Module 9 : Interventions pour la prévention et la promotion de la santé Flashcards

1
Q

Quel est l’un des principaux déterminants de la santé et qui contribue de manière significative à la réduction des maladies chroniques ?

A

Une bonne nutrition

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2
Q

Quels sont les principaux facteurs de risque responsables de la menace mondiale des maladies chroniques non transmissibles ?

A

Une mauvaise alimentation et un comportement sédentaire

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3
Q

Les maladies chroniques, notamment les maladies cardiovasculaires, le cancer, les maladies respiratoires, le diabète et l’obésité sont responsables de combien de pour-cent des décès dans le monde ?

A

70 %

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4
Q

Quels facteurs conduisent au surpoids et à l’obésité ?

A

Les mauvaises habitudes alimentaires et la diminution de l’activité physique.

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5
Q

Plusieurs facteurs complexes influencent les choix alimentaires, ce qui complique la _______ réussie des habitudes alimentaires.

A

Promotion

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6
Q

Les facteurs qui influencent les comportements alimentaires sont d’ordre …. ______

A
  • génétique-biologique
  • psychologique
  • socio-économique
  • culturel
  • environnemental
    -politique de santé
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7
Q

Que nécessite des stratégies efficaces pour modifier les habitudes alimentaires ?

A

Une compréhension et une gestion des facteurs qui influencent les comportements alimentaires.

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8
Q

Les comportements alimentaires sont régulés par de multiples _________ et gènes spécifiques.

A

Hormones

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9
Q

On estime que l’hérédité explique de ___% à _____% des variations de la sensibilité à l’obésité.

A

30% à 70%

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10
Q

Les changements biologiques liées au ______ ont un effet marqué sur le comportement alimentaire.

A

Vieillissement

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11
Q

Quels sont les comportements humains les plus courants concernant la nutrition ?

A

Manger et boire, ainsi que faire des choix associés à ces comportements.

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12
Q

Quels sont les facteurs individuels à prendre en compte pour les pratiques nutritionnelles saines deviennent une réalité ?

A
  • L’alimentation
  • La boisson
  • Les choix alimentaires
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13
Q

Quelles sont les émotions affectives et négatives qui influencent les pratiques nutritionnelles ?

A
  • Les émotions affectives (dépression, faible estime de soi et manque de contrôle personnel sur les exigences de la vie)
  • Les émotions négatives (colère, frustration, peur et insécurité)
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14
Q

Les _______ constituent un autre déterminant important du comportement alimentaire.

A

habitudes

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15
Q

Cependant, comme les habitudes sont le résultat de la répétition de comportements, de nouvelles habitudes, comme une alimentation saine, peuvent se former parce que les comportements alimentaires sont ____________.

A

répétitifs

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16
Q

Les facteurs socioéconomiques et culturels jouent un rôle prépondérant dans les comportements alimentaires et la nutrition. Les individus évoluent dans un contexte social et culturel qui façonne leurs _________________ .

A

comportements alimentaires

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17
Q

La relation entre le statut socioéconomique et le recours à la restauration rapide suggère une raison possible pour des niveaux plus élevés d’obésité chez les individus de ________________.

A

faible statut socio-économique

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18
Q

Qu’est-ce que influence les habitudes de restauration rapide ?

A

Le manque de temps libre et les horaires de travail plus longs.

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19
Q

La culture peut également avoir des attitudes différentes concernant la ______ et la _______.

A
  • taille
  • forme du corps
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20
Q

La préférence pour les régimes alimentaires malsains et les _______ portions est
influencée entre autres par la ________ et l’environnement alimentaire. Il est bien
connu que les environnements alimentaires et nutritionnels contribuent à ________.

A
  • grandes
  • publicité
  • l’obésité
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21
Q

Les environnements alimentaires comprennent les sources alimentaires disponibles et
les facteurs auxquels les individus sont exposés dans l’environnement, tels que les aliments sains ou la mauvaise alimentation, le ____ des aliments et le ________ alimentaire.

A
  • prix
  • marketing
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22
Q

Les environnements _________ sont tous les environnements, opportunités et
conditions qui favorisent l’obésité chez les individus et les populations

A
  • obésogènes
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23
Q

Les facteurs sociaux, politiques et économiques influencent l’exposition aux _____________.

A
  • environnements obésogènes
24
Q

Les environnements alimentaires obésogènes comprennent ?

A
  • Les sources d’alimentation à domicile
  • Les sources d’alimentation hors domicile (cafés, épiceries, plats à emporter et les magasins à proximité).
25
Q

L’environnement du quartier est souvent un facteur de promotion de ________.

