Cours 7 - 3e force Flashcards

1
Q

Qui a écrit cette citation ?

« Je crois que les psychologues
occupent aujourd’hui une position centrale et importante dans le monde. Je dis cela parce que tous les problèmes majeurs de l’humanité – la guerre et la paix, l’exploitation et la fraternité, la haine et l’amour, la maladie et la santé, l’incompréhension et la compréhension, le bonheur et le malheur – ne pourront être résolus qu’avec une meilleure compréhension de la nature humaine, et c’est à cela que la psychologie se consacre entièrement »

A

Abraham Maslow

  • Met de l’avant la place du psychologue, en particulier d’approche humaniste existentielle,
  • Travail important et nécessaire
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2
Q

Dans quel contexte émerge la psychologie humaniste existentielle comme 3e force en Amérique ?

A

Un peu après la 2e guerre …

L’Amérique est dans un contexte :
- Avancées scientifiques,
- Changements technologiques rapides,
- Séparation encore plus marquée entre la psychologie (américaine) et la tradition philosophique (s’engage dans une voie plus technique/scientifique),
- Émergence de modèles plus techniques en psychologie.

Ce qui amène :
- Sentiment d’une psychologie déshumanisée (perd l’être humain),
- Crise « existentielle »sociale : solitude, identité, sens (qu’est-ce qu’est une vie bonne, une vie pleinement vécue ?).

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3
Q

Quels sont les cinq «ingrédients »de la recette parfaite de la 3e force ?

A
  1. Insatisfaction avec les deux premières forces en psychologie (approches psychodynamiques & béhavioristes ; + déterministes, déshumanisantes, ne mettent pas de l’avant la liberté dans un contexte où il y a une soif de liberté).
  2. Intention de faire de l’être humain et son existence le point focal en psychologie (mieux comprendre ce que veut dire être un être humain).
  3. L’élite intellectuelle de penseurs et philosophes allemands s’exile aux États-Unis entre 1930 et 1950 (pendant et après 2e guerre).
  4. Réceptivité de certains penseurs américains aux traditions académiques européennes : Rogers, May, Allport, etc.
  5. Leadership de Maslow (Rôle de rassembleur).
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4
Q

Complète :
Définition de l’APA (division 32)

« Les psychologues humanistes cherchent à comprendre et à apprécier les personnes d’un point de vue _____________, _______________ et _____________, en constante évolution et dans leur contexte socioculturel et éco-psycho-spirituel. Nous partons du principe que les personnes qui fonctionnent de manière optimale sont conscientes, libres de faire des choix en accord avec leurs valeurs, interdépendantes, orientées vers un but, porteuses de sens et créatives par rapport à leur expérience.»

  • Propose une certaine vision de la santé !
A
  • hollistique,
  • Phénoménologique,
  • Systémique
    (prendre compte du contexte).
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5
Q

Qui sont les 7 visages considérés comme fondateurs du mouvement :

*Ne sont pas des a-scientifiques, mais ils considèrent que la science n’a pas réponse à tout, alors il faut considérer d’autres dimensions pour mieux comprendre les éléments psychologiques.

*Ont tenté de trouver des démarches scientifiques et nouvelles méthodes.

A
  1. Abraham Maslow,
    - Besoins fondamentaux,
    - Actualisation de soi,
    - Motivation,
  2. Carl Rogers,
    - Approche centrée sur le client,
    - Acceptation inconditionnelle,
    - Clinicien *
  3. James Bugental
    - Aspects existentiels de la psychothérapie,
    - Clinicien *
  4. Rollo May,
    - Spiritualité et mythes,
    - Arts et créativité,
    - Clinique & existentiel *
  5. Gordon W.Allport
    - Modèle développement de la personnalité,
  6. G. Marian Kinget
    - Enseignement de la psychologie humaniste,
    - Pédagogue *
  7. Charlotte Bühler
    - Psychologie du développement,
    - Psychogérontologie,
    - Pédagogue *
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6
Q

Quelle est la recette de la 3e force au Québec, et quel est le cadre dans lequel elle s’amorce ?

2 principales portes d’entrée **

A
  1. Psychologie sociale appliquée : Fondation de l’Institut de psychologie (1942) rattaché à la faculté de philosophie de l’Udem; enseignement de la recherche expérimentale et la psychanalyse freudienne (encore à l’index).
  2. Psychothérapie rogérienne : Fin des années 50, Dollard Cormier introduit l’approche rogérienne à l’institut de psychologie (après être allé étudier à Chicago où Rogers enseigne).

S’amorce dans le cadre …

Révolution tranquille :
La psychologie humaniste s’inscrit en continuité avec les valeurs (dignité, principe du bien commun, amour du prochain, etc.) de la religion de l’époque, mais rompt avec la rigidité et la structure de celle-ci.
- Il y a volonté des individus de se libérer de la religion omniprésente & libérer la psyché de ces individus.

