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Behaviorale > examen final > Flashcards

examen final Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’un facteur prédisposant pour le Trouble panique avec agoraphobie

A

Ce sont les caractéristiques d’un individu qui le rendent plus susceptibles (plus à risque) de développer un TPA
- vulnérabilité biologique : personne qui vont réagir plus physiquement fortement (sursauter)
- vulnérabilité psychologique :
. personne qui ont des parents anxieux voit le parent avoir des comportements anxieux
. personne vont éviter l’évitement comme stratégie
. personne qui percoit l’anxiété comme étant quelque chose de nuisible

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2
Q

Quels sont les facteurs précipitants/déclencheurs pour une attaque de panique ?

A
  • stresseur physique
    . exemple : grossesse, blessure, rhume ==> personne avait a se remettre physiquement
  • stresseur psychosocial
    . exemple : perte d’emploi, séparation
  • stresseur chronique
    . problème qui dure depuis un moment (amoureux, finances…)
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3
Q

cycle du maintien d’un TPA

A

Attaque de panique
interprétation catastrophique et peurs irréalistes

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4
Q

qu’est-ce qui est important pour la psychoéducation et pourquoi c’est important de l’expliquer au client ? (Sympathique/para-sympathique)

A
  • le système nerveux sympathique et parasympathique
  • parce que sa explique la fonction de l’anxiété
    . mobiliser toute l’énergie du corps pour protéger l’organisme de tout danger et survivre
    . mécanisme qui a été hérité de nos ancêtres (fuir ou affronter)
    . on va expliquer c’est quoi les fonctions de l’anxiété et le système nerveux
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5
Q

est-ce que le système parasympathique et sympathique fonctionne en même temps ?

A

Non, ils ne peuvent pas fonctionner en même temps parce que le système sympathique ne peut pas s’activer éternellement parce que ça prend beaucoup d’énergie donc le système parasympathique va prendre la relève.

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6
Q

le rôle du système sympathique ?

A
  • s’active en présence d’un danger « réel »
  • exemple : menace d’un lion
  • va arrêté l’éjaculation
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7
Q

le rôle du système nerveux parasympathique ?

A

régule la température corporelle, la digestion, la respiration, la récupération, l’érection

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8
Q

Les rôles des réactions physiologiques face à un danger et pourquoi c’est important de le dire à son client :
- tension musculaire
- palpitations
- circulation sanguine
- hyperventilation
- transpiration
- pupilles dilatées
- nausée

A
  • tension musculaire : corps se prépare à fuir
  • palpitations : prépare son corps à confronter
  • circulation sanguine : sang est dévié vers les organes vitaux et donc c’est pour ça que le sang n’arrive pas au bout des doigts (exemple : si on se fait mordre par un serpent, moins de sang va être perdu)
  • hyperventilation : déséquilibre entre l’oxygène et le gaz carbonique = difficulté à respirer, étourdi
  • transpiration : plus difficile de se faire attraper parce qu’on est glissant et empêche la surchauffe du corps
  • pupilles dilatées : permet une plus grande vision périphérique
  • nausée : bloque la digestion, sucre gastrique, reste pris dans l’œsophage = utile de vomir parce que le corps est plus léger et donc on peut courir plus
    ==> important que le client comprenne pourquoi son corps réagit comme cela parce qu’il peut mettre une raison sur pourquoi il se sent comme ça lors d’une crise de panique
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9
Q

Qu’est-ce que la respiration diaphragmatique ?

A

permet à la personne de diminuer ou arrêté l’hyperventilation (qui est souvent fréquente lors de l’anxiété)
- technique de respiration par le ventre, s’allonger et mettre des livres pour les voir se soulever
- respiration au repos devrait être de 10 à 14 respirations par minute

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10
Q

Qu’est-ce que la restructuration cognitive ?

A
  • prendre conscience des pensées automatiques
  • confronter les pensées à la réalité
  • remplacer les pensées irréalistes par des pensées réalistes (exemples je ne vais pas m’étouffer, j’ai juste trop d’oxygène…)
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11
Q

Les courbes d’anxiété

A
  • s’il y a toujours de l’évitement physique la même courbe va toujours être observée
  • s’il y a un évitement cognitif = se changer les idées, l’anxiété la même courbe va toujours être observée (la courbe monte est redescend en plateau), elle va monter et descendre
  • s’il y a une exposition graduelle, prolongée et répétée, l’anxiété va diminuer par elle-même va atteindre un plateau avant de redescendre et si on le fait de manière répétée, l’anxiété va monter de moins en moins haut, plateau moins long et va redescendre plus rapidement
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12
Q

Techniques d’expositions aux sensations, c’est quoi ?