A
  • l’obésité
26
Q

Les quartiers dotés de sentiers pédestres, de trottoirs bien entretenus et d’installations récréatives abordables, ainsi que l’accès aux supermarchés
et aux magasins d’aliments frais, favorisent des ______________.

A
  • modes de vie sains
27
Q

De quoi dépendent les choix alimentaires ?

A
  • De l’accessibilité
  • De la disponibilité
  • Du prix des aliments sains
28
Q

Quelle est l’une des responsabilités importantes de l’infirmière qui fournit des conseils nutritifs à des populations diverses ?

A
  • Aider les familles à identifier des options alimentaires peu coûteuses, faciles à préparer et à la portée de leur budget.
29
Q

Que faut-il savoir concernant les besoins nutritionnels des nourrissons et enfants ?

A
  • Un apport calorique adéquat en nutriments est essentiel pour favoriser une croissance et un développement appropriés.
  • Les habitudes alimentaires des jeunes enfants sont profondément influencées par la préparation des aliments et les comportements alimentaires de la famille.
  • Des choix alimentaires et des portions appropriés à la maison et au restaurant sont importants pour développer des habitudes alimentaires saines.
30
Q

Que faut-il savoir concernant les besoins nutritionnels des adolescents ?

A
  • L’adolescence est une période de changements biologiques et sociaux.
  • La dénutrition ralentit la croissance en taille et en poids et peut retarder la puberté.
31
Q

Que faut-il savoir concernant les besoins nutritionnels des adultes ?

A
  • De nombreux comportements et habitudes alimentaires des jeunes et des adultes d’âge moyen se développent durant l’enfance et l’adolescence.
  • L’âge adulte, qu’il s’agisse de jeunes adultes ou d’adultes d’âge moyen, est source de stress lié à la famille, à la carrière et aux responsabilités de la vie.
  • Il est essentiel de maintenir ou d’améliorer des habitudes alimentaires saines à l’âge adulte, car les décisions en matière de santé prises pendant cette période influencent grandement la qualité de vie des personnes âgées.
32
Q

Que faut-il savoir concernant les besoins nutritionnels des personnes âgées ?

A
  • De nombreuses personnes âgées sautent des repas et excluent des catégories entières d’aliments de leur régime alimentaire en raison d’une diminution de l’appétit, de courses peu fréquentes, d’un manque d’intérêt pour la cuisine et de leurs difficultés à mâcher et à avaler.
  • Des personnes âgées prennent des compléments alimentaires; les infirmières sont encouragées à examiner les résultats des recherches actuelles sur les compléments alimentaires afin de conseiller les personnes âgées sur leur sécurité.
  • La nutrition fait partie intégrante de la qualité de vie, en particulier pour les personnes âgées, et constitue donc une priorité pour les infirmières qui prodiguent des soins à ce groupe d’âge.
33
Q

Quelles sont les stratégies visant à promouvoir des changements dans les habitudes alimentaires ?

A
  • Améliorer l’accès à l’information, à l’éducation et aux conseils en matière de nutrition, ainsi qu’à des aliments sains, dans tous les contextes et pour tous les groupes de population.
  • Renforcer le lien entre la nutrition et l’activité physique pour promouvoir une vie saine.
34
Q

Quelles sont les stratégies pour maintenir le poids recommandé ?

A

▪ Choisissez des aliments pauvres en graisses nocives pour la santé.
▪ Apprenez à préparer ses plats préférés de manière plus saine.
▪ Apprenez à reconnaître et à contrôler les signaux environnementaux qui augmentent le désir de manger.
▪ Pratiquez une activité physique d’intensité modérée pendant 30 minutes par jour ou
150 minutes par semaine.
▪ Faites une promenade au lieu de regarder la télévision.
▪ Faites attention à ce que vous mangez.

35
Q

Quelles sont les stratégies visant à promouvoir des changements alimentaires dans diverses populations ?

A
  • Promouvoir des changements alimentaires au sein de diverses populations nécessite une compréhension de l’influence de la culture sur les habitudes alimentaires.
  • Des facteurs incluent: Comprendre les croyances culturelles sur la relation entre l’alimentation et la santé; Reconnaître comment les pratiques de
    consommation alimentaire contribuent à l’identité culturelle.
  • Dans toutes les cultures, les aliments symbolisent l’héritage et l’identité d’un groupe et jouent un rôle important dans les célébrations, les rites de passage et les pratiques religieuses.
36
Q

Quelles sont les stratégies pour initier un programme de réduction du poids ?

