Feux de classe B - Feux Gras.
Concerne ? 
Types de combustion ?
Leurs capacité à s'enflammer dépend ? 
Rallumage brutal quand ? 
Extinction complète ?
A
  • Les liquides et solides liquéfiables.
  • flambent ou s’éteignent mais ne couve pas, pas de combustion lente et l’abbatage des flammes provoque l’extinction.
  • du “point eclair”.
  • la température avoisine celle de l’auto-inflammation”.
  • qu’après une phase de refroidissement.
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59
Q
9) Feux de classe B - Feux gras.
Liquides inflammables non miscibles à l'eau (essence, huiles, éthers, pétrole)
Faible étendue ?
Faible importance ? 
Nappes de grandes superficie ?
A

Faible étendue ==》eau en jet diffusé.
Faible importance ==》 Poudre.
Nappes de grandes superficie ==》 mousse.

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60
Q

9) Feux de classe B - Feux gras.
Liquides inflammables miscibles à l’eau (alcools, acides..)
Faible étendue ?
Feux plus important ?

A

Faible étendue ==》 jet diffusé.

Feux plus important ==》 CO2 ou poudre

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61
Q

9) Feux de classe B - Feux gras.
Solides liquéfiables (plastiques, caoutchouc, goudrons..)
Extinction ?

A

Généralement au moyen de l’eau.

Si insuffisant à l’aide de la mousse.

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62
Q

10) Feux de classe C - Feux de gaz.

Ce sont les feux de gaz tels que:

A
  • Gaz naturels.
  • Gaz de pétrole liquéfiés (butane/propane).
  • Autre produits à l’état gazeux. (Chim, rares..).
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63
Q

10) Feux de classe C - Feux de gaz

Ils se caractérisent par:

A
  • un très fort dégagement calorifique suscpetible de propager l’incendie.
  • un danger potentiel d’explosion consécutif à la présence de poches gazeuses créées avant l’inflammation ou de gaz stockés à proximité du sinistre dont les récipients ont chauffés.
  • un dégagement de vapeurs toxiques, dans le cas de produits chimiques gazeux.
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64
Q

10) Feux de classe C - Feux de gaz

En cas d’absolue nécessité d’extinction, l’agent extincteur à employer est:

A

La poudre polyvalente A,B,C.

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65
Q

11) Feux de classe D - Feux de Métaux.
Les feux de classe D concerne les métaux (sodium, potassium, magnésium, phosphore, aluminium) qui sont …… par inhalation, …… ou simple …. . Leur combustion est généralement …. et …… .

A

Toxique par inhalation, ingestion ou simple contact.

Leur combustion est généralement violente et très luminescente.

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66
Q

11) Feux de classe D- Feux de Métaux.

Extinction ?

A

Les feux de Métaux ne doivent en aucun cas être eteints au moyen d’eau ou de mousse.

Employer des agents d’extinction sec (sable, poudre, terre, ciment)

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67
Q

11) Feux de classe D - Feux de Métaux.

La plupart de ces métaux réagit …… à leau, en provoquant un ….. qui crée un risque …. .

A

La plupart de ces métaux réagit violemment à l’eau, en provoquant un dégagement d’hydrogène qui crée un risque d’explosion.

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68
Q

12) Feux de moyens de transport.

Le risque réside en la présence combinée ou non des éléments suivants:

A
  • Réservoir d’hydrocarbures (gazole,super,E85)
  • Reservoir sous pression (GPL/Gaz nat/H2/Pile à combustible/azote/aircomp)qui crée un risque d’explosion ou de torchère.
  • Plancher de batteries ou générateur thermique pour les VEH
  • Huiles et pneumatiques
  • Matières plastiques en quantité importante
  • Dispositifs pyrotechnique (airbag/pré-tensionneurs, arceaux de sécurité)
  • Matières transportées
  • bornes de charge électrique délivrant du courant alternatif.
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69
Q

12) Feux de moyens de transport.

La règle des “4I” ?

A
  • Identifier le véhicule et ses caractéristiques.
  • Inspecter les éléments constitutifs.
  • Interdire les actions potentiellement dangereuses.
  • Intervenir conformément à chaque type de motorisation.
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70
Q

12) Feux de moyens de transport.
Transport ferroviaire.
Le risque réside essentiellement ?

A

En cas d’incendie, le risque réside essentiellement dans l’alimentation de ces matériels qui est, le plus souvent, électrique.

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71
Q

12) Feux de moyens de transport
Transport ferroviaire.
La distribution se fait:

A
  • Par les LAC.

- Au niveau du sol

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72
Q

12) Feux de moyens de transport
Transport Ferroviaire.
En cas d’intervention pour feu, le COS ne doit faire entreprendre l’extinction qu’après coupure de l’alimentation électrique, pour éviter la formation d’arcs électrique et le risque d’électrisation des porte-lance:

A
  • Abaissement du pantographe ou retrait du frotteur. (Attaque par l’intérieur avec moyens portatifs uniquement).
  • Confirmation de la coupure à distance de l’alimentation: attaque par l’extérieur possible, à l’eau ou mousse, à l’aide de lances à mains.
73
Q

12) Feux de moyens de transport
Feux d’aéronefs.
Les opérations d’extinction comprennent simultanément:

A
  • l’attaque des feux d’hydrocarbures (mousse/poudre).
  • l’attaque des parties métalliques (eau/terre ou sable sec).
  • l’attaque des aménagements intérieurs (jet diffusés).
  • l’attaque des feux de bâtiments voisins (moyen ordinaires).
74
Q

12) Feux de moyens de transport.
TMD.
En règle générale il faut se conformer à la MGO NRBC et notamment:

A
  • se renseigner immédiatement sur le produit, caractéristiques et moyens d’extinction.
  • Caler le véhicule.
  • délimiter un périmètre de sécurité.
  • établir des moyens d’extinction autour du véhicule, (pente, voirie et sens du vent).
  • Protéger la zone voisine si elle est menacée.
  • crée des barrages au sol ou des tranchées pour empêcher le liquide de se répandre.
  • entreprendre l’extinction avec les moyens adaptés au produit.
  • demander le service des égouts, la voirie et le LCPP.
  • si le transport s’effectue en citerne et qu’elle n est pas atteinte par le feu au moment de l’arrivée des secours, il est parfois nécessaire pour la protéger de:

Soit de l’arroser en jet diffusé pour la refroidir progressivement.