A

but : faire les exercices pour ne plus craindre les sensations de la panique
- se fait durant une séance
- exercice va être noté de 1 à 8 sur :
. les sensations
. l’intensité des sensations
. peur /anxiété /inconfort
. similitude

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13
Q

Nommer les exercices et expliquer les (13)

A
  1. secouer la tête intensément pendant 30 secondes
  2. redresser la tête - 1 minutes
    • s’asseoir droit sur une chaise et se pencher le plus possible en avant et se relever rapidement au bout d’une minutes
  3. courir sur place - 1 minutes
    • doit être intense en levant les genoux
  4. contracter tout le corps - 1 minutes
  5. retenir sa respiration - 30 secondes
  6. tourner sur place - 1 minutes
    -peut être sur une chaise qui est sur roulette
  7. hyperventiler - 1 minutes
    -consiste à respirer fort (bruit doit pouvoir être entendu)
    • crée un déséquilibre comme quand la personne hyperventile
  8. respirer avec une paille - 2 minutes
    -boucher son nez et respirer au travers d’une paille (grosseur peut varier)
  9. fixer un point au mur - 2 minutes
    -regarder un point précis au loin
  10. avaler rapidement 4 fois
  11. imaginer sa pire sensation - 2 minutes
  12. fixer sa main - 2 minutes
  13. pression sur le bras - 1 minutes
    -crée un blocage qui entraîne un engourdissement
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14
Q

L’exposition aux situations permet de ?
trois consignes ?

A
  • établir une hiérarchie
  • trois consignes :
    . accepter les sensations vécues
    . se parler de façon réaliste
    . rester sur place et ne pas quitter l’endroit (évitement)
  • thérapie permet de ne plus répondre aux critères du TPA, mais peut quand même faire des attaques de panique
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15
Q

Insomnie

A
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16
Q

Cercle vicieux de l’insomnie

A

difficultés de sommeil (pas grave à moins que) ==> inquiétudes concernant la perte de sommeil ==> efforts pour contrôler le sommeil/anxiété de performance (plus la personne veut bien dormir ==> aggravation des difficultés de sommeil ==> détresse émotionnelle ==> facteurs prédisposants/déclencheurs

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17
Q

insomnie contient quels facteurs?

A
  • facteurs de maintien
  • facteurs précipitants/déclencheurs
  • facteurs disposants
    ** on a tous une vulnérabilité personnelle qui varie **
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18
Q

Composantes d’une bonne nuit de sommeil

A
  1. commencer par le commencement
  2. changer les mauvaises habitudes de sommeil
  3. envisager l’insomnie autrement
  4. composer avec le stress quotidien
  5. avoir une bonne hygiène de sommeil
  6. briser l’habitude des médicaments pour dormir (programme de sevrage graduel)
  7. maintenir les acquis (composer avec les rechutes et prévenir
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19
Q

composante 1 - commencer par le commencement -

A
  • remplir un agenda du sommeil
    . vient contrer l’anxiété de performance
    . pour savoir sa fait combien de temps que je dors et que je change de position (changement de position = 15-20 minutes de sommeil)
    . temps total éveillé : 4 premières colonnes
    . temps total passé dans son lit = dès que la lumière est fermée jusqu’au moment où la personne se lève
    . temps total de sommeil = temps total passé au lit - temps total éveillé
    . efficacité de sommeil : temps total de sommeil divisé par temps total passé au lit
  • établir des objectifs réalistes
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20
Q

composante 2 - changer les mauvaises habitudes de sommeil -

A
  • maintenir un rythme d’éveil et de sommeil régulier
    . développer un rituel avant d’aller au lit : routine qui prépare le corps, mais doit pas devenir obsessif
    . se lever toujours à la même heure : aide l’horloge biologique
    . ne pas faire de sieste
  • éliminer les activités incompatibles avec le sommeil
    . se détendre avant de se coucher (ne pas stimuler son cerveau)
    . aller au lit seulement lorsqu’il y a somnolence
    . quitter la chambre si on ne s’endort pas
    . réserver son lit au sommeil et aux activités sexuelles (conditionnement, association)
  • réduire le temps passé au lit
    . limiter la durée du temps passé au lit à la durée réel de sommeil et au fil du temps soit augmenté ou diminué le temps de fenêtre de sommeil (jamais en bas de 5h)
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21
Q