A
  • L’objectif principal des changements alimentaires pour les personnes en surpoids et obèses est de modifier les habitudes alimentaires afin de réduire
    leur poids.
  • Une autre stratégie consiste à se concentrer sur ce qui motive un individu à changer ses mauvaises habitudes alimentaires pour des habitudes
    alimentaires saines.
  • Une motivation élevée, l’efficacité personnelle, l’auto-contrôle, une image corporelle positive et la retenue alimentaire sont des facteurs prédictifs du
    contrôle du poids et représentent des cibles d’intervention pour les populations en surpoids et obèses.
37
Q

Quels sont des obstacles à lesquels peuvent se heurter les stratégies efficaces visant à modifier les comportements alimentaires des enfants ?

A
  • Le manque de motivation et de soutien de la famille
  • Les coûts
  • Le manque de temps des parents pour s’engager à modifier leurs habitudes alimentaires et leurs comportements en matière d’activité physique.
38
Q

Quel est le rôle de la technologie dans la conception des interventions ?

A
  • Les applications ont le potentiel de toucher un grand nombre de personnes, en offrant des possibilités de suivi du régime alimentaire avec
    des informations personnalisées, de suivi des comportements, d’auto-surveillance et de disponibilité d’une communauté de supporters et de
    réseaux sociaux.
39
Q

Quelles sont les considérations pour la pratique infirmière ?

A
  • Le public s’attend à ce que tous les professionnels de la santé soient en bonne santé et qu’ils donnent l’exemple en adoptant des habitudes alimentaires et d’exercice positives.
  • La surveillance de la santé nutritionnelle des individus, des familles et de la communauté est la responsabilité partagée de tous les membres de
    l’équipe de soins de santé.
  • Le conseil et l’éducation en matière d’alimentation saine devraient être une composante centrale de la pratique infirmière.
  • Certains infirmières font part de leur manque de temps et/ou de connaissances pour pouvoir discuter de la nutrition et de régime alimentaire avec leurs clients/patients.
  • La priorité devrait être donnée à l’apprentissage sur la manière d’aborder ces sujets pour aider les clients/patients à adopter des habitudes alimentaires plus saines et à atteindre leurs objectifs nutritionnels.
  • Les sites Web sur la nutrition sont facilement accessibles aux infirmières pour leur permettre d’apprendre ou de mettre à jour leurs connaissances sur les interventions fondées sur des données
    probantes et les directives diététiques.
  • Les infirmières peuvent également s’associer aux dirigeants des écoles, des entreprises, des communautés et aux décideurs politiques pour
    améliorer les choix alimentaires.
  • La participation aux activités communautaires et législatives pour promouvoir la santé nutritionnelle de tous est la responsabilité de tous les professionnels de la santé.
40
Q

Le stress cumulatif peut potentiellement prédire les risques de nombreuses maladies chroniques tels que ?

A
  • Le diabète
  • Les maladies cardiovasculaires
  • Le cancer
41
Q

Quelles sont des causes du stress psychologique ?

A
  • économie
  • préoccupations financières
  • travail
  • relations
  • responsabilités familiales
  • problèmes de santé personnels et familiaux
42
Q

Quels sont des symptômes du stress ?

A

irritabilité, anxiété, manque d’intérêt/motivation, mal
de tête, tristesse, fatigue.

43
Q

À quoi est associé le stress ?

A
  • Une diminution de la satisfaction de vie
  • Au développement de troubles mentaux et d’autres maladies chroniques, y compris les maladies cardiovasculaires (la lombalgie, les maux de tête, etc).
44
Q

Le stress induit des comportements présentant un risque tels que ?

A
  • le tabagisme
  • l’inactivité physique
  • la suralimentation
  • l’abus de drogues et d’alcool
45
Q

Quels sont les facteurs liés au stress chez les enfants ?

A
  • L’estime de soi
  • Les caractéristiques de la personnalité (tempérament)
  • Le genre
  • Le soutien social
  • L’éducation des enfants par les parents
  • Les expériences stressantes antérieures
  • La maladie
46
Q

Quels sont des facteurs de stress identifiés par les enfants ?

A
  • La maladie
  • La période d’inactivité
  • La solitude
  • Les conflits familiaux fréquents
  • L’insécurité économique
  • La pression pour obtenir des bonnes notes
  • Le sentiment d’être exclu
  • L’intimidation
  • La violence
47
Q

Quels sont les facteurs de stress les plus courants à l’adolescence ?

