118 Flashcards
Sous quelle autorité la BSPP est elle placée pour emploi ?
Préfet de Police
Quelles sont les missions de compétence exclusive de la BSPP ?
- la prévention et l’évaluation des risques de sécurité civile ;
- la préparation des mesures de sauvegarde et l’organisation des moyens de secours ; la protection des personnes, des biens et de l’environnement;
- l’assistance et les secours d’urgence aux personnes en détresse ou victimes d’accidents, de sinistres ou de catastrophes ainsi que leur évacuation.
Quelles sont les missions de compétence partagée de la BSPP ?
- la protection et la lutte contre les autres accidents, sinistres et catastrophes ;
- l’évaluation et la prévention des risques technologiques ou naturels ; aux secours d’urgence.
Citer 4 types d’intervention dont l’objet relève de sociétés du secteur privé.
- brancardage au profit de sociétés privées de transport sanitaire ;
- mise à l’arrêt des sonneries d’alarme intrusion ;
- transport de patient par carence de moyens sanitaires privés ;
- distribution d’eau potable auprès des populations ;
- divagation des chiens et des chats ;
- débouchage d’égout ou de canalisation ;
- personne bloquée dans une cabine d’ascenseur (sauf enfant, malaise, personne vulnérable);
- destruction d’hyménoptères (sauf VP, lieu public et certains établissements publics);
- ouverture de portes sans risque à l’intérieur ;
- fuite d’eau ;
- panne d’origine électrique ;
- assèchement et nettoyage de locaux ;
- enlèvement de banderole ou d’emblème ;
- écobuage.
Citer 4 types d’intervention dont l’objet relève de services publics spécialisés
- accident matériel de la circulation ;
- alerte à la bombe ;
- engin explosif ;
- objet, colis ou enveloppe suspect ;
- ramassage de carcasses ou d’animaux morts (volatiles, etc.…) ;
- dégagement des véhicules et matériaux encombrant la voie publique ou les voies navigables ;
- opération de sablage, de déneigement ou de balisage des routes;
- reconnaissance de coques ou d’hélices de moyens nautiques ;
- recherche d’objets ;
- recherche sous l’eau d’épaves ou d’objets divers ;
- personne égarée ou disparue (y compris en carrière et en catacombe) ;
- transport de patient d’un établissement de santé vers un autre( transports secondaires).
Combien de communes sont défendues par la BSPP ?
124
Quelle surface occupe le territoire de compétence de la BSPP ?
800 km²
Combien y-a-t-il d’habitants, de franciliens et de personnes en transit sur le secteur de la BSPP?
6,5 million, 2 millions et 10 millions
VRAI ou FAUX : Paris est la 2ème destination touristique mondiale.
FAUX
Combien y-a-t-il de gares SNCF majeures sur le secteur de la BSPP ?
6
Combien y-a-t-il de tunnels de plus de 300 m sur le secteur de la BSPP ?
Plus de 40.
Quel document définit l’armement en moyens et en ressources partagées par lieux de stationnement associés à un centre de secours ?
SIDACR
La BSPP est organisée en secteurs. Quels sont les 2 grands types de secteurs différentiables ?
Administratif et opérationnel
La Brigade organise sa réponse opérationnelle en trois niveaux. Définir le niveau 1.
réponse autonome et initiale au risque courant
La Brigade organise sa réponse opérationnelle en trois niveaux. Définir le niveau 2.
réponse autonome initiale ou complémentaire au risque particulier
La Brigade organise sa réponse opérationnelle en trois niveaux. Définir le niveau 3.
réponse initiale, au moins partielle, au risque majeur
Pour répondre aux risques, la BSPP s’organise autour de 3 fonctions opérationnelles. Quelles sont-elles ?
Les fonctions intégrantes, d’engagement et d’environnement.
Les fonctions opérationnelles. Citer les fonctions intégrantes
- CDT (commandement).
- SIC (système d’informations et de commandement)
- LOG (logistique) : RAV, MAINT, SH, SAN
- SIO (soutien infrastructure opérationnelle)
Les fonctions opérationnelles. Citer les fonctions d’engagement.
● INC / EXT (incendie/extinction)
● SAUV (sauvetage)
● RECO / ELD (reconnaissance/exploration longue durée)
● SAP/AMU/SR (secours à personne/aide médicale urgente/secours routier)
● VENT (ventilation)
Les fonctions opérationnelles. Citer les fonctions d’environnement.
- NRBC (nucléaire radiologique biologique chimique/antipollution)
- RSMU (recherche et sauvetage en milieu urbain)
- NAUT (nautique)
- IMP (intervention milieu périlleux)
- CYNO (cynotechnique)
- PROTEC (protection)
- ECL (éclairage)
- COM (communication)
Que signifie UES ? Les citer.
unités élémentaires spécialisées.
- Kourou
- Biscarrosse
- sur la plateforme aéroportuaire Paris-Charles de Gaulle
- à la bibliothèque nationale de France
- au Louvre.
Quels sont les détachements permanents ?
● Présidence de la République
● les ministères de la défense, de l’intérieur et de la justice
● l’Assemblée nationale
● le musée d’Orsay
● l’hôtel national des invalides
Que signifie DPS ?
dispositifs prévisionnels de secours.
La BSPP participe à des détachements temporaires sur demande de l’état-major. Lesquels ?
- le Détachement de Renfort Urbain à l’occasion des Feux de Forêts (DRUFF)
- la participation à la constitution de Colonnes Zonales de Secours au profit d’autres zones de défense et de sécurité
- la participation à la constitution de Modules Zonaux intégrés au sein d’un détachement français projeté dans le cadre de missions de secours internationales
De quoi est constitué la garde d’incendie et de secours ?
par l’ensemble du personnel désigné par périodes de 24 heures pour honorer les demandes de secours.
A quelle heure débute la prise de service ?
à l’heure fixée par le commandement
Que comprend la garde au niveau du centre de secours ?
- un officier de garde compagnie (OGC) dans les PC de compagnie, officier ou major de l’unité, titulaire de la qualification correspondante et habilité par le commandant de groupement ;
- un chef de garde, titulaire du certificat de chef de garde d’incendie, officier ou sous-officier du grade de sergent-chef minimum dans les PC de compagnie, sous-officier dans les autres centres de secours ;
- le personnel équipant les engins en service ;
- le personnel du poste de veille opérationnelle (PVO) ;
- le service de jour
Que comprend la garde au niveau du groupement ?
- un officier supérieur de garde groupement (OSG), titulaire de la qualification « officier supérieur de garde » et habilité par le Général sur proposition du sous-chef emploi ;
- un officier poste de commandement (OPC), titulaire de la qualification « officier poste de commandement » ;
- le personnel du poste de commandement tactique (PC TAC2 ) qui accompagne systématiquement l’OPC en intervention ;
- un officier NRBC groupement ;
- le sous-officier « statique » et le personnel du centre de suivi opérationnel (CSO) ;
- les conducteurs.
Que comprend la garde au niveau brigade ?