composante 3 - envisager l’insomnie autrement -

A
  • attentes irréalistes, fausses attributions
    . éviter de blâmer l’insomnie
    . ne pas chercher le sommeil, ne pas forcer
    . ne pas dramatiser après une mauvaise nuit
    . ne pas trop mettre l’accent sur le sommeil
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22
Q

composante 4 - composer avec le stress quotidien -

A
  • apprendre a relaxer son esprit et son corps
  • modifier les situations stressantes
    . aider la personne a surmonter le stress quotidien
    . variable d’une personne à l’autre
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23
Q

composante 5 - avoir une bonne hygiène de sommeil -
- caféine
- nicotine
- alcool
-alimentation
- exercice
- chambre

A
  • caféine : éviter 4-6h avant de se coucher
  • nicotine : éviter avant de se coucher parce qu’est c’est un stimulant
  • alcool : négatif pour la première partie de la nuit (pas beaucoup de sommeil paradoxale), mais plus dans la deuxième partie (rêves vont être bizarres)
  • alimentation : doit être collation légère avec beaucoup de glucides
  • exercice : positif pour le sommeil
  • chambre : ambiance doit être calme (s’il y a des bruits en continu on peut les camoufler avec de la musique puisque le cerveau va seulement analyser les bruits)
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24
Q

Le trouble d’anxiété généralisée

A
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25
Q

le TAG c’est quoi ?

A
  • manifestation excessive d’un phénomène normale, s’inquiéter de manière excessive
  • c’est un continuum
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26
Q

modèle théorique de base du TAG

A
  1. situation
    • commence par une chaîne d’inquiétude
    • peut être autant à l’extérieur (chum arrive en retard) qu’à l’intérieur d’elle (s’inquiéter de comment on se sent)
  2. et si
  3. inquiétude
    • ensemble de penser, d’images ou de doutes qui s’enchaînent et qui portent des évènements négatifs futurs et qui sont accompagnés d’anxiété
  4. anxiété
  5. Démoralisation, épuisement
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27
Q

Quels éléments consistent la grille d’auto-observation et les sortes de types (TAG)

A
  • date et heur ==> toujours au même moment
  • inquiétude
  • anxiété (0-10)
  • type 1 ou 2 (problème actuel ou éventuel)
    . important que le client soit en mesure de les différencier pour permettre de faire une bonne intervention
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28
Q

les deux types d’analogies et pourquoi les utiliser

A
  • analogie des allergies
    . le tag détecte comme les allergies facilement la moindre incertitude et va réagir
  • analogie des verres filtrants
    . le tag repère l’incertitude dans une situation donnée,
    . repérer les plus petits détails
  • donner au client les analogies pour qu’il comprenne que l’intolérance à l’incertitude est partout dans le tag
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29
Q

la restructuration cognitive avec des chiffres va aider une personne avec un tag - vrai ou faux-

A

faux, elle ne va pas aider

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30
Q

les sortes de manifestations de l’intolérance à l’incertitude

A
  • stratégie d’approche
    . faire tout soi-même, ne pas déléguer
    . chercher à être rassurer
    . vérifier et revérifier
  • stratégie d’évitement
    . évite de s’engager (distance émotionnelle)
    . procrastiner
    . trouver des excuses pour éviter certaines activités
31
Q

façon négative de faire face aux problèmes et les conséquences que ça apporte

A

problème (personne voit négativement) = menace, doute de leur capacité, pessimisme (anticipe conséquence négative engendré par les problèmes
- conséquence émotionnelle
- conséquence cognitive
- conséquence comportementale