–>permet un changement en douceur (il y a qqchose de familier dans cette approche pour les Québécois ; arrivent à se sentir chez soi).

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7
Q

Quel est le contexte chronologique dans lequel a émergé la 3e force ?
(6 étapes)

A

1954 :
- Première esquisse de ce que deviendra la psychologie humaniste par Abraham Maslow,

1955 :
- Première utilisation du terme «psychologie humaniste »(dans un article ; Toward Humanistic Psychology),

1958 :
- Psychologie humaniste désignée comme étant la 3e force (Dans un article de Maslow, Toward Humanistic Psychology).

1961 :
- Journal of Humanistic Psychology,

1962 :
- American Association for Humanistic Psychology (1er président de l’association = James Bugental),

1970 :
- Division 32 de l’APA - Society for Humanistic Psychology (institutionnalisation).

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8
Q

Quelles sont les 7 caractéristiques autour desquelles s’orientent la psychologie humaniste ?

A
  1. Mouvement,
  2. Complément,
  3. Prémisses,
  4. Volonté,
  5. Thèmes,
  6. Démarche,
  7. Contribution.
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9
Q

Quelle est la 1ière caractéristique de l’approche humaniste ?

A
  1. Mouvement

Il s’agit d’un mouvement, plutôt qu’une école, qui met l’emphase sur le vécu de l’humain et son être-au-monde.

Il se distingue par l’inspiration qu’il tire de la philosophie existentielle, par ses intentions et la mise à l’avant-plan de certains thèmes et méthodes.

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10
Q

Quelle est la 2e caractéristique de l’approche humaniste ?

A

Un complément

  • La tentative de la psychologie humaniste-existentielle est celle de compléter et non de remplacer ou éliminer les approches existantes.
  • Les approches comportementales ou analytiques méritent d’être complémentées et vice-versa.
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11
Q

Quelle est la 3e caractéristique de l’approche humaniste ?

A

Des prémisses

En psychologie, chaque approche possède sa propre philosophie de l’humain. C’est cette philosophie de base qui influence la portée théorique, les objectifs de la psychothérapie, sa méthode.

Ancrage dans la philosophie existentielle :

  • Suppose que chaque être humain est unique, en son vécu, ses perceptions, son regard sur le monde, et ses réactions dans le monde.
  • L’être humain, en tant qu’individu, ne peut être compris et réduit aux fonctions ou aux éléments qui le constituent.
  • Un intérêt profond et ultime pour la valorisation de la dignité humaine et sa valeur profonde, précisément du potentiel de développement de tous et chacun…
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12
Q

Quelle est la 4e caractéristique de l’approche humaniste ?

A

Une volonté

  • Développer une compréhension de l’humain dans sa réalité subjective et existentielle, laquelle inclut sa conscience, ses émotions, ses humeurs et ses expériences en tant qu’individu dans le monde, qui est en relation avec d’autres humains, et qui a des buts.
  • Alors que certaines approches en psychologie pourraient vouloir prédire et contrôler l’humain, celle-ci postule notamment sa liberté et son potentiel d’actualisation.
  • L’essence du projet humaniste existentiel : mieux comprendre l’expérience unique et holistique de la personne aux prises avec les contraintes contextuelles de ses choix de vie.
    *Comprendre l’être humain comme être au monde.
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13
Q

Quelle est la 5e caractéristique de l’approche humaniste ?

A

Des thèmes

  • Tendance naturelle de la personne humaine à actualiser son potentiel
    (on peut s’intéresser aux défis, mais important de mettre en lumière le potentiel),
  • La relation d’humain à humain (à soi, aux autres).
  • Liberté et responsabilité,
  • Valeurs personnelles,
  • Sens de la vie, de la souffrance, de l’anxiété et de la mort.
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14
Q

Quelle est la 6e caractéristique de l’approche humaniste ?

A

Une démarche

  • Une approche mécaniste, biologique ou purement scientifique ne peut offrir de compréhension profonde sur la nature humaine. (Un intérêt pour la signifiance des méthodes de recherche plutôt qu’une valorisation de l’objectivité.)
  • Le choix d’une perspective phénoménologique, qui consiste en l’exploration des contenus de la conscience d’un humain et de son expérience subjective. (A. Chaque personne est l’experte de son expérience, B. Thérapeute-chercheur est le facilitateur de la découverture de cette expérience par la personne).
  • L’herméneutique, qui reconnait à la fois le caractère interprétatif de notre condition humaine et l’effort que nous déployons pour comprendre le monde, autrui et soi-même.
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15
Q

Quelle est la 7e caractéristique de l’approche humaniste ?