- le commandant opérationnel Brigade ;
- le colonel de garde, chef d’état-major opérationnel (CEMO)
- le médecin-chef Brigade de garde ;
- le chef CO, l’officier de garde CO, le médecin coordinateur chef et le personnel du centre opérationnel (CO) jusqu’au niveau 3 inclus
- le directeur des secours médicaux (DSM) et la garde des secours médicaux constituée d’un vétérinaire, d’un pharmacien, d’un psychologue, du médecin d’astreinte et des équipages des ambulances de réanimation (AR), du véhicule poste de commandement médical (VPCM) et du véhicule d’accompagnement santé (VAS) ;
- les officiers ou sous-officiers « environnement poste de commandement tactique » : prévention, sécurité et dessinateur opérationnel ;
- l’officier communication opération
- les officiers ou sous-officiers « experts de niveau tactique et opératif » : officiers NRBC, NAUTIQUE, chef de section RSMU, chefs de groupes IMP, CYNO, représentant des cultes, investigateurs RCCI ;
- les officiers de liaison Brigade (CCZ, CIC DOPC / renfort CCZ, COPP / SIC DSPAP )
- le personnel du GSS, et du GFIS armant certains moyens spéciaux, d’aide au commandement ou d’appui à la couverture opérationnelle
- le sous-officier du service général
- les conducteurs de la section transport ;
- le personnel de garde et d’astreinte technique ou administrative
Quels véhicules ont un équipage de 1 personnels ?
MIR (moto d’intervention rapide)
Quels véhicules ont un équipage de 2 personnels ?
VID, VLR, EPA, BEA, CA, VDIP
Quels véhicules ont un équipage de 3 personnels ?
VSAV, AR, VIGI, BUMD
Quels véhicules ont un équipage de 4 personnels ?
VIVP, VPC, VRCH
Quels véhicules ont un équipage de 5 personnels ?
VIMP
Quels véhicules ont un équipage de 6 personnels ?
PS, CCR, FPT
Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise. A quoi correspond le niveau d’alerte ALFA ?
Absentéisme à moins de 10 % dans un ou plusieurs GIS.
Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise. A quoi correspond le niveau d’alerte BRAVO ?
Absentéisme de 10 à 20 % dans 1 ou plusieurs GIS.
Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise. A quoi correspond le niveau d’alerte CHARLIE ?
Absentéisme de 20 à 40 % dans 1 ou plusieurs GIS
Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise. A quoi correspond le niveau d’alerte DELTA
Absentéisme supérieur à 40 % dans au moins 1 GIS.
Le service de jour de la compagnie comprend les fonctions de ………………………………….. et de …………………………………… .Le service de jour dans un centre de secours autre que PC de compagnie comprend les fonctions de ……………………………….. et de ………………………………………. . Ce personnel est relevable en cas de
Le service de jour de la compagnie comprend les fonctions de sergent de jour et de caporal de jour.Le service de jour dans un centre de secours autre que PC de compagnie comprend les fonctions de gradé de jour et de caporal de jour. Ce personnel est relevable en cas de départ des secours.
Le sergent de jour est responsable de l’exécution des …………………. ……………………………………………………………. de la compagnie et veille au bon fonctionnement du ………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………
Le sergent de jour est responsable de l’exécution des détails du service d’incendie et de secours de la compagnie et veille au bon fonctionnement du système d’information opérationnel et de commandement.
Le gradé de jour est responsable de l’exécution des ………………. …………………………………. dans son CS et veille au bon fonctionnement du ………………………………………………………….. …………………………………………………………………….. Lors de sa présence en centre de secours, il remplit les mêmes missions ……………………………………………………………. .
Le gradé de jour est responsable de l’exécution des détails du service journalier dans son CS et veille au bon fonctionnement du système d’information opérationnel et de commandement. Lors de sa présence en centre de secours, il remplit les mêmes missions qu’un sergent de jour.
Le caporal de jour est ………………………………………… à la disposition du ………………………………………………………. ou du …………………………………………………. pour l’aider dans l’exécution de ………………………………………………….
Le caporal de jour est en permanence à la disposition du sergent de jour ou du gradé de jour pour l’aider dans l’exécution de son service.
Que veut dire SIOC et quelles sont les 3 dimensions principales qui le caractérise ?
Système d’information opérationnel et de commandement.Dimensions applicative, technique et organisationnelle
Que veulent dire ADAGIO, ANTARES, STRADA et SIG ?
- Application de diffusion d’alerte et de gestion informatisée des opérations.
- Adaptation nationale des transmissions aux risques et aux secours.
- Système de transmission de données alphanumériques.
- Système d’information géographique.
La ………………………………….. (maintenance du fonctionnement en mode nominal) et la …………………………………………………. (assurance du fonctionnement en mode dégradé) du SIOC sont les 2 critères primordiaux pour garantir sa fiabilité.
La robustesse (maintenance du fonctionnement en mode nominal) et la résilience (assurance du fonctionnement en mode dégradé) du SIOC sont les 2 critères primordiaux pour garantir sa fiabilité.
- L’organisation du SIOC. Les stations directrices fixes s’articulent en 3 échelons hiérarchisés :
- La (les) station(s) directrice(s) primaire(s) : ………………………………………Compétent(s) sur ……………………………………………………………
- La (les) station(s) directrice(s) secondaire(s) : ………………………………Compétent(s) sur ……………………………………………………………
- La (les) station(s) directrice(s) tertiaire(s) : ………………………………………Compétent(s) sur ……………………………………………………………
L’organisation du SIOC. Les stations directrices fixes s’articulent en 3 échelons hiérarchisés :
● La (les) station(s) directrice(s) primaire(s) : le CO Compétent(s) sur les CSO, les PVO du secteur Brigade et le CTAR
● La (les) station(s) directrice(s) secondaire(s) : les CSO Compétent(s) sur les PVO du secteur administratif du groupement
● La (les) station(s) directrice(s) tertiaire(s) : les PVO Compétent(s) sur les PVO de ses centres de secours pour le PVO compagnie
Le poste de veille opérationnelle. Sous les ordres du ……………… ou du ……………………………., il est armé quotidiennement par un stationnaire titulaire de la qualification SIC 2.Le stationnaire est …………………………. du bon fonctionnement du PVO pendant toute la durée de sa garde, notamment pour tout ce qui concerne ………………. et ………………………. .
Le poste de veille opérationnelle. Sous les ordres du sergent ou du gradé de jour, il est armé quotidiennement par un stationnaire titulaire de la qualification SIC 2.Le stationnaire est responsable du bon fonctionnement du PVO pendant toute la durée de sa garde, notamment pour tout ce qui concerne l’ordre et la discipline
De quoi est constitué le départ normal ?
- 2 engins-pompe (EP)
- 1 moyen élévateur aérien (MEA)
- 1 ventilateur opérationnel
Quel est le volume de moyens “premier départ” pour les motifs d’alerte “ feu ou explosion” dans un ETARE, quel que soit son niveau ?
- 1 OGC
- 3 EP dont 1 F
- 1 MEA
- 1 ventilateur opérationnel
- 1 VSAV
De quoi est constitué a minima le module commandement ?
