Cours 3 : Traitement de l'information Flashcards
Vrai ou faux, l’activité neurale doit avoir une correspondance (corrélation) avec les propriétés de l’environnement qu’elle représente ?
Vrai
Où se fait le traitement de l’information ?
Quels sont les deux propriétés importantes qui contribuent au traitement de l’information ?
Qu’est-ce qu’un circuit neuronal ?
Au niveau de la synapse
Convergence et l’inhibition (excitatrice ou inhibitrice)
Ensemble de neurones qui sont interconnectés par des synapses
Quelle est la différence entre un circuit convergent et un circuit linéaire ?
voir p. 3-4
Que constatons-nous dans l’organisation rétinienne ?
Un degré important de convergence. Chaque oeil compte 126 M de photorécepteur mais seulement 1,25 M de fibres dans son nerf optique
Quels sont les 5 couches cellulaires de la rétine ?
- Photorécepteurs (C et B)
- Cellules horizontales (font connexion entre photorécepteurs voisins)
- Cellules bipolaires
- Cellules amacrines
- Cellules ganglionnaires
Vrai ou faux, le niveau de convergence entre les photorécepteurs et les cellules ganglionnaires est beaucoup plus élevé pour les bâtonnets que les cônes ?
Vrai,
Bâtonnets : 120 photorécepteurs = 1 cellule ganglionnaire
Cônes : 6 photorécepteurs = 1 cellule ganglionnaire
Fovéa : 1 pour 1
Quelles sont les deux différences fonctionnelles entre les cônes et les bâtonnets ?
- Meilleure sensibilité des bâtonnets à l’énergie lumineuse (après adaption obscurité)
- Meilleur acuité visuelle pour les cônes
Qu’est-ce que la sommation spatiale ?
Pour quel type de photorécepteur la sommation spatiale est plus convergente (excitatrice) ?
Addition de l’Activité de neurones ayant des champs de récepteurs spatiallement distincts. Ce processus est produit par des circuits neuronaux convergents.
Les bâtonnets
Vrai ou faux, une moins bonne acuité visuelle permet de voir plus de détails ?
Faux, c’est le contraire. La fovéa est le point d’acuité maximal.
La variation des cônes et des bâtonnets au niveau de l’acuité dépende de deux choses, lesquelles ?
- Variation de la densité des photorécepteurs en fonction de la localisation rétinienne
- Différence au niveau de la sommation spatiale
*voir p. 10
Chez quel animal le rôle de l’inhibition a-il été étudié dans la stimulation de photorécepteurs individuels ?
La limule
Qu’est-ce que le phénomène d’inhibition latérale ?
Plus la stimulation concurrente est forte (B), plus la réponse A sera diminué. Le site A reçoit une inhibition en provenance de B.
Exemple de la grille de Hermann ou de l’effet de contraste simultané d’intensité
Quelle illusion constitue un exemple du rôle de l’inhibition latérale dans la perception des contrastes ?
Les bandes de Mach. La jonction nous semble plus clair qu’elle ne l’est en réalité. Illusion causé par l’amour de notre système pour le contraste
*voir p. 16
Qu’est-ce qu’un champ récepteur ?
Quels sont les deux types de champs récepteurs ?
Portion de la rétine qui, lorsqu’elle est stimulée, affecte l’activité du neurone (A,B,C)
- Zone excitatrice (augmenter fréquence IN)
- Zone inhibitrice (baisse fréquence IN ou le bloque) (réponse “off”)
Quels sont les deux types de champs récepteurs concentriques complémentaires ?
- Centre excitateur et périphérie inhibitrice
- Centre inhibiteur et périphérie inhibitrice
*voir p. 20, 21, 22