Soit de la recouvrir d’une enveloppe de mousse.

75
Q

13) Feux d’installations précaires.
Installations provisoires ou mobiles.
Entrent dans cette rubrique:

A
  • Les stands d’expositions, baraques et attractions foraines.
  • Les tentes et caravanes disposées sur les terrains de camping.
76
Q

13) Feux d’installations précaires.
L’intervention doit être conduite avec rapidité et précision. Après avoir demandé les moyens de renforts nécessaires, le COS fait porter ses efforts de manière à:

A
  • Réaliser les sauvetages.
  • Empêcher la propagation aux installations voisines.
  • Faire évacuer les zones menacées.
77
Q

13) Feux d’installations précaires.
Dépôts d’ordures, de décharges publiques, déchets industriels.
On peut aussi faire intervenir des sociétés privées pour faciliter L extinction totale lorsque.

A
  • Le feu ne risque pas de se propager à d’autres installations.
  • l’extinction risque d’être de très longue durée.
78
Q

13) Feux d’installations précaires.
Chantiers de construction et de démolition, ou batiments désaffectés.
Des precautions particulières doivent être prises pour éviter d’exposer dangereusement les personnels engagés:

A
  • Présence de bouteille de gaz sous pression
  • Risque de chute dans les gaines non protégées en cours d’aménagement.
  • installations électrique volantes, chute de matériaux.
  • écroulement de murs, effondrement de toitures ou planchers, etc.
79
Q

13) Feux d’installations précaires.
Chantiers de construction et de démolition, ou bâtiments désaffectés.
Les règles suivantes doivent être appliquées:

A
  • Reconnaissances en binômes et limitées au minimum indispensable pour les sauvetages et la conduite normale des opérations.
  • N’engager que le personnel strictement nécessaire à l’intérieur des locaux.
  • dès lors attaquer les foyers à distance en utilisant au besoin des moyens puissants pour abattre les parties menaçantes
  • Dans les feux de chantiers de démolition, le déblai ne doit pas être entrepris. En effet, l’extinction complète est alors obtenue en noyant les décombres.
80
Q

P2 Titre 1) Personne ensevelie.

La difficulté est accrue par:

A
  • L’ensevelissement simultané de plusieurs personnes.
  • l’impossibilité pour les victimes de manifester leur présence.
  • Le risque de décès pour les personnes ensevelies par:
  • Asphyxie dans les volumes clos.
  • Manque de soin.
  • Ecrasement de membre (crush syndrome)
  • Privation d’aliments
81
Q

P2 / Titre 1 - Personne ensevelie.

Le risque pour les sauveteurs est l’ensevelissement au cours des opérations de recherche ou de sauvetage, du fait:

A
  • De l’insuffisance ou de l’absence d’étaiement des ruines dans la zone daction.
  • du non-respect des mesures de sécurité pendant les recherches.
  • de la chute de matériaux.
82
Q

P2 / Titre 1 - Personne ensevelie.

Lors d’une recherche de personne ensevelie, il faut ?

A
  • Procéder à une enquête de voisinage, afin d’obtenir des renseignements sur le recensement des victimes potentielles.
  • Procéder selon la chronologie d’une opération de sauvetage déblaiement:
  • à la recherche de victimes de surface.
  • à la recherche dans les parties peu endommagés.
  • aux recherches approfondies et aux localisation de victimes non visibles.
  • à l’enlèvement sélectionné, puis généralisé des décombres.
83
Q

P2 / Titre 1 - Personne ensevelie.

Pendant l’opération il faut ?

A
  • Demander les moyens RSMU adaptés.
  • Utiliser les moyens de localisation de victimes (détecteurs acoustique, cyno)
  • N’engager dans les éboulis que le minimum de personnel, après s’être assuré de la coupure des fluides.
  • dans les zones de recherche ou dans les zones de sauvetage, étayer et consolider les parties qui menacent ruine. De même étayer ou boiser les tranchées dans lesquelles sont recherchées les victimes, après avis des specialistes SD.
  • amarrer le personnel effectuant les missions d’exploration, de recherche ou de dégagement sous les décombres, en étant particulièrement vigilant en présence de sols meubles.
  • garder à l’esprit qu’il peut s’être formé des poches d’atmosphère explosible ou irrespirable.
  • Si des trouées sont faites pour accéder à des victimes, prendre garde aux chocs répétés, qui peuvent causer de nouveaux éboulements.
84
Q

P2 / Titre 1 - Personne ensevelie.

Dans tous les cas, l’organisation du chantier impose?

A
  • D’éloigner les curieux en dehors d’un large périmètre, ce qui nécessite un service d’ordre important.
  • d’exiger le silence en toutes circonstances.
85
Q

P2 / Titre 2 - Personne tombée en profondeur.

Les risques pour la personne qui est tombée sont:

A
  • Le décès consécutif aux blessures ou à l’asphyxie.

- La difficulté à manifester sa présence.

86
Q

P2 / Titre 2 - Personne tombée en profondeur.

Pour le sauveteur le risque est lié à:

A
  • Une chute pendant la progression, liée à un problème de matériel.
  • Une asphyxie due à la méconnaissance du milieu où se pratique le sauvetage.
87
Q

P2 / Titre 2 - Personne tombée en profondeur.

Avant l’opération le sauveteur doit ?

A
  • Chercher à entrer en contact avec la personne.
  • essayer de la localiser si elle n’est pas visible ou ne répond pas, éventuellement au moyen de la caméra thermique.
  • rechercher des renseignements: auprès des témoins éventuels sur les circonstances de l’accident.
  • auprès des techniciens, des voisins, des plans.

Contrôler la qualité de l’atmosphère jusqu’au fond de l’excavation.

88
Q

P2 / Titre 2 - Personne tombée en profondeur.

Pendant l’opération, il faut ?