- 1 OSG
- 1 OGC
- 1 OGC officier ZDI
- 1 PC TAC de niveau 2
- le dessinateur opérationnel
De quoi est constitué lecomplément par anticipation ?
- 1 EP
- 1 MEA
- 1 CRAC
- 1 VSAV
- 1 AR .
Compléter : “Dès lors qu’un renfort est engagé sur une intervention, la présence……………………………………………… ……………………………… est requise.”
VE2I, DEP et module commandement
Pour quel cas est prévu le renfort incendie ?
pour les incendies nécessitant la mise en oeuvre d’un dispositif hydraulique important
Quelle est la composition du renfort incendie ?
- 2 EP les plus proches, dont au moins 1 F ;2 FA-CA ;
- 3 MEA (dont au moins un de 30 mètres et un BEA) ;
- 1 VSAV ;
- 1 AR ;
- 1 PEV ;
- 1 CD ;
- 1 GRCP.
Le renfort incendie est-il modulable ?
Oui /
sans FACA (les FACA et le BEA sont défalqués)
ou
sans échelle (les MEA sont défalqués, sauf le BEA)
Pour quel cas est prévu le renfort habitation ?
Prévu pour conduire simultanément les opérations de reconnaissances, de prise en charge des victimes et des personnes impliquées, ainsi que de l’extinction
Quelle est la composition du renfort habitation ?
- 5 EP, dont au moins 2 F ;
- 2 MEA, dont au moins un de 30 mètres ;
- 2 VSAV ;
- 2 AR ;
- 1 PEV ;
- 1 CD ;
- 1 GRCP.
Le renfort habitation est-il modulable ? Si la réponse est oui, de quelle manière ?
Non
Par qui est demandé, à minima, le renfort commandement ?
l’officier supérieur de garde groupement
Quelle est la composition du renfort poste de commandement ?
● 3 OGC (officier MANFUT, RENS/SYNT et CTRZ) ;
● 1 VLR cdg (adjoint fonction MOYENS) ;
● 1 VSTI.
● la garde environnement PC TAC
A quoi est destiné le renfort secours ?
à la recherche, au sauvetage et à la prise en charge médicale des militaires du corps qui se trouveraient en difficulté à la suite d’un accident
Quelle est la composition du renfort secours ?
1 officier de garde compagnie ;
1 F ;
1 AR ;
1 GELD ;
1 section RSMU ;
1 DN de substitution.
1 groupe CYNO
Quel est la composition du groupe d’intervention chimique (GIC) ?
● 1 chef de groupe NRBC
● 2 VRCH
Quel est la composition du groupe d’intervention radiologique biologique (GIRB) ?
● 1 chef de groupe NRBC
● 1 VRCH
● 1 VIRB
Quels sont les 5 groupes d’interventions technologiques spécifiques ?
● le Groupe Chaine de Décontamination (GCD)
● le Groupe AntiPollution Terrestre (GAPt)
● le Groupe AntiPollution Aquatique (GAPa)
● le Groupe Détection Identification Prélèvement (GDIP)
● le Groupe Enceintes de Confinement (GEC)
A quoi est destiné le GELD ?
l’exploration de longue durée sur feu, lorsque les investigations s’avèrent longues et/ou difficiles.
Quelle est la composition du GELD ?
1 EP ELD
1 VLR cdg-ELD
A quoi est destiné le GRIMP ?
intervention en milieux périlleux, où les moyens traditionnels s’avèrent difficiles d’emploi ou dangereux par rapport à la hauteur, à la profondeur et aux risques divers liés aux cheminements.
Quelle est la composition du GRIMP ?
1 VIMP
Quelle est la composition du groupe cynotechnique ?
1 chef de groupe cynothechnique
2 équipes cyno (1 équipe = 1 conducteur et un chien)
En quoi consiste la mise en oeuvre du GEPE ?
établir par l’extérieur un établissement vertical de remplacement permettant de pallier les défaillances ou les dégradations susceptibles d’être rencontrées sur une colonne sèche ou humide.
Quelle est la composition du GEPE ?
● l’officier « prévention »
● 2 EP dont 1 F
● 1 VIMP
● 1 groupe RSMU
Complèter :
“Le groupe violences urbaines est un détachement ………………….. (sélection …………………….) engagé systématiquement dès ………………………………………………… pour………………………………………., puis pour traiter les interventions en sécurité, en mode……………………..et ………………………… dans un ……………………….. particulier.”
Le groupe violences urbaines est un détachement non paramétré (sélection manuelle) engagé systématiquement dès le déclenchement du plan violences urbaines pour monter en garde, puis pour traiter les interventions en sécurité, en mode délesté et dégradé dans un quadrilatère particulier.
Quelle est la composition du groupe violences urbaines ?
Un élément « ACTION » engagé par le CSO en ZDI :
1 officier de garde compagnie ;
2 EP dont 1 EP cgi ;1 PC TAC de niveau 2.
Un élément « SÉCURISATION » engagé par le CO au CS concerné :
1 EP ;1 AR.
Dans quel cadre le module extraction peut-il être demandé et dans quel but ?
dans le cadre d’un plan violences urbaines pour extraire des victimes en urgence
Quelle est la composition du groupe extraction ?
Un élément « EXTRACTION - PETITE NORIA » engagé par le CSO en ZDI :
1 officier de garde compagnie ;
4 VSAV (équipage en tenue de feu).
Un élément « PMA » engagé par le CO au PMA sécurisé :
le directeur des secours médicaux ;
1 EP ;
1 AR.
De quoi est chargé le GRCP ?
D’organiser une zone de remise en condition du personnel sur les interventions de longue durée nécessitant des relèves de personnel lors de la phase d’attaque.
Quelle est la composition du GRCP ?
1 VRCP ;1 VSAV ;1 CRAC.
A quoi est destiné le GRSD ?
à appuyer l’action du COS dans le cas d’un effondrement ou d’un risque d’effondrement
Quelle est la composition du GRSD ?
1 GRIMP ;
1 CESD ;
1 VEC ;
le vétérinaire ;
le chef de section « sauvetage déblaiement ».
Pour quoi est conçu le groupe mousse-ventilation ?
pour la réalisation d’une manoeuvre ventilation et/ou mousse, élaborée en particulier lors des feux de parc de stationnement couvert
Quelle est la composition du groupe mousse-ventilation ?
1 F ;
1 GELD
1 PRM + VGD ;
1 PEV ;
l’officier « prévention ».
Un ordre de départ est un ordre ………………………………………………………………., exceptionnellement …………………………….. par ……………………………………………. dans les conditions définies dans le processus d’engagement des secours.
Un ordre de départ est un ordre immédiatement exécutable, exceptionnellement modifiable par le stationnaire dans les conditions définies dans le processus d’engagement des secours.
Le stationnaire d’un PVO peut …………………… la règle d’engagement des détachements avec ……………………………… …………………………. Cette procédure particulière, parfois nécessaire, engage directement ………………………………., puisqu’il procède à une modification d’une solution d’alerte automatisée et validée conceptuellement par le commandement de la Brigade.
