Ppt 10 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux : les problèmes emotionnels et comportementaux varient d’un contexte à l’autre, et ce autant chez les enfants que les ados?

A

Vrai, parfois meme de facon importante

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2
Q

Qu’est ce qui est mieux que l’auto évaluation?

A

Les evaluations par des informateurs autant durant l’enfance, l’adolescence que l’age adulte.

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3
Q

Vrai ou faux: les autoévaluations sont suffisantes.

A

Faux: les autoévaluations sont essentielles, mais NON SUFFISANTES!

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4
Q

Qui est le meilleur informateur a avoir à l’âge adulte?

A

Un bon ami tres proche de la personne. On est souvent plus ouvert avec nos amis, donc ils ont plus de connaissance sur nous

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5
Q

méta-analyses suggèrent que les évaluations des informateurs procurent une ………. ? significative au-delà des autoévaluations pour prédire différents critères tels que l’engagement et la performance au travail, différents problèmes d’adaptation et les troubles de personnalité

A

validité incrémentielle (prédictive)

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6
Q

Qu’est ce que le modele comprehensif d’evaluation psychoeducative recommande?

A

Il recommande l’utilisation de plusieurs méthodes d’évaluation et plusieurs informateurs.

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7
Q

L’etape facile au niveau de l’interprétation des scores est laquelle?

A

Celle de calculer les scores standardisés et les qualifier en fonction d’une norme pour differents informateurs

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8
Q

Vrai ou faux? La chose la plus complexe est l’intégration de toutes les informations cliniques (différentes dimensions, différents contextes, différentes perceptions des informateurs) afin de répondre au motif de référence, porter un jugement clinique et proposer des pistes d’intervention?

A

Vrai

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9
Q

Vrai ou faux: l’accord inter-juges est généralement haute avec les échelles d’évaluation comportementale et émotionnelle

A

Faux, il est faible

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10
Q

Deux schémas pour etablir un statut clinique ou un dx

A
  1. Schema complexe
  2. Schema simple
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11
Q

C quoi le schema complexe

A

Lorsqu’on donne un poids different aux differents informateurs

Ex. Donner plus de poids aux enseignantes pour problèmes d’attention, aux parents pour problèmes extériorisés et plus de poids aux jeunes eux-mêmes pour problèmes intériorisés

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12
Q

C quoi le schéma simple

A

Quand l’info des differents informateurs a le meme poids

…Un résultat est considéré significatif (on assigne un statut ou un diagnostic) si le critère est obtenu par n’importe quel informateur (diapo9

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13
Q

Lequel des schemas (complexe ou simple) est le meilleur pour etablir un statut ou un dx et pk?

A

Les schemas simples sont généralement préférés car les schemas complexes procurent typiquement une valeur ajoutée assez limitée

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14
Q

Quel est le probleme au niveau des schemas complexe d’une clinicienne qui n’a pas d’excellente connaissance de la documentation scientifique ?

A

Ils deviennent davantage influencés par l rhodium implicite et l’expérience clinique.

Peut etre bon mais peut etre tres negatif

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15
Q

Vrai ou faux: avec les schemas simples, on assume que les faux positifs sont moins dommageables que les faux negatifs?

A

Vrai

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16
Q

Qu’est ce qu’un faux negatif?

A

Un resultat d’absence de dx alors qu’il y a un tx en réalité

17
Q

Qu’est ce qu’un faux positif?

A

Un dx donné par un informateur alors qu’il n’y a pas de trouble en réalité

18
Q

Quel est le lien entre le faux positif et le faux negatif

A

Faux positif est mieux.
-les faux positifs signifient offrir des interventions non-nécessaires, mais les faux négatifs peuvent vouloir dire ne pas offrir une intervention à une personne qui en a réellement besoin

19
Q

Est ce qu’il y a réellement des différences au niveau de l’accord inter-juge des comportements, emotions, traits de personnalité, etc.?

A

Oui, il y a effectivement une variabilité situationnelle

20
Q

Vrai ou faux: L’accord est généralement plus faible pour les traits généraux (comportements extériorisés) que pour les comportements spécifiques (e.g., opposition à l’école)

A

Faux, il est plus élevé

21
Q

Vrai ou faux: Même avec la même méthode (e.g., questionnaire), les items sont parfois différents (version parent vs enseignant du ASEBA)

A

Vrai

22
Q

Quels sont les 3 facteurs clés liés à l’accord interjuge faible

A
  1. Contexte d’observation
  2. Le type de problèmes evalués
  3. L’age des individus evalués
23
Q

Comment le contexte d’observation influence l’accord interjuge

A

Les attentes différentes mènent à des comportements differents

Regles differentes à l’ecole et à la maison

24
Q

Le type de probleme evalués.
Vrai ou faux: Habituellement meilleur accord pour problèmes de comportements observables (extériorisés) que pour problèmes plus épisodiques (intériorisés) ou difficiles à observer (e.g., pensées suicidaires

A

Vrai.
La personne qui a des comportements violents ou dérangeants va etre plus remarqué que la personne qui a des pensées suicidaires

-Les adultes rapportent davantage de problèmes extériorisés que les enfants/adolescents.es, alors que les enfants rapportent davantage de problèmes intériorisés que les adultes

25
Q

Comment on evalue les traits de personnalité avec une moins forte observabilité?

A

Plus valide par autoévaluation

26
Q

Comment on evalue les traits avec une forte desirabilité sociale?

A

Plus valide à l’aide d’informateur

27
Q

Au niveau de l’age des individus evalués, le niveau d’accord entre les évaluations des informateurs diinie ou augmente avec l’augmentation de l’age dds jeunes evalués?

A

Il diminue, donc plus la personne est vieille, moins l’accord interjuge est bon

28
Q

Vrai ou faux (encore oui jsais…) : la fidélité des autoevaluations des jeunes augmente avec l’augmentation en age?

A

Vrai

29
Q

Pk l’accord interjuge est plus élevé en bas age? Qu’est ce qui l’influence?

A

est possiblement en partie « contaminé » par la fidélité plus faible, du moins lorsque le jeune est impliqué

30
Q

Lorsqu’on interprète les convergences et divergences entre informateurs, quelle est la premiere question à se poser en tant qu’evaluatrice?

A
  1. Variations réelles du comportement en raison des differents contexte?

-Est-ce qu’il est possible et explicable sur le plan conceptuel / théorique que le contexte cause des comportements différents ? (e.g., pression environnementale pour attention élevée à l’école)

31
Q

Dans l’analyse des convergences ou divergences entre les informateurs, quelle est la 2eme question à se poser en tant qu’evaluatrice?

A

Variation de la sévérité clinique ?
Plus il y a convergence entre informateurs, plus cela suggère la présence de sévérité du problème

32
Q

Dans l’analyse des convergences ou divergences entre les informateurs, Quelle est la 3eme question a se poser?

A

Spécificités de l’informateur ?
Peut inclure plusieurs éléments, surtout :

Sa perception de la problématique du ou de la cliente Ses motivations
Ses théories implicites sur la problématique Ses biais socio-culturels
Ses styles de réponses
Ses problèmes d’adaptation / psychopathologies

33
Q

Dans l’analyse des convergences ou divergences entre les informateurs, quelle est la 4eme question a se poser en tant qu’evaluatrice?

A

Erreurs de mesure ?
-Erreurs aléatoires associées à l’instrument de mesure
-Erreurs systématiques / biais documentés par des recherches
-Autres erreurs liées aux conditions d’administration (e.g., environnement physique inadéquat, fatigue du client due à une entrevue trop longue, des consignes non respectées, des caractéristiques de l’évaluateur.trice, etc.)