A
  • N’engager que le personnel strictement nécessaire.
  • Amarrer les sauveteurs
  • ARI coiffé tant que le caractère respirable du milieu n’est pas établi.
  • Si l’explosibilité de l’atmosphère est relevée, que le cos juge, selon les circonstances, de la nécessité de ventiler l’excavation et prenne toutes les mesures pour éviter l’apparition d’un facteur de déclenchement d’une explosion.
  • pendant toute la durée de l’opération, garder la liaison entre les sauveteurs et le personnel en surface.
89
Q

P2/ Titre 3.
Personne réfugiée, bloquée en hauteur ou menaçant de se jeter dans le vide.
Il peut s’agir par exemple d’une personne:

A
  • Qui s’est réfugiée en hauteur (toit, balcon..) pour échapper à un sinistre.
  • Qui se retrouve bloquée sur une nacelle évoluant en façade d’un immeuble.
  • Qui menace de se jeter dans le vide pour mettre fin à ses jours.
90
Q

P2/ Titre 3.
Personne réfugiée ou bloquée.
Quelle action est déterminante ?

A

Du fait de l’aspect traumatisant de la notion de hauteur pour la personne, l’action psychologique est déterminante.

91
Q

P2/ Titre 3.
Personne réfugiée ou bloquée.
A cet effet le COS doit ?

A
  • Rassurer la personne, au besoin à l’aide du porte-voix.

- La calmer, (si paniquée = dde de moyen médicalisée + au besoin l’intervention d’un médecin IMP).

92
Q

P2/ Titre 3.
Personne réfugiée ou bloquée.
Pour l’approche et la mise en sécurité proprement dites, le COS décide selon les circonstances:

A
  • De la voie la plus facile et la moins risquée pour: atteindre la personne.
  • Assurer son sauvetage.
  • Des moyens à employer pour dégager la personne.
93
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
CAT avant le départ ?
CAT a l’arrivée sur intervention ?

A

Avant le départ sur intervention, le cos doit s’assurer des moyens prévus et de leur correspondance avec l’ordre de départ.

A leur arrivée sur intervention, les engins doivent autant que possible se présenter dans le calme (limiter l’usage des avertisseurs sonores). En effet, certaines personnes attendent l’arrivée des secours pour sauter.

94
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
Dès sa présentation sur intervention le COS doit:

A
  • demander la police;
  • demander les matelas de sauvetage si necessaire;
  • entamer rapidement un dialogue avec la personne, sans pour autant entrer dans une quelconque forme de négociation;
  • lorsque le dialogue ne semble ne par aboutir et que l’intervention va s’inscrire dans le temps, faire intervenir des specialistes de la négociation (RAID en extra, BRI pour Paris.)
  • Faire établir dans le même temps un périmètre de sécurité à l’aplomb de la façade ou de l’ouvrage concerné, et le placer sous la responsabilité du SP.
  • Évaluer la situation
  • analyse du risque pourla personne/les tiers
  • demande de moyens supplémentaires (AR/Grimp)
  • Si l’intervention monte en puissance, le COS doit rapidement définir son idée de manoeuvre, afin de parfaitement coordonner l’action des différents acteurs sur le terrain.
  • Dans le cadre de cette montée en puissance et afin de conserver un certain recul sur son intervention le COS peut demander un 2nd OGC.
95
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
Lorsque les secours se présentent avant le saut….

A

Dans 80% des cas ils trouveront une personne qui désire communiquer.

96
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
Entamer le dialogue en suivant les quelques règles présentées ici:

A
  • Bien rappeler à la personne que l’on veut seulement discuter avec elle, sans chercher à se rapporcher, ni à l’attraper et que l’on respecte son choix.
  • Intervenir seul, à mains nues, non casqué et si possible sur le même plan, en respectant une distance “intime” (3m environ).
  • Veiller à ce qu’il n’y ait pas d’agitation à proximité, (mise en place d’équipes ou échelles)
  • Eloigner la foule et surtout les médias.
  • déculpabiliser les intervenants.
  • toujours prendre un suicidaire au sérieux.
  • Le degré de préparation est révélateur.
  • prendre le temps nécessaire: le facteur “temps” est fondamental.
  • la méthodologie d’intervention. (Primo intervenant efficace ou pas?)
  • laisser la famille à l’écart.
  • les actions de derniers recours (changement d’interlocuteur)
97
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
Quand rien ne marche ?

A

Tenter éventuellement une ultime stratégie, en évoquant les conséquences de son acte, en parlant de la réalité physique de la mort, de la possibilité de survie avec un handicap majeur (conséquence fréquente). Lui demander ce que vont penser ses proches en voyant ce spectacle, etc.

98
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
En cas de réussite du dialogue ?

A

Ne pas brusquer les choses et toujours agir en respectant le rythme de l’autre, valoriser sa decision, sur un ton de sagesse et de compassion. Tendre la main pour que la personne vienne vers le sauveteur, et non l’inverse, elle sauve ainsi les apparences.

99
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
Quelques points-clés à respecter au cours du dialogue:

A
  • Toujours vouvoyer la personne.
  • Sourire, mais sans excès.
  • Donner son prénom et lui demander le sien
  • expliquer pourquoi il y à un tel déploiement de secours, et préciser que l’on a tout notre temps.
  • apparaître calme et tenter de tenir une conversation d’allure naturelle, sans dramatiser, ni banaliser.
  • parler avec des mots simple, et lentement.
  • ne jamais laisser le sujet seul, meme quelques secondes.
  • écouter le sujet au maximum
  • Se contenter d’écouter en acquiesçant et en utilisant des mots de soutien.
  • Informer que le désire de mourir est quelque chose de non permanent qui évolue: c’est un élan “réversible”
100
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
Parfois la victime trouve la force de se suicider lorsque son état semble s’améliorer: son humeur devient parfois soudainement joyeuse, car elle a pris sa decision. C’est …..

A

C’est un paradoxe de comportement.

101
Q

P2/ Titre 3.
Cas particulier d’une personne menaçant de se jeter dans le vide.
Négociation d’un spécialiste CAT ?