Le stationnaire d’un PVO peut modifier la règle d’engagement des détachements avec les moyens de son LSO. Cette procédure particulière, parfois nécessaire, engage directement sa responsabilité, puisqu’il procède à une modification d’une solution d’alerte automatisée et validée conceptuellement par le commandement de la Brigade.
Quels sont les différents types d’ordres de départ sans détachement ?
● Intervention délestée (DLT)
● Intervention non urgente (INU)
● Départ régularisé (mode retard)
● Intervention hors mission Brigade (HMB)
Quelles sont les différentes procédures dans le cas d’un appel pour motif médical ou de santé ?
● La procédure VERTE
● La procédure BLANCHE
● La procédure ORANGE
● La procédure ROUGE
Quel élément permet la clôture d’une opération dans ADAGIO ?
La saisie d’un CRI par le stationnaire du PVO TC permet la clôture de l’opération dans ADAGIO
A quoi contribue le rapport de sortie de secours ?
● la réalisation du relevé opérationnel du personnel présent sur opération
● la transmission d’éléments d’information
● la transmission de données vers l’Infocentre Brigade (analyse statistique).
Les règles d’engagement particulières. Qu’est-ce que le délestage ?
Le délestage est une décentralisation de la mise en oeuvre de détachements pour faire face à un afflux massif des demandes de secours en rapport avec un événement particulier
Les règles d’engagement particulières. Qu’est-ce que la dégradation ?
La dégradation est une minoration adaptée de certains détachements pour des motifs d’alerte ciblés.
Elle permet de garantir une couverture opérationnelle minimale lors de phénomène contingent.
Dès lors qu’ils disposent des moyens nécessaires et que ……………. ……………………………………………….. n’est pas délibérément compromise, les secours ont l’obligation d’agir, sans …………………………………………….. ………………………………………………………………………., sous peine de poursuites.
Dès lors qu’ils disposent des moyens nécessaires et que la sécurité du personnel n’est pas délibérément compromise, les secours ont l’obligation d’agir, sans exercice de droit de retrait possible, sous peine de poursuites.
Les autorités habilitées à opérer une réquisition administrative sont ……………………………….. et ……………………………………………… ou leurs représentants qualifiés (gardien de la paix par exemple).
Les autorités habilitées à opérer une réquisition administrative sont les maires et les préfets ou leurs représentants qualifiés (gardien de la paix par exemple).
Les autorités habilitées à opérer une réquisition judiciaire sont ?
Les autorités habilitées à opérer une réquisition judiciaire sont les magistrats et les officiers de police judiciaire.
Qui établit la liste de service ?
l’adjudant de compagnie ou par le chef de centre de secours
Combien de temps à l’avance la liste de service est-elle arrêtée et affichée ?
Au moins 48h
Qui peut modifier une liste de service ?
par le rédacteur ou par le sergent de jour
Quel document, détenu par chaque PVO reçoit, en mode dégradé, un exemplaire de chaque ordre de départ ?
Cahier de départ des secours.
A quoi sert le listing des voies et des établissements répertoriés du secteur ?
Vérifier rapidement toutes les informations nécessaires à l’alerte des secours
Quand sont utilisées les fiches de départ des secours ?
lorsque les systèmes numérisés de traitement de l’alerte sont indisponibles
Que doit faire figurer le stationnaire sur les fiches de départ des secours ?
- l’heure du 1er appel et l’indication du motif de l’appel de secours,
- l’adresse de l’intervention
- les indications complémentaires reçues pouvant être utiles au chef de détachement.
“Complément indispensable du suivi du déroulement opérationnel de la journée, ce document est rédigé sur des cahiers de messages téléphonés cotés, paraphés et numérotés annuellement dans une série unique”. De quel document s’agit-il ?
MCO
Quelles informations doivent figurer sur la main courante opérationnelle ?
- la date complète, inscrite à chaque changement de journée ;
- les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct) ;
- les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels ;
- les contacts avec les services publics sur demande des chefs da’grès ;
- les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaires, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement ;
- les changements de garde non programmées ;
- les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes ;
- les contacts avec les stations directrices associées.
Par qui doit-être visée la main courante opérationnelle avant qu’ils ne quittent leur garde ?
Stationnaire, sergent de jour, chef de garde
Dans quels cas la retranscription d’un message est-elle nécessaire ?
- il s’agit d’un feu ou d’une explosion ;
- l’opération nécessite des messages de renseignements successifs
- la configuration des lieux impose la retransmission par une tierce personne ;
- une relève entre commandants des opérations de secours est prévisible.
Que peut-on noter au verso du carnet de messages et de renseignements ?
tous les éléments nécessaires à la rédaction du rapport, selon les indications du chef d’agrès.
Qu’est-ce que le plan triptyque ?
Le plan triptyque est un document destiné à aider les premiers intervenants dans un ETARE à en appréhender ses difficultés.
Pour quel type de batiment sont élaborés les plans triptyques ?
Elaboré pour tout ÉTARÉ 3, il est cependant soumis à l’approbation d’une commission pour les autres niveaux.
Où retrouve-t-on les plans triptyques ?
● EP 1 du CSTC
● EP 2 ou VL cdg du CSTC
● PVO du CSTC
● EP 1 des CS 1,2 et 3
● EP 2 ou VL cdg des CS 1,2 et 3
Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord des engins en service dans les CS ?
Guide des plans de Paris et de sa banlieue, datant de moins de trois ans ;
bons ST 30 bis de mouvements de matériels ;
bon ST 25 de prise en charge provisoire de matériels.
Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord de tous les engins de première intervention ?
fiches bilans ;
décharges de responsabilité ou refus de transport (imprimés BOPE 7) ;
imprimés BOPE 12 de fin d’intervention sur le réseau ferré ;
imprimés BOPE 13 informant de l’intervention des sapeurs-pompiers.
Imprimés BOPE 23 information “patient”
Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord des engins-pompe ?
plans parcellaires des secteurs limitrophes,répertoire des indisponibilités d’hydrants et de barrages des rues.
En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de départ des secours ?
1 an
En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de main courante opérationnelle ?
5 ans
En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des messages téléphonés ?
1 an
En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des indisponibilités des BI-PI ?
1 an
En CS, quelle est la durée d’utilité administrative des fiches bilan ?
30 ans
En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de départ des secours ?
5 ans
En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de main courante opérationnelle ?
5 ans
En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des messages téléphonés ?
1 an
En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des indisponibilités des BI-PI ?
1 an
Compléter : “Le commandement opérationnel de la Brigade s’articule autour de………………………………………… auniveau des groupements et de ……………………………………………….à l’état-major Brigade”.
l’échelon tactique / l’échelon opératif
En cas d’attentats, lors du déclenchement du 1er plan rouge alpha, qui prends automatiquement le COS ?
le commandant opérationnel Brigade
En cas d’attentats, lors du déclenchement du 1er plan rouge alpha, qui prends automatiquement la fonction de DSM sur l’ensemble du dispositif ?
le médecin-chef Brigade
Dans un DPS, qui remplace l’officier de garde compagnie dans la chaîne de commandement opérationnel ?
le COS pré-positionné
Qui est COS sur les emprises des aérodromes Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget ?