A

Une contribution
(Les traces qu’elle laisse à la psychologie)

  • En regard aux expériences qui relèvent des limites/seuil de la vie ( Nouveau regard sur la maladie, vieillissement, mort, etc.)
  • À la psychothérapie,
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16
Q

Est-il vrai ou faux de dire que la psychologie humaniste s’est immiscée dans l’ensemble des approches …

A

Vrai !

Souvent les psychologues ajoutent l’humanisme à leur approche.

  • Facteurs communs et importance accordée par la 3e force à l’empathie, l’accueil, la démarche phénoménologique, l’expérience émotionnelle et relationnelle.
17
Q

Quelles sont les critiques faites à la 3e force ?

A
  • Une force, vraiment ? (un peu fort comme terme),
  • Éclectisme : dérives et difficulté à se définir (défaut de la qualité…),
  • Confusion entre emphase mise sur l’individu et son expérience du et dans le monde VS approche individualiste (mauvaise compréhension),
  • Défis reliés à l’évaluation de l’approche et des dispositifs (nécessité de trouver des moyens d’évaluer et juger de la qualité).
18
Q

Donne des exemples de contributions de la 3e force en lien avec les approches …

A

Psychologie gestaltiste (PGRO - Gilles Desliles),

Psychologie du soi (approche inter-subjective),

3e vague de thérapies cognitives et comportementales (ACT, Schémas, etc.),

Thérapie centrée sur les émotions,

Etc.

–> Ont des racines dans la 3e force !

19
Q

Donne des exemples de contributions de la 3e force en lien avec les dispositifs cliniques …

A

« Encounter group », groupe de croissance personnelle (démocratiser la thérapie, pas seulement lors de pathologie),

Thérapie de groupe,

Développement personnel,

« Body mouvement » : expression corporelle (comprendre la personne dans son expression),

Approches alternatives : ailleurs et autrement.

20
Q

En lien avec les réflexions sur les notions de santé et de souffrance,

Que vise la psychologie humaniste ?

A

Le bien vivre et le vivre en santé !

21
Q

Comment met-on l’accent sur le bien vivre et le vivre en santé ?

A
  • Réintroduire la subjectivité dans nos vies,
    (on cherche a subjectiver l’expérience du patient ; lui permette de prendre contact avec ses émotions, etc. ** Sujet Vs objet),
  • Retour vers les contenus existentiels et conscients associés à la santé et à la souffrance,
    (Ex : que veut dire pour elle être en santé ?, quel est son rapport à la souffrance ? Quel sens fait-elle de son état actuel ?, etc.),
  • Établir un continuum et une nuance entre santé/maladie,
    (Plus complexe que deux simples opposés ! On peut se sentir en santé même dans la maladie…),
  • Se discute et se vit en dialogue (Comment la personne se perçoit et comment nous et ses proches la percevons par rapport à ces notions).
22
Q

La 3e force tente de revoir l’idéal de santé et de l’absence de souffrance (de la société, des patients et de certains psychologues).

Qu’est-ce qu’elle relève ?

A
  • La condition humaine et les enjeux existentiels nous rappellent que la vie comporte en elle-même la possibilité de la souffrance, de la maladie et de la mort.
  • Ne pas être en santé, c’est le risque même d’être vivant (souffrance n’est pas anormale !),
  • Malaise face à la souffrance, surtout dans les pays riches qui ont les moyens financiers et techniques pour repousser la douleur, la maladie et même la mort.

–>Cesser dichotomie entre souffrance et santé !!

23
Q

Quelle est l’étymologie du terme «pathologie » ?

A

Pathos : (Qu’est-ce qu’on éprouve ?)
sentiment de souffrance et d’impuissance,

  • La souffrance comme impuissance.
24
Q

Comment la 3e force définit-elle la pathologie ?

A

Il s’agit de la difficulté qui rend le quotidien invivable ou difficile à vivre,

  1. Lorsque la pensée et le langage, au lieu d’être des fenêtres sur le monde, en obstruent la vue (rejoint l’impuissance à dire*).
  2. Lorsque le monde semble difficilement habitable ou lorsqu’on n’arrive pas à trouver sa place dans le monde.
25
Q

Quels sont les 2 vécus de la psychopathologie ?

A

A. Psychopathologie :
- Altération ou impossibilité du dialogue.

B. Psychopathologie :
- État d’incompréhension ou sentiment d’étrangeté.
(Sans dialogue avec l’autre = difficile de se comprendre, lorsqu’on ne se comprend pas, un sentiment d’étrangeté émerge…)

Implique des défis pour la psychothérapie …
Contexte particulièrement difficile d’instaurer un dialogue et de favoriser la compréhension de ce qui est souffrant, chez la personne souffrante et chez la personne soignante.