A

Le Cos concerte le médecin et exprime son souhait auprès de l’autorité de police présente sur place.
L’autorité de police transmet la demande de négociateur auprès du cabinet du Préfet de Police.

102
Q

P2/ Titre 4.
Accidents liés aux ascenseurs:
Les circonstances sont diverses. Il peut s’agir de:

A

1- Personne bloquée dans la cabine entre deux étages (pas d’intervention en règles générales)

2- Personne coincée entre la cabine et la gaine, ou par la cabine.

3- Personne bloquée par un objet à l’intérieur de la cabine.

4- Personne blessé à l’intérieur suite à la chute de la cabine.

5- Personne tombée dans la gaine.

103
Q

P2/ Titre 4.
Accidents liés aux ascenseurs.
Pour les personnes comme pour les sauveteurs, les risques les plus importants sont …… et les blessures par …… etc. d’où l’importance du ….

A

La chute dans le vide de la gaine et les blessures par écrasement, cisaillement, coupure etc. d’où l’importance du RESPECT DES MESURES DE SÉCURITÉ.

104
Q

P2/ Titre 4.
Accidents liés aux ascenseurs:
Avant toute action sur l’ascenseur, il faut:

A

1- Recueillir le maximum d’informations sur le type de l’appareil et son mode de fonctionnement.

2- Localiser la machinerie et y placer, le cas échéant pendant toute la durée de l’intervention, un sapeur-pompier formé pour manoeuvrer manuellement la cabine à la demande.

3- couper l’alimentation électrique.

4- s’efforcer à entrer en contact avec les personnes, pour s’assurer de leur état et les rassurer si besoin.

5- s’assurer de la fermeture et du verrouillage effectif des portes palières pour prévenir tout risque supplémentaire de chute.

6- demander les moyens necessaires, en particulier de désincarcération.

105
Q

P2/ Titre 4.
Accidents liés aux ascenseurs:
Système anti-vandalisme CAT ?

A
  • Pour accéder au dispositif principal de déverrouillage de la porte, il faut désactiver au préalable un système anti vandalisme.
  • Un dispositif de coupure électrique permet de désactiver manuellement ce système anti-vandalisme. Il est généralement situé soit dans le local de la machinerie, soit dans l’armoire de commande.
  • Le pictogramme d’identification doit être affiché soit au niveau de l’accès principal soit à l’entrée de l’ascenseur.
106
Q

P2/ Titre 4.
Accidents liés aux ascenseurs:
En fin d’intervention il faut.

A
  • s’assurer une dernière fois que les portes palières sont toutes fermées et verrouillées.
  • laisser l’installation hors service et ne surtout pas la remettre sous tension.
  • préciser à une personne qualifiée (représentant du syndic, propriétaire, concierge) de la mise hors service de l’appareil et la nécessité de l’intervention d’un spécialiste.
107
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.

Les types d’accidents possibles.

A
  • ERP flottant menaçant de couler ou ayant sombré.

- collision entre plusieurs bateaux ou ouvrage d’art.

108
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.

Les risques ?

A
  • Difficultés pour les intervenants terrestres d’effectuer les sauvetages et mises en sécurité.
  • Survie brève liées aux conditions climatique
  • Dispersion des victimes liée à la force du courant.
  • Visibilité réduite et localisation difficile des victimes (période nocturne)
  • Incapacité des sauveteurs terrestres (courant, froid..)
  • nombre de victimes potentiellement élevé et impossible à connaitre.
  • Sur-attentat.
109
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.

Les 3 premières actions à mener sont les suivantes:

A

1 - Sauvetage rapide de toutes victimes visible (dans l’eau et sur lembarcation menaçant de sombrer).

2 - Prise en charge de victimes.

3 - Recherche de corps.

110
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.
Prise en charge des victimes.
Les points suivants seront à respecter dans la mesure du possible:

A
  • Identifier rapidement les espaces destinés à mettre à l’abri les victimes.
    L’emploi de la BUMD et de ses douches chaudes peut s’avérer un + si activée immediatement.
  • organiser immédiatement les opérations de transfert des victimes des berges vers ces lieux.
111
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.

L’emploi de la CHTE peut également être de nature à faciliter ces opérations. Une victime….

A

Une victime immobile est visible à 50m avec la CHTE des EP.

112
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.
Sauvetage nautique d’une personne menacée de noyade.
Les circonstances sont variées. Elle peuvent être liées à:

A
  • Un accident sportif ou de loisir (chute dans l’eau, fatigue, etc.)
  • Un acte volontaire ou malveillant.
  • Un véhicule tombé à l’eau.
  • Une inondation.
113
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.
Sauvetage nautique d’une personne menacée de noyade.
CAT Si la personne est près de la rive:

A

Lui tendre une perche, lui lancer une corde, une bouée ou tout autre objet flottable auquel elle est susceptible de pouvoir s’accrocher afin de la tirer jusqu’à la berge.

114
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.
Sauvetage nautique d’une personne menacée de noyade.
CAT si elle est éloignée de la rive, le cos décide selon les circonstances:

A
  • d’opérer à la nage, le sauveteur étant amarré.
  • d’utiliser une embarcation (barque, canot pneu).
  • de faire intervenir les spécialistes en interventions aquatiques et/ou subaquatiques.
115
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.
Sauvetage nautique d’une personne menacée de noyade.
CAT si la personne a coulé avant l’arrivée des spécialistes, les recherches peuvent être entreprises, en priorité à l’aplomb du point ou la personne a disparu, puis en aval:

A
  • Par sondage à l’aide de la gaffe si les eaux sont peu profondes.
  • en apnée par un sauveteur amarré.
  • à l’aide des specialistes cynotechniques.
116
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.
Sauvetage nautique d’une personne menacée de noyade.
Lorsque l’intervention nécessite lemploi d’une embarcation, les mesures de sécurité suivantes doivent être respectées:

A
  • N’engager que le personnel strictement nécessaire.
  • Alléger autant que possible l’équipement individuel (casque, ceinturon, veste d’intervention)
  • équiper si possible le personnel de gilets de sauvetage.
117
Q

P2 / Titre 5 - Sauvetages nautiques.
Sauvetage nautique d’une personne menacée de noyade.
Dans le cas d’un véhicule tombé à l’eau:

A
  • Faire préciser par un témoin le nombre de personnes à bord.
  • Plonger pour dégager les victimes prises dans le véhicules ou éventuellement éjectées aux abords.
  • Rechercher en aval du point de chute les victimes qui auraient pu être entraînées par le courant.
118
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
Pour les victimes, le risque principal réside dans une aggravation de leurs états:

A
  • De leurs blessures.
  • D’un sur-accident.
  • De la survenue de blessures supplémentaires lors de leur degagement.
  • De brûlures.
119
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
Pour les sauveteurs, le risque est lié à la survenue de blessures du fait:

A
  • De coupures sur des tôles accérées.
  • De la réalisation de manoeuvre de force.
  • D’un sur-accident.
  • D’un déclenchement intempestifs des dispositifs pyrotechniques actionnant les équipements de protection (airbag).
  • De choc électrique lors de la coupure de câbles de courant d traction sur véhicule électrique/hybride.
  • D’un emballement thermique d’une batterie de traction.
120
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
L’intervention comprend deux aspects distinct, mais traité simultanément:

A
  • l’action sur les victimes.

- l’action sur le vehicule.

121
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
Intervention.
Les facteurs essentiels sont:

A
  • La rapidité d’intervention (urgence).
  • Le balisage en amont et en aval pour éviter le sur-accident.
  • l’emploi des moyens et procédés convenables.
  • le respect des mesures de sécurité.
122
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
Dans tous les cas, les consignes suivantes sont à respecter impérativement:

A
  • Aucun véhicule de secours ne doit s’arrêter dans le sens opposé à l’accident, mais poursuivre son itinéraire jusqu’à une possibilité de retournement autorisé.
  • La signalisation des engins et port du GHV permanent.
  • Aucun personnel ne doit traverser les voies de circulation opposées ou demeurer dans un véhicule, quelles que soit les conditions d’engagement des secours.
  • Les victimes ne doivent être conduites et traitées à l’intérieur des engins que lorsqu’un balisage efficace à été effectué.
123
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
Pour réduire au maximum l’occupation de la zone à risques, les chefs d’agrès doivent:

A
  • demander au médecin de l’AR/UMH de se diriger dès que possible vers la bretelle de sortie la plus proche dans l’attente du lieu de destination de la victime.
  • Informer les forces de l’ordre, avant tout départ des lieux, de la prise en charge et de l’évacuation des blessés vers l’établissement hospitalier désigné.
  • Laisser les opérations de dégagement de la chaussée aux services concernées (DIRIF, société privée) et le rétablissement de la circulation aux forces de l’ordre.
124
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
La MGO SR:

A
  • La sécurisation de l’intervention.
  • La sécurisation du véhicule.
  • L’ abord de la (des) victime(s).
  • La recherche d’éventuelles victimes éjectées.
  • La demande de moyens.
  • La désincarcération.
  • La cueillette et l’évacuation.
125
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
MGO SR, que comprend la partie “la sécurisation de l’intervention” ?

A

Port des EPI. (Manches longues, GHV..)
Balisage.
Mise en place d’un moyen d’extinction.

126
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
MGO SR, Que comprend “la sécurisation du véhicule” ?

A

Les 4I (identifier, inspecter, interdire, intervenir).

127
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
Par anticipation les primos intervenants peuvent, dans la mesure du possible:

A
  • couper les ceintures.
  • dégarnir les endroits de coupe.
  • déposer vitres et pare brises.
  • ouvrir toutes les portières et le coffre.
128
Q

P2 / Titre 6.
Accident de la circulation.
Rappel sur le rôle des forces de l’ordre.
Missions principales des forces de police sur accident de la circulation ?

A
  • Balisage en amont et en aval.
  • Régulation de la circulation routière.
  • Asistance à personnes et appui aux secours.
  • Relevé d’informations dans le cadre du traitement judiciaire de l’accident.
129
Q

P2/Titre 7.
Secours à victime en carrières ou dans les catacombes.
Victime localisée au départ des secours ?

A

Ne pas s’engager sans avoir au préalable confirmé l’emplacement de la victime, ou a minima le secteur ou elle se trouve: le lieu de l’appel peut être différent du lieu de présence de la victime à l’arrivée des engins, notamment lorsque ce n’est pas la victime elle-meme qui a contacté les secours.

130
Q

P2 / Titre 7
Secours à victime en carrières ou dans les catacombes.
Victime égarée ?

A
  • liaison avec la police et d’éventuels temoins, définir le ou les secteurs probables de présence de la victime.
  • effectuer des reconnaissances dans chacun de ces secteurs en revenant ensuite systématiquement au point d’entrée, afin d’y effectuer un CR au COS, qui doit rester en surface.
  • La recherche se fera conjointement avec la police des carrières.
131
Q

P2 / Titre 7
Secours à victime en carrières ou dans les catacombes.
Dans tous les cas ?

A
  • Déterminer le ou les accès en liaison avec le CA GRIMP, qui sera le conseiller technique du COS tout au long de l’intervention.
  • Dans la mesure du possible, éviter de briser par la force les accès aux carrières: privilégier l’emploi de la scie à disque du GRIMP.
  • En cas de médicalisation sur place de la victime, le personnel médical sera pris en charge par le personnel du GRIMP tout au long de l’intervention.
  • Le groupe Cyno peut être demandé par le COS en cas de recherches longues et/ou difficiles. La manoeuvre combiné cyno/grimp se fera avec l’accord du COS.
132
Q

P2 / Titre 7
Secours à victime en carrières ou dans les catacombes.
Contact de L’IGC.
Astreinte en semaine ? le week-end ?

A

Astreinte 7j/7.
En semaine =》 18h-8h.
Le week-end =》 24h/24h.

133
Q

P3 / Titre 1.
Risque d’explosion.
Le risque est généré par la présence.