Le général commandant la Brigade
A qui incombe la responsabilité sur intervention ?
au chef présent sur place et qui occupe le plus haut rang dans la chaîne de commandement opérationnel
S’il y a plusieurs chefs en titre de même niveau (chef d’agrès, chef de garde ou officier de garde) dans le départ de première intervention et dans le complément de premier départ, qui est le COS ?
Le chef du CSTC
S’il y a plusieurs chefs en titre de même niveau et en l’absence d’un chef du CSTC concerné dans un niveau donné, qui est COS ?
Le plus ancien dans le grade le plus élevé
Le COS peut se trouver confronté à des problèmes qui ne sont pas abordés dans la documentationopérationnelle. Dans cette hypothèse, étant seul juge des premières mesures à adopter, à quoi fait-il appel ?
A ses connaissances théoriques, à son bon sens et à son expérience
VRAI ou FAUX :
“L’autorité présente qui ne prend pas le commandement des opérations de secours n’est pas responsable de l’intervention.”
FAUX
Quand recherche-t-on les renseignements lors d’une intervention ?
La recherche du renseignement doit être permanente tout au long de l’intervention et plus particulièrement à son début puisqu’elle concourt à l’élaboration de la décision opérationnelle et oriente l’élaboration des ordres d’engagement des moyens de secours.
Compléter : “L’anticipation, qui permet la prise………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………….…………………”
…de toutes les dispositions tactiques et matérielles, est indispensable dans tous les domaines.
Que requiert la discipline de la part de l’exécutant ?
LA BASE!!
la stricte observation des ordres reçus ;
la recherche à son niveau du résultat escompté et de l’exécution parfaite de tous les actes y concourant.
Qu’impose, en particulier, la discipline d’action ?
LA SURBASE
- de se protéger physiquement avec les équipements de protection individuelle (EPI) et les moyens adaptés (gants, appareil respiratoire isolant, écran oculaire ou facial, arrimage, etc.) ;
- de conserver son sang-froid et sa sérénité ;
- d’opérer en silence en toute circonstance ;
- de rester constamment en contact avec un voisin ou un supérieur hiérarchique (cette règle ne souffre aucune exception lors d’une évolution sous ARI) ;
- de rendre compte sans délai des actions menées, ainsi que de tout fait nouveauou de toute initiative.
Que forment les limites extérieures du zonage ?
Le périmètre de sécurité
Par qui le COS se fait-il aider, sur intervention, pour matérialiser concrètement le périmètre de sécurité et en faire respecter les limites ?
Police
Comment doit se présenter le zonage sur intervention ?
Zone d’exclusion, zone contrôlée, zone de soutien
Donner la définition, la couleur associée et la tenue à adopter en zone d’exclusion.
Il s’agit de la zone où les intervenants sont directement exposés aux effets du danger principal. L’accès en est strictement réglementé et n’est autorisé qu’aux intervenants équipés de tenues de protection adaptées aux risques. ROUGE.
Donner la définition, la couleur associée et la tenue à adopter en zone contrôlée.
Il s’agit d’une zone tampon d’où est coordonné l’engagement des intervenants en zone d’exclusion. Ne doit s’y trouver que du personnel ayant le même niveau de protection vestimentaire qu’en zone d’exclusion. ORANGE
Donner la définition, la couleur associée et la tenue à adopter en zone de soutien.
Cette zone est la plus excentrée. Comme les autres, elle est interdite au public, de manière à ne pas entraver l’action des secours. Il s’agit cependant d’une zone qui ne nécessite pas de protection particulière pour les personnes qui s’y trouvent. VERTE
Comment se nomme la zone située au-delà de la zone de soutien ?
La zone publique
Donner la définition du COS.
Le COS est l’officier, le sous-officier ou le gradé qui, sur une intervention, commande l’action des moyens engagés. Il se retrouve souvent à la tête d’un ensemble de moyens ; il coordonne alors leurs actions.
Au départ des secours, le chef d’agrès recueille le maximum de renseignements utiles à l’exécution de sa mission concernant :
- l’appel : nature de l’intervention, nombre d’appels, heure du premier appel, moyens envoyés
- l’adresse ou le lieu de rendez-vous
- les risques existant à l’adresse
- les moyens de secours à demeure
- l’itinéraire à suivre
Le chef d’agrès doit demander la police dès qu’il estime que la situation l’exige, notamment lorsqu’elle est susceptible de se prolonger par une action en justice. Dans ce cas, il doit en préciser …………………………………………….. dans son message. Après ………………….. d’attente, le chef d’agrès redemande la police par message. Le CSO contacte alors une nouvelle fois la salle CIC DTSP du département concerné, puis communique au chef d’agrès les éléments obtenus. Après une nouvelle attente de …………………….., le chef d’agrès passe le message suivant : « ………………………………………………………………………………. ».
Le chef d’agrès doit demander la police dès qu’il estime que la situation l’exige, notamment lorsqu’elle est susceptible de se prolonger par une action en justice. Dans ce cas, il doit en préciser le motif de la demande dans son message. Après 15 minutes d’attente, le chef d’agrès redemande la police par message. Le CSO contacte alors une nouvelle fois la salle CIC DTSP du département concerné, puis communique au chef d’agrès les éléments obtenus. Après une nouvelle attente de 20 minutes, le chef d’agrès passe le message suivant : « police demandée à telle heure non présentée … ».
Que doit faire tout militaire de la Brigade qui est témoin ou a connaissance d’un sinistre ou d’un accident proche ?
s’y rend immédiatement et donne les premiers secours, tout en faisant le nécessaire pour alerter les secours
Que doit faire tout militaire isolé ayant donné les premiers secours à l’arrivée d’un détachement ?
il se présente au premier chef d’agrès, lui rend compte (ou l’informe) de la situation et des premières mesures prises. Il se met ensuite à sa disposition.
Que doit faire le chef de détachement si un militaire isolé a porté secours sur une intervention secteur BSPP ?
il inclut dans son rapport principal le militaire isolé en le créant dans la partie engin sur intervention (détachement à pied)
Que doit faire un miliraire isolé s’il porte secours sur une intervention hors secteur BSPP ?
le militaire isolé rédige un compte rendu et l’adresse à son chef de corps avec copie au BOPO/groupe rapport, pour archivage permettant notamment de répondre à d’éventuelles demandes des SDIS concernés
Que doit faire un militaire isolé s’il traite un événement sans faire appel à un MMA sur le secteur Brigade ?
il en rend compte à son autorité hiérarchique dès sa reprise de service. Il rédige un rapport principal (ODE en retard dans son PVO d’affectation).
Qui a rédigé l’éthique du sapeur-pompier de Paris ?
Le Général CASSO
Quelle est la devise de la BSPP ?
Sauver ou périr
De quoi le sapeur pompier de Paris doit-il faire preuve en permanence ?
Altruisme, efficience, discrétion.