26
Q

Quelles sont les deux formes d’impuissance mises de l’avant Paul Ricoeur ?

A

Voir la souffrance au prisme de l’impuissance …

  1. Impuissance À DIRE
    - Très difficile à communiquer,
    - Très difficile à comprendre d’abord pour soi et pour l’autre,
    - Amène (+) de souffrance, puisqu’on se sent seul.
  2. Impuissance À FAIRE
    - Incapable de faire les choses,
    - Diminution de notre puissance.
27
Q

Pour l’humanisme existentielle, quelle est la visée thérapeutique (en lien avec la psychopathologie) :

A

Diminution de la souffrance et retour du fonctionnement, c’est-à-dire retrouver ou redéfinir sa place parmi les autres et dans le monde.

  • Grâce au dialogue thérapeutique qui permet l’ouverture de nouvelles possibilités de sens, d’une nouvelle présence au monde et d’une nouvelle façon d’être en relation.

C’est apprendre à « être avec »: avec la souffrance, avec les autres (ceux qu’on aime ou ceux qui nous font souffrir), avec le monde qui nous inspire, etc.
(Reconnecter avec la puissance)

28
Q

Complète :

L’intervention psychologique ne vise pas la pathologie, mais _______ .

A

La personne !

Implique de rencontrer l’autre sans jugement et a priori = faire l’effort d’une posture phénoménologique.

Les pathologies peuvent faire l’objet de savoirs spécialisés, mais elles demandent aussi une interprétation et une mise en sens.

Ex : la dépression –> On doit questionner : Qu’est-ce que signifie pour vous la dépression.

29
Q

Vrai ou faux :

La psychothérapie est nécessairement traversée par une pratique herméneutique.

A

Vrai !

30
Q

Quelles sont les deux natures du Manuel diagnostique et statique des troubles mentaux (DSM-5) ?

A
  1. Clinique,
  2. Descriptive
  • S’intéresse aux symptômes observables extérieurs (vs symptômes internes).
  • Différentes catégories de troubles mentaux.

= Pas lié à l’intervention, mais à l’observation de symptômes.

31
Q

Vrai ou faux :

Les troubles répertoriés dans le DSM sont toujours en changement (évolution des interprétations et des savoirs).

A

Vrai !

Il est donc important de remettre en question, il n’est pas 100% objectif, il dépend des « tendances » de l’époque.

32
Q

Quelle est l’étymologie du terme «diagnostique »?

A

Du grec « gnosis » (connaissance), et « dia » (à travers).

  • Reconnaitre la maladie à travers les symptômes.
33
Q

Complète :

La relation entre la maladie et les symptômes n’est pas directe ou immédiate, elle passe par ______ et la ________ .

A
  • l’interprétation,
  • la relation de soin.

À noter, l’utilisation du DSM implique le jugement professionnel et subjectif, lequel est fondé sur un exercice d’écoute et de différenciation entre ce qu’on perçoit et ce qu’on connait, pour s’ajuster à la personne et au contexte.

34
Q

Vrai ou faux :

Le DSM est toujours aidant pour la communication patient-professionnel.

A

Faux !!

Il peut ne pas être aidant si le diagnostique stigmatise le patient, bloque/fige le travail thérapeutique, encapsule ou réduit le sens de la souffrance, ou décharge le professionnel d’élaborer une compréhension dynamique du patient et de son histoire.

Il s’agit d’un outil de travail et surtout de communication entre les professionnels.

35
Q

Pourquoi doit-on faire preuve d’humilité et de prudence quant à l’utilisation du DSM ?

A
  1. Les problèmes ne se situent pas uniquement à l’intérieur du cerveau, ni ne relèvent uniquement de la psychologie individuelle, ils se trouvent aussi dans les interactions au sein de la famille et des collectivités (Culture).
  2. Le contexte change, et avec lui les catégories de psychopathologies. Les définitions témoignent de valeurs historiques et culturelles, malgré la tendance contemporaine à rattacher la maladie à la biologie et à l’objectivité (Normes liées à la santé).

« C’est avec prudence et humilité que nous devons utiliser les catégories que nous avons reçues en héritage ou que nous savons élaborer parce qu’elles ne couvrent à elles seules toute l’expérience humaine. »

36
Q

Dans la lecture « Quintin, Herméneutique et DSM 4» que considère-t-on comme les deux écueils à éviter ?

A
  1. Interpréter trop,
  2. Ne pas interpréter suffisamment.
37
Q

Vrai ou faux ;

C’est avec prudence et humilité que nous devons utiliser les catégories que nous avons reçues en héritage ou que nous savons élaborer parce qu’elles ne couvrent à elles seules toute l’expérience humaine.

A

Vrai !

38
Q
A