A
  • D’un gaz combustible ou de vapeurs de liquides inflammables dont la concentration si situe dans leur plage d’explosibilité.
  • De poussières en suspension dans l’air.
  • de produits explosif par nature.
  • D’un récipient ou d’une conduite sous pression.
134
Q

P3 / Titre 1.
Risque d’explosion.
L’explosion peut être déclenché par:

A
  • Une source externe.
  • un échauffement trop important (surpression)
  • un refroidissement trop rapide (choc thermiqu)
  • un choc mécanique.
  • un apport brusque de comburant.
135
Q

P3 / Titre 1.
Risque d’explosion.
Dans tous les cas, l’intervention, qui est avant tout une mission de sauvegarde, consiste à:

A

Reconnaître le risque.
Protéger l’environnement.
Supprimer le risque.

136
Q

P3 / Titre 1.
Risque d’explosion.
Risque d’explosion en présence de feu.
La mission ded secours est alors double:

A

SAUVEGARDE et EXTINCTION.

137
Q

P3 / Titre 1.
Risque d’explosion en présencede feu.
Fuite de gaz de ville enflammée.
Pour procéder à l’extinction alors que la fuite n’est pas encore arrêté.
Pour ce faire, la conjonction des quatres facteurs suivant edt nécessaires:

A

1- Urgence absolue (personne en danger, explo..)

2- impossibilité d’effectuer le barrage ou délais trop long.

3- Possibilité d’effectuer la neutralisation directement au niveau de la fuite.

4- absence de matières en ignition aux abords immediats susceptible de provoquer une ré-inflammation spontanée.

138
Q

P3 / Titre 1.
Risque d’explosion.
Des bouteilles qui ont été soumises au rayonnement d’un incendie sont susceptibles d’exploser au-delà d’une certaine température.
Dans ce cas, il faut ?

A

Éviter toute action mécanique ou thermique brutale.

Ne pas négliger le risque de “BLEVE” pour les bouteilles de GPL.

Ne pas négliger le risque de combustion interne qui existe avec l’acetylene.

139
Q

P3 / Titre 1.
Risque d’explosion.
Avant tout déplacement de bouteille de gaz, le chef de détachement doit alors:

A
  • En mesurer la température externe au moyen du thermomètre infrarouge (VRCH) ou CTHE.
  • La refroidir en jet diffuse d’attaque, porte lance hors d’atteinte jusqu’à ce que la température redescende en-dessous du seuil de rupture
  • Acétylene = 65 degrés.
  • O2 = 350 degrés.
  • CO2 et GPL = 100 degrés.
  • Demander le LCPP si la bouteille d’acétylène à dépassé le seuil de rupture.
140
Q

P3 / Titre 1.
Risque d’explosion.
En présence d’engins suspects et pluq particulièrement sur les engins et colis déposés, les mesures suivantes sont à prendre:

A
  • Demander l’intervention de la police
  • Ne pas toucher, deplacer, provoquer des vibrations dans les environs immédiat de l’objet.
  • Prêter son concours à la police pour la réalisation d’un périmètre de sécurité initial de 100m.
  • Au minimum en zones dégagées, en l’absence de la police, prendre les premières mesures nécessaires à la mise en place de ce périmètre.
  • Demander les moyens supplémentaires jugés necessaires pour lutter contre les dommages que provoquerait l’explosion.
141
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Le courant électrique est employé sous plusieurs tensions:
Courant alternatif / courant continu ?

A

Courant alternatif : Courant continu:

TBT : inf ou égal à 50V / inf ou égal à 120V.
BT: +50V et - ou = à 1000 / +120V et -ou= 1500V
HT: sup 1000V / sup 1500V.

142
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique. Basse tension.
Lorsque le courant ne peut pas être coupé dès l’arrivée des secours l’extinction doit se faire au moyen d’extincteurs appropriés:

A

Poudre / CO2.

143
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique. Basse tension.
Si pas d’autre moyen que la mise en oeuvre d’une LDMR, jet diffusé d’attaque + distance minimale de 2m entre la lance et l’installation.
Cette manoeuvre sera effectuée par un porte lance aguerri, qui doit:

A
  • Manoeuvrer dans un premier temps la lance dans une direction non dangereuse, puis diriger le jet avec précautions sur les pièces en tension.
  • Procéder par des mouvements lents et précis.
  • Reculer à la moindre sensations de picotement.
  • Faire attention au risque d’électrisation: éviter de marcher dans les eaux de ruissellement, qui peuvent conduire le courant.
  • rester vigilant vis-à-vis des pièces métalliques avoisinantes.
144
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Installation HT.
Distance minimale de sécurité.

A

Distance minimale de sécurité de 3m entre l’eau projeté et l’installation alimentée HT.

145
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Intervention sur le réseau ferré.
Distances minimal à respecté pour les interventions à proximité des LAC ?

A

Les secours ne doivent en aucun cas s’approcher à une distance inférieur ou égale à 3m de la caténaire.

146
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Intervention sur le réseau ferré.
Dans tous les cas il faut:

A
  • Prendre les mesures de sécurité du BSP 370.
  • ne pas toucher au caténaires tombées, ni aux câbles ou pièces en contact avec ces dernières.
  • ne pas monter au poteaux supportant des fils conducteurs ni s’approcher de ceux présentant des phénomènes anormaux.
  • ne pas se livrer à des travaux sur des pièces sous tension ou trop près de celles-ci.
  • se mefier des courants de retour et des courants induits, ainsi que des amorçages d’arc qui peuvent survenir jusqu’à 40cm.
  • tenir compte du fait que les gazs chauds dégagés par un incendie peuvent être conducteurs de l’électricité.
  • s’assurer que les échelles et les outils employés ne peuvent pas se retrouver en contact avec les installations électriques ou placés trop près de ces dernières.
147
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Conducteur électrique HT avec le sol, quelle distance de sécurité ?

A

Ne pas s’approcher à moins de 10m du point d’impact sur sol sec.

148
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Installation photovoltaïque.
Composition:

A
  • un ensemble de capteurs ou panneaux photovoltaïques pouvant atteindre des tensions dangereuses supérieures à 50V et d’intensité supérieur à 30mA.
  • un ou plusieurs onduleurs.
  • des câbles reliant l’ensemble des composants.
  • de boitiers de jonctions faisant la liaison entre les différents groupes de panneaux
  • exceptionnellement de batteries.
149
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Installation photovoltaïque.
Londuleur à pour rôle:

A

Convertir le courant continu produit par les panneaux en courant alternatif.