“Altruisme, efficience, discrétion.” Qu’est ce que l’altruisme ?
disposition de caractère qui pousse à s’intéresser aux autres, à se montrer généreux et désintéressé
“Altruisme, efficience, discrétion.” Qu’est ce que l’efficience ?
capacité de rendement de performance
“Altruisme, efficience, discrétion.” Qu’est ce que la discretion ?
attitude de quelqu’un qui ne veut pas s’imposer
Le secret professionnel est général et absolu, sauf dans deux cas. Lesquels ?
obligation pour les sapeurs pompiers de Paris de dénoncer les crimes et délits dont ils ont connaissance à l’occasion de l’exercice de leur activité ;lorsque le sapeur pompier de Paris doit révéler une information à caractère confidentiel pour prouver son innocence dans une affaire pour laquelle il est mis en cause.
Compléter : “Les sapeurs-pompiers de Paris sont soumis à la discrétion professionnelle et n’ont donc pas le droit de divulguer des informations ou des documents concernant la BSPP sans l’accord de l’autorité hiérarchique, sauf sur demande………………………………………………”
d’un magistrat.
Compléter :
“La communication de pièces opérationnelles est proscrite au niveau des compagnies. Toutedemande de transmission de documents doit être adressée par écrit à………………………………………………………………”
l’état-major de la BSPP.
De quoi doit faire preuve le stationnaire, vis-à-vis du public ou des services publics partenaires ?
de politesse, d’égards et de courtoisie.
“Le comportement au contact de la victime.” En arrivant sur les lieux d’un accident ou d’une détresse, comment doit agir l’équipage ?
avec calme et humanité.
Que doit faire le sapeur-pompier auprès d’une victime avant de réaliser un geste de secours ?
Il doit lui expliquer le geste de secours à venir, prévenir s’il est source de désagrément et le réaliser avec précaution
Lors de l’abord d’une victime, à quoi le sapeur-pompier doit-il porter une attention particulière ?
à ses paroles et au ton de sa voix, à son regard, à sa posture physique.
Découverte d’une arme sur intervention. Lorsqu’une arme est utilisée comme telle, qu’elle soit une arme d’origine ou par destination, que doivent faire les secours ?
sans délai demander l’intervention des forces de l’ordre pour maîtriser le ou les individus
En l’abscence de violence, le port ou le transport de quelles catégories d’armes constituent un délit pénal que le sapeur-pompier dans l’exercice de ses fonctions doit dénoncer ?
1ère (armes de guerre et leurs munitions), de la 4ème (armes à feu de défense et leurs munitions soumises à autorisation) ou de la 6ème (armes blanches)
VRAI ou FAUX
une victime armée ne peut pas pénétrer dans une structure d’urgence.
VRAI
Compléter :
“En cas de découverte de stupéfiants en intervention et même s’il s’agit d’un délit pénal, les secours doivent, avant toute décision d’information des forces de l’ordre, faire coïncider la notion de ………………………………………………. avec celle de………………………………………………………”
dénonciation / secret professionnel
VRAI ou FAUX :
la confiscation de produits stupéfiants par les secours est autorisée.
FAUX
Compléter :
“L’exploitation du réseau radio de la Brigade est assurée sur le principe d’un ……………………………….. …………………………organisé à partir de ……………………………………………………………….. (..…… , .……. , ……..), qui en assurent ………………………………………………………………………………..”
réseau dirigé /3 niveaux de stations directrices / CO CSO PVO /la mise en oeuvre et l’exploitation
Compléter :
“Le suivi chronologique et l’archivage des messages d’une opération sont assurés par………………….. .………………………………………………………. Ces derniers doivent être en mesure à tout moment de……………………………. …………………………………………………………………………”
les postes fixes (PVO, CSO et CO) ou mobiles (PC TAC) / faire le point de la situation à une autorité.
Quels sont les différents types de messages ?
- départ ;
- présentation ;
- demande de moyens ;
- ambiance ;
- renseignements ;
- déplacement ;
- disponibilité ;
- rentrée.
Pourquoi est-il impératif que chaque message débute par l’annonce de l’indicatif du destinataire ?
Cela laisse au relais le temps de se déclencher.
Pourquoi les messages simples doivent être transmis à vitesse lente ?
de façon à permettre aux stationnaires et aux opérateurs de les écrire et/ou les dactylographier.
De quelle manière les messages de renseignement pour les opérations particulières avec PC TAC activé sont-ils systématiquement transmis ?
une première fois à la vitesse d’une conversation, puis une seconde fois à vitesse lente.
Un message de renseignement peut-il être modifié ? Si oui, à quelle condition ?
Oui, avant le message « opération terminée »
La mention de la commune dans le message de départ est-elle systématique ?
Non, seulement en banlieu.
Quel type de message a priorité sur tous les autres ?
Demande de moyen
Dans quel quels délais après la présentation d’un engin doit se faire préferentiellement la première demande de moyen ?
Dans les 5 minutes
Comment appelle t-on une demande de moyen sans message de renseignement associé ?
Une demande sèche
Les demandes de moyen médicalisé peuvent être faites selon deux procédures. Lesquelles ?
Cas « usuel », cas « exceptionnel »
Expliquer le cas “usuel” d’une demande de moyen médicalisé
la décision d’envoi d’un moyen médicalisé a été prise par le médecin coordinateur après le bilan du chef d’agrès, ou le moyen médicalisé est envoyé au départ des secours.
Expliquer le cas “exceptionnel” d’une demande de moyen médicalisé
Dans certains cas, le chef d’agrès a besoin d’un moyen médicalisé, mais se trouve confronté à une situation particulièrement urgente ou est dans l’impossibilité de contacter la coordination médicale.
En l’absence de la police et dans le cadre d’une agression caractérisée envers les secours, comment se formule la demande par radio du chef d’agrès ?
« Je demande police d’urgence, telle adresse, pour tel motif ».
Est-il indispensable de communiquer un motif par radio pour la demande d’un service public ?
OUI
Est-il de la compétence de la BSPP de prévenir ou de demander l’inspection du travail ?
NON
Lorsqu’un engin effectue un transport sanitaire, le chef d’agrès transmet un message par ……………………., dès lors qu’il se déplace vers l’hôpital et dès qu’il le quitte.En mode dégradé, il le transmet en …………………….. . Ce message est pris en compte par le stationnaire, mais …………….. ……………………………………….. .
Lorsqu’un engin effectue un transport sanitaire, le chef d’agrès transmet un message par STATUS, dès lors qu’il se déplace vers l’hôpital et dès qu’il le quitte.En mode dégradé, il le transmet en phonie. Ce message est pris en compte par le stationnaire, mais sans en accuser réception.
Donner la contexture du message de rentrée.
- Utilisation des moyens et actions menées par les sapeurs-pompiers.
- Victimes.
- Moyens de secours privés utilisés.
- Matériels laissés sur place.
- Relèves et première ronde prévues.
- Cause supposée.
- Description des dégâts provoqués par les SP.
- Difficultés particulières rencontrées.
- Signalements auprès du bureau prévention et/ou des services publics. Préciser le caséchéant la nécessité d’un engagement du groupe investigation (RCCI ).
Vous êtes chef d’agrès échelle. Vous intervenez pour un feu, mais le mauvais stationnement d’un véhicule vous empêche de mettre en station votre agrès. Dans quelle rubrique du message de renseignement cette information apparaîtra t-elle ?
