Introduction Flashcards
1
Q
Quels sont les principaux taxons où se retrouvent des organismes parasites?
A
- virus
- bactéries
- champignons
- protozoaires
- métazoaires
- plantes
- oiseaux
2
Q
Évolution du parasitisme
A
- négativisme, obscurantiste et religieux
- considérations zoologiques et médicales (taxonomie, morphologie, épidémiologie, pathologie)
- parasitologie moderne (évolution, phylogenèse, génétique, génomique, immunologie, écologie, comportement)
- mais les connaissances actuelles sur la diversité, l’abondance et la distribution des parasites demeurent préliminaires
3
Q
Principaux facteurs qui freinent le développement des connaissances sur les parasites
A
- intérêt général et nombre réduit d’espèce étudiée
- petite taille
- difficulté d’identification
- taxonomie : groupes obscures, sans importances économiques ou médicales)
- morphologie (réduite, variable)
- cycle de vie complexe
- faible biomasse
- le transfert horizontal de matériel génétique ce qui résulte en la formation d’organismes qui partagent une partie de leur génome et qui deviennent plus difficiles à caractériser
- acquisition de matériel génétique humain par Plasmodium
- acquisition de plusieurs gènes de champignons endosymbiotiques (+ ou -) par des pucerons
4
Q
Structures trophiques
A
- plus du trois quart de tous les liens trophiques incluent un parasite
- l’inclusion des parasites et leurs liens augmentent la connectivité par 93%
- les réseaux trophiques sont incomplets sans les parasites
- les parasites contribuent à la stabilité des écosystème parce qu’ils peuvent augmenter la connectivité entre espèces
5
Q
Quelle est la richesse parasitaire par espèce hôte?
A
- le nombre d’espèces de parasites identifiées pour différents groupes d’hôtes (taxons) dépend de l’effort d’échantillonnage
- souvent imprécis
- la détermination précise de la richesse parasitaire dépend de l’effort d’échantillonnage
- chez les insectes le nombre de parasites associés à une espèces hôte augmente avec le nombre d’études publiées sur l’espèce l’hôte - pour connaitre tous les parasites, il faut s’assurer de prendre en compte tous les stades de vie
6
Q
Microbiote humain
A
- l’humain a la charge parasitaire la mieux connue (plupart des macro-parasites ont été décrits
- embranchements dominants : Bacillota, Bacteroidota, Actinomycetota
- aussi des eucaryotes unicellulaire, principalement des levures et des protozoaires
- microbiote intestinal de chaque individu est unique
- des trilliards de bactéries, de virus et de parasites colonisent nos tissus et organes, en particulier le système digestif (> 1000 espèces; ≈1 Kg)
- les cellules bactériennes sont 10X plus nombreuses que les cellules humaines
- la majorité des organismes microbiens sont bénéfiques (ex. digestion, système immunitaire)
- la majorité des espèces sont connues mais leur rôle reste souvent à établir, notamment dans le cas de maladies métaboliques (obésité, désordres auto-immunitaires) ou autres (cancer)
7
Q
Bacteroides thetaiotaomicron
A
- ont des gènes qui codent pour plus de 260 enzymes qui dégradent les sucres complexes issus des végétaux sinon on ne serait pas capable d’extraire les éléments
8
Q
Quel est le statut d’un organisme exogène
A
- bénéfique (mutualisme) vs nuisible (parasitisme)
- variable
- souche et virulence
- statut de l’hôte (ex : origine, âge, immunocompétence)
- abondance (mécanismes de tolérance ou de compensation)
- conditions abiotiques (ex : endosymbiotiques bactériens)
- traitements médicaux
9
Q
E. coli
A
- statut d’un organisme exogène s’avère variable et plusieurs facteurs déterminent s’il induit un effet positif ou négatif sur son hôte
- bénéfique ou nuisible selon la nature de la souche en cause ou sa virulence
- bactérie intestinale (Gram négatif), des mammifères, très commune
- compose environ 80 % de notre flore intestinale aérobie
- coliforme fécal généralement commensal
- certaines souches sont pathogènes: gastro-entérites, infections urinaires, méningites, etc.
10
Q
Demodex folliculorum
A
- statut physiologique de l’hôte peut également déterminer l’influence d’un organisme exogène
- acarien
- > 99% des humains infectés
- vit dans les follicules foliaires, sur la peau
- 1.5 à 2 M d’acariens par humain adulte
- eu chez l’enfant
- 70 % à 18 ans
- transmission verticale (allaitement) et horizontale
- généralement inoffensif
- rosacée (via les fèces et cadavres)
11
Q
Puceron et parasites
A
- effets négatifs d’un parasite peuvent varier en fonction des conditions climatiques
- infectées de bactéries endosymbiotiques
- effet négatif : prend des ressources donc fait baisser le fitness
- effet positif : aide dans un environnement sec contre la dessiccation
12
Q
Helicobacter pylori
A
- côté négatif : ulcères d’estomac -traitements antibiotiques - 2-3 générations passée (80% des américains étaient infectés - aujourd’hui 6% des jeunes sont infectés
- côté positif : régulation de l’acidité - régulation de la ghréline (hormone de l’appétit) - avec = baisse de l’appétit