32
Q

comment améliorer sa façon de faire face aux problèmes

A
  • identifier les problèmes avant qu’il ne soit trop tard
  • reconnaître que les problèmes font partie de la vie (normale)
  • voir les problèmes comme des opportunités ou des défis plutôt que comme des menaces
33
Q

quoi faire face à l’intolérance de l’incertitude

A
  • accroître le niveau de tolérance
  • accroître le niveau de certitude
34
Q

les stratégies pour le TAG

A
  • noter la situation
  • être modeste et réaliste
  • s’attendre à être anxieux ou inconfortable
  • résolution de problème
  • courbes d’anxiété
  • exercice de l’éléphant blanc
  • exposition cognitive
    . identifier la thématiqeu
    . préparer le scénario préliminaire
    . finaliser le scénario
    . enregistrer le scénario pour l’exposition répétée
35
Q

le trouble du stress post-traumatique

A
36
Q

aperçu du processus de thérapie avec le stress post-traumatique

A
  1. bien évaluer les symptômes et les facteurs associés
  2. élaborer un plan d’intervention personnalisé
  3. faire de la psychoéducation sur le TSPT
  4. travailler sur les affects reliés au TSPT
  5. travailler sur les pensées associées au TSPT
  6. faciliter la détente et l’apaisement
  7. cibler la diminution de l’évitement
  8. favoriser la digestion émotionnelle du traumatisme
  9. conclure la démarche psychothérapeutique
37
Q
  1. bien évaluer les symptômes et les facteurs associés c’est quoi ? pour le stress post traumatique
A
  • survol de l’évènement traumatique
    . pas besoin d’être hyper précis, mais savoir le type d’évènements quand ça s’est passé
  • symptômes qui ont suivi
    . voir si le symptôme répond au DSM-5
    . questions qui sont posés aux questions doivent être ouvertes
  • facteurs prédisposants
    . personne chêne est plus prédisposer à être affecté que le roseau
  • facteurs de maintien
  • comorbidité
    . est-ce qu’il y a présence d’au moins 2 ou plus diagnostiques
  • attentes du client
38
Q
  1. faire de la psychoéducation sur le TSPT, c’est quoi ?
    par rapport à :
    - si les symptômes sont des réactions normales face à l’évènement
    - si la personne juge ses réactions
    - associés les réactions dissociatives à des signes de folie
    - préjugés de son entourage
    - démarche se fait seul ou en équipe?
A
  • les symptômes sont des réactions normales à un évènement qui, lui, ne l’est pas
  • on ne sait pas d’avance comment ça va se passer
    . il faut distinguer ce qui n’est pas normal de ce qui l’ai (évènement pas normal, alors que les symptômes oui)
  • ce ne sont pas des réactions dissociatives puisque l’organisme veut nous protéger des évènements traumatiques
  • (on peut prévenir le client d’avance) entourage veut se rassurer que ça ne va pas leur arriver en essayant de se distinguer
  • la démarche se fait en équipe
39
Q

travailler sur les affects reliés au TSPT
- le processus de gestion émotionnelle facilitera

A
  • le ressenti des émotions : faire du reflet, souligner ce qu’on observe
  • l’identification et l’approbation des émotions : client s’approprie l’émotion vécu (le psy va aider à ramener à dire « je ressens ça »
  • l’acceptation des émotions : client accepte qu’il a le droit de ressentir les émotions
  • l’expression des émotions : s’isoler, pleurer, s’exprimer, écrire

** important que la personne ressente ses émotions parce que sinon elle risque de dissocier lors de l’exposition avec elle **

40
Q

travailler sur les pensées associées au TSPT

A
  • identification des pensées
  • identification des distorsions cognitives (si oui, on peut faire 3e points)
  • restructuration cognitive
  • exercice de la tarte d’attribution : démontrer que l’implication dans l’évènement est moins grande que ce que le client pense
    ** à faire avec les personnes qui ont tendances à se blâmer **
41
Q

faciliter la détente et l’apaisement

A
  • relaxation musculaire
  • respiration diaphragmatique
  • autres
42
Q

cibler la diminution de l’évitement pour le stress post-traumatique

A
  • évitement renforce l’anxiété : associé aux évènements
  • l’anxiété est désagréable, mais pas dangereuse : cicler la diminution
  • stratégie –> exposition in vivo : vise à diminuer avec une préparation d’une hiérarchie d’exposition
    . faire une liste sur ce que la personne évite
    . décomposer en au moins 10 étapes du moins difficile au plus difficile (pour chaque endroit sur la liste)
    –> 1 endroit est divisé en 10 étapes
    –> plusieurs éléments sont mélangés (avec ou sans couteau, accompagné ou non…)
    . après avoir monté la liste, le client va effectuer la 1ère étape (psy va accompagner pour au moins pour la 1ère fois), mais doit être assez facile pour la personne pour qu’elle ne se décourage pas
    –> doit rester au moins 45 minutes ou jusqu’à ce que l’anxiété diminu de moitié (une grille peut être fournie pour aider à cible sur 10 la personne est où)
43
Q

favoriser la digestion émotionnelle du traumatisme –> pour que le client puise digérer l’émotion vécu

