Cours 5 : questions d'ordre éthique et déontologique Flashcards
Défini l’éthique et le juridique.
Quelle est la différence entre l’éthique et le juridique ?
Éthique : principe ou normes qui devraient guider la conduite d’une personne
Loi : énoncés dictant ce qu’il est permis et pas permis de faire dans une société
- Les lois sont souvent basées sur l’éthique
- Ce qui contrevient à la loi n’est parfois aucunement relié à l’éthique
(mentir à son conjoint sur ses revenus n’est pas éthique, mais mentir au gouvernement est illégal)
Concernant les questions d’ordre éthique :
Quels sont les deux documents importants qui façonnent les bases des codes déontologiques ?
Qu’est-ce qu’un code déontologique ?
Quels sont les sources des principes éthiques en psychométrie ?
- Serment d’Hippocrate (met de l’avant la primauté du bien-être du patient)
- Code de Nuremberg (toute expérimentation doit rendre à des codes d’éthique rigoureux)
Guide la pratique afin de préserver la réputation de la profession
Normes de pratique du testing en psychologie et en éducation (fidélité, validité, norme, etc.)
Code déontologique spécifique à un métier et une province ou pays (Qc ou Can)
Concernant l’utilisation éthique des tests :
Parmi:
- la compétence,
- le consentent éclairé,
- la connaissance des résultats,
- la confidentialité,
- la protection des tests,
- le personnel non-qualifié,
- l’élaboration et publication des tests,
- les systèmes de cotation et d’interprétation automatisés
Lequel est décrit ?
1) Il faut des normes élevées dans l’élaboration de tests (validité, fidélité) et faire preuve de transparence dans la description du test et de ses propriétés
2) Il faut protéger les tests que l’on utilise, le matériel doit être conservé en lieu sûr et ne doit pas être accédé par une tierce personne. Il existe des exceptions comme programme de formation ou requis par la loi
3) Nécessité de maintenir et de développer ses capacités en termes de concepts (fidélité, validité) et méthodologie (procédure propres à un test). Il faut évaluer ses propres capacités.
4) La personne qui passe le test a le droit à une divulgation complète de ses résultats.
Les résultats doivent être divulgués dans un langage pouvant être compris par la personne. (il faut choisir comment on présente le test à la personne)
Quelques exceptions, p.ex., candidature à un emploi.
5) Les personnes qui passent les tests, sont autonomes et capable d’autodétermination.
La personne qui passe le test doit consentir de plein gré à l’évaluation.
La personne administrant le test a la responsabilité d’informer de la nature et de l’objectif de l’évaluation dans un langage qui est accessible à la personne. (exceptions : requises par la loi ou consentement implicite -candidature emploi)
6) Le personnel non-qualifié ne doit pas utiliser des tests psychologiques (les psychologues doivent y veiller). Peu différer entre les pays.
7) Les résultats de tests doivent être considérés comme de l’information confidentielle.
La diffusion des résultats ne peut être faite à une tierce personne que si celle-ci est qualifiée et avec le consentement de la personne, avec une bonne raison reliée à l’utilisation. (il faut une bonne raison pour le faire, une raison liée à l’utilisation)
Les résultats doivent être conservés dans un lieu sécurisé et détruits lorsqu’ils ne sont plus nécessaires. (on peut pas garder des résultats de test parce que ça nous tente)
Quelques exceptions (p.ex., danger pour autrui).
8) Les personnes qui utilisent les systèmes de cotation et d’interprétation automatisé sont tout de même responsables de la justesse de l’interprétation. (la faute revient au psychologue et non à la personne qui a conçu le système de cotation)
Concernant le personnel non-qualifié :
Quels sont les trois niveaux (A, B, C) ?
Vrai ou faux, ce sont les personnes qui créent les tests qui décident quel personnel est qualifié ?
1) Elaboration et publication des tests
2) Protection des tests
3) Compétence
4) Connaissance des résultats
5) Consentement éclairé
6) Personnel non-qualifié
7) Confidentialité
8) Systèmes de cotation et d’interprétation automatisé
- Niveau A : Formation minimale requise, simplement lire les instructions (p.ex., tests de rendement scolaire, tests de compétences professionnelles)(n’importe qui peut les passer)
- Niveau B : Connaissances des caractéristiques techniques requises (p.ex., tests collectifs d’aptitudes intellectuelles, inventaires des intérêts)(PE connaissances en éthique de psychométrie)
- Niveau C : Formation avancée requise en théorie des tests et dans les domaines pertinents (p.ex., tests individuels d’aptitudes intellectuelles, tests de personnalité, méthodes projectives) (formation avancée, PE doctorat)
Vrai
Concernant les questions d’ordre juridique :
Où les tests sont-ils encadrés par la loi ?
Quels sont les types de loi ?
Quel est le rôle des lois ayant une incidence sur les test ? Donne quelques exemples.
Qu’est-ce qu’un élève EHDAA ?
Quel est l’objectif ?
- Emploi (égalité des chances) – minorités ethniques, âge, handicapés
- Éducation (adaptation scolaire (mesures d’appui), diplomation (examen du ministère))
- Contexte psycholégal (recours aux tests psychométriques dans un procès)
- Législation (PE votées à l’Assemblée nationale)
- Lois administratives (PE code de déontologie)
-Décisions de la cour
Elles encadrent la façon dont on interagir avec les gens lors de tests (agir de façon équitable en, PE, adopter des mesures d’adaptation (fait pour que les normes élaborées sur des groupes qui ne sont pas applicables sur des personnes avec handicap deviennent applicables)
- Charte des droits et libertés
- Loi sur les normes du travail
Élèves en situation de handicap, en difficulté d’adaptation (difficultés dans des domaines de la vie, PE fonctionnement scolaire) ou d’apprentissage (PE difficultés en français et mathématique de façon constante).
Procurer une instruction de qualité à ces élèves malgré leur situation
Concernant l’usage des tests à des fins juridiques :
Défini l’aliénation mentale et l’aptitude à subir un procès.
Quels sont quelques préoccupations particulières ?
Vrai ou faux, les tests vu dans le cours n’ont pas d’utilité psycholégale ?
Aliénation mentale : désordre mental ou une incapacité au moment où le crime est commis. Aptitude à comprendre la nature et la gravité de sa conduite. (elle ne sait pas qu’elle commet un crime pour de vrai) (en expertise psycholégale on vient tester l’aliénation mentale)
Aptitude à subir un procès : État mental dans lequel se trouve la personne au moment de son procès. Aptitude ou non à comprendre la nature des accusations et le processus judiciaire. (tests dans le but de déterminer si la personne est apte à subir son procès)
- Procès pour déterminer la garde d’un enfant
- Évaluation pour prédire l’émergence de comportements violents
Faux
Concernant les test projectifs :
Vrai ou faux, ce sont des tests objectifs ?
Donne deux exemples de tests projections et décris les.
Qu’est-ce que l’hypothèse projective ?
Vrai ou faux, il faut être formé pour administrer des tests projectifs ?
Vrai ou faux, le test de dessin pour les enfants est considéré comme un test projectif ?
Faux, ils sont interprétatifs
Tests de Rorschach : chaque tache possède sa propre grille d’interprétation (sur quoi la personne porte son attention ou est-ce que c’est plus global)
Test d’appréciation thématique (TAT) : des panneaux en noir et blanc, la personne doit expliquer ce que l’image représente. Une image ambiguë avec plusieurs interprétations.
Puisque le stimuli est ambiguë, la personnalité de la personne vient remplir les trous
Vrai
Vrai