A
  • Les changements liés à la croissance et au développement
  • Les problèmes familiaux (les disputes et la négligence)
  • Les relations avec les pairs au début et au milieu de l’adolescence
  • Les problèmes de résultats scolaires chez les jeunes en âge de fréquenter l’école secondaire
48
Q

Un stress élevé au début de l’adolescence est associé à une série de comportements à risque tels que ?

A
  • le tabagisme
  • l’abus d’alcool
49
Q

Les signes avant-coureurs du stress élevé chez les adolescents sont ?

A
  • un temps excessif passé seul
  • la colère
  • la perte d’appétit
  • les changements dans les habitudes de sommeil
  • l’irritabilité persistante
  • les changements dans les résultats scolaires
  • l’utilisation excessive de l’écran au détriment des contacts sociaux en face à face
50
Q

À qui est souvent lié le stress souvent subi par les jeunes adultes ?

A
  • L’établissement d’une carrière
  • L’établissement de relations à long terme
  • La fondation d’une famille
  • L’éducation des enfants
51
Q

Quels sont les éléments qui peuvent être à l’origine de frustrations et de limitations dans l’accomplissement des activités de la vie quotidienne pour les personnes âgées ?

A
  • Une diminution de l’acuité sensorielle
  • Une diminution de la dextérité
  • Une diminution de la force
  • Une perte de souplesse
52
Q

Quelles approches sont efficaces en se qui concerne la gestion du stress ?

A
  • l’observation
  • l’écoute active
  • le soutien à la prise de décision
53
Q

Quelles sont les stratégies visant à réduire la fréquence des situations génératrices de stress ?

A
  • Changer l’environnement (pour réduire l’incidence des facteurs de stress)
  • Éviter les changements excessifs (éviter les changements supplémentaires inutiles)
  • S’entraîner à la gestion du temps (manque de temps)
54
Q

Quelles sont les stratégies pour augmenter la résistance au stress ?

A
  • Le conditionnement physique et psychologique (augmente la résistance au stress)

-Conditionnement physique: encourage des comportements favorables à la santé, tels qu’une activité physique régulière et une bonne alimentation.
- Conditionnement psychologique: favorise des états mentaux sains, tels qu’une estime de soi positive, l’efficacité personnelle, l’affirmation de soi et des ressources d’adaptation adéquates.

55
Q

Quelles sont les approches conventionnelles pour gérer le stress ?

A
  • Les médicaments peuvent constituer une option appropriée à court terme, lorsqu’un trouble aigu et grave lié au stress nécessite un soulagement immédiat.
  • Cependant, l’utilisation à long terme entraîne souvent des effets secondaires indésirables et un risque de dépendance psychologique et/ou physiologique.
  • Les médicaments peuvent être efficaces temporairement en conjonction avec d’autres stratégies, mais la thérapie médicamenteuse seule n’est pas susceptible d’être efficace à long terme.
56
Q

Quels sont les rôles des nouvelles technologies dans la gestion du stress ?

A
  • Les « thérapies électroniques » pourraient contribuer réduire les coûts de traitement,
    la stigmatisation, les frais de déplacement et la charge de travail des professionnels de la santé mentale.
  • Les applications d’e-thérapie sur le web et les smartphones se développent rapidement, avec peu de contrôle, de normalisation ou d’évaluation de l’efficacité. La recherche doit se pencher sur ces questions afin que ces traitements en ligne
    soient sûrs et efficaces pour gérer le stress et d’autres problèmes de santé mentale.
57
Q

Quelles sont les considérations pour la pratique infirmière ?

A
  • Les personnes qui subissent les mêmes facteurs de stress réagissent souvent différemment.
  • Les maladies liées au stress sont très courantes et nécessitent des interventions ou des orientations appropriées pour aider les clients/patients à gérer le stress avant qu’il ne se traduise par de graves problèmes de santé mentale.
  • Le développement d’interventions spécifiques est nécessaire car les enfants, les adolescents, les jeunes adultes et les adultes âgés utilisent des stratégies d’adaptation différentes. La connaissance de ces différences permet à l’infirmière d’intervenir
    au bon moment et avec la stratégie appropriée pour réduire le stress.
  • Bien que les interventions de gestion du stress fassent partie du champ d’action de l’infirmière, il peut s’avérer nécessaire d’acquérir une expertise supplémentaire en travaillant avec des prestataires expérimentés, en s’inscrivant à des cours ou à des
    séminaires et en mettant en pratique les nouvelles compétences requises.
  • Il est important pour les professionnels de la santé de se tenir au courant des dernières pratiques fondées sur des données probantes.