A
  • exposition en image pour se rendre jusqu’à la préparation de l’enregistrement audio
    . but : client soit habitué à ce qu’il a vécu
  • partie de la thérapie plus difficile et s’étend sur plusieurs séances avant d’arriver à l’enregistrement
    . au fil du temps, de plus en plus de détails pour se rendre jusqu’à comme si on était là
  • doit être mis 1 fois par écrit avec l’enregistrement
44
Q

conclure la démarche thérapeutique
- on peut envisager la fin du traitement seulement si : (Pour le trouble stress post-traumatique)

A
  • les symptômes ont significativement diminué et si le diagnostic du TSPT ne peut plus être posé
  • la victime peut parler de l’évènement traumatique sans se sentir submergée par sa détresse
  • les comportements d’évitements n’interfèrent plus avec le fonctionnement quotidien de la victime
  • les distorsions cognitives les plus significatives ont été modifiées
45
Q

est-ce qu’il existe des stratégies pour diminuer les cauchemars en fréquence et l’intensité ?

A

oui, autant pour le TSPT que pour les cauchemars fréquents. si la personne a écrit du positif et qu’elle le lit plusieurs fois ça diminue les cauchemars

46
Q

la dépression

A
47
Q

quelques théories
- Martin Seligman
- Aaron Temkin Beck
- Albert Ellis
- Peter Lewinsohn

A
  • Martin Seligman : impuissance acquise /résignation apprise
    . personne qui ont un style d’attribution pessimiste sont plus à risque d’être dépressif et vont avoir plus de difficulté à s’en sortir
    . style d’attribution pessimiste contient 3 composantes :
    –> interne vs externe : vont avoir tendance à s’attribuer de manière interne pour expliquer la situation
    –> globale vs spécifique
    –> stable vs circonstentielle
  • Aaron Temkin Beck : triade cognitive
    . 3 composantes vision négatives
    –> de soi
    –> des autres
    –> du futur
  • Albert Ellis : musterbation
    . je dois met une pression sur soi et une partie de soi se rebelle et c’est pour ça que les gens deviendraient dépressifs
  • Peter Lewinsohn : déséquilibre +/-
    . déséquilibre chez la personne plus de négatif que de positif c’est pour ça qu’on devient dépressif
48
Q

cercle vicieux c’est (dépression)

A

pensée négatives –> humeur négative –> activité réduite (important de travailler cette sphère-là)
** on ne doit pas oublié les réactions physiologiques et environnemental **

49
Q

facteurs associés à l’inaction (11)

A
  • désespoir
  • attributions externes : choses externes sont attribués à l’externe, ce qui ne motive pas à l’action, ne ressent pas le pouvoir
  • accablement : trop de chose à faire et impression de pas être en mesure de réaliser
  • faible tolérance à la frustration
  • auto-condamnation : faire moins de choses ce qui entraîne un cercle vicieux
  • sous-estimation des récompenses
  • culpabilité : se blâmer garde dans l’inaction
  • perfectionnisme
  • peur de l’échec, du succès, de la désapprobation ou de la critique
  • contraintes et ressentiment –> musterbation d’ellis
  • conclusions hâtives
50
Q

Première étape pour passer au travers de l’inaction c’est ?

A

action (1ère étape)–> motivation –> nouvelle action
être inactif = contribut à ne pas bien aller

51
Q

programme d’activités quotidiennes

A
  • planifier des activités sur une base horaire
  • à la fin de la journée, faire une rétroaction des activités faites et noter sur une échelle
  • contient seulement des actions qu’ils veulent faire pas ce qui doit être fait
52
Q

fiche antiprocrastination

A
  • utilisé pour une activité, exemple aller poster une lettre
  • permet d’y aller étape par étape
  • permet de porter un regard sur comme la personne se sent
    . activité
    . difficulté prévue
    . satisfaction prévue
    . difficulté réelle
    . satisfaction réelle
53
Q

nouveaux comportements

A
  • inviter la personne a essayé quelque chose de nouveau (au moins 3x le même comportement ou 3 jours de suite pour voir s’il y a un changement
  • échelle avec : comportement habituel, humeur, nouveau comportement, humeur
54
Q

grille autoapprobation

A
  • encourage la à se féliciter plusieurs fois par jours
  • énoncé négatif vs positif
55
Q

Technique POPA

A
  • pensée obstacles vs pensée actions
56
Q

division des tâches

A
  • décider du temps à consacrer à une tâche particulière
  • arrêter à la fin de cette période
57
Q

la 3e vague de l’approchecognitivo-comportementale

A
58
Q

les approches de 3e vagues c’est quoi ?