8) Difficultés particulières rencontrées
Les règles de circulation des engins de secours ne s’appliquent qu’aux engins de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris engagés dans le cadre …………………………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………….. .
Les règles de circulation des engins de secours ne s’appliquent qu’aux engins de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris engagés dans le cadre d’une mission justifiée par l’urgence.
Avant tout franchissement d’un signal d’arrêt (feu tricolore rouge, stop, etc.), tout conducteur d’un véhicule usant des avertisseurs spéciaux sonores et lumineux doit ………………………………………………………………………………, et ne poursuivre sa route ………………………………………………. ………………………. ………………………………. .
Avant tout franchissement d’un signal d’arrêt (feu tricolore rouge, stop, etc.), tout conducteur d’un véhicule usant des avertisseurs spéciaux sonores et lumineux doit observer les règles élémentaires de prudence, et ne poursuivre sa route qu’après s’être assuré de pouvoir le faire sans danger.
Tout départ en intervention est considéré comme une urgence et induit l’usage des avertisseurs spéciaux sonores et lumineux. En revanche,………………………………………………………………………………… …………………………….., afin de ne pas exposer inutilement les tiers et l’équipage à des risques inconsidérés
Tout départ en intervention est considéré comme une urgence et induit l’usage des avertisseurs spéciaux sonores et lumineux. En revanche, la conduite doit s’adapter au degré d’urgence de la mission, afin de ne pas exposer inutilement les tiers et l’équipage à des risques inconsidérés.
Si la circulation est difficile les VSAV sont autorisés d’emblée à utiliser le couloir de bus pour ………………… ou lors ……………………………………….. Il est rappelé que dans tous les cas le code de la route doit strictement être respecté sous la responsabilité …………………………………………… .
Si la circulation est difficile les VSAV sont autorisés d’emblée à utiliser le couloir de bus pour un transport ou lors du retour d’intervention. Il est rappelé que dans tous les cas le code de la route doit strictement être respecté sous la responsabilité du chef d’agrès.
Lors d’un transport, s’agissant d’une victime d’un traumatisme, la vitesse de l’engin, hors autoroute et voie rapide, ne doit en aucun cas excéder ……………………………….
Lors d’un transport, s’agissant d’une victime d’un traumatisme, la vitesse de l’engin, hors autoroute et voie rapide, ne doit en aucun cas excéder 30 km/h.
VRAI ou FAUX.
On ne peux pas emprunter de voies à contresens avec un véhicule de secours
FAUX.
En règle générale, les sens interdits doivent être respectés. Toutefois, la marche à contresens peut être admise, uniquement sur de courtes distances et lorsque la circulation est nulle.
Les mesures de protection du personnel sur intervention comprennent à minima :
- le maintien en fonction des avertisseurs lumineux (signalisation de position)
- la mise en place de dispositifs coniques auto-stables à bandes blanches et rouges à distance suffisante (signalisation d’approche réduite)
- le port d’une tenue de haute visibilité conforme aux dispositions du code du travail (EPI).
Les mesures de protection du personnel sur intervention doivent être adaptées
- à la nature de la voie
- à l’importance du danger
- aux conditions générales de circulation
- à la visibilité
Le RETEX est un processus qui se décompose en trois phases principales, lesquelles ?
- le recueil de l’information sur le terrain
- l’identification, l’analyse et l’exploitation des enseignements
- la diffusion et l’archivage de ces enseignements.
Quel est le but d’un RETEX ?
Le but du RETEX est d’améliorer la capacité opérationnelle, individuelle et collective des sapeurs-pompiers de Paris en tirant des enseignements, notamment des interventions.
Le dispositif médical et de secours français repose sur trois piliers. Lesquels ?
la permanence des soins ;
le secours à personne (SAP) ;
les structures hospitalières de médecine d’urgence
La chaîne du secours à victime est composée de plusieurs maillons interdépendants et indispensables. Lesquels ?
- la sécurité ;
- l’alerte des services de secours ;
- la réalisation des gestes de secours par un témoin ;
- la prise en charge par les sapeurs-pompiers ;
- la médicalisation pré-hospitalière
- ;la prise en charge hospitalière.
Pour les personnes ensevelies, la difficulté est accrue par le risque de décès par :
- asphyxie dans des volumes clos
- manque de soins
- écrasement de membre (crush syndrome)
- privation d’aliments
Personne ensevelie. Le risque pour les sauveteurs est l’ensevelissement au cours des opérations de recherche ou de sauvetage, du fait :
- de l’insuffisance ou de l’absence d’étaiement des ruines dans la zone d’action
- du non-respect des mesures de sécurité pendant les recherches
- des chutes de matériaux
Quelle est la chronologie d’une opération de sauvetage déblaiement utilisé lors de recherche de personne ensevelie ?
- la recherche des victimes de surface
- la recherche dans les parties peu endommagées
- les recherches approfondies et aux localisations de victimes non visibles
- l’enlèvement sélectionné, puis généralisé des décombres
Quels renforts doit-on demander lors d’une intervention pour personne ensevelie ?
demander une section RSMU et le groupe CYNO
Les risques pour une personne qui est tombée en profondeur sont :
● le décès consécutif aux blessures ou à l’asphyxie
● la difficulté à manifester sa présence
Les risques pour le sauveteur lors d’une intervention pour personne tombée en profondeur sont liés à :
une chute pendant la progression, liée à un problème matériel
une asphyxie due à la méconnaissance du milieu où se pratique le sauvetage
Que faut-il faire avant toute action lors d’une intervention liés aux ascenseurs ?
- recueillir le maximum d’informations sur le type de l’appareil et son mode de fonctionnement
- localiser la machinerie et y placer, le cas échéant pendant toute la durée de l’intervention, un sapeur-pompier formé pour manoeuvrer manuellement la cabine à la demande
- couper l’alimentation électrique
- s’efforcer d’entrer en contact avec les personnes, pour s’assurer de leur état et les rassurer si besoin
- s’assurer de la fermeture et du verrouillage effectif des portes palières pour prévenir tout risque supplémentaire de chute
- demander les moyens nécessaires, en particulier de désincarcération
Que faut-il faire en fin d’intervention lors d’un accident lié aux ascenseurs ?
- s’assurer une dernière fois que les portes palières sont toutes fermées et verrouillées
- laisser l’installation hors service et ne surtout pas la remettre sous tension
- préciser à une personne qualifiée (représentant du syndic, propriétaire, concierge) la mise hors service de l’appareil et la nécessité de l’intervention d’un spécialiste
Quel est le facteur essentiel lorsque la décision d’une intervention pour personne menacée de noyade a été prise ?
La rapidité.
Quelle est la conduite à tenir en présence d’une personne menacée de noyade si elle est éloignée de la rive ?
- d’opérer à la nage, le sauveteur étant amarré
- d’utiliser une embarcation
- de faire intervenir les spécialistes en interventions aquatiques
Personne menacée de noyade. Quelle est la conduite à tenir dans le cas d’un véhicule tombé à l’eau ?