150
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Installation photovoltaïque:
2 types de disjoncteur ?

A

Le disjoncteur de production, ne coupe pas l’alimentation en courant continu situé entre les panneaux et l’onduleur.

Le disjoncteur de consommation, permet de mettre hors tension l’installation électrique d’un batiment.

151
Q

P3 / Titre 2.
Risque électrique.
Panneaux photovoltaïques.
Les risques pour les intervenants sont ?

A
  • électrisation et/ou électrocution.
  • chute liée à la hauteur d’intervention après un choc électrique sur les intervenants.
  • chute des panneaux par fonte des dispositifs de fixation.
  • intoxication potentielle liées aux émissions de gaz toxiques provoqués par la combustion des panneaux.
  • passage au travers des panneaux.
152
Q

P2 / Titre 3.

Les manoeuvres de force ont pour but:

A
  • De modifier la position d’un fardeau.

- Éventuellement d’en assurer le déplacement.

153
Q

P3 / Titre 3.
Manoeuvres de forces.
Pour préparer et diriger une manoeuvre, il faut:

A
  • Etudier sur place la manière de procéder.
  • Determiner les besoins en personnel et en matériel.
  • articuler l’emploi des personnel et du matériel au cours des différentes phases de la manoeuvre, pour éviter les encombrements et le désordre.
  • assurer la sécurité du personnel et du bon emploi des matériels.
154
Q

P3 / Titre 3.
Manoeuvres de forces.
Avant la manoeuvre:

A
  • estimer le poids de la masse à déplacer, ainsi que la position du centre de gravité.
  • s’assurer que les moyens utilisés sont adaptés au travail à fournir.
  • Vérifier que le matériel est en bon état.
  • installer les engins sur une base solide.
  • sur la charge à deplacer, choisir un point d’application suffisamment robuste.
  • assurer la sécurité du personnel de manoeuvre:
  • port casque + gants
  • gilet de sauvetage et élément de secu nautique si cours d’eau ou plan d’eau.
  • Faire établir un périmètre de sécurité par les forces de l’ordre.
155
Q

P3 / Titre 3.
Manoeuvres de forces.
Pendant la manoeuvre:

A
  • ne jamais se placer sous une charge suspendue.
  • ne pas s’approcher plus que nécessaire d’un câble en tension.
  • placer les mains de façon à ne pas les coincer sous la charge.
  • dans tous les cas, agir avec calme et sans précipitation.
  • Faire suivre le calage au fur et à mesure de la manoeuvre de levage.
  • n’utiliser les appareils, engins et agrès que dans les conditions prévues à leur emploi.
  • ne pas employer à la manoeuvre + de personnel que nécessaire.
156
Q

P2 / Titre 5.
Intervention NRBC.
La MGO face aux risques technologiques se divise en deux phases:

A
  • Une Phase réflexe de la part des premiers intervenants non specialistes, constituée de plusieurs étapes.
  • Une phase réfléchie, dévolue aux intervenants spécialisés.
157
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
MGO NRBC.

A

1) Recherche du renseignement.
2) Protection du personnel.
3) Sauvetage/évacuation/mise à l’abri.
4) Périmètre de sécurité réflexe.
5) détection d’alerte.
6) détection de confirmation
7) zonage de l’espace.
8) prélèvement, transfert.
9) Réduction et ou suppression de la cause.
10) Désengagement.

158
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
MGO NRBC / la “Recherche de renseignement” comprend ?

A
  • la situation météorologique.
  • la nature du ou des produits en cause.
  • les circonstances de l’événement.
  • présence d’éventuelles ou potentielles victimes
  • relevés de mesures effectuées par le requérant.
  • Les mesures déjà prise par le requérant.
  • mesures définis par les plans de secours privés (poi/pui) ou publics (Etare, PPI, ORSEC,TMR..)
159
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
MGO NRBC / Que comprend les “Mesures immédiates de sauvegarde” ?

A
  • S’arrêter avant l’adresse (comme pour une fuite de gaz).
  • Port de EPI adaptés au risque
  • Contrôler le caractère explosif de l’atmosphère et des espaces clos.
  • Engager le minimum de personnel
  • constitué une équipe de sécurité.
  • En cas d’incendie (minimum d’eau et surveiller les écoulements, interdire l’eau sur les matières fissiles et matières réagissant dangereusement avec l’eau).
160
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
MGO NRBC Que comprend les “sauvetages/évacuation/mise à l’abri” ?

A
  • Sauvetage au sens du ROFSIS.
  • Mettre en sécurité et évacuer la population potentiellement soumise aux effets des risques. (MS et Evac au sens du ROFSIS).
  • Mettre à l’abri la population soumise à un danger différé ou limité.
  • confiner les locaux ou les véhicules incriminés.
161
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
MGO NRBC / Que comprend le “périmètre de sécurité réflexe” ?

A

1) Définir une zone d’exclusion a priori:
50m du point d’origine pour les SP.
100m du point d’origine pour la population.
500m en cas de risque d’explosion.
Ajouter 300m dans le sens du vent, si vent fort.

2) matérialiser cette zone en s’appuyant sur les dispositions constructives existantes (pièces, batiments, rue etc..) et au moyen d’outil (commande, rubalise etc.)
3) Identifier un seul point d’entrée et de sortie, en prêtant une attention au sens du vent, notamment si le phénomène se manifeste à l’air libre.

162
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
MGO NRBC / Que comprend la “détection d’alerte” ?

A
  • Mise en oeuvre des appareils de détection chimiques et radiologiques dangereuses.
  • Demande de renfort adaptés.
  • Fixer un PRR et veiller à ne pas exposer la ZDI.
163
Q
P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Demande de moyens NRBC.
1 équipe pour...
1 GIR/GIC/GIB ....
Les moyens des différents plans...
A
  • 1 équipe, pour effectuer une levée de doute.
  • 1GIR/GIC/GIB, si l’intervention est manifestement à caractère technologique.
  • Les moyens des différents plans, s’il est confronté à de nombreuses victimes en ambiance NRBC avérée.
164
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Les produits chimiques concernés sont les substances et preparations dangereuses qui, par leur nature même, par leur réaction à la chaleur ou par leur combinaison plus ou moins rapide entre eux, peuvent:

A

Accélérer et propager un incendie
Faire naître un danger d’explosion
Provoquer de grave brûlure.
Produire des émanations de gaz toxique ou asphyxiant.