A

cherchent à agir sur la relation qu’une personne entretient avec ses symptômes

59
Q

exemple de TCC de 3e vague

A
  • la thérapie d’activation comportementale pour la dépression
  • la thérapie basée sur la pleine conscience
  • la thérapie d’acceptation et d’engagement (L’ACT)
60
Q

les outils de l’ACT

A
  • la matrice
  • les 6 processus de l’hexaflex
61
Q

le but de l’ACT c’est ?

A
  • ce n’est pas de supprimer la souffrance
  • son but est de permettre au client d’accueillir ses ressentis et ses pensées inconfortables dans différents contextes (ce qui s’appelle la flexibilité psychologique)
62
Q

la matrice contient quoi ?

A
  • actions de lutte : ce qu’on fait pour fuir, diminuer ou éviter notre souffrance
  • actions engagés : ce que je fais pour avancer vers mes valeurs
  • valeurs : ce qui est important pour moi
  • souffrance : ce à quoi ne veut pas penser ou ce qu’on ne souhaite pas ressentir
  • le moi : la matrice permet de poser des questions sur ce que je veux faire
  • l’ACT veut que la personne consacre plus de temps du côté droit (s’approcher) pour s’approcher de ce qu’on veut
  • L’ACT veut qu’on soit plus dans nos 5 sens que dans sa tête
        Expérience 5 sens S'éloigner              S'approcher
        Activité mentale
63
Q

les 6 processus thérapeutiques de l’hexaflex

A
  • la défusion cognitive
  • les valeurs
  • les actions engagés
  • l’acceptation
  • le moment présent
  • le soi observateur
64
Q

la diffusion cognitive c’est ?
un exercice va permettre quoi

A

il s’agit d’un processus de distanciation qui consiste à concevoir les pensées pour ce qu’elles sont et non pour ce à quoi elles réfèrent ou pour ce qu’elles prétendent être
–> les pensées ne sont pas la réalité
- exercice va être une diffusion cognitive et permet de prendre une distance avec la petite voix intérieure négative

65
Q

les valeurs
différence entre objectif et valeur

A

renvoient à ce qui est important, à ce qui donne un sens à notre vie
- varie d’une personne à une autre
–> différence entre objectif et valeur
–> objectif : je veux être en couple avec cette personne
–> valeur : je veux être dans une relation de couple saine

66
Q

les actions engagées c’est ?

A

ce sont des actions en harmonie avec nos propres valeurs
- actions comportementales, qui peut être observé de l’extérieur

67
Q

vrai ou faux
les actions engagés peuvent avoir pour conséquence immédiate de diminuer notre souffrance

A

faux elle va l’augmenter

68
Q

quels sont les obstacles et les stratégies à utiliser ?

A
  • petite voix intérieure ==> diffusion cognitive
  • émotions =(anxiété…)=> acceptation
  • obstacles qui vient nous freiner concrètement à l’extérieur de soi ==> résolution de problèmes
69
Q

L’acceptation

A
  • permet volontairement à tout ce que l’on pense et ressent, même ce qu’il y a de plus douloureux, d’être présent et ressenti, sans évitement ni fuite
70
Q

acceptation n’est pas synonyme de ? mais plutôt

A

-résignation ou de tolérance
- accueillir à bras ouvert l’émotion
-tout ou rien, soit j’accepte ou je n’accepte pas

71
Q

le moment présent

A
  • permet d’accroître notre capacité à faire la distinction entre notre expérience sensorielle et notre expérience mentale
72
Q

a pour but de ?

A

développer la conscience de notre expérience du moment présent physiquement au moyen de nos 5 sens

73
Q

le soi observateur

A
  • ## adopter un point de vue sécuritaire et cohérent à partir duquel observer et accepter toutes nos expériences

Behaviorale (1 decks)

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