- faire préciser par témoin le nombre de personnes à bord
- plonger pour dégager les victimes prises dans le véhicule
- rechercher en aval du point de chute les victimes qui auraient pu être entraînées par le courant
Quels sont les deux cas de figure à considérer lors d’un secours à victime en carrières ou dans les catacombes ?
la victime est simplement égarée
la victime est blessée
Le risque d’explosion est généré par la présence :
- d’un gaz combustible ou de vapeurs deliquides inflammables dont la concentrationse situe dans leur plage d’explosibilité
- de poussières en suspension dans l’air
- de produits explosifs par nature
- d’un récipient ou d’une conduite sous pression.
Par quoi peut être déclenchée une explosion ?
- une source externe (étincelle, flamme)
- un échauffement trop important (surpression)
- un refroidissement trop rapide (choc thermique)
- un choc mécanique
- un apport brusque de comburant
Dans tous les cas, une intervention avec un risque d’explosion, qui est avant tout une mission de sauvegarde, consiste à :
- RECONNAÎTRE le risque
- PROTÉGER l’environnement
- SUPPRIMER le risque.
Le risque d’explosion. Le détecteur n’indiquant que le ………………………………….……, les secours sont en zone dangereuse dès que …………………………………………………., sans savoir si la concentration en gaz pur se situe dans ………………………………………………………………….. .
Le risque d’explosion. Le détecteur n’indiquant que le % de la LIE, les secours sont en zone dangereuse dès que le seuil d’alerte est atteint, sans savoir si la concentration en gaz pur se situe dans la plage ou au-dessus
VRAI ou FAUX.
Lors d’une fuite de gaz, on peut utiliser une bande denso pour colmater une fuite.
FAUX.
En aucun cas il ne faudra essayer d’obstruer ou d’écraser une conduite de gaz de ville
Des bouteilles qui ont été soumises au rayonnement d’un incendie sont susceptibles d’exploser au-delà d’une certaine température. Dans ce cas, il faut :
- éviter toute action mécanique ou thermique brutale
- ne pas négliger le risque de « BLEVE » pour les bouteilles de GPL
- ne pas négliger le risque de combustion interne qui existe avec l’acétylène
Lors d’un feu d’installation basse tension, quelle est la distance minimale entre la lance et l’installation ?
2 mètres
Lors d’un feu d’installation haute tension, quelle est la distance minimale entre l’eau projetée et l’installation ?
3 mètres
Sur les voies électrifiées par lignes aériennes de contact (LAC), les secours ne doivent en aucun cas s’approcher à une distance inférieure ou égale à …….. ……………………….. de la caténaire, tant qu’ils n’ont pas acquis la certitude que le courant est coupé
Sur les voies électrifiées par lignes aériennes de contact (LAC), les secours ne doivent en aucun cas s’approcher à une distance inférieure ou égale à 3 mètres de la caténaire, tant qu’ils n’ont pas acquis la certitude que le courant est coupé
Qu’est-ce que le phénomène de “tension de pas” ?
Ce phénomène, plus connu sous le nom de « tension de pas », s’explique par la différence de potentiel qui s’établit entre les pieds, d’autant plus importante que l’écartement est grand et qu’il se fait près du point de contact.
Peut-on couper le courant entre les panneaux photovoltaïque et l’onduleur ?
Le disjoncteur de production ne coupe pas l’alimentation en courant continu situé entre les panneaux photovoltaïques et l’onduleur.
Quels sont les 2 types de disjoncteur présent sur une installation de panneaux photovoltaïque ?
Le disjoncteur de production
Le disjoncteur de consommation
Quelles sont les premières étapes de la MGO NRBC du ressort des premiers intervenant ?
- Recherche du renseignement
- Protection du personnel intervenant
- Sauvetage/ évacuation/ mise à l’abri de la population
- Périmètre de sécurité réflexe
- Détection d’alerte
Le risque radiologique. Quels sont les deux risques en fonction de l’état et de la nature du radioélément ?
Risque d’irradiation
Risque de contamination
Le risque chimique. Les produits chimiques concernés sont les substances et préparations dangereuses qui, par leur nature même, par leur réaction à la chaleur ou par leur combinaison plus ou moins rapide entre eux, peuvent :
- accélérer et propager un incendie
- faire naître un danger d’explosion
- provoquer de graves brûlures
- produire des émanations de gaz toxiques ou asphyxiants
Le risque chimique. Quelles sont les différentes catégories de danger classés par le code de travail ?
- explosible
- comburant
- inflammable
- toxique
- corrosif
- cancérigène, mutagène, toxique pour la reproduction
Quels sont les deux codes à rechercher sur un transport de matière dangeureuse ?
Le code danger
Le code matière
Le risque biologique. Outre l’impact psychologique majeur, le danger biologique peut se manifester sous des formes diverses qui dépendent :
- de la nature de l’agent ou des agents biologiques
- des modes de dispersions
- des voies de pénétration dans l’organisme
Les réseaux de chauffage urbain. La température en sortie de chaudière est d’environ ……………… pour une pression de …………………. . Celle-ci permet à la vapeur de se transporter d’elle même et de circuler à environ ……………………. sur l’ensemble du réseau.
Les réseaux de chauffage urbain. La température en sortie de chaudière est d’environ 235 °C pour une pression de 20 bars. Celle-ci permet à la vapeur de se transporter d’elle même et de circuler à environ 70 km/h sur l’ensemble du réseau.
Les réseaux de chauffage urbain. Secours à victime dans le réseau. L’ouvrage est ouvert et balisé. Il peut arriver qu’un ou plusieurs salariés soient accidentés ou fassent un malaise dans cet ouvrage et ne puisse(nt) remonter à la surface sans le concours des services de secours. Il s’agit ……………………………….. ………………………………………. où le COS peut engager les secours dans un ouvrage de la CPCU.
Les réseaux de chauffage urbain. Secours à victime dans le réseau. L’ouvrage est ouvert et balisé. Il peut arriver qu’un ou plusieurs salariés soient accidentés ou fassent un malaise dans cet ouvrage et ne puisse(nt) remonter à la surface sans le concours des services de secours. Il s’agit du seul et unique cas où le COS peut engager les secours dans un ouvrage de la CPCU.
Que veut dire CPCU ?
Compagnie Parisienne de Chaffage Urbain
Combien de dispositif anti-intrusion à fumigène ont déjà été installé sur le secteur Brigade depuis 2002 ?
environ 1 000 systèmes.
Comment fonctionnent les dispositifs anti-intrusion à fumigène ?
Ces dispositifs fonctionnent de la façon suivante : lorsqu’une effraction (bris de glace, porte forcée etc…), se produit dans un bâtiment protégé, un appareil producteur de fumée froide propulse en une minute 600 m3 de fumée froide, blanche et mentholée, puis alterne des séquences d’enfumage de 5 secondes toutes les 15 secondes, le cycle complet durant 7 minutes
Qu’assure la société CLIMESPACE ?
Elle assure la production et la distribution de la climatisation centralisée sur la capitale.
Quelle est la longueur du réseau CLIMESPACE ?
58 km