165
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Le risque chimique.
Ils sont classés par le code du travail en fonction de catégories de danger:

A

Explosible (Tnt, etc).

Toxique (sarin, chlore).

Inflammable (éther, acetylene).

Comburant (oxygène peroxydes, etc).

Corrosif (acides ou bases provoquant brulures chimiques graves).

Cancérigène, mutagène, toxique pour la reproduction. (Bromure d’ethidium)

166
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Le transport.
La signalisation des véhicules concernés comprend 2 éléments distincts:

A
  • des plaques en forme de losange représentant symboliquement les classe de dangers.
  • des plaques rectangulaires de couleur orange, sur lesquelles figurent le code de danger, ainsi que le code de la matière transportée (code ONU).
167
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Prise en charge d’une victime en environnement chimique.
Exposition à un gaz toxique:

A

Mettre à l’air libre (oxygénothérapie éventuellement).

168
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Prise en charge d’une victime en environnement chimique.
Exposition à un agent chimique par contact (liquide, solide, aérosol) ?

A
  • Protection des voies respiratoire.
  • Déshabillage.
  • Rinçage des parties exposées au toxique avec de l’eau ou un produit adaptés
  • Pour les produits sous forme de poudre, épousseter et n’utiliser de l’eau qu’après avis de la coordination médicale.
169
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Prise en charge d’une victime en environnement chimique.
Exposition à un agent type toxique de guerre.

A

Utilisation de gants de décontamination chimique d’urgence.

Protection des voies respiratoires (oxygénothérapie)

Déshabillage.

170
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Spécificités des opérations à caractère biologique.
Outre l’impact psychologique majeur, le danger biologique peut se manifester sous des formes diverses qui dépendent:

A

1) De la nature de l’agent ou des agents biologiques.
2) des modes de dispersion.
3) des voies de pénétration dans l’organisme

171
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
CAT spécifique en cas de SAV en laboratoire confiné ?

A
  • Empêcher, limiter tout risque de transfert de contamination en dehors de la partie classé au niveau de sécurité bilogique (NSB) maximal.
  • Ne pas sortir les victimes immédiatement de la zone confinée sans garantie de non-propagation contamination/infection.
  • Pré-médicaliser la victime à l’endroit ou elle se trouve, en attendant le GIB et l’AR.
  • Suivre à priori les recommandations des personnes compétentes du laboratoire, si présentes, notamment en matière de port des tenue et de maintien du confinement.
172
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
CAT spécifique en cas de feu en laboratoire confiné ?

A
  • Empêcher, limiter tout risque de transfert de contamination en dehors de la partie classée au NSB maximal.
  • ne pas ordonner intempestivement et systématiquement la coupure des fluides.
  • attaque du foyer: limiter et maîtriser la quantité d’eau dispersé, maîtriser les écoulements.
  • ne pas ventiler l’atmosphère de l’espace clos vers l’air libre.
173
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
CAT spécifique en cas de SAV dans le cadre d’une pandémie ?

A

Se conformer aux prescriptions de la division santé.

174
Q

P3 / Titre 5.
Intervention NRBC.
Les “personnes au contact direct” de la substance seront dites….
Les personnes “à proximité” mais n’ayant pas été en contact seront dites…..

A

Du 1er cercle également appelé C1

Du 2nd cercle également appelé C2

175
Q

P4 / Titre 4.
Moyens de la ville de Paris mis à la disposition du COS.
La ville de Paris dispoe d’une organisation de gestion de crise par le biais:

A
  • Du centre de veille operationnelle (CVO)
  • du système de permanence hebdomadaire ees élus.
  • d’une Cellule centrale de crise (CCC)
  • D’un système de contrôle à distance des panneaux d’informations de la ville de Paris (environ 175).
  • Un poste de commandement de coordination (PCC) mobile.
  • un ensemble regroupant d’autres moyens.
176
Q

P4 / Titre 4.
Moyens de la ville de Paris mis à la disposition du COS.
Poste de commandement de coordination mobile (PCC).
Le responsable de cet organe est….
Délai d’activation du PCC ?

A

L’interlocuteur privilégié du COS.

30min le jour et 90 la nuit.

177
Q

P4 / Titre 4.
Moyens de la ville de Paris mis à la disposition du COS.
La ville de Paris dispose d’un véhicule de déploiement rapide de denrées et de fournitures de premières nécessité, basée sur le site de la caserne Napoléon.
Ce véhicule contient ?

A
  • 10 lits pliants + couvertures.
  • Des vêtements chauds
  • 2 cafetières de grande capacité (15l/h)
  • Des tables pliantes.
178
Q

P4 / Titre 4.
Moyens de la ville de Paris mis à la disposition du COS.
La ville de Paris dispose d’un véhicule poids lourds chargé et prêt au départ peut être mobilisé en cas de besoin lors d’un hébergement d’urgence.
Ce véhicule contient ?
Délai de présentation ?

A
  • 100 lits pliants + 200 couvertures.
  • 15 tables + 53 chaises + 53 paravents
  • 1 containeur de matériel de nettoyage.
  • 1 centaine de bouteille d’eau.

30min le jour et 40 min la nuit

179
Q

P4 / Titre 4.
Moyens de la ville de Paris mis à la disposition du COS.
La ville de Paris dispose pour l’alimentation ?

A
  • La livraison de plateaux-repas (jusqu’à 1000).
  • le ravitaillement d’urgence.
  • L’achat de nourriture (protection civile 75).
  • la mobilisation de restaurants administratifs.
  • L’achat de rations alimentaires à la SNCF.
  • L’eau potable:
  • 180packs de 6 bouteilles de 1.5l.
  • 40 000 bonbonnes de 18.9l (800m3 d’eau).